Rappel : le 26 avril, Carl Lang à Toulouse

Président du Parti de la France

Le site de vente en ligne Amazon permet l’acquisition de mannequins représentant le pénis de très jeunes enfants. La mise en vente de mannequins proposant des jeunes filles à exciser aurait provoqué une hystérie généralisée, conduisant au retrait immédiat avec excuses de la part du vendeur ; mais que des rabbins – ou des imams – puissent acheter ce genre d’outils pour s’entraîner à commettre des mutilations sexuelles sur de jeunes garçons – voire à propager l’herpès mortel via des actes pédocriminels – apparaît comme une chose tout à fait normale et acceptable.

Après le syndicat Alliance, qui a dénoncé l’utilisation des CRS pour la répression contre de jeunes Français pacifiques, le Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN), majoritaire, s’est fait l’écho, dans sa revue interne – la Tribune du commissaire –, de la fronde de ses membres. Dans son dernier numéro, deux tribunes libres évoquent le « malaise grandissant » des policiers quant à l’utilisation par Manuel Valls des fonctionnaires comme une « police politique », alors que l'Espagnol lié éternellement à Israël assure aux criminels une large impunité, qu’il s’agisse des mafieux des cités comme des conseils d’administration des multinationales.
« Depuis plusieurs mois, le pays gronde. Je vois des uniformes, de jeunes manifestants que l’on colle contre le mur. J’en ai vu qui tombaient, d’autres que l’on conduisait vers des fourgons, le regard perdu mais fier. Je ne serai jamais l’un de ces officiers » évoque un commissaire.
« C’est pas qu’on soit pro ou anti mariage gay, témoigne un commissaire signataire du premier article. On est simplement choqués. On voit une distorsion énorme entre ce qui se passe avec les voyous récidivistes et des gamins pacifiques qu’on met en garde à vue simplement parce qu’ils portent un tee-shirt! Parfois, il faut avoir la force de dire “non”. Notre message, c’est que l’on refuse d’être une police politique, quel que soit le pouvoir » précise un autre.
Si le gouvernement a perdu la bataille de l’emploi, faute de l’avoir menée, celle contre la criminalité, de peur de la mener, il est en passe de perdre sur ce terrain aussi.
Les ministres PS avaient misé sur l’essoufflement rapide des protestations contre la destruction de l’institution du mariage, et sur l’effet dissuasif de la répression violente contre les manifestants et veilleurs. C’est l’inverse qui se produit.

Galileo Galilei, chercheur, astronome et physicien italien, trouva les lois de la chute des corps, énonça le principe deet la loi de composition des vitesses. À l’aube du XVIIe siècle il réalisa la lunette qui porte son nom et observa la rotation du Soleil. En 1633, devant le tribunal de l’Inquisition il fut obligé d’abjurer sa doctrine. « Et pourtant, elle se meut ! » aurait-il dit en désignant la Terre. Face aux dogmes, contre l’idéologie dominante, opposé au sectarisme, il avait raison.
Plus près de nous, la cupidité des groupes agro-alimentaires et l’inextinguible soif de pouvoir des mondialistes ont déclenché la crise de la « vache folle » à cause du virus de l’ESB qui transforma les bovins herbivores placides, en carnivores enragés, nourris de multiples résidus d’origine animale. Ceci au prétexte de subvenir aux besoins des consommateurs de la planète Terre et à l’encontre des lois millénaires de dame Nature, malgré les rares mises en garde des généticiens informés. La première des sources d’émanation de CO² sur la planète sont les animaux de boucherie et non pas l’automobile. Et si chaque chinois consommait un kilo de viande supplémentaire par mois, la planète deviendrait-elle irrespirable ? Lire la suite

Quelques semaines à peine après les élections municipales, le « mariage » homosexuel vient embarrasser le Front National,
Jeudi dernier, Marine Le Pen était l’invitée de David Pujadas pour l’émission « Des paroles et des actes » diffusée par France 2.
Au cours de l’émission, une séquence enregistrée montre Franck Briffaut prendre ses fonctions de nouveau maire de Villers-Cotterêts. Lorsqu’il est interrogé sur l’attitude qu’il aurait s’il était sollicité pour célébrer un « mariage » homosexuel, cet ancien militaire répond sans langue de bois qu’il ne le fera pas parce qu’il existe une « loi naturelle supérieure » à laquelle il ne dérogera pas.
Immédiatement après la diffusion de cette séquence, Marine Le Pen est interrogée par Pujadas. Selon elle, existe-t-il une loi naturelle supérieure aux lois de la République ? La présidente du FN répond qu’il s’agit-là d’une conviction personnelle de Franck Briffaut. Selon Marine Le Pen, « la loi de la République doit être appliquée même quand elle nous est désagréable ». Une réponse indigne de la présidente de la formation politique qui prétend incarner le pays réel.

