Le procureur de la République de Roanne a requis deux à quatre mois de prison ferme contre un automobiliste mardi 20 mars. L'homme âgé de 46 ans est poursuivi pour outrage, l'acte qui lui est reproché remonte à mai 2015.
L'automobiliste, en excès de vitesse, avait fait un doigt d'honneur à… un radar automatique situé à Saint-Forgeux-Lespinasse mais aussi à celui de Bessay-sur-Allier.
Le parquet a considéré qu'il avait, par extension, insulté les agents chargés de visualiser les images des radars automatiques au Centre d'identification basé à Rennes.
Son avocat a demandé la relaxe dans cette affaire.
Il semble que la « justice » française a ses priorités...
Un rapport accablant pour les services de protection à l’enfance, la police et la justice, a été rendu public en août 2014. Il concerne l’exploitation sexuelle de 1.470 enfants par des gangs d’hommes Pakistanais et Bangladais, pour la seule ville de Rotherham, au sud du Yorkshire. Le rapport révèlé dans les moindres détails, comment leurs crimes épouvantables ne sont que la pointe émergée de l’iceberg.
Pendant au moins 16 ans, des gangs composés principalement d’hommes asiatiques (Pakistanais et Bangladais) ont pu cibler, violées et maltraiter des fillettes dont les plus jeunes n’avaient que 11 ans, sans avoir jamais eu quoi que ce soit à craindre de la part des autorités. Dans son rapport de 153 pages, le professeur Alexis Jay, ancienne inspectrice en chef du travail social en Écosse, a catalogué une série de crimes épouvantables au cours desquels des enfants ont été violés en bande, battus, et surtout ignorés par ceux qui auraient dû les protéger.
Dans l’un des cas les plus choquants mis en lumière dans le rapport, le professeur Jay a décrit comment, en 2001, une jeune fille de 15 ans a été aspergée d’essence par son agresseur qui a menacée de l’incendier.
L’adolescente avait été préparée par un homme plus âgé qui l’avait transférée de Rotherham à Leeds puis Bradford où elle a été forcée d’avoir des rapports sexuels. Lorsque les services sociaux ont tenté d’intervenir, la jeune fille a été menacée et battue par son agresseur afin de la dissuader de l’identifier. Elle a ensuite été harcelée, arrosée d’essence et avertie qu’elle serait brûlée vive si elle disait quoi que ce soit à la police. Elle a fait plusieurs tentatives de suicides et s’est retrouvée sans abri. Aucune mesure n’a été prise contre son agresseur.
Le rapport décrit également comment les travailleurs sociaux et les autorités ont rapidement rejeté les préoccupations des parents qui tentaient de protéger leurs enfants.
Dans un cas en 2002, une mère a contacté les services sociaux pour exprimer ses inquiétudes concernant la disparition régulière de sa fille de 14 ans et sa consommation d’alcool avec des hommes plus âgés. Sa mère a dit qu’elle craignait que sa fille soit devenue sexuellement active avec les membres du groupe.
Mais bien qu’elle ait montré des signes d’exploitation sexuelle dès l’âge de 11 ans, l’affaire a été classée et le travailleur social a estimé que la mère n’était pas en mesure d’accepter le fait que sa fille devienne mature.
La police n’a souvent pas pris de mesures contre les agresseurs, il y a même eu des cas où des parents, inquiets pour leur progéniture, ont été arrêtés pour avoir tenté de protéger leurs propres enfants. Le rapport a identifié deux cas distincts où des pères qui avaient retrouvé leurs filles et essayaient de les retirer des maisons dans lesquelles elles étaient maltraitées, ont eux-mêmes été arrêtés.
En 2001, une jeune fille qui avait été violée à plusieurs reprises s’est échappée des griffes de son agresseur. Pour lui adresser un message, les auteurs ont cassé toutes les fenêtres de la maison de ses parents avant d’attaquer son frère en lui cassant les jambes.
À ce moment-là, l’adolescente a accepté de porter plainte à la police. Cependant, lorsqu’elle est arrivée au poste de police, elle a reçu un message texto de son agresseur lui indiquant que sa sœur de 11 ans était entre ses mains, en ajoutant : « fais ton choix ». Elle n’a pas donné suite à la plainte et a refusé par la suite de coopérer avec les services sociaux.
