Le parcours politique de Pierre Descaves en vidéo
Retour en images sur le parcours politique de Pierre Descaves, militant historique de la droite nationale en Picardie, décédé mercredi 7 mai. Source : France 3 Picardie
Président du Parti de la France
Retour en images sur le parcours politique de Pierre Descaves, militant historique de la droite nationale en Picardie, décédé mercredi 7 mai. Source : France 3 Picardie



L’affaire a fait beaucoup de bruit au sein de la « Communauté », mais les différents acteurs souhaitaient conserver les faits secrets. Les goys ne devaient pas être au courant : « Nous ne voulons pas que cette affaire serve à attiser l’antisémitisme et les clichés sur les juifs et l’argent » a déclaré le frère de la victime, une femme qui souhaitait divorcer religieusement. Or, dans la religion judaïque, une femme ne peut divorcer que si le mari est d’accord. Après seulement 8 mois de mariage, cette femme a demandé le divorce. L’affaire dure depuis plus de cinq ans. Le mari a refusé tout compromis, jusqu’à l’organisation d’une « audience » devant un « tribunal juif » (le « beth din »), réunissant, outre le couple et le frère, trois rabbins du « service des divorces » du « Constitoire », dont le grand rabbin de Paris, Michel Gugenheim. D’abord, ils réclament à la jeune femme 30.000 euros en liquide : « C’est le prix de sa liberté » juge Gugenheim, qui exige aussi qu’elle mente à la justice française, revienne sur ses témoignages et retire ses plaintes. Le frère feint de ne pouvoir réunir une telle somme rapidement. Un autre rabbin, Betsalel Levy, lui dit alors qu’il peut faire un chèque de 90.000 euros directement à la secte juive Loubavitch, toute puissante à Paris. Ces Juifs extrémistes ont obtenu de multiples avantages des différentes autorités nationales et locales dans la capitale, malgré leur mise en cause dans de multiples affaires.
Yossef Itshak Pevzner, un témoin du mari présent à l’audience, dirige les institutions Sinaï, qui gèrent les fonds de la secte.
« Chacun pourra toucher sa part » précise Betsalel Lévy, sans la moindre réaction de Michel Gugenheim.
La famille a alors signé le chèque, disposant en réalité de cette somme facilement. Mais habitués aux escroqueries des autorités de la « Communauté », toute la scène a été filmée par la femme et son frère. Ils ont exigé en vain peu après le remboursement de l’argent, menaçant de porter plainte pour extorsion de fonds. Des juifs « libéraux », mis au courant de l’affaire l’ont finalement porté sur la scène publique.
Michel Gugenheim est le grand rabbin de France par intérim, après la démission de Gilles Bernheim, un menteur pathologique, mythomane et faussaire, mis en cause dans d’innombrables affaires.
Le dimanche 20 avril au matin la collégiale de Dole dans le Jura était pleine à craquer. Arrive un homme vêtu d’une djellaba et d’une coiffe. Il venait, tranquillement, faire sa prière. Il a installé un tapis, à gauche de l’autel, alors que l’office (conciliaire) de Pâques était en train d’être célébré. Il a lu des versets du coran et écrit quelques lignes en arabe dans le registre paroissial. Y-a-t-il eu quelques paroissiens pour l’expulser ? Que nenni. Une équipe de la police est venue lui demander poliment d’avoir l’extrême obligeance de bien vouloir évacuer les lieux. Commentaire du sous-préfet : « Il ne faut pas créer d’amalgame ». La messe est dite… D’autant que Jean Paul II officiellement “canonisé” avait baisé le Coran en 1999 et que François a récemment incité à étudier ce même Coran, livre selon lui plein de richesses…

L’affaire avait fait grand bruit, elle est « résolue ». Les agresseurs de Wilfred et Olivier, homosexuels attaqués il y a un an à Paris, ont été condamnés mardi à 18 et 24 mois de prison ferme.
Stupeur : les dangereux catholiques intégristes et homophobes de la Manif pour tous qui, bien entendu, avaient fait le coup, s’appellent Abdelmalik et Taieb.
Encore raté.
Un an et demi de mobilisation, aucun incident majeur… Rageant, pour cette gauche morale qui guettait le faux pas à instrumentaliser pour rallier à la cause LGBT la ménagère outrée de cette violence derrière son écran de télévision.
Et pourtant, elle a essayé. Deux faits divers rendus spectaculaires auront été attribués au « climat instauré par l’extrême droite et la Manif pour tous » : l’agression dans les locaux de Libération, puis celle de ce couple homosexuel.
Résultat ? Abdelhakim Dekhar d’abord, puis Abdelmalik et Taieb. Aucune trace d’extrême droite catholique intégriste, à moins qu’elle n’ait vraiment changé… C’est incroyable, comme la réalité peut s’acharner contre la gauche.
Ils ont fait peser l’accusation de cette agression sur la LMPT pendant un an, mais personne n’aurait l’idée de s’excuser… On laisse planer le doute, au cas où. On a eu droit à la présence des deux homos à chaque happening LGBT, meeting d’Anne Hidalgo, soirée de Jean-Luc Romero pour dénoncer l’homophobie… Ils tiennent un bon fait divers, enfin, ils ne vont pas le lâcher ; y a encore PMA et GPA qui attendent…

