Des commerces – sous pression ou non – qui financent le radicalisme, des enfants scolarisés en CM1/CM2 auxquels est inculquée dès le plus jeune âge la pratique du jeûne pendant le ramadan, des refus d’inscription à la cantine parce que la viande qu’on y propose n’est pas halal, rappel sur les tenues autorisées – voile, niqab… – pour les filles, même les plus jeunes, ainsi que l’autorisation, toujours pour les filles, des heures et lieux de sortie, rappel des heures de prières pour les garçons, contrôle des allées et venues dans les immeubles des quartiers, porte-à-porte pour convaincre, recruter et rappeler les « bonnes convenances » : enclave, « verrue » (parmi d’autres), située à une petite encablure de Paris, Trappes, ville PS des Yvelines, est de plus en plus, et radicalement, islamisée.
Qualifiée de « Molenbeek français », la ville de Trappes, gangrénée par l’islam radical est quasiment sous le contrôle total des barbus. Une situation qui empire. Selon une note blanche titrée « prévention de la radicalisation », le bilan, portant sur les dix-huit derniers mois, est pire que jamais.
A Trappes, comme dans d’autres villes du département, notamment Mantes-la-Jolie ou Les Mureaux, la « logique communautaire » y est « forte, diffuse et permanente ». Dans cette ville où « le prosélytisme religieux » a pris une « dimension sociale et caritative » (comme des « aides pour payer factures et loyers ») et où les « jeunes [djihadistes] de retour de Syrie sont des vecteurs déterminants » dans la radicalisation, c’est justement sur la jeunesse que le constat est le plus alarmant.
Ainsi, comme le relève la note blanche, sur 400 personnes inscrites dans les Yvelines au fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste, il apparaît que 65 % des radicalisés sont âgés de 15 à 25 ans. Parmi ces radicalisés, 35 % sont des femmes dont 45 % « ont connu des sévices à caractère sexuel – attouchements, viols ou tentatives de viol de la part d’un membre de leur famille ». Du côté des hommes, il apparaît que ceux-ci ont recours – sont incités ? – à « un usage massif du cannabis dès l’adolescence » suivi d’un « usage fréquent de neuroleptiques avant la phase de radicalisation ». A noter qu’à La Verrière, ville voisine de Trappes, on observe « le retrait des femmes musulmanes du marché du travail ». A tout cela, s’ajoute « un conflit générationnel entre les anciens et les jeunes », ces derniers n’hésitant pas à faire la leçon aux anciens allant jusqu’à les accuser de « ne pas être de bons musulmans ».
Macron veut vendre à l’Inde 12 réacteurs, dont une centrale nucléaire de 6 réacteurs du type EPR à Jaitapur, en Inde. Début 2018, 449 réacteurs sont en fonctionnement dans le monde, et 56 en construction.
Les énergies renouvelables, en France, ne survivent que parce que subventionnées d’une façon éhontée par l’usager. Le prix de vente de l’électricité issue de l’éolien terrestre est trois fois plus élevé que celui du nucléaire ; le solaire photovoltaïque peut être jusqu’à quinze fois plus cher. Quant à l’éolien en mer, il est six fois plus cher que le nucléaire.
L’éolien n’est qu’une « pompe à fric » pour escrocs avec des bénéfices scandaleux que nous payons dans le surcoût de nos factures EDF. L’État garantit, en effet, un revenu de base de huit centimes par kWh. L’éolien n’est en aucune façon un investissement écologique pour le développement du pays. Combattre les éoliennes qui polluent, avec leurs matériaux et les politiciens locaux corrompus, c’est aussi préserver la beauté et l’environnement de la France.
Les éoliennes, ainsi que les panneaux photovoltaïques, sont importés dans notre pays, ce qui accroît le déficit catastrophique de notre balance commerciale. Ce sont, de plus, des sources d’énergie intermittentes (absence de vent ou de soleil) dont la production d’électricité n’est pas stockable. Elles nécessitent donc la production d’une énergie de secours équivalente pour permettre au réseau de répondre à tout moment à la consommation, d’où (en Allemagne) les centrales de lignite polluantes dont ne parle jamais Nicolas Hulot et la nécessité de construire 4.000 kilomètres de lignes de haute tension entre l’énergie éolienne de la mer du Nord et le sud de la Bavière. Les réseaux haute tension français sont déjà construits depuis longtemps.
Si l’EPR est une folie, pourquoi les Chinois en construisent-ils ? Pourquoi les Anglais et les Indiens sont-ils très intéressés ? Flamanville, c’est une seule fois dix milliards d’euros pour produire, pendant quatre-vingts ans, avec une disponibilité de 80 %, soit un coût d’un centime par kilowattheure. Le problème des déchets est définitivement réglé à Bure.
Les énergies renouvelables, c’est, au contraire, un surcoût de dix milliards d’euros payés tous les ans par les contribuables français à partir de 2020. Là est le scandale ! En Allemagne, le surcoût est déjà de vingt-quatre milliards d’euros chaque année, et il ne cesse d’augmenter ! Mme Merkel ne s’est pas seulement « plantée » pour l’immigration, mais aussi pour son tournant énergétique (« Energiewende ») démagogique. À Fukushima, le nucléaire n’a causé aucun mort, contrairement au tsunami.