A la fin de son rapport, le professeur Jay conclut : « L’incident a soulevé des questions sur la façon dont l’auteur savait où se trouvait cette jeune femme et ce qu’elle faisait ».
En 2008, une fillette de 11 ans a attiré l’attention de la police après qu’elle a révélé qu’elle et un autre enfant avaient été victimes d’abus sexuels de la part d’un groupe d’hommes adultes.
Malgré le fait qu’elle a été identifiée comme faisant partie d’un groupe de filles qui s’associait à un agresseur sexuel connu, son dossier a été fermé et on a jugé qu’elle ne présentait pas de risque d’être exploitée sexuellement.
Moins d’un mois plus tard, elle a été retrouvée dans une maison abandonnée avec un autre enfant et un certain nombre d’hommes adultes. Elle a été arrêtée pour ivresse et trouble à l’ordre public (sa condamnation a été annulée par la suite) et aucun des hommes n’a été arrêté.
Dans l’un des passages les plus stupéfiants du rapport, le professeur Jay a révélé comment un policier a rejeté le cas d’une fillette de 12 ans qui avait eu des rapports sexuels avec jusqu’à cinq hommes « asiatiques » à la fois, parce qu’il a dit qu’elle avait été « consentante à 100 % dans chacune des affaires ».
Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, annonce des perspectives tragiques mais hélas réalistes de l'évolution de la société française si la déferlante migratoire n'est pas stoppée et inversée.
Si la France n'est pas massivement désafricanisée dans les années qui viennent, les Français seront lynchés comme les Blancs en Afrique du Sud
Le Premier ministre Édouard Philippe a dévoilé lundi un nouveau « plan contre le racisme et l’antisémitisme » dont l’objectif vise à retirer de l’internet les opinions que le gouvernement décrètent comme déviantes idéologiquement.
Le journal Libération fait état de l’intention du gouvernement de recourir à des délinquants condamnés pour traquer les Français dont les propos sont interdits par l’État.
« La lutte contre la cyberhaine ayant besoin de moyens supplémentaires, le gouvernement prévoit de renforcer les effectifs de la plateforme de signalement de contenus illicites PHAROS. De même, des personnes condamnées à des travaux d’intérêt général pourraient être affectées, dans des associations, à des tâches de modération et de signalement de propos haineux » écrit le journal de gauche, propriété du milliardaire franco-israélien Patrick Drahi.
Donald Trump a précisé lundi les mesures qu'il envisage pour lutter contre l'épidémie d'overdoses aux opiacés aux États-Unis, y compris l'exécution des trafiquants de drogue, une proposition pourtant critiquée par les pseudo-experts mais vrais gauchistes.
Lors d'un déplacement à Manchester, dans le New Hampshire, l'un des États les plus ravagés par la consommation de drogue, le président américain a déclaré que les États-Unis devaient se montrer "durs" dans cette lutte contre les opiacés.
"Et cette dureté implique la peine de mort", a-t-il dit, sans préciser quel degré d'infraction à la législation sur les stupéfiants méritait à ses yeux la peine capitale.
Nicolas Sarkozy est actuellement entendu dans les locaux de la police judiciaire, à Nanterre.
Selon une source judiciaire qui s’est confiée au journal Le Monde, l’ancien chef de l’État a été placé en garde à vue ce mardi matin pour être entendu sur le présumé financement libyen de sa campagne en 2007.
C’est la première fois que Nicolas Sarkozy est entendu dans le cadre de cette enquête qui a démarré en 2013. La garde à vue de l’ancien président de la République peut durer jusqu’à 48 heures. Un de ses très proches, Brice Hortefeux, qui fut ministre de l’Intérieur durant son quinquennat, est pour sa part entendu en audition libre.
L’affaire démarre en 2012
L’affaire a démarré après la publication en 2012 d’un document de Mediapart évoquant un financement de la campagne victorieuse de Nicolas Sarkozy en 2007 du colonel Khadafi.