Cependant, elle ajoute : « Mon but à moi est de changer cette loi si je suis élue ». Un peu facile. En gros, tant qu’elle ne siégera pas à l’Elysée et que le FN ne contrôlera pas l’Assemblée nationale et le Sénat, les élus du parti devraient docilement suivre les règles imposées par le pouvoir UMPS ?
Quelques jours plus tard, le sujet refait surface à Marseille, dans le secteur conquis par Stéphane Ravier. Interrogé par les médias quant à savoir s’il célèbrera le « mariage » de deux hommes dont les bans ont déjà été publiés, sa réponse est non. Il a une conception « jospinienne » du mariage, réplique-t-il pour désamorcer la question. Et conclut qu’il a déjà autre chose à faire ce jour-là.
Le « mariage » en question a donc été célébré vendredi après-midi par Evelyne Bettuzi, adjointe au maire, elle-aussi élue FN. Dès la sortie du duo, Evelyne Bettuzi est assaillie par des journalistes. Elle répond : « J’ai fait mon devoir et c’est normal. Je leur ai souhaité beaucoup de bonheur et je leur ai présenté mes félicitations. » Une réponse digne de l’UMPS…
Plus de 150 personnes sont venues dimanche à la Ferme de l'Epinette à Nieppe assister à la 2e journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale. Organisée d'une main de maître par Luc Pécharman et sa sympathique équipe du Nord, cette journée s'est déroulée sans incident majeur malgré les piteuses tentatives d'intimidations (menaces et graffitis signés Antifa) des valets locaux du Système.
De nombreux stands politiques (Terre et peuple, Militant, MAS, Parti de la France, Génération identitaire, Nation, NDP et Synthèse nationale...), des librairies, un service de restauration rapide et un bar où régnait une ambiance conviviale, de franche camaraderie, qui caractérise les journée de Synthèse nationale.

Cette journée fut l'occasion rêvée pour présenter à nos amis le premier numéro des Cahiers d'Histoire du nationalisme, la nouvelle publication lancée sous l'égide de Synthèse nationale. De nombreux abonnements ont été enregistrés ce qui confirme que cette revue répond à un besoin de la part des militants et sympathisants de la cause nationaliste.

Deux séries d'interventions se succédèrent au cours de l'après-midi. La première, animée par Luc Pécharman, aborda, quelques semaines avant les élections européennes, le thème de l'Europe. Robert Spieler, ancien député, fondateur de la NDP et chroniqueur apprécié de l'hebdomadaire Rivarol, et Kris Roman, responsable des relations extérieures du mouvement belge francophone Nation, intervinrent à ce moment là.
Puis ce fut la seconde série d'interventions au cours de laquelle le public écouta avec attention les discours d'Arnaud Raffard de Brienne, essayiste et collaborateur régulier de notre revue, Arnaud de Robert, porte parole du Mouvement d'action sociale, Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, Gabriele Adinolfi, Président de l'Institut Polaris, venu spécialement de Rome pour l'occasion, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, à qui il revenait de conclure cette belle journée.

Chaque année, une jeune fille est élue pour incarner Jeanne Hachette, héroïne beauvaisienne, par un jury composé du conseil d’administration des Amis des Fêtes Jeanne Hachette, de membres d'honneur, des sponsors et partenaires, des élus et de 20 personnes tirées au sort dans l’assemblée. La jeune fille élue doit avoir entre 16 et 25 ans, être célibataire et habiter le beauvaisis. Cette année, il s'agit de Sabrina Mascomere. Bravo à elle !