Fermer Fessenheim entraînerait une perte d’exploitation de sept milliards d’euros pour EDF. La centrale pourrait être prolongée sans problème pour une durée de soixante ans, comme sa sœur jumelle de Bear Valley, aux États-Unis. Fermer Fessenheim, c’est supprimer 2.200 emplois non délocalisables, priver les Français d’une électricité rentable et bon marché, obliger l’Alsace à importer d’Allemagne 12 térawattheures par an.
L’électronucléaire en France, c’est l’équivalent de vingt milliards d’euros d’importation de pétrole, dix fois moins de rejets de gaz à effet de serre qu’en Allemagne, une industrie pourvoyeuse d’emplois, exportatrice et de haute technologie, un prix compétitif d’énergie.
Les éruptions du soleil et les éruptions volcaniques, pas le CO2 (gaz carbonique), sont responsables des variations climatiques. L’avenir énergétique du XXIe siècle, pour la France, c’est en fait le nucléaire avec des réacteurs à neutrons rapides utilisant l’uranium 238 présent à 99,3 % dans l’uranium naturel, contrairement à l’uranium 235 présentement utilisé (0,7 %).
Pour les énergies renouvelables, comme pour le réchauffement climatique, le libre-échangisme mondialiste et l’immigration, les bobards, ça suffit ! Peuple de France, réveille-toi !
La députée afro-américaine Maxine Waters a répété robotiquement que la destitution de Trump était imminente pendant plus d’un an.
Waters a suggéré que si l’enquête du conseiller spécial Robert Mueller n’aboutit pas à une destitution, l’affaire présumée de Trump avec la star du porno « Stormy Daniels » (de son vrai nom Stephanie Clifford) l’éjectera du pouvoir.
Trump a déclaré lors d’un rassemblement en Pennsylvanie, samedi soir, que « nous devons vaincre Nancy Pelosi et Maxine Waters, une personne à très faible QI ». Le président des Etats-Unis s’est ensuite moqué d’elle en l’imitant : « On va le destituer ! ».
Waters réplique :« Je ne vais pas m’enfuir, je ne suis pas intimidée par lui, et donc il peut continuer à me traiter de tous les noms, j’en ai plein pour lui. En fait, tout le monde sait qu’il est un escroc. Il a été un escroc toute sa vie. »
Ironie du sort, Maxine, qui a été législateur pendant 41 ans, croit que l’affaire présumée de Trump avec Stormy Daniels pourrait mener à sa destitution – ce qu’aucun expert juridique n’a suggéré jusqu’à présent.Trump ne risquait d’être mis en accusation que s’il se parjurait lui-même sous serment comme Bill Clinton – quand il a menti au congrès sur l’affaire qu’il avait avec une subalterne, en tant que président.
Il convient de noter que lorsque Bill Clinton a été poursuivi en décembre 1998, Waters l’a défendu en dénonçant « des milliers de pages d’ouï-dire, d’accusations, de commérages et de bavardages téléphoniques » (NYT Oct. 9, 1998) qui, selon elle, n’ont pas permis de prouver que Clinton mentait.
Waters a ajouté : « Il est temps d’aller de l’avant. Réprimandez le président [Clinton], condamnez-le, mais passons à autre chose… Ces procédures grossièrement injustes ne feront que déchirer ce Congrès et cette nation. »
Apparemment, Maxine Waters ne se soucie que de la nation que lorsque c’est un Démocrate sur la sellette.
Je séjournais à La Réunion, notre île de l’océan Indien, lorsque Mayotte est devenue département français. C’était en 2011.
Nicolas Sarkozy songeait déjà à sa réélection et nos territoires d’outre-mer ont toujours été considérés comme d’utiles réservoirs de voix. Un petit cadeau aux ultramarins et ça permet de faire la soudure dans les urnes…
Je me souviens des discussions animées d’alors, les motifs de satisfaction et les espérances de certains me laissant pour le moins dubitative : « C’est formidable, me disait-on, au moins, comme ça, ils vont rester chez eux ! » Pauvres naïfs…
Il faut les comprendre, les Réunionnais. Ils n’en peuvent plus, de la déferlante des « Comores », comme ils les appellent ; de ces familles qui, à les en croire, raflent tous les logements sociaux et les aides qui vont avec, qui alimentent les bidonvilles autour du port et la délinquance qui, là aussi, en est le corollaire. Dans un département où le chômage dépasse les 25 %, c’est une bombe à retardement.