Mais pas un mot sur les deux agresseurs. La même histoire que pour Libération : la République en danger avait soudainement retrouvé ses esprits quand elle avait appris que l’abominable nervi d’extrême droite s’appelait Abdelhakim, et que son cœur penchait plutôt à l’extrême gauche.
L’avocat de ces deux voyous déclarait à la sortie du tribunal : « Je crois que le clivage du mariage pour tous leur a complètement échappé, ils sont dans une mauvaise soirée, éméchés, dans une violence gratuite ; ces deux jeunes homos sont tombés au mauvais moment, je ne sais pas qui ils auraient agressé ce soir-là, mais je pense qu’il y aurait eu agression. »
La voilà, la vraie information ! On veut bien croire Wilfred de Bruijn quand il parle de « l’horreur qu’il a vécue » : c’est celle que subissent — soutien médiatique, politique et judiciaire en moins — des centaines de Français chaque jour. Il a été agressé, rien d’exceptionnel malheureusement.
Intéressant, d’ailleurs, de noter que, soudainement, « l’enfance difficile » du pauvre petit Malik, 19 ans, multirécidiviste, qui a grandi « entre un père algérien éboueur à Paris et des grands-parents qui le récupèrent à la mort de sa mère », semble nettement moins émouvoir toute la caste bien-pensante qui en aurait pleuré en d’autres temps.

Pas un mot, non plus, sur son compagnon d’agression, Taieb, 20 ans, condamné à sept reprises pour vol et violences… Subitement, vous remarquerez, la prison devient la solution.
Beaucoup de bruit sans l’essentiel : une agression ordinaire.
Mais même la réalité dans la figure – et c’est peu de le dire –, Wilfred continue à faire semblant de ne pas la voir et dénonce des opposants aux revendications LGBT légitimes et irréprochables.
S’il était honnête, il reconnaîtrait que, dans son malheur, il a quand même eu de la « chance »… Il y a quelques jours, une jeune fille était sauvagement violée par quatre garçons turcs et marocains, simplement parce qu’elle était française. Pour elle, comme pour les milliers de victimes quotidiennes de ces « bandes de jeunes », pas un mot…
Communiqué du Parti de la France
Carl Lang et le Parti de la France ont appris avec une grande tristesse le décès ce jour de Pierre DESCAVES.
Patriote farouche et sans concessions, homme de courage et d’engagements, Pierre DESCAVES faisait partie des membres fondateurs du Parti de la France après avoir été député national du Front National de 1986 à 1988 puis conseiller général de l’Oise et conseiller régional de Picardie.
Né en Algérie française et fier de ses racines, docteur en sciences économiques, licencié en droit, diplômé de l’Institut du droit des Affaires et expert-comptable, il combattit en 1944 et 1945 au sein de la première armée française libre.
Combattant pour la défense de l’Algérie française, il passa 6 ans dans la clandestinité après son évasion du camp de Saint Maurice l’Ardoise en février 1961. Auteur de plusieurs ouvrages de résistance nationale dénonçant la désintégration de la France, Pierre DESCAVES a été jusqu’à son dernier souffle un militant de la cause nationale et un combattant politique exemplaire.
Pierre était un grand patriote: nous sommes fiers d’avoir été de ses amis et transmettons nos condoléances attristées à sa famille et à ses proches.

La justice a enfin annulé la mise en examen de Katia, la compagne d’Esteban, onze mois après la mort de Clément Méric, décédé après avoir agressé, avec préméditation et en bande organisée, un groupe de jeunes patriotes. Quatre autres personnes restent mises en examen, dont Samuel et Esteban qui sont emprisonnés depuis onze mois et un jour.
Après le « mariage » des déviants sexuels, François Hollande a annoncé le lancement des procédures législatives pour donner le droit de vote aux étrangers.
« Il n’y a pas de majorité pour voter ce texte aujourd’hui. Il faut changer la constitution et donc une majorité des 3/5e des parlementaires. Le texte sera à nouveau proposé après les scrutins » a-t-il déclaré, dans l’espoir de récupérer une partie du vote des envahisseurs afro-maghrébins lors des élections européennes.

