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Le blog politique de Thomas JOLY

Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !

17 Novembre 2018, 19:32pm

Publié par Thomas Joly

Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !
Les militants du Parti de la France étaient avec les gilets jaunes samedi 17 novembre !

Un peu partout en France, les militants du Parti de la France ont participé à la grande mobilisation populaire des « gilets jaunes ». Ce sont principalement des Gaulois de la classe ouvrière et de la classe dite moyenne qui ont voulu se faire entendre ce samedi 17 novembre. Parce qu'ils n'en peuvent plus de voir leur pouvoir d'achat se réduire sans cesse par des impôts, des taxes, des amendes devenues insupportables, sachant que nos gouvernants accueillent aux frais des Français un flot ininterrompu de parasites sociaux venus du monde entier, migrants clandestins en tête.

Le Parti de la France s'engage à être de toutes les mobilisations face aux élites qui ont pour objectif de faire disparaître notre civilisation et de remplacer son peuple.

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Carl Lang à nos gouvernants qui ne comprennent pas la colère des gilets jaunes : « ON EN A MARRE !!! »

16 Novembre 2018, 07:36am

Publié par Thomas Joly

Le Président du Parti de la France, a réaffirmé sur Twitter son soutien à la mobilisation des gilets jaunes samedi 17 novembre.

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Les services de renseignement ont fiché les initiateurs du mouvement des « gilets jaunes »

16 Novembre 2018, 07:26am

Publié par Thomas Joly

La journée du 17 novembre s’annonce tendue pour le gouvernement avec de nombreux blocages prévus dans toute la France. Alors que les Français ne décolèrent pas après la hausse du prix des carburants, certains appellent à se rassembler en tant que « gilets jaunes » et, selon les informations de RTL, huit initiateurs de ce mouvement ont été identifiés par les renseignements.

Dans une note qu’a pu se procurer la radio, les services de renseignement dressent le profil de ces personnes, cinq hommes et trois femmes âgés de 27 à 35 ans résidant en Ile-de-France. Pourquoi s’intéresser à ces « gilets jaunes » en particulier ? Parce qu’ils sont les premiers à avoir lancé des appels au blocage sur Facebook, précise RTL. 

Leur profil n’a pas de quoi inquiéter les autorités, qui soulignent qu’ils sont plutôt neutres, sans engagement militant et sans proximité avec des groupes à risque. Ces huit personnes seraient réunies par une passion des rassemblements automobiles et elles seraient devenues amies sur Facebook bien avant le mouvement des « gilets jaunes ».

Toujours selon les services de renseignement, 1 500 actions devraient avoir lieu dans l’Hexagone samedi 17 novembre alors qu’une centaine seulement ont été déclarées auprès des autorités. Elles pourraient se concentrer sur les autoroutes avec des opérations de « péages gratuits », ajoute RTL. La portée de ces appels au blocage reste une surprise pour les services de renseignement, qui pourront en prendre la mesure le jour-même.

Source : http://valeursactuelles.com

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À la demande générale de deux admiratrices, François Hollande annonce son retour

16 Novembre 2018, 07:12am

Publié par Thomas Joly

Je vais revenir. Cette fois-ci, le doute n’est plus permis. François Hollande l’a confié à une admiratrice lors d’une séance de dédicace à la foire du livre de Brive. La pauvre femme lance à l’ex-Président : « On vous regrette beaucoup. » Dans ses yeux, toute la détresse du sado-maso en manque de coups de bâton.

« Moi aussi, je vous regrette beaucoup », répond l’écrivain. T’as de beaux yeux, tu sais… Mais l’heure n’est pas à la gaudriole. Alors qu’une autre suicidaire demande s’il est bien « retiré de la vie politique intégralement », après un bref regard caméra façon Certains l’aiment chaud, l’ex le plus célèbre de France répond à mi-voix : « Non, je vais revenir. » Waouh ! C’est une explosion de joie sur le stand, des paillettes tombent du plafond, la dame qui regrette s’évanouit de bonheur, une queue-leu-leu s’organise. La liesse est indescriptible.

