Hier Jérôme Rivière rejoignait #ÉricZemmour, aujourd'hui c'est au tour de l'identitaire #DamienRieu. Il est clair qu'il n'avait plus rien à faire auprès de l'amatrice de zouk islamophile plus préoccupée par ses chats que par l'avenir du peuple français. pic.twitter.com/WrUZakLF6e
Il faudrait être bien naïf pour imaginer que, aujourd’hui, les peines de prison continueront à être fixées par les tribunaux compétents. En effet, il y a cette loi de programmation et de réforme de la Justice, datant du 23 mars 2019, visant à « favoriser, lorsqu’elles sont possibles, les peines alternatives à l’incarcération ». Pas tant par trop-plein d’humanisme que par manque de place dans les geôles républicaines, semble-t-il.
Une dérive que vient confirmer cette note confidentielle signée Laurent Ridel, directeur de l’administration pénitentiaire, envoyée à nombre de juges, histoire de leur indiquer la bonne marche à suivre : « Je tiens à vous alerter sur la situation de surencombrement des établissements de votre ressort. […] Cette situation complexifie lourdement les mesures de sécurité que nous devons mettre en œuvre pour limiter la propagation du virus. »
Étrange mail qui a fini par atterrir à la rédaction du Point : sachant que la prison est le stade ultime du confinement, on aurait pu penser que les nouveaux arrivants étaient testés et que, faute de contact avec l’extérieur, les détenus ne pouvaient être contaminés par de tierces personnes. Il est à croire que non. Bref, toujours à lire le courrier en question, il s’agirait avant tout de « réduire la densité carcérale ». À ce compte, il faudrait également fixer des quotas de patients à virer des hôpitaux débordés ou des élèves à exclure d’écoles elles aussi surchargées pour éviter de possibles clusters…
Et Laurent Ridel, en l’occurrence garde des Sceaux autoproclamé, de conseiller : « Il semble que moins de 2 % des détenus condamnés font actuellement l’objet d’une libération sous contrainte […] alors que 30 % des personnes condamnées y sont à première vue éligibles. » Cette « libération sous contrainte », c’est par exemple la détention en des centres semi-ouverts ou le bracelet électronique. Mais ce que le même Ridel oublie de préciser, c’est la manière dont il faudra surveiller ces dizaines de milliers de prisonniers élargis ; déjà que les forces de l’ordre ne parviennent pas à faire comprendre à un Patrick Balkany qu’un bracelet électronique n’a rien à voir avec celui qu’on vous met au poignet à l’entrée des boîtes de nuit, alors…
Sans surprise, ça grogne du côté de la magistrature. Cité par Le Point, ce magistrat de Reims : « Le directeur de l’administration pénitentiaire se permet, par écrit et avec le minimum de formes requises, de donner de quasi-instructions à des magistrats indépendants. Pour nous demander quoi ? D’adapter nos décisions aux capacités hôtelières des prisons, comme s’il existait un numerus clausus et comme s’il avait une quelconque autorité sur nous. »
Il est vrai qu’avec cette affaire, les juges se trouvent à la fois accusés de sévérité et de laxisme. Et le même de poursuivre : « Le problème du surencombrement des prisons ne date pas d’hier. Le gouvernement caresse en permanence l’opinion dans le sens du poil avec des discours répressifs et sécuritaires, tout en nous encourageant à vider les prisons. » On a déjà lu moins nigaud.
Plus sérieusement, et Covid ou pas, la vérité est qu’en France, les conditions de détention sont souvent indignes d’un pays civilisé, que nombre de ces détenus, lorsqu'ils sont étrangers, auraient vocation à regagner leurs pénates d’origine, une fois leur peine purgée et que les constructions de nouvelles prisons sont sans cesse repoussées.
L’autre vérité est que cette situation est plus que représentative de la philosophie macronienne qui considère la France comme une start-up nation et tient le gouvernement pour un simple conseil d’administration. Il faut donc gouverner à flux tendus et gérer les stocks, même ceux d’êtres humains ; même ceux de prisonniers qui ne sont pas les meilleurs des citoyens. Mais qu’au moins ce système aille jusqu’au bout de sa logique et fasse gérer les prisons par le groupe Accor, avec réductions à partir de dix nuitées et tarifs spéciaux pour les visites en groupe.