Par pur calcul politicien, François Hollande a annoncé hier la modification du calendrier électoral lors de l’une de ses interventions marquant le tragique second anniversaire de son arrivée au pouvoir. Alors que pendant les 24 premiers mois de son mandat la question n’a jamais été posée, il a tenté de faire croire que la modification de l’organisation administrative était devenue une urgence absolue, nécessitant le report des élections régionales et cantonales à 2016.
« Il me semble intelligent de faire des élections départementales et régionales avec le nouveau découpage »a-t-il déclaré.
Cette combine pourrait permettre de repousser une autre débâcle électorale annoncée du Parti socialiste en attendant que les conditions économiques mondiales s’améliorent.

« Tu ne seras plus ministre, tu seras commissaire européen. » Dans Petits arrangements entre amis, voilà ce que François Hollande aurait confié à Pierre Moscovici avant son départ du gouvernement. Seul problème : le ministre, éjecté de l’Économie, retrouve automatiquement son fauteuil de député du Doubs. Or, s’il veut se la couler douce à Bruxelles et empocher de confortables émoluments, il doit remettre en jeu son mandat de député.
Le poste de commissaire européen ne rentre pas, en effet, dans les conditions pour transmettre son mandat de député à son suppléant. Le hic, c’est qu’aux élections municipales, la liste sur laquelle il figurait n’a recueilli que 48,55 % des voix, battue par la droite. Quand on connaît actuellement la relation amoureuse des Français avec les socialistes, on peut facilement imaginer qu’une élection législative renverrait l’ex-ministre à sa tendre et jeune compagne. Or, avec le retour de Cécile Duflot, la majorité absolue du PS ne tient, à l’Assemblée, qu’à un siège.
Qu’à cela ne tienne, le PS a trouvé la parade ! Le gouvernement va confier à l’intéressé une mission sur l’Europe pour six mois. Comme le Code électoral prévoit qu’un député qui se voit confier par le gouvernement une mission de six mois ou plus peut transmettre définitivement son siège à son suppléant… Vous avez compris la suite !

Bien évidemment, « Mosco » jure ses grands dieux qu’il ne nage pas en pleines magouilles électoralistes mais que ce détachement n’est qu’un simple moyen de le préparer efficacement à des responsabilités européennes. Surprenant, pour notre député qui a déjà été parlementaire européen, vice-président du Parlement européen et ministre des Affaires européennes… Alors pourquoi l’obliger à refaire ses gammes alors qu’il affirme lui-même avec suffisance sa « connaissance des rouages de l’institution supranationale » ?
N’oublions pas, non plus, que ce « cher » ministre, dans tous les sens du terme, a été directement mis en cause dans l’affaire Cahuzac le 7 avril 2013 sur i>Télé par Edwy Plenel (Médiapart). Le journaliste affirmait que le premier « économiste de France » connaissait la situation illicite de son ministre délégué depuis mi-décembre 2012, et que l’enquête fiscale auprès des banques suisses sur une période restreinte, diligentée par ses soins sur Jérôme Cahuzac, n’était qu’une tentative de sauvetage comme ultime recours.
Quand les Français se mettront-ils enfin en colère ? Quand le référendum d’initiative populaire sera-t-il mis en place pour virer ces profiteurs d’un système éculé ? Quand les Français cesseront-ils de se laisser faire ?
Comme disait un journaliste suédois : « Dans mon pays, même un club de ping-pong ne voudrait pas, comme président, de vos hommes politiques ! » Pourtant, nous, on était prêt à les leur donner !
Anne Roumanoff a créé la polémique en imitant Christiane Taubira avec un accent africain dans l’émission « Vivement Dimanche ». Elle est même traitée de raciste. Certains n’ont pas hésité à évoquer un dérapage. Deux jours après le sketch, l’humoriste s’est excusée sur son compte Facebook : « Je suis désolée que certains aient vu dans l’accent approximatif que j’ai utilisé pour évoquer Christiane Taubira un acte raciste. Je suis d’accord avec vous sur un point : je ne suis effectivement pas très douée en imitation. » Elle promet par ailleurs qu’elle ne recommencera plus : « Je prends acte du climat électrique qu’il y a en France en ce moment et j’essaierai d’en tenir compte dans mes prochains sketchs mais jamais je n’enlèverai rien à ma liberté de dire et surtout de rire. » Voilà qui devrait satisfaire tous nos censeurs ! L’icône Christiane Taubira est sauvée, même s’il n’y avait rien de bien méchant.
Pourtant, il est très courant que les humoristes se moquent des politiques, de leurs accents ou bien d’accents régionaux. Personne n’y a jamais vu du racisme. Sinon il faudrait penser à interdire le métier d’humoriste !