Il va revenir. La tuile menaçait. Depuis plusieurs semaines, François Hollande se demandait comment annoncer la terrible nouvelle. Au Café des sports de Tulle ? Au rayon crèmerie du Franprix de Bezons ? En première partie de la tournée Âge tendre ? Non. La foire du livre de Brive était l’occasion rêvée. Entouré de rescapés du « changement, c’est maintenant », il allait dévoiler le pot aux roses. La France avait besoin qu’on lui règle son compte définitivement. Il était l’homme de la situation. Voilà, c’était dit ; restait l’action.

Revenir par la porte, par la fenêtre ou à l’improviste lors d’un cocktail à l’Élysée ? Un coup d’État mondain. Pourquoi pas ? Profiter d’une absence de Macron et aller s’installer derrière le bureau. « Françaises, Français, c’est François Hollande qui vous parle. J’ai chassé l’usurpateur. Vous rêviez de mon retour, me voici. »

Mais, d’abord, s’occuper de Ségolène qui fait un retour médiatique insupportable. La doubler par la gauche, puis se rabattre, la ridiculiser. 2022 est dans la ligne de mire, le premier arrivé se présente et remporte la mise. À moins de l’épouser d’ici là. La belle peut se contenter d’un poste de première dame. À réfléchir…

Ne soyons pas goguenard. François Hollande est un valeureux combattant. Celui qui part au front avec un pistolet à eau mérite encouragements. « Allez, vas-y, fais-toi plaisir. » À la faveur d’une Nafissatou, d’un Benalla, sur un malentendu, le bougre peut rafler le jackpot. Dans la logique du « tout sauf la diabolique extrême droite », un âne peut être élu au premier tour. Un bébé phoque, une quiche lorraine… Alors, pourquoi pas un soufflé corrézien ?

Il reste quelques pans de mur encore debout, de rares secteurs qui ont survécu on ne sait pas comment. L’homme du PS disparu a les capacités de tout anéantir définitivement. De finir le travail. L’électeur serait fou de laisser filer pareille aubaine.

Jany Leroy

Source : http://bvoltaire.fr

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Le Venezuela, le pays potentiellement le plus riche du continent où la population meurt de faim

16 Novembre 2018, 06:59am

Publié par Thomas Joly

Le dernier rapport du 7 novembre 2018 « Panorama de la sécurité alimentaire et nutritionnelle en Amérique latine et dans les Caraïbes » de la FAO (Food and Agriculture Organization), une institution spécialisée des Nations unies, est tout simplement accablant pour la gouvernance de Nicolás Maduro. Un constat atterrant pour ce pays aux ressources pétrolières qui sont, selon l’OPEP, parmi les plus importantes du monde, ce qui en fait potentiellement un des pays les plus riches de cette région du monde.

Il vient confirmer, malheureusement, ce que tous les observateurs indépendants constatent depuis plusieurs années : une dégradation continue, année après année, des conditions d’approvisionnement alimentaire et, concomitamment, le développement de la faim parmi la frange la plus vulnérable de la population. L’an dernier, le 17 décembre 2017, le New York Times avait déjà déclenché une polémique en publiant un reportage choc au terme d’une enquête sur le terrain de plus de cinq mois sur la détérioration des conditions sanitaires : malnutrition sévère, mortalité infantile en augmentation, pénurie de médicaments, y compris dans les services pédiatriques…

Les chiffres communiqués par le rapport de la FAO ne viennent que conforter cette triste réalité. Depuis 2014 (Nicolás Maduro a été élu président en avril 2013), le Venezuela a connu la plus forte progression régionale de personnes sous-alimentées : plus de 600.000 personnes, en l’espace de quatre ans ! Avec 11,7 % de sa population, soit 3,7 millions de personnes, en situation de sous-alimentation, le Venezuela fait partie, avec le Mexique (4,8 millions, 3,8 % de sa population) et avec Haïti (5 millions, 45,7 % de sa population), des pays qui comptent le plus grand nombre de personnes sous-alimentées de la région avec, régulièrement, dans les rues de Caracas, des scènes qui dépassent l’entendement, comme celle des centaines d’adultes comme d’enfants qui fouillent désespérément les dépôts d’ordures à la recherche de nourriture.

La chute des cours du pétrole et les décisions économiques inconséquentes de Maduro dès le début de son mandat en privilégiant les circuits étatiques, le tout importé, en confiant la gestion économique à l’armée, avec ses corollaires de corruption et de pots de vins, ont entraîné l’effondrement historique de l’économie vénézuélienne, avec une contraction de plus de 42 % du PIB entre 2014 et 2018, et une inflation à six chiffres en 2018 !