Depuis, plusieurs témoignages sont venus confirmer cette thèse. Le Monde rappelle que Ziad Takieddine est le premier à avoir parlé. L’homme d’affaires a raconté avoir rapporté de Libye quelque cinq millions d’euros en liquide qu’il aurait remis à Claude Guéant et Nicolas Sarkozy entre 2006 et 2007, alors qu’il était ministre de l’Intérieur.
Une version des faits fournie également par Abdallah Senoussi, l’ancien directeur du renseignement militaire du régime libyen devant le procureur général du Conseil national de transition libyen.
Nicolas Sarkozy nie les faits
Les enquêteurs ont aussi avancé sur la piste Alexandre Djouhri, soupçonné d’être l’intermédiaire entre Nicolas Sarkozy et Bechir Saleh, l’argentier du colonel Kadhafi. Djouhri est actuellement incarcéré à Londres dans l’attente de son éventuelle remise en France.
L’enquête porte sur des chefs de corruption active et passive, trafic d’influence, faux et usage de faux, abus de biens sociaux et blanchiment, complicité et recel de ces infractions.
Le Président du Parti de la France invite les membres du gouvernement à montrer l'exemple pour l'accueil des clandestins.
J'attends avec impatience que les membres du gouvernement accueillent des migrants chez eux. Ce serait bien la moindre des choses qu'ils montrent l'exemple au bon peuple...
Elle ne fonctionnera pas avant 2024, mais la future ligne 16 du métro commence déjà à tourner… sur les réseaux sociaux. Ce week-end, un internaute a posté sur Twitter une carte, à la manière des lignes RATP affichée dans les métros, de cette future ligne du réseau Grand Paris Express, qui doit relier Saint-Denis-Pleyel à Noisy-Champs en traversant la Seine-Saint-Denis.
Il n’en fallait pas plus pour que la ligne 16, dont les travaux préparatoires ont à peine commencé, stimule l’imagination des Twittos. Avec un angle d’attaque favori : cette future ligne de banlieue, traversant des villes colonisées ayant chacune des quartiers africanisés aux réputations sulfureuses, deviendrait à coup sûr une ligne dangereuse.
« Future ligne de l’enfer », « Un escape game », « un parcours de survie », « Faudra valider son Navigo ET une attestation d’assurance pour monter dans une rame de la ligne 16 »… Les Twittos ont rivalisé d’imagination pour décrire « la cousine de la ligne 13 ». A force de comparaison parfois guerrière avec des mangas, jeux vidéo ou films d’action, ils imaginent des contrôleurs surarmés ou formés aux arts martiaux.
Ce buzz parfois drôle mais plutôt négatif sur les quartiers envahis traversés a au moins permis de faire connaître le projet, en le rendant concret pour ceux qui ne le connaissaient pas encore. Le Grand Paris Express en a ainsi profité pour mettre en avant, sur les réseaux sociaux, les avantages de la future ligne : des temps de trajets divisés par trois… « et vous pourrez même tweeter dans le métro » !
La scène s’est déroulée ce dimanche, vers 15 heures. Des dizaines d'Africains clandestins, menés par des agitateurs d'extrême-gauche, ont investi la Basilique de Saint-Denis en soutien aux migrants et sans-papiers. Le collectif Coordination des sans-papiers a déployé une banderole pour dénoncer le projet de loi « Asile - Immigration ».
Les forces de l’ordre ont été réquisitionnées pour évacuer les manifestants. Afin d’éviter tout débordement, la police a lâchement jugé préférable de fermer l’édifice à 17h30. La messe a été annulée.
Face à cette profanation, le Parti de la France ne restera pas sans réaction.
Le chef nigérian d’un restaurant propose à ses clients blancs de payer plus cher que ceux de couleur afin d’« évoquer les écarts de salaires », d’après BFM.
Au Saartj, un restaurant de La Nouvelle-Orléans, la plus grande ville de l’État de Louisiane, on propose à la clientèle blanche de payer son repas 2,5 fois plus cher que celui de sa clientèle de couleur.
Tunde We, à la tête de ce restaurant nigérian, s’est dit inspiré par le mouvement raciste Black Lives Matter. Le nom de son établissement fait référence à Saartjie Baartman, surnommée la « Vénus hottentote », une femme noire née en Afrique du Sud au 18e siècle réduite en esclavage et devenue une attraction foraine en France à cause de son étrange morphologie.
