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Le blog politique de Thomas JOLY

Compteur Linky : les critiques ne tiennent pas debout

16 Mars 2018, 07:26am

Publié par Thomas Joly

L’affaire Linky est exemplaire des blocages dans lesquels la société française s’englue ; elle démontre à quel point d’irrationalité est parvenu le simulacre de débat abrité et arbitré par les réseaux sociaux. Quatre types de critiques sont adressés à cet appareil qui, rappelons-le, n’est rien d’autre qu’un dispositif destiné à la facturation d’une énergie consommée.

Il est dangereux pour la santé. C’est de loin le plus stupide argument. Comme toutes les machines utilisant un courant électrique, quel qu’il soit, ce compteur induit des champs électriques et magnétiques : votre téléphone en produit, pas mal, votre plaque à induction encore plus, et l’ancien compteur également. Les centaines d’appareils qui sont dans notre entourage créent un brouillard électro-magnétique constant, avec des intensités variables, au sein duquel Linky est quasiment invisible. Faut-il supprimer les ordinateurs, les ascenseurs, les automobiles, l’éclairage public, la radio, etc. ?

Au sein de l’ignorance soupçonneuse, trois lettres mystérieuses ont fait leur chemin : CPL, pour courant porteur en ligne, sigle affublé de tous les dangers. De quoi s’agit-il ? Tout simplement d’utiliser les câbles de transport d’énergie électrique pour véhiculer des informations électroniquement codées. Un peu comme si l’on se passait d’un câble d’imprimante pour la relier à un ordinateur. Mais, me direz-vous, on le fait déjà en Wi-Fi, par exemple. Eh oui, et cela produit des émissions supérieures à celles du CPL !

La technologie CPL n’a rien de nouveau : les babiphones, nombre de récepteurs ADSL et les compteurs les plus récents l’utilisent. Dans tous les cas, le rayonnement décroît fortement avec l’éloignement ; à un mètre, il est imperceptible. Linky utilise le CPL, quelques dizaines de secondes par jour, avec des intensités et des fréquences plus faibles que nombre d’autres appareils domestiques, et de toute façon négligeables au sein de l’environnement actuel.

Il est cher et payé par le consommateur. Cher, non ; coûteux, sans doute. Fallait-il que l’État prenne en charge la dépense, fallait-il le faire payer par l’entreprise, déjà fortement endettée ? Peut être, mais EDF, dont Enedis est la filiale à 100 %, est toujours sous le contrôle de l’État, donc faire payer l’entreprise, c’est faire payer l’État, c’est-à-dire nous. Or, chacun de nous a un compteur électrique, donc, de toute façon, c’est nous qui payons !

Il ne sert à rien. Si : à compter. C’est même pour cela qu’il existe. Il est, du reste, plus fiable que les anciens et plus sourcilleux sur les dépassements de capacité. En gros, votre consommation facturée sera plus exacte qu’auparavant.

Indiscutablement, Linky va servir à Enedis à avoir une vue technique d’ensemble du réseau basse tension sur lequel, actuellement, aucun capteur n’est présent. Observation, aussi, des consommations immédiates, ce qui est un enjeu écologique car cela permet de mieux utiliser les sources de production les moins polluantes.

Linky peut aussi renseigner le client sur la répartition de sa consommation journalière, et même mettre sous tension tel ou tel réseau, permettant le déclenchement au moment opportun d’appareils fortement consommateurs. Plus tard, cela fera l’objet d’offres commerciales tendant à lisser les pics de consommation qui sont coûteux en production. On peut imaginer qu’en cas de surproduction – éolienne, par exemple -, Linky sera capable de distribuer au meilleur coût le surplus.

Il nous espionne. Bien moins que nos banquiers ! C’est le seul argument qui mérite attention. Aujourd’hui, Linky se contente d’enregistrer votre consommation par plages de dix minutes, et de transmettre le résultat journalier durant la nuit. Ses capacités pourraient être augmentées pour détecter plus finement les moments et sources de consommation. Est-ce grave ? Est-ce une violation de l’intimité ? Si oui, il faut maintenir l’interdit, mais alors aussi contraindre les banques à ne pas révéler à leurs opérateurs le bénéficiaire de vos paiements, et même ne plus faire apparaître le moment exact d’une transaction…

Et puis, n’y a-t-il pas, en France, non pas un Big Brother mais de multiples grands frères infiniment plus redoutables ?

Gérard Couvert

Source : http://bvoltaire.fr

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Bertrand Cantat : plus de désir

16 Mars 2018, 07:25am

Publié par Thomas Joly

La vie a ses ironies qui jamais ne cessent de nous réjouir. Naguère, nos amis de gauche manifestaient pour faire « libérer leurs camarades emprisonnés » ; cause plus ou moins juste, mais ni moins ni plus que celle de leurs homologues de droite. Aujourd’hui, cette même gauche – à moins qu’il ne s’agisse de sa descendance, adultérine autant qu’ingrate -, défile dans la rue pour mettre les trublions en prison ou au chômage. Démonstration par Bertrand Cantat.

L’affaire remonte à 2003. À la suite d’une querelle conjugale, Marie Trintignant tombe sous les coups de son compagnon du moment, le chanteur de Noir Désir. Lequel écope de huit ans de prison au tribunal de Vilnius, en Lituanie. Il en purge quatre, bénéficiant d’une remise de peine pour bonne conduite, à l’instar du premier justiciable venu. En bonne logique, les compteurs auraient vocation à être mis à zéro. Un peu comme lors d’une confession, lorsque les péchés avoués et pardonnés ne doivent plus être remis sur la table par celui qui tient de Dieu son étrange pouvoir d’absolution. La justice d’ici-bas s’est finalement toujours inspirée de celle de tout là-haut, et ce n’est pas plus mal ainsi.