Lors de son discours d’intronisation à la présidence française du Conseil de l’Union européenne (PFUE), Emmanuel Macron répondra à la question : « Qu’est-ce qu’être européen ? », selon Le Parisien de ce 18 janvier. De Strasbourg, le président de la République, en pleine campagne électorale même s’il n’est toujours pas candidat, parlera une vingtaine de minutes. Il devrait balayer la souveraineté européenne, la réforme de la zone euro, les transitions écologique ou numérique. Les sondages d’opinion ne sont pas très vaillants, depuis quelques jours, à l’image du sondage Cluster17-Marianne où il apparait à 22,5 %, en recul de 0,5 point sur la vague précédente. Macron compte sur son podium européen pour redonner du souffle à une campagne qui commence à en manquer.
Quelle naïveté ! Il faut réécouter de Gaulle, le 14 décembre 1965, justement entre les deux tours de l'élection présidentielle : « Il faut prendre les choses comme elles sont et on ne fait pas de politique autrement que sur des réalités, martelait le chef de l'État. Bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant l'Europe, l'Europe, l'Europe, mais ça n'aboutit à rien et cela ne signifie rien. » Des mots qu'on croirait destinés au Président Macron. Penser que l’Europe peut dynamiser quoi que ce soit, a fortiori une campagne présidentielle, c’est s’enfoncer le doigt dans l’œil jusqu’à l’oreille. Cet irénisme témoigne d’une méconnaissance profonde des relations entre la France et l’Europe, d’un aveuglement absolu sur le corps électoral hexagonal comme sur le bilan européen et, surtout, d’une surdité pathologique aux cris du pays. Macron voit l’Europe comme un tremplin vers l’Élysée ? Elle sera son tombeau.
Pour une très grande partie des Français, l’Europe reste en effet celle du traité européen de 2005. La ratification de cette Constitution était considérée comme une formalité par tout ce que la France et l’Europe compte de fonctionnaires et de politiciens bien nourris, acquis aux thèses du mondialisme le plus pur qui exige auparavant la constitution de grands ensembles continentaux. Rien ne s’est passé comme prévu, on s’en souvient. Pour une fois consultés, les Français ont repoussé le traité avec 54,7 % des voix, en dépit d’une campagne pro-oui acharnée. « Non merci, sans façon », ont-ils répondu dans la langue de la démocratie. Sarkozy a eu beau faire passer l’affaire en douce quelques années plus tard, les Français n’ont pas changé d’avis, bien au contraire. À bas bruit, l’Europe reste un objet structurant de la vie politique française. À droite, un Français sur trois déclare son intention de voter pour des candidats à la présidentielle en délicatesse avec Bruxelles, ceux qui se prononcent pour Marine Le Pen, Éric Zemmour ou Nicolas Dupont-Aignan. L’Europe n’est pas plus appréciée dans les rangs de la gauche radicale, et depuis longtemps. Restent dans le giron bruxellois certains partisans de Valérie Pécresse, les Verts, les maigres troupes d’Anne Hidalgo et… les soutiens d’Emmanuel Macron. Une cohorte mal assortie, brinquebalante pour un projet qui ennuie dramatiquement les Français. Si les grands médias évitent à tout prix le sujet européen (jamais d’émission en prime time, jamais de unes de presse sur les personnalités de l’Europe), ce n’est pas par opposition larvée, c’est parce que ces médias savent que l’Europe engendre des audiences et des ventes désastreuses.
Depuis le temps, les Français ont compris. Ils savent que l’Europe, créée pour soutenir le charbon et l’acier, a vidé ces deux activités du continent depuis longtemps. Que l’Europe agricole est responsable pour une très grande part de l’élimination de notre agriculture et du terrible suicide de nos agriculteurs. On pourrait ainsi allonger sans fin la liste des méfaits européens. Les myriades de fonctionnaires et de lobbyistes qui grenouillent dans les instances de l’Europe sont pour les Français soit suspects soit coupables du triste sort de notre économie. Quant à la politique, qui parmi nos compatriotes a clairement accepté la mainmise et l’invasion d’un droit européen supérieur au droit français ?