Le Mobilier national, établissement public dépendant du ministère de la Culture, a embauché, avec l’argent du contribuable, deux déviants sexuels notoires, connus pour leurs « œuvres » marquées par le mauvais goût et la laideur. Le portrait de la putain algérienne (Zahia Dehar) – qui comporte dans le décor des rats ou un étron humain, et est éclairé par une boule à facette – a été placé dans un salon de la Galerie des Gobelins, au milieu d’œuvres classiques et d’époque, dans une exposition intitulée « les Gobelins au Siècle des Lumières ».
Au total, 35.000 euros ont été dépensés pour insulter l’histoire de France, un prix équivalant à trois manufactures de tissage pour une institution dont le budget a été sévèrement réduit par l’État ces dernières années (-12 %).
Plusieurs dizaines de clandestins ont manifesté samedi à Paris pour exiger « des papiers ». Ces délinquants, incapables même de parler en français, ont défilé sous la protection de la police de Manuel Valls qui n’a procédé à aucune arrestation.
Quelques milliers d’extrémistes de gauche ont défilé le même jour dans la capitale, à l’appel de multiples organisations et syndicats et au bénéfice essentiel de Jean-Luc Mélenchon qui s’impose comme leader de l’extrême-gauche. La marche a été globalement un échec en terme de mobilisation comme en terme d’impact médiatique. Lire la suite

Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, sera présent à Nieppe (près de Lille) pour la 2ème journée régionale de Synthèse Nationale où il interviendra pour évoquer la dictature socialiste qui interdit aux Français de se défendre contre la colonisation migratoire (voir ici). Il y aura également un stand du Parti de la France.

Communiqué de presse
Une nouvelle fois, après l’interdiction de la manifestation intitulée « la révolte des souchiens » à Lyon en juin 2012, d’une autre à Paris en septembre de la même année, de la manifestation du Parti de la France à Amiens contre la colonisation migratoire et l’islamisation de la France le 16 novembre dernier, voici que les autorités préfectorales interdisent la manifestation organisée par le collectif Sauvons Calais visant à dénoncer l’immigration massive et l’insécurité qui en découle.
Il apparaît désormais clairement que l’engeance socialiste au pouvoir a décidé d’empêcher toute saine réaction identitaire des Français qui désirent descendre dans la rue pour protester contre l’insupportable invasion de notre Nation.
La décision du préfet Robin est totalement partisane et typique des petits kapos xénophiles de la pensée unique puisqu’il prétend que « l'objet même de la manifestation peut être perçu comme une provocation » à l’égard des clandestins et de la racaille d’extrême-gauche et que « l'expression de la violence et de la haine n'est pas une solution pour Calais » ; les clandestins, les squats crasseux, les nuisances, les agressions constituant sûrement une « violence » acceptable pour les Calaisiens selon le laquais de Monsieur Valls.
Les défenseurs de la France française n’ont pas l’intention d’abandonner les Calaisiens à leur sort et entreprendront de nouvelles actions militantes très prochainement malgré les interdictions totalitaires des rassemblements de résistance populaire et les dissolutions iniques de mouvements nationalistes par l’État socialiste.
Alexandre Gabriac, Conseiller régional, Fondateur des Jeunesses Nationalistes
Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France
Kévin Rêche, responsable de Sauvons Calais
Yvan Benedetti, Conseiller municipal de Vénissieux

Le fonds de garantie des assurances s'inquiète de la hausse constante des automobilistes qui roulent sans être assurés. Les jeunes sont les plus concernés. Le nombre de conducteurs roulant sans assurance ne cesse de progresser en France selon François Werner, directeur général du Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages (FGAO), un phénomène qui touche principalement les moins de 35 ans.
Chez les non-assurés, deux profils cohabitent, explique le FGAO : les « délinquants routiers », qui n'ont souvent pas le permis et n'ont jamais été assurés, et les « non-assurés du quotidien », des automobilistes qui « négligent » l'assurance, sciemment ou non. Parmi ces derniers, la part des conducteurs n'ayant pas payé leur prime a atteint 45 % en 2013, un phénomène qui progresse depuis la crise. Les autres motifs sont la nullité du contrat (fausse déclaration par exemple), le défaut de permis ou la suspension du contrat pour vente du véhicule. Les jeunes conducteurs, entre 18 et 35 ans, sont surreprésentés, représentant 59 % d'entre eux.
Sûrement serait-il édifiant d'avoir des statistiques ethniques (interdites en France bien sûr) sur les conducteurs roulant sans permis et sans assurance...

L’amiral De Giorgi, chef de la Marine militaire italienne s’est réjoui d’avoir « sauvé » (sic) près de 20.000 étrangers venus coloniser l’Europe via la Méditerranée et les côtes italiennes. Au total, 18.546 envahisseurs ont été récupérés en mer par les marins italiens et ramenés sur les terres d’Europe. Les arrivées sont en très nettes augmentation : alors qu’il tenait cette conférence de presse, le chef de la Marine italienne a précisé que les passagers de six bateaux étaient alors en court de récupération.
En plus de contribuer à leur propre remplacement, l’opération coûte chaque mois aux contribuables italiens neuf millions d’euros. L’argent est pris directement dans le budget de la Défense, qui a, en conséquence, totalement supprimé ses manœuvres militaires. « Mare nostrum » implique en moyenne chaque jour cinq navires et plus de 900 militaires.
L’opération encourage plus encore l’invasion, les étrangers étant désormais sûr qu’ils arriveront sains et saufs en Italie. Les arrivées ont progressé de 224 % entre 2012 et 2013 et se sont brusquement accélérées depuis janvier.