La première à ne pas l’entendre de cette oreille est Nadine Trintignant, mère de la défunte : « Comment ose-t-il ? Je trouve honteux, indécent, dégueulasse qu’il aille sur scène. » Des sentiments aussi légitimes que compréhensibles. Mais est-ce une raison pour que d’autres, n’ayant vécu ce drame que de loin, viennent ensuite empêcher le même Bertrand Cantat de continuer à exercer son métier, sachant que ce qui vaut pour les facteurs vaut aussi pour les chanteurs ?

C’est pour lui d’autant plus crucial que, ses trois compères de Noir Désir l’ayant abandonné, il lui faut désormais entamer une carrière en solo, laquelle commence déjà à prendre du plomb dans l’aile avant même d’avoir véritablement commencé. Il s’en explique en ces termes : « Je comprends qu’être programmé dans le cadre de festivals cet été puisse poser problème, d’où ma décision de me retirer de ceux-ci. De cette manière, ces derniers n’auront plus à subir des pressions de toutes natures. »

Les « pressions » en question persistent néanmoins, Bertrand Cantat ayant dû annuler un concert à Istres, alors qu’il peinait à assurer celui de Grenoble, le 13 mars dernier. Ce, pour cause de troubles à cet ordre public que notre troubadour dénonçait dans une autre vie, puisque tenu pour « ordre » quasiment « fasciste » ; soit rien de bien nouveau, même pour « l’ordre » en question.

Ironie, écrivions-nous plus haut. C’est vrai qu’il n’y a pas si longtemps, le prédicateur de Noirdez – tel qu’on disait naguère, sorte de mot de passe entre groupies transies – en appelait à une sorte d’insurrection générale. Pas la lutte armée, bien sûr, Universal, la multinationale du disque qui l’employait alors, n’aurait pas goûté ce vocable par trop viril ; mais au moins un petit bout de révolte adolescente, façon Téléphone et sa « Bombe humaine », une décennie plus tôt. Seulement voilà, cette même « lutte » se retourne aujourd’hui contre lui.

Bertrand Cantat, toujours, sur Facebook : « Nous sommes à Grenoble où j’ai voulu entamer une discussion avec quelques personnes qui manifestaient leur hostilité devant la salle. À peine apparu, un déchaînement de violence, d’insultes, une pluie de coups, aucune possibilité de discuter, de la violence, seulement de la violence. »

Un peu comme celle des antifas contre ce Front national qui, lui aussi, a toujours eu un peu de mal à assurer ses meetings en tournée ? Nous n’en sommes pas loin.

Pour que l’ironie plus haut évoquée soit complète, il ne manquerait plus que Bertrand Cantat, déjà en butte aux menées hystériques d’une meute progressiste dont il fut naguère le héraut, lâche ce cri du cœur : « Que fait la police ? »

Là, ce serait fromage et dessert, apéro et vin à volonté. Encore un effort, camarade Bertrand, pour que la rigolade soit au zénith, à défaut de cet Olympia prévu pour ce joli mois de mai prochain, en pleine commémoration de cette autre blague que fut le millésime 1968.

Nicolas Gauthier

Source : http://bvoltaire.fr

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La vidéo du débat Jean-Marie Le Pen/Moussa Darmanin

16 Mars 2018, 07:15am

Publié par Thomas Joly

Jean-Marie Le Pen a abordé le problème de l'immigration comme jamais sa fille ne l'aurait fait, par souci de dédiabolisation. Il a dit la vérité et ce que les Français attendent, Darmanin n'a fait que répondre à côté et tenté, de manière grotesque, de faire dans le pathos en brandissant une photo de son grand-père harki.

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Ce soir dans « L'Émission Politique », Gérald « Moussa » Darmanin-Ouakid sera opposé à Jean-Marie Le Pen en débat

15 Mars 2018, 07:18am

Publié par Thomas Joly

L'invité surprise de Gérald Darmanin sera donc Jean-Marie Le Pen. C'est l'ancien président du Front national qui a été choisi par la production pour affronter le ministre de l'Action et des Comptes publics lors l'Emission politique sur France 2. En octobre, lorsque Marine Le Pen était l'invitée de l'émission, c'était à l'inverse Gérald Darmanin qui était l'adversaire de la présidente du Front national lors du débat. C'est la première fois que le ministre, visé récemment par deux plaintes, sera l'invité principal de cette émission diffusée en première partie de soirée.

Lors de l'émission, Gérald Darmanin devra également débattre avec l'ancien candidat à la présidentielle du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) Olivier Besancenot. Il est également allé tourner une séquence dans un bal du 13e arrondissement de Paris avec des retraités.

Source : http://lejdd.fr/

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Déclarée irresponsable, Rachida qui a tué à coups de couteau une enseignante d’Albi ne sera pas jugée

15 Mars 2018, 07:07am

Publié par Thomas Joly

La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Toulouse vient de rejeter la demande de la famille de Fabienne Terral-Novés, tuée d’un coup de couteau par la mère d’une de ses élèves de maternelle, le 4 juillet 2014 à Albi.

La chambre estime que la nouvelle demande d’expertise qui avait été formulée par Me Gil au nom de la famille de l’institutrice n’est pas nécessaire et a déclaré cette femme de 51 ans définitivement irresponsable. Cette décision s’accompagne d’une demande d’hospitalisation d’office qui doit être formulée par le préfet et de trois interdictions pour l’auteur du coup mortel : celle de se rendre dans le Tarn, celle de rencontrer la famille de la victime et enfin, l’interdiction de porter une arme.