Incapable de répondre aux vrais besoins du pays – l’épisode des masques a été parlant pour les Français -, l’Europe pose depuis l’origine un grave problème démocratique et un défi de souveraineté plus grave encore. Dans sa conférence de presse, ce 18 janvier, Marine Le Pen met les pieds dans le plat : « Au fil des années, l’Union européenne cherche à évoluer vers un État unitaire centralisé à l’échelle européenne […]. L’Europe n’est plus une histoire plurimillénaire mais une construction idéologique qui cherche laborieusement à s’inventer une histoire et les attributs factices d’un État. » On ne saurait mieux dire ni plus clairement. Cette Europe qui étouffe la France sera merveilleusement incarnée par Emmanuel Macron. De quoi braquer un peu plus un peuple qu’il brutalise sans vergogne depuis près de cinq ans. Compter sur l’Europe est rarement un bon calcul, quel que soit l’enjeu. Cette fois, le pari européen de Macron a toutes les chances de s’avérer désastreux pour lui et donc, espérons-le, heureux pour la France, celle que nous aimons. Laissons le donc sauter sur sa chaise comme un cabri en disant « l'Europe, l'Europe, l'Europe ! »
#Presidentielle2022 : pour définitivement achever la gauche, voilà maintenant la candidature de #ChristianeTaubira, improbable vieille bique anti-française. Ce dynamitage des dernières ruines du socialisme à la papa n'arrachera pas de larmes à grand monde. pic.twitter.com/TZd8O9NICh
Jeudi dernier, Gérald Darmanin a annoncé qu'il dégageait quatre millions d’euros pour la protection des lieux de culte. Le ministre de l’Intérieur s’est rendu en Seine-Saint-Denis pour visiter Saint-Germain-l'Auxerrois, qui fait partie des trois églises vandalisées dans le 93 en seulement cinq jours. Son déplacement répondait à une urgence : stopper les dégradations en série sur les lieux de culte catholique. Nous avons recensé, pour ce début d’année, les profanations ou vandalismes d’églises catholiques, pour mesurer la gravité de la situation.
Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier - Creutzwald
Des vandales pulvérisent avec des pétards la boîte au lettre et un volet du presbytère de l’église de Creutzwald. L’ange quêteur de l’église de la Sainte-Croix est décapité et évidé de ses menues monnaies. Depuis cet incident, l’église est fermée au public, excepté aux horaires des offices.
1er janvier - Poitiers
Deux hommes brisent une statue du Sacré-Cœur de Jésus en la faisant tomber. Mesurant un mètre, la sculpture se trouvait dans la niche d’une chapelle latérale de l’église Saint-Porchaire.
Dans la nuit du 1er janvier au 2 janvier - Genouilly
Des cambrioleurs, probablement à l’aide d’un pied-de-biche, entrent par effraction dans l’église Saint-Symphorien. Ils arrachent le tronc scellé au mur pour le voler. Ils dérobent un ostensoir puis fracturent le tabernacle, emportant deux ciboires remplis d’hosties consacrées.
5 janvier - Saint-Denis
Un individu en survêtement, originaire de Guyane, entre dans la basilique cathédrale de Saint-Denis, armé d’une grande barre de métal. Craignant légitimement pour son intégrité physique, le personnel de sécurité de la nécropole des rois de France ne peut intervenir. L’individu brise des vitrines et éclate deux statuettes de la crèche. Il se dirige ensuite vers des sculptures peintes du XIXe siècle positionnées autour des chapelles. L’évêque saint Denis, projeté sur le sol, est décapité. Sainte Geneviève perd son bras droit. Saint Antoine est criblé d’entailles.
6 janvier - Poitiers
Un ou plusieurs vandales décapitent six statues. La tête du Petit Jésus est notamment séparée de son corps dans la crèche de l’église Sainte-Thérèse.