Un homme de 28 ans et sa compagne ont été agressés dans la nuit de vendredi à samedi à la Gare du Nord à Paris par un trafiquant de drogue. Alors qu’il était menacé d’un couteau, l’homme de 28 ans, légionnaire de profession, est parvenu à retourner l’arme contre son agresseur. Le criminel, touché de deux coups, est mort après sa prise en charge par les secours. Le légionnaire a non seulement été blessé à la main, mais il a été placé en garde à vue.
Il est incarcéré et mis en examen pour violences volontaires avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Les ordres de la police de Manuel Valls se combinent avec la politique anti-française de Christiane Taubira pour réprimer les honnêtes gens et protéger les criminels en tout genre.
Dans une affaire similaire, Esteban et Samuel, deux jeunes patriotes agressés par une bande de racailles communistes, sont emprisonnés depuis bientôt 11 mois.

Au premier trimestre 2014, les faits de violence ont augmenté de 6 % par rapport au premier trimestre 2013. 8 %, même, pour les actes de violence « gratuits ».
Il n’y a pas lieu d’être surpris. Depuis 40 ans, les violences contre les personnes ne cessent d’augmenter, passant de 100.000 à 500.000 par an.
Tous les plans annoncés, toutes les lois votées ont échoué à enrayer ce phénomène. Pour une raison simple : personne ne veut en analyser l’origine. Les vraies causes, les voici : il y a de plus en plus de délinquants, de moins en moins de policiers opérationnels, et le nombre de places de prison n’a pas évolué.
Disons les choses : la délinquance n’est pas également répartie sur le territoire. Là où il y a sur-immigration, il y a sur-délinquance : d’après le SIRASCO (service statistique de la police judiciaire), les trois quarts des bandes criminelles sont étrangères ; plus de 20 % des détenus sont de nationalité étrangère ; plus de 50 % sont musulmans ; moins d’une place de prison sur trois est occupée par un Français de souche. La montée de la délinquance violente est donc la conséquence arithmétique de la poursuite de l’immigration et de son extension en provenance de nouvelles zones géographiques (les Balkans, par exemple).
Dans le même temps, les effectifs de policiers et de gendarmes sont restés stables mais leur productivité a considérablement diminué :
- dans les « zones sensibles » (y compris le centre de Paris !), les patrouilles à deux ont été remplacées par des patrouilles à 3 ou à 4, voire davantage ;
- et comme le Code pénal a triplé de volume, les procédures sont plus lourdes et plus complexes ; il faut donc davantage d’hommes pour arriver à monter les dossiers.

La construction de prisons n’a pas, non plus, suivi la croissance de la population, encore moins celle des banlieues de l’immigration. Or, si la prison n’est pas la panacée, elle a au moins un mérite incontestable : elle réduit à zéro l’activité délinquante (hors les murs, en tout cas) des détenus. Plus il y a de délinquants à l’ombre, moins il y en a dans la rue. La société multiraciale américaine survit en emprisonnant en permanence plus
de 2 millions de personnes ; dans ce que certains considèrent comme le « modèle américain », 2 % des jeunes hommes noirs sont derrière les barreaux.
À partir d’un bon diagnostic, arrêter la hausse de la délinquance violente est donc possible. Voici quelques remèdes simples :
- faire une pause législative d’abord, car « les lois inutiles affaiblissent les lois nécessaires » (Montesquieu) ;
- arrêter l’immigration ;
- engager une politique de remigration en commençant par l’expulsion des étrangers délinquants ;
- adapter le nombre de places de prison à l’évolution de la population délinquante.
La montée de la délinquance n’est pas une fatalité : il suffit de jeter cul par-dessus tête les billevesées politiquement correctes.
Communiqué du Parti de la France
Des candidats représentant le Parti de la France figurent es qualité sur les listes FORCE VIE menées par Jean-Claude Martinez dans la circonscription électorale du Sud-Ouest et Cyril Brun dans la circonscription électorale du Nord-Ouest.
Carl Lang et le Parti de la France appellent leurs militants et sympathisants à s’associer à la campagne électorale de ces deux listes afin de faire entendre aux électeurs d’autres messages que ceux des partis du système politico-médiatique qui confisquent la démocratie à leur profit et se partagent non seulement les dizaines de millions d’euros du financement public mais aussi la quasi intégralité des temps d’antenne sur les radios et télévisions nationales.
La participation du Parti de la France à ces deux listes s’inscrit dans notre volonté commune de défendre nos valeurs européennes de civilisation, le modèle familial basé sur l’union d’un homme et d’une femme, la vie selon l’ordre naturel et notre conception de la grande Europe des Patries.

Vendredi 16 mai à Amiens, Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, accueille Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, pour un dîner-débat qui aura pour thème « Pour une nécessaire synthèse nationale ».
Il sera possible lors de cette soirée de se procurer les dernières publications de la revue Synthèse Nationale.
Le menu est le suivant : Kir - Ficelle picarde - Confit de canard/Pommes de terre sautées - Pain perdu - Café et vin compris. La participation est de 25 € à régler sur place.
Renseignements et réservations : 06.09.96.44.37 ou thomasjoly60@yahoo.fr