Il faut l’hypocrisie d’un Wauquiez pour en accuser l’actuel gouvernement, comme il l’a fait voilà dix jours, alors qu’il allait racoler, lui aussi, en vue de la législative partielle de dimanche prochain : « Mayotte est submergée par une immigration illégale qui n’est pas gérée, a-t-il dit. On ne peut plus continuer à accueillir à Mayotte autant de personnes qui viennent de l’ensemble des Comores et de toutes les îles qui sont autour. Et le devoir de la République, c’est d’abord de s’occuper des siens. De s’occuper de ses enfants, de ceux qui sont les citoyens de notre pays. »
Et avec une maternité, à Mamoudzou, qui enregistre près de 10.000 naissances par an, on en fabrique, des petits Français ! C’est ainsi que Mayotte compte la plus forte densité de population en outre-mer, avec 682 hab/km2 en 2017, contre 565 en 2012.
Le gouvernement dit alors réfléchir à un statut d’extraterritorialité pour cet établissement hospitalier, statut qui pourrait aussi concerner la Guyane. Ce serait un « hôpital où, quand on y naît, on est ensuite déclaré (pour l’état civil) soit côté français, soit côté Comores, soit côté Madagascar », a déclaré le ministre Girardin. Hélas, il y a de fortes probabilités pour que cette mesure soit déclarée inconstitutionnelle.
De son côté, Laurent Wauquiez réclame une modification de l’accès à la nationalité française, soit l’impossibilité de l’acquérir pour un enfant né de parents clandestins. C’est aussi ce que préconisait Baroin lorsqu’il était en charge de l’outre-mer sous le dernier gouvernement Chirac. Proposition faite, également, par Estrosi en 2008 sous Sarkozy. Mais Chirac n’a pas bougé, et ce qui était encore envisageable du temps où Mayotte n’était qu’une collectivité est devenu impossible dès lors que Nicolas Sarkozy en a fait un département français. Alors, avant de donner des leçons, que les ex-RPR devenus Les Républicains balayent donc devant leur porte. D’autant, cela mérite également d’être rappelé, que c’est sous le même Chirac que l’acquisition de la nationalité française est devenue automatique (sans même que la demande en soit faite) pour tout enfant né de parents étrangers et vivant sur le sol français depuis au moins cinq ans.
Autre point épineux que peu se hasardent à soulever : le régime de droit islamo-coutumier (rendu par les « cadis » – juges musulmans) de ce département. Aujourd’hui, les Mahorais peuvent en effet choisir entre « le statut de droit commun », identique à la métropole, ou bien le « statut personnel », soit un statut « dérogatoire au Code civil et à la laïcité, réservé aux musulmans originaires de Mayotte (ou éventuellement d’autres îles des Comores ou du nord-ouest de Madagascar) ». Cela permet aussi bien la répudiation des épouses que la polygamie (pourtant officiellement interdite) et gère le droit des successions comme le droit foncier.
Voilà pour « les citoyens de notre pays » chers au cœur – à moins que ce ne soit aux urnes ? – de monsieur Wauquiez.
La série événement sur la Guerre de Troie (Troy : Fall of a City) avec son budget de 16 millions de livres se transforme en gouffre financier avec seulement 1,6 millions de téléspectateur.
La série, pourtant diffusée le samedi soir en prime-time, a vu son audience s’effondrer au fil des épisode, 3,2 millions pour le premier, seulement 1,6 millions pour le 4e. En face, The Voice rassemblait le même soir trois fois plus de téléspectateurs (4,9 millions).
Le casting très multiethnique avait créé une polémique avec des acteurs d’origine africaine pour jouer le rôle de héros et dieux grecs. • David Kwaku Asamoah Gyasi dans le rôle d’Achille • Hakeem Kae-Kazim dans le rôle de Zeus
Le créateur de la série avait répondu : « Je n’ai pas de temps pour ça. C’est très désagréable. On parle d’un tout petit groupe de protestataires, très bruyants, je suis vraiment abasourdi. »
« Les forces de l’ordre pourront désormais verbaliser le harcèlement de rue », a récemment annoncé la secrétaire d’Etat aux droits des femmes. Amusant, quand on sait que souvent les forces de l’ordre arrêtent des mecs pour des violences graves et sont écœurés de constater qu’il n’iront pas en prison. Amusant, quand on se souvient qu’en décembre une policière a été lynchée au sol par une foule de racailles sans que ses collègues ne puissent faire usage de leur arme. Amusant, quand on sait le nombre de caillassages de policiers et pompiers qui restent impunis.
Les principaux responsables de l’angoisse des femmes dans la rue sont les racailles, qui ne sont pas juste machistes, mais violents physiquement. Ils cumulent les transgressions. Tout dans leur langage et attitude nous rappelle que la moindre micro-conversation peut dégénérer en agression en un instant.
Si on sursaute pour un « hé mademoiselle », ce n’est pas parce qu’on a peur d’être appelée mademoiselle. C’est parce que le type qui nous dit ça est capable de péter les plombs sur nous, de nous frapper, de nous cracher dessus et de nous coincer avec ses potes si notre réponse ne lui plaît pas.