Après la répression, après la police politique, après les violences, après la dissolution, après les menaces d’invalidation de liste, le préfet socialiste du Rhône, Jean-François Carenco, s’est lancé dans une nouvelle bataille contre les nationalistes. Incapable d’empêcher les nationalistes de se présenter, il avait assisté surpris et haineux à l’élection de deux d’entre eux à la mairie de Vénissieux en mars dernier. Il veut désormais s’opposer au libre choix de la population vénissiane et empêcher Yvan Benedetti et sa colistière, élus avec plus de 10 % des voix, de siéger au conseil municipal. Il a saisi lui-même le tribunal administratif pour faire invalider leur élection.
a simplement commenté Yvan Benedetti.
Chaque matin des milliers d’enfants rendent leur petit déjeuner quelques minutes avant de rejoindre le sombre établissement scolaire qui est censé les accueillir. Ce sont des enfants sages. Leurs parents leur ont enseigné le respect envers le prochain dès leur plus jeune âge. Un papa et une maman qui sont fiers de leur petit bonhomme qui travaille bien à l’école. Le petit est conscient de l’importance de ses résultats dans sa vie affective ; il veut être digne de son nom, il veut être à la hauteur des attentes parentales, il se rend à l’école les mâchoires serrées. Il sait les souffrances qu’il va devoir endurer la journée entière, sa demi-pension compliquant encore son programme de survie. Devant son collège, une équipée de barbares l’attend, une petite horde de minables libres de leurs mouvements, disposés à pourrir l’existence de l’enfant, par jeu, gratuitement et impunément. La harde squalide est désinhibée.
L’ultra violence minorée
L’anomalie sociale préservée au nom de la tolérance envers les déchets humains. Les voyous qui font régner la terreur au détriment des plus innocents des élèves, voilà l’un des fléaux les plus massifs qui est complètement éludé par les autorités, étant donné que l’immense majorité des victimes est constituée de petits enfants blancs propres et bien français. Pour se débarrasser du problème qui est régulièrement soulevé par des parents d’élève qui ont enfin appréhendé le péril, le gouvernement avait monté l’année dernière une petite comédie burlesque à propos du harcèlement dont est effectivement victime une fraction de notre jeunesse. Mais cette petite campagne publicitaire se limitait à la dénonciation de la « culture » de l’injure et aux violences psychologiques de faible
amplitude. Les agressions et autres fustigations n’étaient bien sûr pas prises en considération, histoire de ne pas réveiller les parents encore abrutis méconnaissant la profondeur du mal. La méconnaissance d’abord d’un racket impliquant de véritables délinquants qui ne dérobent plus à la va vite des petits brimborions dans le cartable du garçonnet chétif mais des appareils coûteux et des sommes d’argent liquide de plus en plus élevée en employant une violence de plus en plustraumatisante. Le petit élève perclus de peur face aux barbares qui le dépouillent finit souvent en cible favorite pour les autres voyous adeptes de la violence gratuite et tout heureux de découvrir un morceau de chair à frapper. Les pouacres jaloux devenus allergiques à toutes frustrations, les déséquilibrés, les psychopathes en herbe que l’on laisse virevolter dans les « bahuts », les fumeurs défoncés surtout, les orgiaques d’à peine 15 ans shootés à la vidéo porno et aux ersatz de snuff movies prolifèrent dans une atmosphère caractérisée par une coprolalie toujours plus aiguë, étouffant naturellement le bon grain comme les cuscutes parasitent la luzerne. Et dire que des péronnelles de l’Educ Nat’ s’interrogent encore sur les raisons principales de la dégradation des résultats scolaires des petits Blancs en milieu urbain. Lorsque ces derniers sont bien intégrés à la faune locale de leur cité, on les retrouve souvent happés dans un processus de fourvoiement balisé par une consommation de drogue progressivement débridée. Avec ce deuxième phénomène morbide après celui de l’ultraviolence qui lui est corrélé, celui de la cannabisation des esprits, la masse innocente et en particulier les plus jeunes livrés « au public » sont soumis à des épreuves permanentes.
Drogue banalisée : L’imploration des médecins à enfin réagir !