Ces trois interdictions sont imposée par la chambre pour 20 ans. « C’est l’épilogue logique d’une affaire terrible. La décision ne surprendra personne puisque quatre collèges d’experts psychiatres s’étaient prononcés pour l’irresponsabilité pénale de cette mère en plein délire paranoïaque lors de faits », souligne Me Alexandre Martin qui défendait la mère de famille avec Me Pauline Godet. « Enfin cette femme va pouvoir quitter la prison d’arrêt pour être prise en charge et soignée dans une unité spécialisée ce qui est plus que nécessaire. »

La fatma tarée sera bientôt libre et la famille de l'institutrice sauvagement assassinée n'a plus que ses yeux pour pleurer. Circulez, y'a rien à voir !

Source : http://fdesouche.com

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Grande-Bretagne islamique : Jayda Fransen et Paul Golding emprisonnés pour avoir dénoncé des gangs de violeurs musulmans

14 Mars 2018, 19:48pm

Publié par Thomas Joly

En Grande-Bretagne, deux dirigeants du parti Britain First, opposant à l’islam radical, ont été condamnés à 4 et 9 mois de prison pour avoir qualifié l’islam de religion « de pédophiles ».

Paul Golding et Jayda Fransen ont été photographiés par la police après avoir été emprisonnés hier.

Les deux ont été jugés coupables de harcèlement religieux aggravé après avoir qualifié les musulmans de « pédophiles » et de « violeurs ». Les deux ont été envoyés en prison pour 4 et 9 mois respectivement par le tribunal de Folkestone. Aujourd’hui la police du Kent a diffusé leurs images en détention après avoir estimé que c’était dans l’intérêt du public. La cour a pris connaissance du fait que les deux individus avaient lancé une campagne politique en mai dernier durant laquelle ils annonçaient vouloir dénoncer les hommes musulmans qui étaient jugés pour viol.

Quand Fransen et Golding ont été condamnés, les membres de la presse ont demandé la diffusion des photos mais se sont vus dire que les images ne pouvaient être diffusées que si un accusé était condamné à une peine immédiate de plus d’un an de prison. Mais mardi, les photos ont été diffusé, la police déclarant qu’elle croyait que c’était nécessaire en raison du caractère des offenses.

L’immonde enquêteur en chef Bill Thornton, de la police du Kent, a indiqué que les crimes étaient « répugnants » et que la police ne tolérerait pas des crimes motivés par les préjugés ou la haine.

Ce développement récent intervient alors que 2 journalistes d’Amérique du Nord ont été interdites du territoire britannique. Les autorités considèrent qu’elles étaient trop critiques de l’islam (source).

Source : http://breizatao.com

 

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Trappes, le « Molenbeek français »

14 Mars 2018, 19:10pm

Publié par Thomas Joly

Des commerces – sous pression ou non – qui financent le radicalisme, des enfants scolarisés en CM1/CM2 auxquels est inculquée dès le plus jeune âge la pratique du jeûne pendant le ramadan, des refus d’inscription à la cantine parce que la viande qu’on y propose n’est pas halal, rappel sur les tenues autorisées – voile, niqab… – pour les filles, même les plus jeunes, ainsi que l’autorisation, toujours pour les filles, des heures et lieux de sortie, rappel des heures de prières pour les garçons, contrôle des allées et venues dans les immeubles des quartiers, porte-à-porte pour convaincre, recruter et rappeler les « bonnes convenances » : enclave, « verrue » (parmi d’autres), située à une petite encablure de Paris, Trappes, ville PS des Yvelines, est de plus en plus, et radicalement, islamisée.

Qualifiée de « Molenbeek français », la ville de Trappes, gangrénée par l’islam radical est quasiment sous le contrôle total des barbus. Une situation qui empire. Selon une note blanche titrée « prévention de la radicalisation », le bilan, portant sur les dix-huit derniers mois, est pire que jamais.

A Trappes, comme dans d’autres villes du département, notamment Mantes-la-Jolie ou Les Mureaux, la « logique communautaire » y est « forte, diffuse et permanente ». Dans cette ville où « le prosélytisme religieux » a pris une « dimension sociale et caritative » (comme des « aides pour payer factures et loyers ») et où les « jeunes [djihadistes] de retour de Syrie sont des vecteurs déterminants » dans la radicalisation, c’est justement sur la jeunesse que le constat est le plus alarmant.

Ainsi, comme le relève la note blanche, sur 400 personnes inscrites dans les Yvelines au fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste, il apparaît que 65 % des radicalisés sont âgés de 15 à 25 ans. Parmi ces radicalisés, 35 % sont des femmes dont 45 % « ont connu des sévices à caractère sexuel – attouchements, viols ou tentatives de viol de la part d’un membre de leur famille ». Du côté des hommes, il apparaît que ceux-ci ont recours – sont incités ? – à « un usage massif du cannabis dès l’adolescence » suivi d’un « usage fréquent de neuroleptiques avant la phase de radicalisation ». A noter qu’à La Verrière, ville voisine de Trappes, on observe « le retrait des femmes musulmanes du marché du travail ». A tout cela, s’ajoute « un conflit générationnel entre les anciens et les jeunes », ces derniers n’hésitant pas à faire la leçon aux anciens allant jusqu’à les accuser de « ne pas être de bons musulmans ».

Source : Présent via Le Salon Beige

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Le nucléaire, seule énergie d’avenir pour la France ! Le scandale de la fermeture de Fessenheim

14 Mars 2018, 18:50pm

Publié par Thomas Joly

Macron veut vendre à l’Inde 12 réacteurs, dont une centrale nucléaire de 6 réacteurs du type EPR à Jaitapur, en Inde. Début 2018, 449 réacteurs sont en fonctionnement dans le monde, et 56 en construction.