Le rapport de la FAO sera, sans nul doute, un élément supplémentaire d’analyse sur la situation au Venezuela lors de la réunion, fin novembre, à Buenos Aires, du G20. Avec, en filigrane, une question de plus en plus essentielle : que faut-il faire pour sauver ce pays du chaos ?

Jean-Marie Beuzelin

Source : http://bvoltaire.fr

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Grosse offensive de la presse d'État pour inciter les « gilets jaunes » à rester chez eux le 17

15 Novembre 2018, 07:52am

Publié par Thomas Joly

Sans surprise, Emmanuel Macron et son gouvernement font jouer leurs relations dans les grands organes de presse pour diffuser de fausses informations destinées à casser la mobilisation des « gilets jaunes » samedi 17 novembre.

Sans aucune preuve concrète, les médias assènent que de nombreux « gilets jaunes » sont effrayés par les menaces de sanction du Ministre de l'intérieur et vont rester chez eux. Par exemple : Europe 1, Ouest-France, actu.fr, etc.

D'autres relayent complaisamment les menaces de sanctions encourues complétement disproportionnées : Sud-Ouest, France Info, L'Express, Le Parisien, etc.

Cette presse totalement soumise au pouvoir en place démontre une nouvelle fois sa servilité à l'égard du pouvoir en place au point d'en devenir son porte-parole. Seulement les Français ne sont plus dupes...

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Macron inaugure le TGV marocain financé à 50 % avec l'argent des contribuables français

15 Novembre 2018, 07:41am

Publié par Thomas Joly

Ce 15 novembre, le président Emmanuel Macron est au Maroc pour participer à la cérémonie d’inauguration du TGV reliant Tanger à Casablanca au côté du roi Mohammed VI. En effet, cette ligne de TGV marocaine est cofinancée par la France !

Emmanuel Macron accompagne le souverain marocain dans le premier voyage à bord de ce train rapide sur le tronçon Tanger-Rabat.

L’Élysée parle d’« un projet phare de la relation bilatérale entre la France et le Maroc ».

Les dirigeants d’Alstom, du consortium Ansaldo-Ineo Cegelec, du consortium Colas Rail-Egis Rail et de la SNCF, entreprises françaises ayant participé à la réalisation de cette Ligne à grande vitesse (LGV), accompagneront le chef de l’État français dans son voyage.

Ce projet franco-marocain avait été lancé en septembre 2011 par le président Nicolas Sarkozy et inspecté en septembre 2015 par François Hollande.  Il s’agira de la LGV la plus rapide d’Afrique.

Il reste à préciser que ce projet a coûté environ 23 milliards de dirhams (2 milliards d’euros) et a été financé à 50 % par la France. Selon l’AFP, le coût de réalisation a été revu à la hausse de 15 % par rapport aux estimations initiales, tout en restant en dessous des coûts moyens européens, selon le ministère marocain des Transports.

Source : http://medias-presse.info

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Taxe sur la viande : le projet se précise

15 Novembre 2018, 07:37am

Publié par Thomas Joly

Voici que refait surface l’idée d’une taxe sur la viande, poussée par une étude affirmant qu’elle pourrait éviter 220.000 morts par an. Marco Springmann, de l’université d’Oxford, estime que manger de la viande rouge induit des coûts intenables en soins de santé, coûts supportés par la collectivité. Le chercheur s’empresse néanmoins d’ajouter : « Personne ne veut que les gouvernements disent aux gens ce qu’ils doivent et ne doivent pas manger. »

Mais… Imposer une taxe sur un produit vise, dans l’esprit des experts, à diminuer sa consommation. Même si l’efficacité des taxes comportementales laisse à désirer quel que soit le produit imposé (qu’on pense au flop des accises sur l’alcool, augmentées par le gouvernement belge), l’idée trotte chaque jour davantage dans l’esprit des décideurs. Quitte à développer le marché parallèle ou à faire baisser la qualité par le jeu fort compréhensible de l’offre et de la demande. Et au détriment de la santé des consommateurs.