7 janvier - Vitry-sur-Seine
Des individus fracturent une porte pour entrer dans l’église Saint-Germain. Ils pillent trois des quatre troncs. Il brise la porte vitrée du bureau d’accueil. Les profanateurs s’emparent du ciboire contenant les hosties consacrées ainsi que du calice après s’en être pris au tabernacle.
8 janvier - Strasbourg
Un individu a renversé la statue de la vierge de l’église Saint-Pierre-le-Vieux, fracturant son visage.
Entre le 8 et 9 janvier - Paray-le-Monial
Un ou plusieurs individus pénètrent dans la basilique du Sacré-Cœur. Ils soulèvent le globe en verre après avoir franchi la barrière et s’emparent de la relique de Jean-Paul II.
Dans la nuit du 9 au 10 janvier - Romainville
Des malfaiteurs arrachent un tronc, fracturent le tabernacle, dérobent le matériel de sonorisation et pillent les vases sacrés de la sacristie de l’église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Dans la nuit du 9 au 10 Janvier - Bondy
Des profanateurs ont dérobé la grande hostie de l’ostensoir. Ils ont cassé un vitrail, fracturé le tabernacle pour voler les ciboires et les saintes espèces. Ils ont par ailleurs saccagé la sacristie et emporté l’ordinateur portable du vicaire. Avec une scie sauteuse, ils ont découpé le tronc des offrandes.
Samedi 15 janvier - Paris 12e arrondissement
Des cambrioleurs entrent par effraction en pleine journée dans l’église du Saint-Esprit pour dérober un écran plat situé à deux mètres de hauteur. Ils auraient utilisé une échelle. Ils ont, par ailleurs, fracturé une porte menant vers une salle vide.
Dimanche 16 janvier - Paris 12e arrondissement
Lors de la messe de 11 h, messe pour les enfants, un individu reçoit la communion sur la main. Il élève ensuite l’hostie avec sa main droite devant le vicaire pour la réduire en miettes, en prononçant une parole que nul n’a pu retranscrire.
Profanation - Selon le @PSdeViolet contacté au téléphone pour @BVoltaire : "Un individu après avoir reçu la communion, a levé la main droite tendant l'hostie au ciel, et l'a pulvérisé en petit morceau." La veille, la paroisse a subi un vol par effraction. https://t.co/2BRhredezG
Sur la vingtaine de personnes qui ont sévi en ce tout début d’année, seul un individu a été interpellé par la police. Il est suspecté d'actes de vandalisme sur la basilique Saint-Denis et est en attente d’un procès qui devrait se tenir le 24 février prochain.
Mes adversaires défendent les délinquants étrangers contre les Français innocents. Je défends les Français innocents contre les délinquants étrangers. Ni la justice, ni les politiciens, ni les médias : personne ne me fera taire.
Les juges rouges de la XVIIe Chambre correctionnelle ont - une nouvelle fois - condamné #EricZemmour pour un simple délit d'opinion à propos des faux « mineurs isolés » dont la propension à la délinquance et à la criminalité est particulièrement élevée.https://t.co/5F1Zx0mE0R
Les réactions hystériques des médias et des adversaires d'#EricZemmour suite à ses propos sur les enfants handicapés, comme s'il avait parlé de l'Aktion T4, sont lamentables. Il a simplement dénoncé "l'école de l'inclusion", cette lubie égalitariste de sales gauchistes.
Mardi 11 janvier, Gérald Darmanin, à sa demande, nous précise un communiqué laconique du Conseil constitutionnel, a rencontré Laurent Fabius, président de cette institution. « Le ministre a évoqué la possibilité que, après concertations, le Gouvernement élabore de nouvelles mesures d’organisation qui apparaîtraient rendues nécessaires par la crise sanitaire, afin de garantir le bon déroulement de l’élection présidentielle. Le Président du Conseil constitutionnel en a pris bonne note et lui a confirmé que l’adoption de telles mesures appelleraient un contrôle constitutionnel, chargé aux termes du premier alinéa de l’article 58 de la Constitution, de veiller à la régularité de l’élection du Président de la République ». Laconique, disions-nous et, il faut bien l’avouer, un peu énigmatique. Un communiqué qui n’est pas sans nous rappeler les fameux « milieux autorisés » de Coluche, milieux autorisés dont vous n’êtes pas et qui s’autorisent des tas de trucs.