Ceux qui traitent de putes les femmes dans la rue, ce sont ceux qui zonent, qui trafiquent, qui tabassent des mecs « pour un mauvais regard », qui sortent le couteau « pour une cigarette », qui arrachent le sac des passantes. Ce sont ceux qui mettent un point d’honneur à ne jamais se décaler d’un centimètre quand une femme essaye de passer. Ce sont ceux qui bloquent le trottoir en groupe de huit et te lâchent un « zebi » (littéralement, « ma bite » en arabe), si tu leur demandes poliment de pouvoir passer avec ta valise à roulettes. Ce sont ceux que les femmes qui racontent leur agression appellent « des jeunes », même s’ils ont quarante piges, car si elles osent les nommer autrement, elles seront illico culpabilisées, suspectées, sommées de se justifier. Ce sont eux et leurs potes. Et chacun de ces types emmerde à lui tout seul une bonne centaine de femmes par an. Ils ne se cachent même pas. Tout le monde connaît ces mecs.
Tant que des types prendront 4 mois de sursis pour un tabassage, tant qu’on relâchera des agresseurs à la moitié de leur peine, aucun politique ne pourra dire qu’il lutte sérieusement pour la sécurité des femmes.
Ces mecs-là se foutent des amendes, ils sont insolvables. Marlène Schiappa veut les envoyer faire « un stage citoyen ». Leur seule réponse sera un « J’men bats les couilles wesh », ou autre fanfaronnade du même tonneau. Un homme qui a déjà échappé à la prison après un vol avec violence, qui pendant son adolescence gloussait en voyant ses potes délinquants sortir du commissariat libres comme des papillons, pensez-vous vraiment qu’il écoutera les leçons de citoyenneté d’une intervenante associative ?
La focalisation sexuelle empêche de traiter le problème. Plus de 90 % des agresseurs sont de sexe masculin mais ce ne sont pas « les hommes » le problème. La majorité des violences aux personnes est commise par une minorité de personnes. La majorité des agressions est commise sur des hommes. C’est une minorité de déviants identifiés, impunis, qui s’en prend aux femmes et aux hommes dans l’espace public. Vous savez, les fameux « connus des services de police » qui s’en sortent comme des fleurs presque à chaque fois. Le mec qui te traite de « grosse salope » ou de « kehba » quand tu ne réponds pas à son compliment, c’est aussi le mec qui met une balayette à ton petit frère de 14 ans pour lui piquer son portable.
On pourra m’objecter que les « racailles » ne sont pas les seuls auteurs de violences sexistes ou de harcèlement. C’est vrai. Il existe par exemple une part non-négligeable de harceleurs appartenant aux classes dominantes de la société, dont l’excellente maîtrise des normes sociales leur permet justement de harceler en toute impunité, de ruiner la réputation des plaignantes, de répondre pile comme il faut aux questions des policiers, de trouver de bons avocats. Mais l’existence de harceleurs cachés ne justifie en rien que l’on ferme les yeux sur la masse de harceleurs qui étalent leur agressivité envers les femmes de manière publique, assumée et bruyante.
La diversité des profils d’agresseurs et harceleurs ne signifie pas l’absence de profils. Distinguer divers profils d’agresseurs, de modes opératoires, de lieux, c’est précisément cela qui permet d’enrayer un phénomène sous ses formes les plus diverses. En matière de harcèlement de rue, le problème, ce sont les racailles, point.
On notera au passage que la phrase « Il n’y a pas d’agresseur-type! », les féministes institutionnelles la jettent toujours au visage de la femme qui se plaint d’avoir été agressée par des racailles, jamais à celle qui dénonce des violences commises par un « dominant ». Personne ne prétend qu’il existe un seul profil d’agresseur ou de harceleur, personne. Quand on martèle à une femme qu’« il n’y a pas d’agresseur-type », c’est pour la rappeler à l’ordre, c’est parce qu’on a la trouille qu’elle parle un peu trop librement.
Une femme victime d’agression subit systématiquement des pressions féministes à ne surtout pas décrire son agresseur : au nom du « pas d’amalgame » entre une agression et une communauté, elle est sommée de faire l’amalgame entre son agresseur et 100% des hommes. Toute femme coupable d’un vilain amalgame en public sera systématiquement rappelée à l’ordre. Celles qui amalgament l’ensemble des hommes à des porcs seront en revanche applaudies.
Pour vous donner une idée du niveau d’omerta féministe auquel nous sommes rendus, le collectif « Paye ta shneck », principale plateforme de témoignages de harcèlement de rue en France, censure systématiquement les témoignages de femmes contenant des mots tels que « kehba », « wallah », « kehba » ou « zebi« . La plupart des femmes qui me contactent pour me relater leur expérience du harcèlement de rue ou d’agressions ont peur d’être socialement rejetées si je publie leur témoignage. Elles sont des dizaines, alors que Bellica est un site très récent, qui reste assez confidentiel. Au même moment, les féministes institutionnelles parlent de « libérer la parole des femmes ». Tout le monde sait qui harcèle les femmes dans la rue, mais il n’y a pas de « Me Too » pour les victimes des racailles.