Estimant que les mesures prises par les autorités sont insuffisantes, l'Académie de médecine demande à ce que la lutte contre la consommation de cannabis devienne une cause nationale. Il était temps ! Et il est bien tard pour s’alarmer tant la situation est effroyable comme en attestent les nombreuses études toute récentes publiées à ce sujet. Des études qui restent cependant proprement médicales, les analyses psychologiques, sociologiques et surtout anthropologiques faisant toujours sévèrement défaut à l’étude globale du sujet. En effet, nous souhaiterions savoir s’il existe une corrélation non négligeable entre la consommation régulière de haschich et la progression continue de la violence au sein des collèges et des lycées professionnels notamment. Savoir si le produit stupéfiant ne désinhibe pas encore davantage les brutes allogènes ou indigènes, connaître la propension des drogués à accepter la violence, à accepter l’invasion colorée, à se prostituer, à violer, à voler ? Ces questions semblent étrangement n’intéresser personne. Contentons-nous donc des études strictement médicales sur la consommation du poison. Et d’un nouveau chiffre indiquant que 7% des adolescents de 17 ans sont dépendants au cannabis.
À l'hôpital Robert-Debré (Paris), relate Le Figaro du 26 mars, le Pr Richard Delorme, pédopsychiatre, confirme avoir observé « une accélération de la consommation de cannabis depuis 2005-2006 à mettre en parallèle avec une baisse de la représentation de gravité de celle-ci ». Cette situation fait bondir le Pr Jean-Pierre Olié, professeur de psychiatrie (université Paris-Descartes) : «Les progrès de la connaissance ne sont absolument pas rassurants pour cette drogue encore trop souvent perçue comme récréative.»
Les raisons de se méfier du cannabis et de ses dérivés, les cannabinoïdes de synthèse, sont en effet nombreuses. « De toutes les drogues, le THC (principe actif du cannabis) est la seule à se stocker durablement dans l'organisme, en particulier dans le cerveau, explique le Pr Costentin, et les consommateurs réguliers se retrouvent en permanence sous l'influence du cannabis. » Encore une raison pour s’interroger sur un éventuel lien entre consommation cannabique et accroissement de la violence juvénile en quantité et en qualité (d’autant plus que la teneur en THC, produit actif du cannabis, est de plus en plus concentrée dans les résines fumées) ? Une substance comme le cannabis, omniprésent dans l’univers lycéen, une substance psychotrope dont la puissance augmente parallèlement à sa normalisation sociale (l’on pourrait d’ailleurs évoquer le triptyque suivant : sexe, jeux vidéo et shit comme la nouvelle trilogie de la Gueuse) et qui désinhibe les individus inhalant ladite molécule. Il faut ouvrir les yeux et observer d’une manière macroscopique les effets de cette drogue qui accentue les fantasmes et les « idéologies » de ses consommateurs : Les petits Européens élevés dans le culte de l’auto-détestation identitaire, de l’ethno-masochisme, de l’antiracisme angélique, dans le « tout tolérant » se fanatiseront dans ces nuées outrancièrement lénifiantes tandis que les allogènes cultivant un racisme anti-blanc farouche dans leur tribu postmoderne nourriront en leur sein une haine décuplée, une rage sans cadre, une violence inouïe à l’encontre des autochtones
désormais cibles de toutes les ignominies. Le produit rendra encore plus débiles les crypto-hippies, les gauchistes et les tolérants en état de constante sidération quand la faune délinquante sera, sous l’effet de la même substance, envahie par un sentiment de toute puissance. La première chose à appliquer pour, dans une certaine mesure, faire recouvrer la raison à la frange de la jeunesse blanche adulant l’Autre est de la sevrer brutalement de ce poison qui sert si bien le Système et ses dirigeants. Pour preuve cette promotion continue et monumentale du pétard qui caractérisa l’ensemble de la production cinématographique et télévisuelle durant les années 80, 90 et 2000, fictions et émissions prônant aujourd’hui l’herbe, la fumette et la défonce d’une manière davantage métaphorique (moins directe mais tout aussi efficiente), comme si les petits démons qui supervisent le gros media ne connaissaient que trop bien les effets destructeurs (en terme de santé, en terme de culture, en matière proprement politique, bref sur la civilisation occidentale) d’une herbe verte qui sert depuis trente ans à cadenasser une jeunesse sous castration chimique et sous la menace des envahisseurs. Autre chiffre inquiétant paru dans la revue scientifique Molecular