Comme l’a twitté Marion Maréchal : « Peut-on savoir de quel genre de mesures il s’agit ? » Pour l’instant, mystère et boule de gomme. S’il s’agit de mesures pratiques auxquelles nous sommes habitués depuis bientôt deux ans et que l’on a éprouvées lors des élections régionales et départementales en 2021 (masques, distanciation, nombre de personnes maximum dans les bureaux de vote et toutes sortes d’autres choses), on ne voit pas en quoi le ministre de l’Intérieur, chargé de l’organisation des élections, a besoin de consulter le Conseil constitutionnel. Il sait faire, semble-t-il…
Gérald Darmanin a rencontré le Président du Conseil Constitutionnel pour évoquer des « mesures d’organisation » concernant l’élection présidentielle. Peut-on savoir de quel genre de mesures il s’agit? https://t.co/gXDZ3KeoxO
On n’imagine pas un instant, bien évidemment, que ces mesures soient, par exemple, l’obligation de présenter un passe vaccinal pour accéder aux bureaux de vote, comme on a pu le lire, ici et là. Les amendements présentés à l’Assemblée nationale pour mettre « noir sur blanc » que tous les électeurs pourront voter aux prochaines élections (présidentielle et législatives) ont été rejetés au motif qu’« on ne met pas dans un texte de loi quelque chose qui est déjà établi par la Constitution », comme l’a déclaré à Libération, le directeur de cabinet du député LaREM Jean-Pierre Pont, rapporteur du projet de loi. Logique. Du reste, le Conseil constitutionnel avait rendu cette décision le 9 novembre dernier : « En période électorale, la présentation du ‘‘pass sanitaire’’ ne peut être exigée pour l’accès aux bureaux de vote ou à des réunions et activités politiques ». On imagine, par extrapolation, que cela exclut aussi le passe vaccinal.
Alors quelles sont ces « mesures d’organisation » ? Va-t-on, à moins de cent jours de l’échéance et à la va-vite modifier la loi organique du 29 mars 2021 portant diverses mesures relatives à l’élection du Président de la République ? Ce serait une première. Nous ne sommes pas constitutionnaliste mais l’on pourrait imaginer, par exemple, que l’on étende le vote par correspondance, prévu pour les personnes placées en détention provisoire et les détenus purgeant une peine n’entraînant pas une incapacité électorale, aux personnes non vaccinées. Après tout, si l’on en croit le président de la République, garant de notre Constitution, ces gens-là ne sont pas des citoyens à part entière. Pas comme les détenus.
Mais rassurons-nous, Jean Castex a installé, ce même 11 janvier, une instance de dialogue avec les partis politiques pour que la campagne présidentielle puisse se dérouler dans les meilleurs conditions.
On attend donc avec impatience de savoir que seront ces mystérieuses « mesures d’organisation »…
Sujets abordés : disparition de Stéphane Blet, la difficile quête des parrainages pour les candidats à l'élection présidentielle, la crise de l'autorité, Valérie Pécresse, la nécessaire réforme de la politique pénale, la grève des enseignants opposés aux protocoles sanitaires du gouvernement.
Guy Mouminoux, plus connu depuis les années 1970 sous la signature de Dimitri, né le 13 janvier 1927 à Paris, auteur de BD et écrivain français, nous a quittés ce 11 janvier à 94 ans. Auteur très prolifique de bandes dessinées pour enfants dès l’après-guerre, il accède à la reconnaissance à la fin des années 1970 lorsqu’il crée Le Goulag, s’adressant, par ses multiples allusions politiques, à un public plus adulte. C’est pour Patrick Gaumer « l’un des auteurs les plus originaux de la langue française ». Il est également connu sous le nom de Guy Sajer pour un ouvrage autobiographique, « Le Soldat oublié » publié en 1967 relatant son adolescence dans la Wehrmacht sur le front de l’Est.