Les énergies renouvelables, en France, ne survivent que parce que subventionnées d’une façon éhontée par l’usager. Le prix de vente de l’électricité issue de l’éolien terrestre est trois fois plus élevé que celui du nucléaire ; le solaire photovoltaïque peut être jusqu’à quinze fois plus cher. Quant à l’éolien en mer, il est six fois plus cher que le nucléaire.

L’éolien n’est qu’une « pompe à fric » pour escrocs avec des bénéfices scandaleux que nous payons dans le surcoût de nos factures EDF. L’État garantit, en effet, un revenu de base de huit centimes par kWh. L’éolien n’est en aucune façon un investissement écologique pour le développement du pays. Combattre les éoliennes qui polluent, avec leurs matériaux et les politiciens locaux corrompus, c’est aussi préserver la beauté et l’environnement de la France.

Les éoliennes, ainsi que les panneaux photovoltaïques, sont importés dans notre pays, ce qui accroît le déficit catastrophique de notre balance commerciale. Ce sont, de plus, des sources d’énergie intermittentes (absence de vent ou de soleil) dont la production d’électricité n’est pas stockable. Elles nécessitent donc la production d’une énergie de secours équivalente pour permettre au réseau de répondre à tout moment à la consommation, d’où (en Allemagne) les centrales de lignite polluantes dont ne parle jamais Nicolas Hulot et la nécessité de construire 4.000 kilomètres de lignes de haute tension entre l’énergie éolienne de la mer du Nord et le sud de la Bavière. Les réseaux haute tension français sont déjà construits depuis longtemps.

Si l’EPR est une folie, pourquoi les Chinois en construisent-ils ? Pourquoi les Anglais et les Indiens sont-ils très intéressés ? Flamanville, c’est une seule fois dix milliards d’euros pour produire, pendant quatre-vingts ans, avec une disponibilité de 80 %, soit un coût d’un centime par kilowattheure. Le problème des déchets est définitivement réglé à Bure.

Les énergies renouvelables, c’est, au contraire, un surcoût de dix milliards d’euros payés tous les ans par les contribuables français à partir de 2020. Là est le scandale ! En Allemagne, le surcoût est déjà de vingt-quatre milliards d’euros chaque année, et il ne cesse d’augmenter ! Mme Merkel ne s’est pas seulement « plantée » pour l’immigration, mais aussi pour son tournant énergétique (« Energiewende ») démagogique. À Fukushima, le nucléaire n’a causé aucun mort, contrairement au tsunami.

Fermer Fessenheim entraînerait une perte d’exploitation de sept milliards d’euros pour EDF. La centrale pourrait être prolongée sans problème pour une durée de soixante ans, comme sa sœur jumelle de Bear Valley, aux États-Unis. Fermer Fessenheim, c’est supprimer 2.200 emplois non délocalisables, priver les Français d’une électricité rentable et bon marché, obliger l’Alsace à importer d’Allemagne 12 térawattheures par an.

L’électronucléaire en France, c’est l’équivalent de vingt milliards d’euros d’importation de pétrole, dix fois moins de rejets de gaz à effet de serre qu’en Allemagne, une industrie pourvoyeuse d’emplois, exportatrice et de haute technologie, un prix compétitif d’énergie.

Les éruptions du soleil et les éruptions volcaniques, pas le CO2 (gaz carbonique), sont responsables des variations climatiques. L’avenir énergétique du XXIe siècle, pour la France, c’est en fait le nucléaire avec des réacteurs à neutrons rapides utilisant l’uranium 238 présent à 99,3 % dans l’uranium naturel, contrairement à l’uranium 235 présentement utilisé (0,7 %).

Pour les énergies renouvelables, comme pour le réchauffement climatique, le libre-échangisme mondialiste et l’immigration, les bobards, ça suffit ! Peuple de France, réveille-toi !

Marc Rousset

Source : http://bvoltaire.fr

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Donald Trump qualifie de « personne à très faible QI » la députée afro-américaine hystérique qui veut le destituer

14 Mars 2018, 18:37pm

Publié par Thomas Joly

La députée afro-américaine Maxine Waters a répété robotiquement que la destitution de Trump était imminente pendant plus d’un an. 

Waters a suggéré que si l’enquête du conseiller spécial Robert Mueller n’aboutit pas à une destitution, l’affaire présumée de Trump avec la star du porno « Stormy Daniels » (de son vrai nom Stephanie Clifford) l’éjectera du pouvoir.

Trump a déclaré lors d’un rassemblement en Pennsylvanie, samedi soir, que « nous devons vaincre Nancy Pelosi et Maxine Waters, une personne à très faible QI ». Le président des Etats-Unis s’est ensuite moqué d’elle en l’imitant : « On va le destituer ! ».

Waters réplique : « Je ne vais pas m’enfuir, je ne suis pas intimidée par lui, et donc il peut continuer à me traiter de tous les noms, j’en ai plein pour lui. En fait, tout le monde sait qu’il est un escroc. Il a été un escroc toute sa vie. »

Ironie du sort, Maxine, qui a été législateur pendant 41 ans, croit que l’affaire présumée de Trump avec Stormy Daniels pourrait mener à sa destitution – ce qu’aucun expert juridique n’a suggéré jusqu’à présent. Trump ne risquait d’être mis en accusation que s’il se parjurait lui-même sous serment comme Bill Clinton – quand il a menti au congrès sur l’affaire qu’il avait avec une subalterne, en tant que président.