Cela fait plusieurs années que la viande est dans le collimateur des gouvernements. Un bien facilement taxable, dont la consommation est en constante augmentation, constitue en effet une cible de choix pour accroître les revenus des États.

Mais comme la mesure est impopulaire, il fallait d’autres arguments pour la justifier. C’est ici qu’interviennent les associations militantes. Provéganes, antispécistes, amies de la planète… À coup d’études culpabilisantes, elles parviennent à infléchir une grande partie de l’opinion publique. Leurs actions violentes (contre les boucheries, notamment) font les délices des médias. Mais elles pèsent aussi de plus en plus financièrement et politiquement, à l’image de FAIRR (Farm Animal Investment Risk and Return), groupe soutenu par de puissants investisseurs. En outre, un peu partout dans le monde, des militants de la cause animale se font élire pour peser sur le débat public. L’idée d’une taxe sur la viande fait son chemin en Suède, au Danemark et en Allemagne. Le principal argument invoqué est la protection de la planète — de ses sols et de ses forêts.

Comme à chaque fois qu’elle est polluée par le débat politique, la science sort perdante. L’homme est un omnivore. Tenter de le priver de ressources indispensables à sa santé, au nom d’une idéologie ou d’intérêts financiers, prend des allures de comportement criminel.

Que dit la médecine ? L’intuition du cardiologue Blake Donaldson, en 1919, a été validée par la recherche moderne. Gary Taubes l’écrit dans son best-seller Fat, pourquoi on grossit (2011) : « Nos gènes ont bel et bien été façonnés par les 2,5 millions d’années au cours desquelles nos ancêtres ont vécu comme chasseurs-cueilleurs avant l’avènement de l’agriculture il y a de cela 12.000 ans seulement. »

Une étude menée sur 229 populations de chasseurs-cueilleurs conclut que les graisses animales (viande, poisson, volaille) constituaient l’essentiel de l’alimentation de nos ancêtres du paléolithique. Les « aliment de base d’un régime sain », ajoute Taubes.

Il n’existe à l’heure actuelle aucun substitut valable aux protéines animales, essentielles à notre corps. Diminuer — par une taxe ou par un génocide bovin — la consommation de ces protéines, c’est se priver à terme de lait infantile. Et donc de l’Humanité.

Des milliers de sportifs de haut niveau se nourrissent aujourd’hui de protéines animales et de graisses saturées. Taxer la viande, c’est en freiner l’accès aux populations les plus défavorisées, qui ont justement besoin de s’alimenter plus sainement. Cette mesure irait à l’encontre des intérêts de la vaste majorité de la population mondiale. Celle qui continue à se développer.

Sur Twitter, la Secrétaire britannique au Trésor a rejeté d’une main cette proposition de taxe, en la qualifiant de « connerie » (claptrap) et en ajoutant que le bacon contribuait à son bien-être.

Source : https://www.contrepoints.org/2018/11/10/329890-taxe-sur-la-viande-le-projet-se-precise?utm_source=dlvr.it&utm_medium=SOCIAL&utm_campaign=Facebook-automation&fbclid=IwAR2qsWkhUYvZY2MiCr5WvYERWdrVQDRaFd3BY2uTTruRcbAFSbtl6dMrs4E

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Après nos vieilles voitures, ils s’en prennent à nos chaudières !

15 Novembre 2018, 07:17am

Publié par Thomas Joly

La supercherie est claire : ce que les contrôles techniques pipés n’ont pas réussi à virer du parc automobile, Macron et Philippe entendent le faire sous couvert d’écologie. Le Premier ministre annonce une soudaine surprime de 4.000 € pour que les smicards puissent s'acheter une voiture non-polluante, sachant que, par exemple, une Renault ZOE 100 % électrique neuve coûte au minimum 25.000 €... Si ce n'est pas se foutre de la gueule du monde...

C’est encore le même Édouard Philippe qui a décidé de vous faire changer vos chaudières à fioul. Ce qui n’est pas sans rappeler l’incitation à passer aux chaudières à gaz quelques années avant le grand coup de bambou de l’envolée du tarif. Les tarifs réglementés du gaz ne cessent d’augmenter. Ils augmenteront de 5,8 % (hors taxe) au 1er novembre, faisant suite à une hausse de 3,25 % en septembre. Depuis le début de 2018, l’augmentation dépasse 16 %.