Tunde We assure que 78 % de ses clients blancs ont accepté de payer leur repas 30 dollars (24 euros) au lieu des 12 dollars (10 euros). Mais selon lui, c’est la pression sociale et la culpabilité qui les a poussés à accepter, rapporte BFM.
Imaginons un instant le degré d'hystérie et de haine des Afro-Américains, ainsi que des médias, si un restaurateur blanc s'aventurait à faire de même.
Alors que notre pays est dans une situation économique, fiscale, identitaire, démographique, sécuritaire, culturelle et sociale catastrophique, le premier ministre Édouard Philippe n'a rien trouvé de mieux à annoncer que sa volonté de réduire au silence ses opposants sur internet.
En qualifiant de « racistes » ceux qui ne partagent pas l'opinion du gouvernement sur les questions migratoires, Édouard Philippe veut tout simplement rendre illégale toute proposition de programme qui ne serait pas de gauche.
Comme justificatif de point de départ de la réflexion du gouvernement, les journalistes évoquent « un contexte de flambée des actes antisémites et anti-musulmans après les attentats de 2015.
On croit rêver ! Le problème n'est donc pas le terrorisme, mais les réactions au terrorisme ! C'est tout simplement hallucinant de bêtise.
Une fois de plus, le gouvernement, complaisamment relayé par une presse aussi servile que communiste, utilise des menaces imaginaires pour faire passer de vraies lois régressives en matière de droits de l'homme de droite.
Contre cette clique de crypto-communistes qui nous fabriquent le meilleur des mondes antifascistes, rejoignez la seule authentique résistance au politiquement correct, rejoignez le Parti de la France !
Samedi 17 mars, le restaurant qui accueillait une cinquantaine de nationalistes affichait complet pour ce repas au cours duquel Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, et Boris Le Lay, en exil politique à l'étranger, sont intervenus.
Après un mot d'accueil de David Martin, Thomas Joly a rappelé la justesse et la nécessité vitale du combat politique mené par le Parti de la France. Puis à l'issue du déjeuner, Boris Le Lay, avec le talent qu'on lui connaît, s'est adressé à l'assistance par vidéo interposée.
C'est dans un esprit de résistance et de reconquête que les convives se sont quittés, chargés pour certains de matériel de propagande du PdF.
40 ans après l'assassinat de François Duprat, Carl Lang réclame la levée du secret d'État sur les circonstances de sa mort.
Le 18 mars 1978 François Duprat, membre du bureau politique du FN et candidat à la députation en Seine maritime était assassiné, victime d'un attentat à la bombe. Nous voulons savoir qui a tué François Duprat et il est temps, après 40 ans, que le secret d'Etat soit enfin levé.
Chronique d’agressions attendues. Chronique d’une mort attendue ?
Paul Golding vient juste d’être écroué, et déjà il est la cible d’une attaque dans le quartier de haute sécurité de la prison d’Elmley. Il s’est défendu et a réussi à s’en sortir… Pour cette fois. Les deux agresseurs ont été inculpés, mais cela ne dissuadera pas les autres de s’en prendre à nouveau au responsable de Britain First.
Le vrai scandale est qu’un Paul Golding puisse se retrouver en prison pour plusieurs mois pour avoir juste dénoncé la pédophilie et le viol de petites filles par des musulmans… Et que sa vie soit en danger !
Le personnel de la prison aurait fait une demande pour qu’il soit changé de prison. Qu’est-ce que ça changera ? Il y a des musulmans partout… dans toutes les prisons d’Europe.
Comment peut-on laisser un Paul Golding exposé aux risques d’assassinat qu’il encourt ?
Même nous qui ne sommes que des citoyens lambda alertons depuis des lustres sur les risques courus par les anti-islam en prison eu égard à la forte densité musulmane dans les geôles européennes. Et les prisons anglaises sont terribles.
Sur Twitter, Carl Lang décrypte le dessein de cette république qui organise la disparition du peuple français et de notre civilisation toute entière.
Cette république n'organise pas uniquement la colonisation étrangère de la France : Elle met aussi en oeuvre le grand déracinement culturel et spirituel du peuple français.