Il convient de noter que lorsque Bill Clinton a été poursuivi en décembre 1998, Waters l’a défendu en dénonçant « des milliers de pages d’ouï-dire, d’accusations, de commérages et de bavardages téléphoniques » (NYT Oct. 9, 1998qui, selon elle, n’ont pas permis de prouver que Clinton mentait.

Waters a ajouté : « Il est temps d’aller de l’avant. Réprimandez le président [Clinton], condamnez-le, mais passons à autre chose… Ces procédures grossièrement injustes ne feront que déchirer ce Congrès et cette nation. »

Apparemment, Maxine Waters ne se soucie que de la nation que lorsque c’est un Démocrate sur la sellette.

Source : http://suavelos.eu

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Mayotte : encore un cadeau empoisonné de Nicolas Sarkozy à la métropole !

14 Mars 2018, 18:20pm

Publié par Thomas Joly

Je séjournais à La Réunion, notre île de l’océan Indien, lorsque Mayotte est devenue département français. C’était en 2011.

Nicolas Sarkozy songeait déjà à sa réélection et nos territoires d’outre-mer ont toujours été considérés comme d’utiles réservoirs de voix. Un petit cadeau aux ultramarins et ça permet de faire la soudure dans les urnes…

Je me souviens des discussions animées d’alors, les motifs de satisfaction et les espérances de certains me laissant pour le moins dubitative : « C’est formidable, me disait-on, au moins, comme ça, ils vont rester chez eux ! » Pauvres naïfs…

Il faut les comprendre, les Réunionnais. Ils n’en peuvent plus, de la déferlante des « Comores », comme ils les appellent ; de ces familles qui, à les en croire, raflent tous les logements sociaux et les aides qui vont avec, qui alimentent les bidonvilles autour du port et la délinquance qui, là aussi, en est le corollaire. Dans un département où le chômage dépasse les 25 %, c’est une bombe à retardement.

Il faut l’hypocrisie d’un Wauquiez pour en accuser l’actuel gouvernement, comme il l’a fait voilà dix jours, alors qu’il allait racoler, lui aussi, en vue de la législative partielle de dimanche prochain : « Mayotte est submergée par une immigration illégale qui n’est pas gérée, a-t-il dit. On ne peut plus continuer à accueillir à Mayotte autant de personnes qui viennent de l’ensemble des Comores et de toutes les îles qui sont autour. Et le devoir de la République, c’est d’abord de s’occuper des siens. De s’occuper de ses enfants, de ceux qui sont les citoyens de notre pays. »

Et avec une maternité, à Mamoudzou, qui enregistre près de 10.000 naissances par an, on en fabrique, des petits Français ! C’est ainsi que Mayotte compte la plus forte densité de population en outre-mer, avec 682 hab/km2 en 2017, contre 565 en 2012.

Le gouvernement dit alors réfléchir à un statut d’extraterritorialité pour cet établissement hospitalier, statut qui pourrait aussi concerner la Guyane. Ce serait un « hôpital où, quand on y naît, on est ensuite déclaré (pour l’état civil) soit côté français, soit côté Comores, soit côté Madagascar », a déclaré le ministre Girardin. Hélas, il y a de fortes probabilités pour que cette mesure soit déclarée inconstitutionnelle.

De son côté, Laurent Wauquiez réclame une modification de l’accès à la nationalité française, soit l’impossibilité de l’acquérir pour un enfant né de parents clandestins. C’est aussi ce que préconisait Baroin lorsqu’il était en charge de l’outre-mer sous le dernier gouvernement Chirac. Proposition faite, également, par Estrosi en 2008 sous Sarkozy. Mais Chirac n’a pas bougé, et ce qui était encore envisageable du temps où Mayotte n’était qu’une collectivité est devenu impossible dès lors que Nicolas Sarkozy en a fait un département français. Alors, avant de donner des leçons, que les ex-RPR devenus Les Républicains balayent donc devant leur porte. D’autant, cela mérite également d’être rappelé, que c’est sous le même Chirac que l’acquisition de la nationalité française est devenue automatique (sans même que la demande en soit faite) pour tout enfant né de parents étrangers et vivant sur le sol français depuis au moins cinq ans.

Autre point épineux que peu se hasardent à soulever : le régime de droit islamo-coutumier (rendu par les « cadis » – juges musulmans) de ce département. Aujourd’hui, les Mahorais peuvent en effet choisir entre « le statut de droit commun », identique à la métropole, ou bien le « statut personnel », soit un statut « dérogatoire au Code civil et à la laïcité, réservé aux musulmans originaires de Mayotte (ou éventuellement d’autres îles des Comores ou du nord-ouest de Madagascar) ». Cela permet aussi bien la répudiation des épouses que la polygamie (pourtant officiellement interdite) et gère le droit des successions comme le droit foncier.

Voilà pour « les citoyens de notre pays » chers au cœur – à moins que ce ne soit aux urnes ? – de monsieur Wauquiez.

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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La série de la BBC retraçant la guerre de Troie, avec des acteurs noirs jouant des héros de la mythologie grecque, fait un flop d’audience

13 Mars 2018, 07:53am

Publié par Thomas Joly

La série événement sur la Guerre de Troie (Troy : Fall of a City) avec son budget de 16 millions de livres se transforme en gouffre financier avec seulement 1,6 millions de téléspectateur.

La série, pourtant diffusée le samedi soir en prime-time, a vu son audience s’effondrer au fil des épisode, 3,2 millions pour le premier, seulement 1,6 millions pour le 4e. En face, The Voice rassemblait le même soir trois fois plus de téléspectateurs (4,9 millions).