Les femmes victimes sont sommées de « ne pas stigmatiser » les racailles pour « ne pas en rajouter », puisque ces messieurs font partie des « dominés » de la société. C’est oublier que les rapports de domination varient selon les échelles géographiques. Un homme « dominé » à l’échelle de la société se retrouve, de facto, « dominant », quand il coince avec ses copains une nana dans un wagon de RER pour lui faire passer un sale quart d’heure. Contrairement à ce qu’affirme le credo féministe intersectionnel, une femme « non-racisée » de la classe moyenne diplômée n’est pas « une dominante » quand elle est encerclée par 5 mecs agressifs.
Le « harcèlement de rue » est principalement commis par des racailles et on ne rendra pas les rues sûres pour les femmes tant que l’on ne s’attaquera pas au phénomène racaille. Il suffit en large part d’appliquer les lois qui existent déjà et de cesser les expérimentations pédagogiques farfelues en matière « d’aménagements de peine », perçues par les racailles comme rien d’autre que des marques de faiblesse occidentale.
Les hommes sont les cibles majoritaires d’agressions mais les femmes sont davantage confrontées aux insultes et menaces au quotidien que les hommes. Autrement dit, statistiquement, les hommes sont davantage agressés, les femmes sont davantage renvoyées à la possibilité d’une agression. Le projet de verbalisation du harcèlement de rue aura sans doute des effets aussi nuls qu’en Belgique, où seules 3 plaintes de ce type sont déposées par an. La verbalisation donne une illusion de réaction politique et sert de cache-sexe à un océan de renoncements politiques en matière de sécurité. Elle entretient un climat de suspicion générale entre les femmes et les hommes, là où précisément, c’est une affaire d’hommes autant que de femmes.
Lutter contre le harcèlement de rue passe nécessairement par la libération de la parole, le droit de décrire son agresseur sans craindre de subir les foudres du politiquement correct et par l’application réelle des peines envers les auteurs de violences, de manière à briser le sentiment d’impunité qui est la racine de leurs comportements déviants envers les femmes dans l’espace public.
En 2018, une femme harcelée dans la rue ou les transports subit un double harcèlement. Le harcèlement sur le moment, par une racaille, puis le lynchage social, dans son entourage ou sur les réseaux sociaux, si jamais elle ose décrire son agresseur un peu trop précisément.
Il est temps de mettre fin à ces menaces de mort sociale.
Le gouvernement français veut pouvoir censurer n’importe quel site internet qu’il juge non-conforme avec la ligne officiel de l’État en moins de 48 heures.
On sait désormais avec précision quel sera l’arsenal du juge saisi en urgence pour empêcher la propagation de fake news. Consultées par Le Monde et diffusées par le site Next Inpact ce mercredi 7 mars, les propositions de loi (simple et organique) « relatives à la lutte contre les fausses nouvelles » ne sont qu’à l’état de brouillon et peuvent encore être modifiées, notamment après leur passage devant le Conseil d’État.
Mesure-phare, une procédure de référé judiciaire est mise en place pour faire cesser rapidement la diffusion d’une fausse nouvelle en période électorale. Le parquet ainsi que « toute personne ayant intérêt à agir » pourra à l’avenir saisir le juge en référé (le tribunal de grande instance de Paris en aura la compétence exclusive) dès lors que « des fausses informations et de nature à altérer la sincérité du scrutin auront été diffusées en ligne, de manière massive et artificielle », notamment via le recours à des « bots » automatisés.
Une fois saisi, le procureur aura 48 heures pour trancher et pourra ordonner « le déréférencement du site, le retrait du contenu en cause ainsi que l’interdiction de sa remise en ligne, la fermeture du compte d’un utilisateur ayant contribué de manière répétée à la diffusion de ce contenu, voire le blocage d’accès du site Internet ».
Ce véritable programme de censure gouvernementale d’internet basé sur le modèle communiste chinois suscite une forte opposition.
Le Royaume-Uni, qui s’est déjà illustré par le refus d’accueillir le président américain Donald Trump, a empêché deux journalistes nord-américaines de pénétrer sur son territoire en raison de leur travail sur l’islam radical.
Brittany Pettibone, originaire des USA, a été interpellé à l’aéroport de Londres immédiatement après son arrivée par la police britannique. Elle a découvert qu’elle était l’objet d’une interdiction de territoire en raison de son intention d’interroger Tommy Robinson, un journaliste et activiste britannique connu pour sa dénonciation de l’islam radical.
Après trois jours d’incarcération, Brittany Pettibone a été expulsée du territoire et a rejoint l’Autriche où elle a pu rencontrer Tommy Robinson, lequel revenait d’un reportage en Italie pour couvrir les élections.
« C’est de la discrimination politique. Vous n'êtes pas un criminel, vous êtes un homme libre, vous marchez librement au Royaume-Uni. Tout le monde devrait pouvoir vous parler. Pourquoi ne puis-je pas entrer sur le territoire ? » a-t-elle observé lors de son interview.