psychiatry datée d’avril de cette année, un étudiant sur cinq aurait expérimenté au moins un épisode psychotique à l’occasion de l’une ou de plusieurs de leurs fumettes (partagée par 44% des étudiants…). Et l’on revient inlassablement à notre question centrale : Les étudiants abrutis adeptes de la verte plante sont-ils plus nombreux à être de fanatiques nomades que leurs homologues non contaminés ? Si les étudiants sont si nombreux à être imprégnés de poison, que penser du nombre probable des allogènes et des cas sociaux shootés à la marie-jeanne (et qui zonent un peu partout dans les lieux publics) et menés par une psychose chaque jour plus aiguë qui les rend furieusement violents ?
Des jeunes femmes transformées en serpillères
Le produit agit progressivement sur l’ensemble du corps social qui se métamorphose chaque année davantage en suivant une courbe de croissance exponentielle du rythme de sa mutation. Aussi, pour la première fois de l’histoire occidentale, non seulement nous observons une génération plus faible en logique pure que la précédente (diminution du sens logique des jeunes), mais nous avons également à supporter des hordes de jeunes blancs complètement déculturés, défoncés, antifrançais et nomades ! Quand, « en face », l’Etranger forcit, et se dope à un produit (mais ils peuvent bien en crever puisque le monde entier est en attente pour le remplacer) qui provoque l’effet inverse chez l’autochtone
sidéré… Il était un temps, pas si lointain, où la France craignait pour l’avenir de ses gosses, voyait en eux une rareté à élever, une jouvence précieuse que l’on préservait de l’Etranger, des salissures, des dangers et des humiliations. Aujourd’hui, les gardiens de l’innocence ne représentent plus qu’une minuscule minorité tentant d’éclairer de leurs lumignons tous les recoins de la société souffrant de fléaux subintrants. Pointent-ils du doigt la propagande stupéfiante que l’ « on » déroule au travers des séries télévisées regardées par des adolescents boutonneux et des enfants comme l’excrémentielle Plus belle la vie où une sorte de personnage sidaïque explique à un minet comment rouler son p’tit pétard et la brigade internationale de la décadence obligatoire se rue sur eux à l’instar du frelon sur l’abeille innocente ! Le petit joint qui n’a jamais fait de mal loué par les modernes qui dénigrent les vieux ringards misonéistes de l’ordre moral… Ô nous les comprenons ! Comme ils visent juste en promouvant l’herbe verte qui constitue un accélérateur de mort. En février dernier, une autre étude sur la consommation cannabique chez les étudiants indiquait en effet que la fréquence des avortements chez les fumeuses de shit est trois fois supérieure que celle observée chez les non consommatrices. L’on remarque également (mais ne suffit-il pas de déduire le phénomène de cette explosion abortive ?) que nombre de jeunes femmes offrent leur corps anesthésié à des individus interlopes en éludant sur le moment, lorsque leur esprit obscurci est sous l’empire de la drogue, les conséquences affectives, psychologiques et physiologiques de leurs actes. Combien de viols commis suite à l’assombrissement de cerveaux fragiles ? Combien de jeunes filles honteuses et souillées considérées comme des paillassons par une gent masculine constituée de bélîtres et de xénothèques simiesques gavés de pornographie ? Le viol sous chichon ou les souvenirs fuligineux de pauvres filles qui ne peuvent s’en prendre qu’à elles-mêmes quand l’engramme de la salissure narco-sexuelle la renvoie à une turpitude insupportable… Le Système se pourlèche devant la « gourgandinisation » des petites femelles hexagonales passant par la case avortoir après avoir été salopées par le premier venu. Avortée, le pacte signé, éhontée, la femme devient parfois hétaïre et gorgone ; nouveau suppôt dudit système, ou abattue, se sentant coupable, vomissant tardivement les cloaques, elle s’effondre, au contraire, crevant ce sybaritisme qui l’a détruite au nom d’une rédemption lui semblant dorénavant impossible. La réalité de la marijuana, nous le voyons, ne correspond aucunement aux images printanières et aux irrisions des chroniqueurs spumescents perpétrées à travers l’infernal media. La drogue vendue en permanence sous un discours elliptique incessant combinée au sexualisme débridé et à l’antiracisme d’essence cosmopolite constituant les deux éléments essentiels participant à notre décomposition.