Le casting très multiethnique avait créé une polémique avec des acteurs d’origine africaine pour jouer le rôle de héros et dieux grecs.
• David Kwaku Asamoah Gyasi dans le rôle d’Achille
• Hakeem Kae-Kazim dans le rôle de Zeus

Le créateur de la série avait répondu : « Je n’ai pas de temps pour ça. C’est très désagréable. On parle d’un tout petit groupe de protestataires, très bruyants, je suis vraiment abasourdi. »

Source : http://fdesouche.com

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Harcèlement de rue : les racailles sont le problème

13 Mars 2018, 07:37am

Publié par Thomas Joly

« Les forces de l’ordre pourront désormais verbaliser le harcèlement de rue », a récemment annoncé la secrétaire d’Etat aux droits des femmes. Amusant, quand on sait que souvent les forces de l’ordre arrêtent des mecs pour des violences graves et sont écœurés de constater qu’il n’iront pas en prison. Amusant, quand on se souvient qu’en décembre une policière a été lynchée au sol par une foule de racailles sans que ses collègues ne puissent faire usage de leur arme. Amusant, quand on sait le nombre de caillassages de policiers et pompiers qui restent impunis.

Les principaux responsables de l’angoisse des femmes dans la rue sont les racailles, qui ne sont pas juste machistes, mais violents physiquement. Ils cumulent les transgressions. Tout dans leur langage et attitude nous rappelle que la moindre micro-conversation peut dégénérer en agression en un instant.

Si on sursaute pour un « hé mademoiselle », ce n’est pas parce qu’on a peur d’être appelée mademoiselle. C’est parce que le type qui nous dit ça est capable de péter les plombs sur nous, de nous frapper, de nous cracher dessus et de nous coincer avec ses potes si notre réponse ne lui plaît pas.

Ceux qui traitent de putes les femmes dans la rue, ce sont ceux qui zonent, qui trafiquent, qui tabassent des mecs « pour un mauvais regard », qui sortent le couteau « pour une cigarette », qui arrachent le sac des passantes. Ce sont ceux qui mettent un point d’honneur à ne jamais se décaler d’un centimètre quand une femme essaye de passer. Ce sont ceux qui bloquent le trottoir en groupe de huit et te lâchent un « zebi » (littéralement, « ma bite » en arabe), si tu leur demandes poliment de pouvoir passer avec ta valise à roulettes. Ce sont ceux que les femmes qui racontent leur agression appellent « des jeunes », même s’ils ont quarante piges, car si elles osent les nommer autrement, elles seront illico culpabilisées, suspectées, sommées de se justifier. Ce sont eux et leurs potes. Et chacun de ces types emmerde à lui tout seul une bonne centaine de femmes par an. Ils ne se cachent même pas. Tout le monde connaît ces mecs.

Tant que des types prendront 4 mois de sursis pour un tabassage, tant qu’on relâchera des agresseurs à la moitié de leur peine, aucun politique ne pourra dire qu’il lutte sérieusement pour la sécurité des femmes.

Ces mecs-là se foutent des amendes, ils sont insolvables. Marlène Schiappa veut les envoyer faire « un stage citoyen ». Leur seule réponse sera un « J’men bats les couilles wesh », ou autre fanfaronnade du même tonneau. Un homme qui a déjà échappé à la prison après un vol avec violence, qui pendant son adolescence gloussait en voyant ses potes délinquants sortir du commissariat libres comme des papillons, pensez-vous vraiment qu’il écoutera les leçons de citoyenneté d’une intervenante associative ?

La focalisation sexuelle empêche de traiter le problème. Plus de 90 % des agresseurs sont de sexe masculin mais ce ne sont pas « les hommes » le problème. La majorité des violences aux personnes est commise par une minorité de personnes. La majorité des agressions est commise sur des hommes. C’est une minorité de déviants identifiés, impunis, qui s’en prend aux femmes et aux hommes dans l’espace public. Vous savez, les fameux « connus des services de police » qui s’en sortent comme des fleurs presque à chaque fois. Le mec qui te traite de « grosse salope » ou de « kehba » quand tu ne réponds pas à son compliment, c’est aussi le mec qui met une balayette à ton petit frère de 14 ans pour lui piquer son portable.

On pourra m’objecter que les « racailles » ne sont pas les seuls auteurs de violences sexistes ou de harcèlement. C’est vrai. Il existe par exemple une part non-négligeable de harceleurs appartenant aux classes dominantes de la société, dont l’excellente maîtrise des normes sociales leur permet justement de harceler en toute impunité, de ruiner la réputation des plaignantes, de répondre pile comme il faut aux questions des policiers, de trouver de bons avocats. Mais l’existence de harceleurs cachés ne justifie en rien que l’on ferme les yeux sur la masse de harceleurs qui étalent leur agressivité envers les femmes de manière publique, assumée et bruyante.

La diversité des profils d’agresseurs et harceleurs ne signifie pas l’absence de profils. Distinguer divers profils d’agresseurs, de modes opératoires, de lieux, c’est précisément cela qui permet d’enrayer un phénomène sous ses formes les plus diverses. En matière de harcèlement de rue, le problème, ce sont les racailles, point.

On notera au passage que la phrase « Il n’y a pas d’agresseur-type! », les féministes institutionnelles la jettent toujours au visage de la femme qui se plaint d’avoir été agressée par des racailles, jamais à celle qui dénonce des violences commises par un « dominant ». Personne ne prétend qu’il existe un seul profil d’agresseur ou de harceleur, personne. Quand on martèle à une femme qu’« il n’y a pas d’agresseur-type », c’est pour la rappeler à l’ordre, c’est parce qu’on a la trouille qu’elle parle un peu trop librement.