Le compagnon de Brittany Pettibone, l’Autrichien Martin Sellner, a précisé que la décision avait été prise « en amont ». « Quand vous avez passé vos passeports à la douane, vous avez été signalés » observe Tommy Robinson. « Oui » confirme M. Sellner avant de préciser, « cela en dit long sur la situation au Royaume-Uni qui ouvre ses frontières à toutes sortes de gens avec l’islam radical qui grossit sur son territoire mais les ferme pour ceux qui ont des opinions divergentes ».
Peu de temps après, c’était la journaliste canadienne Lauren Southern qui était arrêtée à son arrivée à Calais avant de se voir interdire l’entrée du Royaume-Uni en raison de son travail sur l’immigration illégale et l’islam radical.
« Ils m’ont juste jetée dehors et m’ont dit au revoir » assure la journaliste.
LOSC, PSG… Je vous le dis tout de suite, je ne connais strictement rien au foot. Je n’en sais que ce que nous martèlent les médias à longueur de semaine. Comme ces longues heures d’antenne entièrement consacrées au dieu Neymar qui s’est fissuré le cinquième métatarse du pied droit et pour qui toute la planète retient son souffle. Un mec acheté 222 millions d’euros l’été dernier, qui en gagne trois par mois et dont on nous dit qu’il fait le foiridon parce que personne n’ose le remettre à sa place (celle d’employé), même si c’est le mieux payé du monde. Dont on nous dit aussi que des tractations seraient en cours avec le Real Madrid pour le revendre. On avance la somme de 400 millions d’euros. Une bagatelle.
Voilà pour les paillettes. Et puis il y a l’autre côté, moins glorieux, plutôt bière-merguez que Porsche et champagne. C’est à Lille où, samedi soir, des « supporters » en colère sont descendus sur la pelouse pour s’en prendre à leurs joueurs. C’était à l’issue de la rencontre de Ligue 1 du LOSC contre Montpellier. On avait vu déjà, à maintes reprises, des supporters se casser la gueule au milieu des tribunes, des arbitres se faire sonner les cloches ou des joueurs se castagner dans les vestiaires, mais des supporters descendre sur le terrain pour une conversation vigoureuse avec leurs stars locales, c’est, paraît-il, du jamais-vu.
Le milieu est « consterné ». « C’est la surprise, la désolation. Moi, ça me sidère », dit le patron du club. Interrogée depuis Pyeongchang où elle assiste aux Jeux paralympiques, notre ministre Laura Flessel a affirmé sa volonté de vouloir « rééduquer les supporters ».
Eh bien, voyez-vous, moi qui n’y connais rien, comme je vous l’ai dit plus haut, je me demande, du haut de mon ignorance, s’il ne faudrait pas plutôt rééduquer le monde du foot, en commençant par la tête. D’ailleurs, à bien y regarder, c’est un peu ce que dit le ministre : nous allons « réunir toutes les instances, mettre tous les acteurs autour de la table, […] travailler avec l’instance nationale de supportérisme pour remettre la sécurité au cœur du problème, le sport au cœur des instances sportives et rééduquer les acteurs, les supporters ».
Cet univers, pour ce qu’il laisse apparaître aux individus dans mon genre, est le plus pourri qui soit par le fric. On y brasse des sommes stratosphériques, on y déifie des individus gâtés jusqu’à l’os, et pour un George Weah devenu président du Liberia, combien semblent n’avoir pour autre horizon que les bagnoles, les boîtes de nuit et les call-girls ? Alors…
Alors, se dit le petit peuple des tribunes, on aimerait bien en avoir pour notre argent. Nous, les besogneux du RSA, les smicards qui nous ruinons pour acheter les billets et les maillots, qui venons match après match nous exploser la voix pour soutenir l’insoutenable, on voudrait juste un peu de retour sur investissement. Du beau jeu, au moins, si ce n’est du succès, de quoi espérer, rêver peut-être…
On me dira que le tapage autour d’un Neymar n’a rien à voir avec ça, que l’ombre du dieu brésilien parti se faire opérer aux frais de la Sécu française ne plane pas jusqu’à Lille. Pas si sûr. Et le communiqué du club des supporters du LOSC me conforte dans cette analyse :
« Ces événements sont la suite logique et inexorable du flou financier entourant le club et de l’investissement personnel irrégulier ou inexistant de la majorité des joueurs. L’action de samedi est une réaction de contestation, excessive sur certains aspects, mais sincère et spontanée. Après tout le soutien, sûrement trop long, dont les joueurs et la direction ont bénéficié ils méritaient amplement de se faire secouer. »
On a transformé ce sport en un commerce mafieux, il ne faut alors pas s’étonner s’il en adopte les règles.
Carl Lang, Président du Parti de la France, est l'invité de Guillaume de Thieulloy dans son émission « Terres de mission » sur TV Libertés. Il aborde l'islamisation de notre pays, la laïcité, la dimension spirituelle de son engagement politique et la polémique sur la Jeanne d'Arc métisse à Orléans.