Source : http://ripostelaique.com

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Pas de couple homo dans « Scènes de ménages » : on ne peut pas rire de ces gens-là !

15 Novembre 2018, 07:13am

Publié par Thomas Joly

Depuis 2009 que la série est diffusée à 20h sur M6, toute la France, ou presque, connaît Scènes de ménages. Elle a ses héros préférés : en tête, paraît-il, les deux affreux retraités, Raymond et Huguette, génies de la vacherie mesquine, suivis par Liliane et José, pas trop futés, puis les « poussins » Cédric et Marion, le couple mixte ; derrière eux, les « chatons » et leur fille Chloé, Fabien et Emma, citadins ayant fait le retour à la terre ; enfin, depuis la saison 7, Philippe et Camille, le pharmacien quinqua bedonnant et sa jeune compagne.

Tout cela fait le bonheur de quelques millions de Français à l’heure du dîner, cette caricature souvent réjouissante des travers humains et de la vie conjugale renvoyant chacun (et surtout le voisin…) à ses propres travers.

L’important, me semble-t-il, est justement de ne pas y attacher d’importance. Oui, mais voilà, notre pays est malade de son sérieux, surtout dans les fictions. Nous n’avons pas notre pareil pour encombrer les écrans de drames sociaux, d’injustices larmoyantes, de flics dépressifs, de patrons salauds, de pères abusifs – on en passe, et de plus sordides. Et, donc, le devenir de la série et de ses protagonistes agite la France des réseaux sociaux…

Le couple Audrey Lamy et Loup-Denis Elion (Cédric et Marion) ayant décidé de quitter la série pour se consacrer à leurs carrières respectives, deux jeunes ont fait leur entrée : le couple Léo et Leslie, qui devraient être bientôt suivis de nouveaux arrivants : un couple de quinquas « proches de la retraite », dit le producteur de l’émission. Et c’est là, imaginez-vous, que le bât blesse, car si l’on ne connaît pas grand-chose sur ces nouveaux personnages, on sait, en revanche, qu’ils seront encore « blancs et hétérosexuels ». Et ça, voyez-vous, c’est très grave.

Le producteur Alain Kappauf s’en excuse auprès de TV Mag : « Je sais qu’il y a un peu de forcing sociétal pour avoir un couple homosexuel dans Scènes de ménages. Mais je déteste qu’on me force la main », dit-il. Et d’ajouter : « On s’est simplement dit qu’avec un couple homosexuel, il n’y avait pas d’aspérités spécifiques dans ce qu’on cherche. » Euh… pardon ? Vous dites ? C’est au sujet de quoi t’est-ce ?

« Pas d’aspérités spécifiques dans ce qu’on cherche » ? Est-ce à dire qu’il n’y aurait pas de scènes de ménage chez les homos, que ces gens-là filent l’amour parfait tous les jours de la semaine et les nuits itou ? Qu’ils n’ont aucun problème de boulot, de voisinage, de copinage ?

C’est Liliane, la comédienne Valérie Karsenti, qui approche sans doute la vérité dans l’interview qu’elle accorde à 20 Minutes : « Il n’y a pas de blocage, ni du côté de la chaîne, ni du côté de la prod », assure-t-elle. Introduire un couple d’homos dans la série, « j’espère que ça viendra car ce serait représentatif de notre société. À travers la comédie, on pourrait apporter beaucoup de choses. » Et alors ? Alors, il y a un hic : « Après, ce serait tellement dommage d’avoir un couple homo et de faire rire de cette homosexualité. »

Vous avez compris : Scènes de ménages est une série humoristique. Or, on ne rit pas des homosexuels. C’est streng verboten ! On peut faire passer le maire pour le dernier des crétins qui jongle avec les fonds publics, le prof pour un couard larmoyant, le pharmacien pour un gros kéké du Sentier, voire déguiser Michael Youn en prêtre pour marier les « poussins », mais faire rire des homos, ça, sûrement pas !