Une femme victime d’agression subit systématiquement des pressions féministes à ne surtout pas décrire son agresseur : au nom du « pas d’amalgame » entre une agression et une communauté, elle est sommée de faire l’amalgame entre son agresseur et 100% des hommes. Toute femme coupable d’un vilain amalgame en public sera systématiquement rappelée à l’ordre. Celles qui amalgament l’ensemble des hommes à des porcs seront en revanche applaudies.

Pour vous donner une idée du niveau d’omerta féministe auquel nous sommes rendus, le collectif « Paye ta shneck », principale plateforme de témoignages de harcèlement de rue en France, censure systématiquement les témoignages de femmes contenant des mots tels que « kehba », « wallah », « kehba » ou « zebi« . La plupart des femmes qui me contactent pour me relater leur expérience du harcèlement de rue ou d’agressions ont peur d’être socialement rejetées si je publie leur témoignage. Elles sont des dizaines, alors que Bellica est un site très récent, qui reste assez confidentiel. Au même moment, les féministes institutionnelles parlent de « libérer la parole des femmes ». Tout le monde sait qui harcèle les femmes dans la rue, mais il n’y a pas de « Me Too » pour les victimes des racailles.

Les femmes victimes sont sommées de « ne pas stigmatiser » les racailles pour « ne pas en rajouter », puisque ces messieurs font partie des « dominés » de la société. C’est oublier que les rapports de domination varient selon les échelles géographiques. Un homme « dominé » à l’échelle de la société se retrouve, de facto, « dominant », quand il coince avec ses copains une nana dans un wagon de RER pour lui faire passer un sale quart d’heure. Contrairement à ce qu’affirme le credo féministe intersectionnel, une femme « non-racisée » de la classe moyenne diplômée n’est pas « une dominante » quand elle est encerclée par 5 mecs agressifs.

Le « harcèlement de rue » est principalement commis par des racailles et on ne rendra pas les rues sûres pour les femmes tant que l’on ne s’attaquera pas au phénomène racaille. Il suffit en large part d’appliquer les lois qui existent déjà et de cesser les expérimentations pédagogiques farfelues en matière « d’aménagements de peine », perçues par les racailles comme rien d’autre que des marques de faiblesse occidentale.

Les hommes sont les cibles majoritaires d’agressions mais les femmes sont davantage confrontées aux insultes et menaces au quotidien que les hommes. Autrement dit, statistiquement, les hommes sont davantage agressés, les femmes sont davantage renvoyées à la possibilité d’une agression. Le projet de verbalisation du harcèlement de rue aura sans doute des effets aussi nuls qu’en Belgique, où seules 3 plaintes de ce type sont déposées par an. La verbalisation donne une illusion de réaction politique et sert de cache-sexe à un océan de renoncements politiques en matière de sécurité. Elle entretient un climat de suspicion générale entre les femmes et les hommes, là où précisément, c’est une affaire d’hommes autant que de femmes.

Lutter contre le harcèlement de rue passe nécessairement par la libération de la parole, le droit de décrire son agresseur sans craindre de subir les foudres du politiquement correct et par l’application réelle des peines envers les auteurs de violences, de manière à briser le sentiment d’impunité qui est la racine de leurs comportements déviants envers les femmes dans l’espace public.

En 2018, une femme harcelée dans la rue ou les transports subit un double harcèlement. Le harcèlement sur le moment, par une racaille, puis le lynchage social, dans son entourage ou sur les réseaux sociaux, si jamais elle ose décrire son agresseur un peu trop précisément.

Il est temps de mettre fin à ces menaces de mort sociale.

Solveig Mineo

Source : http://bellica.fr

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Censure totale d’internet : Macron veut que le gouvernement puisse fermer n’importe quel site en 48 heures

13 Mars 2018, 07:33am

Publié par Thomas Joly

Le gouvernement français veut pouvoir censurer n’importe quel site internet qu’il juge non-conforme avec la ligne officiel de l’État en moins de 48 heures.

On sait désormais avec précision quel sera l’arsenal du juge saisi en urgence pour empêcher la propagation de fake news. Consultées par Le Monde et diffusées par le site Next Inpact ce mercredi 7 mars, les propositions de loi (simple et organique) « relatives à la lutte contre les fausses nouvelles » ne sont qu’à l’état de brouillon et peuvent encore être modifiées, notamment après leur passage devant le Conseil d’État.

Mesure-phare, une procédure de référé judiciaire est mise en place pour faire cesser rapidement la diffusion d’une fausse nouvelle en période électorale. Le parquet ainsi que « toute personne ayant intérêt à agir » pourra à l’avenir saisir le juge en référé (le tribunal de grande instance de Paris en aura la compétence exclusive) dès lors que « des fausses informations et de nature à altérer la sincérité du scrutin auront été diffusées en ligne, de manière massive et artificielle », notamment via le recours à des « bots » automatisés.

Une fois saisi, le procureur aura 48 heures pour trancher et pourra ordonner « le déréférencement du site, le retrait du contenu en cause ainsi que l’interdiction de sa remise en ligne, la fermeture du compte d’un utilisateur ayant contribué de manière répétée à la diffusion de ce contenu, voire le blocage d’accès du site Internet ».

Ce véritable programme de censure gouvernementale d’internet basé sur le modèle communiste chinois suscite une forte opposition.

Source : http://breizatao.com

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Deux journalistes américaines arrêtées et expulsées de Grande-Bretagne pour leur critique de l’islam radical

13 Mars 2018, 07:32am

Publié par Thomas Joly

Le Royaume-Uni, qui s’est déjà illustré par le refus d’accueillir le président américain Donald Trump, a empêché deux journalistes nord-américaines de pénétrer sur son territoire en raison de leur travail sur l’islam radical.