•« Délit d’outrage sexiste »… Les forces de l’ordre, incapables de faire respecter la loi dans les zones de non-droit ou d’interdire les prières de rue auront désormais une autre mission que la chasse au petit automobiliste des zones rurales et que de perquisitionner les domiciles des Patriotes. Ils devront désormais traquer les propos sexistes afin de dresser des amendes. Et ce n’est pas gagné…
• Le porte-parole du gouvernement a confirmé mercredi que la limitation de la vitesse à 80 km/h serait bien appliquée le 1er juillet, malgré la protestation des élus locaux, la non-pertinence des études expériences déjà réalisées dans d’autres pays européens et les nombreuses objections de bon sens, soulevées par les associations de défense des automobilistes.
• La France est devenue un nain économique et l’Europe de Bruxelles ne sert à rien. Les déboires lamentables de Dassault Industries en Égypte ou le rachat de Mercedes par le premier groupe industriel chinois le confirment : il n’y a de contraintes que pour les artisans et les industriels européens. Pour les autres, c’est Open Bar !…
• C’est fait. Les fermiers sud-africains blancs seront expropriés de leurs terres après un vote écrasant au Parlement de Pretoria. La Constitution du pays est désormais susceptible d’être amendée pour permettre la confiscation sans compensation des terres appartenant aux Blancs… l’instigateur de ce vol raciste, Julius Malema, a cependant déclaré qu’il n’appelait pas au massacre des Blancs – du moins pour l’instant…
Et pour finir, l’actualité du Parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement.
C’est le bouquet ! Selon les sources, les 350 à 600 migrants du Calaisis – malgré le énième démantèlement de la jungle en octobre 2016 – qui, c’est ce qu’on nous a dit, ont souffert mille morts, et de la faim en particulier, durant leur fuite de pays en guerre, ne veulent pas manger les repas distribués par l’État. Pourquoi ? Pas à leur goût, pas assez épicés, contraires à leur religion ? Pour le savoir, revenons un peu en arrière.
Étape numéro 1 : le 23 février, le Premier ministre Édouard Philippe annonçait que l’État – comme s’il ne subventionnait déjà pas les associations en place – allait prendre en charge le coût des repas destinés aux migrants. L’objectif étant « d’essayer d’éviter que se reconstituent des situations qui ne sont pas satisfaisantes et essayer de trouver des solutions durables », avait-il expliqué. À savoir empêcher la création de nouveaux camps, encouragée quand ce sont les associations d’aide aux migrants qui s’occupent précisément des repas. Bon.
Étape numéro 2 : ça se présente mal. Le 5 mars, l’association L’Auberge des migrants (pour Le Huffington Post) liste différents inconvénients inhérents à cette décision. Pas assez de points d’eau, changement dans les repas et leurs horaires – un petit déjeuner avec fromage à la place d’un second vrai repas par jour conjugué au fait que les migrants ont tant d’obligations auxquelles ils ne peuvent se soustraire – et la distance à parcourir pour aller se restaurer. Et nous qui pensions ces grands gaillards en pleine forme après avoir traversé tant de contrées, les voilà fatigués d’avance par… quatre kilomètres à pied, juste le temps qu’il faut pour se mettre en appétit !
Étape numéro 3 : stupeur ! Le 6 mars, il n’y a quasiment pas un migrant affamé à venir prendre ses repas ! Cette fois, c’est la présence des « grillages et de la police » qui leur coupe l’appétit. « C’est la prison, nous ne sommes pas des criminels, quand les associations nous donnaient à manger, il n’y avait pas de policiers », se plaint Mohammed. Les grillages ? Installés « à l’initiative » d’un propriétaire privé – qui a aimablement mis à disposition son terrain – pour, justement, sécuriser les migrants en train de manger… La présence de la police ? Indigne, s’offusquent neuf associations. Non, mais, c’est vrai, quoi, vous vous verriez, vous, casser la croûte sous le regard des flics ? Le résultat ? Pas question de prendre les repas gratuits, « on se débrouille entre nous », dit Jakson. On se vraiment demande pourquoi l’État se décarcasse…
Étape numéro 4 : grandiose ! Le food-truck flambant neuf, fier de son énorme logo « Préfet du Pas-de-Calais », stationné pourtant tout près de l’ancienne jungle, peut aller se rhabiller et les salariés de La Vie active avec : ils se tournent les pouces toute la journée, pas un migrant ou presque ne pointe le bout son nez, incommodés, cette fois, par la présence… des journalistes du Monde, selon l’association.
Sauf que la réalité est encore ailleurs : une bonne part des Érythréens, Éthiopiens et Afghans du Calaisis, comme Oromo arrivé il y a quatre mois, excluent tout bonnement d’accepter… « des dons d’un ennemi qui nous pourchasse » !
Étape numéro 5 : alors, dans sa grande mansuétude, afin que ces clandestins cessent de prendre en charge eux-mêmes leurs repas et ne souffrent pas de stress, sous-préfecture et associations ont décidé, dans un premier temps, pour gagner leur confiance – très important, d’obtenir la confiance -, le retrait des barbelés et une présence policière plus discrète, lit-on dans Le Monde.
À quand la sous-préfète en soubrette pour prendre les commandes de ces messieurs ?