Ainsi va la France en 2018…

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Prix du carburant : l’angoisse qui se cache derrière la version officielle

14 Novembre 2018, 07:48am

Publié par Thomas Joly

Officiellement, les tarifs du carburant augmentent sous l’effet de la TICPE pour freiner la consommation d’énergie fossile. En regardant les chiffres de près, on comprend que la raison est inverse ! Et que la rigidité gouvernementale est beaucoup plus commandée par une situation budgétaire explosive que par des préoccupations écologiques. Voici la démonstration en chiffres.

On se propose ici de mener un exercice de fact-checking, comme disent un peu prétentieusement les journalistes, pour comprendre la situation de blocage qui se profile à l’horizon du gouvernement. Prévenons d’emblée le lecteur : l’ensemble n’est compréhensible que si et seulement si on se préoccupe de la réalité fiscale globale en France. Pour le cas qui nous occupe, l’exercice balaiera la situation à grands traits depuis 2011, c’est-à-dire depuis le départ de Nicolas Sarkozy jusqu’à l’arrivée d’Emmanuel Macron.

Le mythe gouvernemental de la préoccupation écologique

Officiellement, la politique de hausse de la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) s’explique par un engagement écologique du gouvernement. Si on veut vraiment lutter contre le réchauffement climatique, il faut réduire notre consommation de carburants routiers.

On retrouvera ci-dessus l’appel à la morale et au sacrifice lancé par le Premier ministre Édouard Philippe.

Face à une telle argumentation digne d’un prêtre janséniste, aucun Français ne peut rester totalement insensible. Et c’est particulièrement vrai dans la upper middle class urbanisée qui a massivement voté Macron en 2017, habituée aux transports en commun et aux trottinettes électriques : comment défendre la planète en prenant sa voiture tous les jours pour aller travailler ? L’argument fait mouche chez tous les défenseurs d’un développement soutenable, durable, et autres thèmes à la mode.

Le problème vient de l’examen des chiffres, qui rendent difficile le maintien de l’argumentation officielle.

La consommation de carburant routier en forte baisse depuis 18 mois

On n’entrera pas ici dans une guerre de chiffres et dans des distinctions sans fin sur les statistiques. Pour comprendre la suite, on notera simplement qu’il existe deux unités de mesure pour savoir si la consommation de carburant augmente ou diminue. L’une d’elles consiste à calculer la consommation de produits pétroliers au sens large (qui inclut le fioul de chauffage, soumis à la TICPE), l’autre limite le calcul au seul carburant routier. Ces nuances expliquent qu’il est parfois difficile de s’y retrouver dans les chiffres.

Toujours est-il que l’Union Français des Industries Pétrolières (UFIP), qui défend les intérêts du secteur, a publié ce communiqué particulièrement éloquent le 16 octobre 2018, comme pour ruiner par une anticipation magique le propos de l’exécutif :

Sur une année mobile, indique le communiqué, c’est-à-dire de septembre 2017 à septembre 2018, « la consommation française de carburants a atteint 50,40 millions de mètres cubes, en baisse de 1,7 % par rapport à la consommation des douze mois mobiles précédents ». Ce chiffre de 50 millions de mètres cubes consommés annuellement est au demeurant en stagnation globale depuis 2010.

En réalité, la consommation de carburant routier par habitant ne cesse de baisser en France depuis 2010 : on ne consomme pas plus de carburant routier aujourd’hui qu’il y a dix ans, mais avec davantage d’habitants.

Et, depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir, la consommation a diminué de plus de 10 %.

La taxe augmente parce que la consommation de carburant baisse !

Il faut comprendre ici qu’Édouard Philippe ne lance pas un appel à la fibre écologique tapie en chacun de nous parce qu’il trouve qu’on consomme trop de carburant. Il lance au contraire cet appel parce qu’il trouve qu’on n’en consomme pas assez. La taxe n’augmente pas parce que la consommation augmente, mais parce qu’elle décline ! Et comme elle décline, les recettes de l’impôt sont fragilisées et font défaut au budget de l’État.

Pour l’illustrer, voici un petit rappel de la situation budgétaire au 30 septembre 2018, tel qu’il est présenté par le « mensuel » du budget de l’État publié début novembre :

On le voit, au 30 septembre 2018, la taxe sur les carburants a rapporté dans l’année moins de 9 milliards d’euros. Fiscalement, c’est mieux qu’en 2017, où le produit était tombé à 7,5 milliards sur les 9 premiers mois de l’année. Mais ce chiffre était de 10,5 milliards d’euros en septembre 2011 ! En 2016, il était monté à 11,5 milliards d’euros !