Brittany Pettibone, originaire des USA, a été interpellé à l’aéroport de Londres immédiatement après son arrivée par la police britannique. Elle a découvert qu’elle était l’objet d’une interdiction de territoire en raison de son intention d’interroger Tommy Robinson, un journaliste et activiste britannique connu pour sa dénonciation de l’islam radical.

Après trois jours d’incarcération, Brittany Pettibone a été expulsée du territoire et a rejoint l’Autriche où elle a pu rencontrer Tommy Robinson, lequel revenait d’un reportage en Italie pour couvrir les élections.

« C’est de la discrimination politique. Vous n'êtes pas un criminel, vous êtes un homme libre, vous marchez librement au Royaume-Uni. Tout le monde devrait pouvoir vous parler. Pourquoi ne puis-je pas entrer sur le territoire ? » a-t-elle observé lors de son interview.

Le compagnon de Brittany Pettibone, l’Autrichien Martin Sellner, a précisé que la décision avait été prise « en amont ». « Quand vous avez passé vos passeports à la douane, vous avez été signalés » observe Tommy Robinson. « Oui » confirme M. Sellner avant de préciser, « cela en dit long sur la situation au Royaume-Uni qui ouvre ses frontières à toutes sortes de gens avec l’islam radical qui grossit sur son territoire mais les ferme pour ceux qui ont des opinions divergentes ».

Peu de temps après, c’était la journaliste canadienne Lauren Southern qui était arrêtée à son arrivée à Calais avant de se voir interdire l’entrée du Royaume-Uni en raison de son travail sur l’immigration illégale et l’islam radical.

« Ils m’ont juste jetée dehors et m’ont dit au revoir » assure la journaliste.

Source : http://breizatao.com

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Violences sur les stades : et si les supporters en voulaient juste pour leur argent ?

13 Mars 2018, 07:16am

Publié par Thomas Joly

LOSC, PSG… Je vous le dis tout de suite, je ne connais strictement rien au foot. Je n’en sais que ce que nous martèlent les médias à longueur de semaine. Comme ces longues heures d’antenne entièrement consacrées au dieu Neymar qui s’est fissuré le cinquième métatarse du pied droit et pour qui toute la planète retient son souffle. Un mec acheté 222 millions d’euros l’été dernier, qui en gagne trois par mois et dont on nous dit qu’il fait le foiridon parce que personne n’ose le remettre à sa place (celle d’employé), même si c’est le mieux payé du monde. Dont on nous dit aussi que des tractations seraient en cours avec le Real Madrid pour le revendre. On avance la somme de 400 millions d’euros. Une bagatelle.

Voilà pour les paillettes. Et puis il y a l’autre côté, moins glorieux, plutôt bière-merguez que Porsche et champagne. C’est à Lille où, samedi soir, des « supporters » en colère sont descendus sur la pelouse pour s’en prendre à leurs joueurs. C’était à l’issue de la rencontre de Ligue 1 du LOSC contre Montpellier. On avait vu déjà, à maintes reprises, des supporters se casser la gueule au milieu des tribunes, des arbitres se faire sonner les cloches ou des joueurs se castagner dans les vestiaires, mais des supporters descendre sur le terrain pour une conversation vigoureuse avec leurs stars locales, c’est, paraît-il, du jamais-vu.

Le milieu est « consterné ». « C’est la surprise, la désolation. Moi, ça me sidère », dit le patron du club. Interrogée depuis Pyeongchang où elle assiste aux Jeux paralympiques, notre ministre Laura Flessel a affirmé sa volonté de vouloir « rééduquer les supporters ».

Eh bien, voyez-vous, moi qui n’y connais rien, comme je vous l’ai dit plus haut, je me demande, du haut de mon ignorance, s’il ne faudrait pas plutôt rééduquer le monde du foot, en commençant par la tête. D’ailleurs, à bien y regarder, c’est un peu ce que dit le ministre : nous allons « réunir toutes les instances, mettre tous les acteurs autour de la table, […] travailler avec l’instance nationale de supportérisme pour remettre la sécurité au cœur du problème, le sport au cœur des instances sportives et rééduquer les acteurs, les supporters ».

Cet univers, pour ce qu’il laisse apparaître aux individus dans mon genre, est le plus pourri qui soit par le fric. On y brasse des sommes stratosphériques, on y déifie des individus gâtés jusqu’à l’os, et pour un George Weah devenu président du Liberia, combien semblent n’avoir pour autre horizon que les bagnoles, les boîtes de nuit et les call-girls ? Alors…

Alors, se dit le petit peuple des tribunes, on aimerait bien en avoir pour notre argent. Nous, les besogneux du RSA, les smicards qui nous ruinons pour acheter les billets et les maillots, qui venons match après match nous exploser la voix pour soutenir l’insoutenable, on voudrait juste un peu de retour sur investissement. Du beau jeu, au moins, si ce n’est du succès, de quoi espérer, rêver peut-être…

On me dira que le tapage autour d’un Neymar n’a rien à voir avec ça, que l’ombre du dieu brésilien parti se faire opérer aux frais de la Sécu française ne plane pas jusqu’à Lille. Pas si sûr. Et le communiqué du club des supporters du LOSC me conforte dans cette analyse :

« Ces événements sont la suite logique et inexorable du flou financier entourant le club et de l’investissement personnel irrégulier ou inexistant de la majorité des joueurs. L’action de samedi est une réaction de contestation, excessive sur certains aspects, mais sincère et spontanée. Après tout le soutien, sûrement trop long, dont les joueurs et la direction ont bénéficié ils méritaient amplement de se faire secouer. »

On a transformé ce sport en un commerce mafieux, il ne faut alors pas s’étonner s’il en adopte les règles.

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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