Dans une circonscription ancrée à gauche depuis Neandertal, le résultat du candidat de la droite nationale non-reniée, Guy Jovelin, n'est pas à la hauteur des espérances du Parti de la France (0,97 %). Toutefois, notre candidat a mené une très bonne campagne de terrain dans cette circonscription difficile où le vote à gauche est quasi-génétique et avec l'habituel boycott médiatique dont le PdF est victime depuis sa création.
A noter : la baisse de 4 points de la candidate FN par rapport à juin 2017 (11 % au lieu de 15) devancée par le candidat de Mélenchon (13 %), le score famélique du candidat des Républicains (4,94 %) et l'ensemble des candidats de gauche et d'extrême-gauche qui totalisent plus de 80 % des suffrages exprimés ! (Résultats complets)
Au 2e tour, seront opposés un candidat socialiste et un candidat macroniste...
Partout où il le peut, le Parti de la France entend continuer à présenter des candidats afin de diffuser un message de résistance nationale, identitaire et civilisationnel aux électeurs les plus lucides qui ne se retrouvent plus dans les partis politiques du Système.
Communiqué de Guy Jovelin
Pour ce 1er tour de l’élection législative partielle dans la 8ème circonscription de la Haute-Garonne, je ne m’attendais pas à des miracles.
Ancré à gauche depuis des générations, le Comminges ne m’a pas permis de passer la barre des 1% (0,97%).
Néanmoins, le Parti de la France a réussi à se faire connaître, tant par nos affiches que par notre présence sur les marchés, notamment celui de St. Gaudens.
Ma profession de foi reçue par plus de 80.000 personnes, les commingeoises et commingeois ont pu découvrir l’existence de la « droite nationale populaire et sociale » représentée par le PdF de Carl Lang.
Parti de rien dans ce département marqué par une gauche omniprésente, le PdF avance doucement mais sûrement depuis 2014.
Le découragement n’est pas dans mes habitudes. Je ne perds pas confiance et avec mes camarades de combat, nous feront tout pour défendre nos idées.
Je tiens à remercier les personnes qui m’ont encouragé et accompagné lors de ce scrutin, tout d’abord les électeurs qui m’ont fait confiance, mon suppléant Franck Pech, mon mandataire financier Jean-Gabriel Roussel.
Sans oublier le super militant Joachim Mixture qui sillonna la circonscription sur sa moto transformée en moto-collage. Il fut pour moi d’une aide très précieuse.
Le Parti de la France continuera son implantation dans cette région quoi qu’il arrive.
J’appelle tous les patriotes, tous les déçus des partis du système à rejoindre nos rangs, et de former ensemble ce chemin de résistance qui nous amènera à la victoire.
Un musulman, âgé de 26 ans, a été placé d’office à l’hôpital psychiatrique Edouard-Toulouse après avoir commis des actes de cruauté envers son chien, un staffordshire, rapporte La Provence.
L’individu a expliqué aux enquêteurs qu’il souhaitait purifier le logement de sa famille. Selon lui, l’Islam interdit la présence des chiens dans un foyer.
L’individu se serait rendu samedi dernier au domicile de la famille, qui réside dans la cité afro-musulmane de La Castellane, dans le 16e arrondissement de Marseille.
Sans explication, il l’aurait pris le chien, un staffordshire. Puis il l’aurait pendu, égorgé et finalement brûlé. Le corps de la bête a été retrouvé dans un terrain vague.
Alors que le Front national et sa présidente Marine Le Pen évoquaient depuis des semaines le Congrès de Lille qui s'est tenu ces 10 et 11 mars, ainsi que le changement de nom du parti, la nouvelle appellation qui a été choisie... n'est pas disponible.
En effet, immédiatement après la proposition de la candidate vaincue de la dernière présidentielle de rebaptiser le FN en "Rassemblement national", il est apparu que le nom avait déjà été déposé auprès de l'Institut national de la propriété intellectuelle. Et via un communiqué diffusé sur Twitter ce dimanche, le propriétaire du nom a expliqué qu'il ne comptait absolument pas le céder au Front national.
Il s'agit d'Igor Kurek, un gaulliste et ancien proche de Charles Pasqua, désormais à la tête d'un mouvement souverainiste, le "Rassemblement pour la France", mais aussi donc d'un "Rassemblement national". Et comme l'explique très clairement le communiqué publié par le compte Twitter aux 300 abonnés du "RN" (dont Marine Le Pen), le Front ne pourra pas utiliser son nouveau nom.
Comme le relate L'Opinion, ce Rassemblement national d'Igor Kurek est une association loi de 1901, enregistrée dans les règles à la préfecture de Paris et qui a donc déjà présenté des candidats à des élections. Le journal précise aussi que le nom et son logo ont été déposés au nom de Kurek en 2013... principalement pour nuire à Florian Philippot, alors numéro 2 du FN.
Et le RN ne se prive d'ailleurs pas d'ironiser sur cette situation ubuesque: "Le rassemblement national de l'amateurisme de la première opposante auto-proclamée", débute effectivement le texte. Pas sûr que le FN apprécie l'ironie de la situation.