Ce petit graphique donne une mesure du produit de la TICPE dans les caisses de l’État au 30 septembre de l’année depuis 2011 :

Comme on le voit, les recettes apportées par la TICPE depuis 2011 se situent sur une tendance baissière. Durant tout le quinquennat de François Hollande, elles oscillaient, au 30 septembre de l’année, entre 9,6 et 10 milliards d’euros. En 2017, le produit est tombé à 7,5 milliards au 30 septembre. Il est certes remonté de 1,4 milliard en un an, mais il reste inférieur d’un milliard à ce qu’il était sous le précédent quinquennat.

On notera avec intérêt que les hausses prévues pour 2019 (notamment avec la suppression du taux réduit pour le diesel non-routier, qui touchera les groupes électrogènes et les paysans) visent à augmenter le produit de la taxe de… 4 milliards. Soit un bond en avant significatif, loin devant les chiffres réels de la taxe aujourd’hui.

Pour mémoire, en 2017, la TICPE à l’année avait rapporté à peine plus de 11 milliards d’euros, soit près de 3 milliards de moins que sous François Hollande.

Première conclusion : l’État ment, l’État a besoin d’argent

De ces prémisses, on retirera une première idée claire : si l’État désirait seulement réduire la consommation de carburant, il ne recourrait pas à une hausse de la TICPE pour y arriver. Le carburant routier est en effet en « chute libre » depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir. Nul besoin d’une hausse des taxes pour y parvenir, et surtout nul besoin de s’y cramponner pour l’obtenir. Même sans hausse de la taxe, la consommation diminue.

En revanche, pour des raisons qui ne sont pas encore clairement expliquées, son produit a baissé et le budget de l’État (on va le voir) en souffre fortement. Ainsi, pour 2018, la TICPE devait, selon le budget initial, rapporter 13,6 milliards. Elle en rapportera péniblement 13,3. La baisse de la consommation n’y est pas pour rien.

En 2019, elle devrait rapporter 17 milliards, soit une ponction sur les particuliers de près de 4 milliards d’euros, pour une consommation moindre. La ponction à prévoir est en revanche très douloureuse. Mais redisons-le : plus la consommation baissera, moins la taxe rapportera. C’est son paradoxe existentiel.

En attendant, la vraie raison de la hausse de la taxe n’est pas écologique (puisque l’objectif est atteint sans hausse de taxe). Elle est budgétaire.

Les séismes fiscaux de l’État depuis 2011

Pour mieux comprendre la situation compliquée de l’État aujourd’hui, il faut lire attentivement le graphique qui suit :

Ce tableau récapitule les sommes entrées dans les caisses de l’État au 30 septembre de l’année au titre de 4 impôts majeurs : l’impôt sur les sociétés (IS), la taxe intérieure sur le carburant (TICPE), la TVA et l’impôt sur le revenu (IR). Il faut garder à l’esprit que ces chiffres regroupent environ 80 % des recettes de l’État. Mais, en 2011, les recettes nettes totales de l’État au 30 septembre était de 193 milliards d’euros. Elles avoisinent aujourd’hui les 220 milliards, soit près de 15 % de hausse de pression fiscale en 7 ans.

Surtout, si on lit bien, on s’aperçoit que l’impôt sur les sociétés apportait près de 27 milliards en 2011, soit l’équivalent d’un quart de la TVA. En 2018, la contribution de l’impôt sur les sociétés est tombée à 15 milliards, alors que la TVA a grimpé à plus de 115 milliards, soit un effort deux fois plus important pour les consommateurs que pour les entreprises en 7 ans d’intervalle.

On ajoutera que les recettes de l’impôt sur le revenu ont pratiqué augmenté de 50 % sur la même période.

Autrement dit, la part des entreprises à l’effort budgétaire global s’est effondrée de plus de 10 milliards d’euros (et ce avant les baisses massives d’impôt sur les sociétés), quand celle des ménages battait des records sur tous les fronts : plus 20 milliards de TVA, plus 17 milliards d’impôt sur le revenu.

Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre l’origine de la grogne des Français…

Le très inquiétant effondrement de l’impôt sur les sociétés

Face à la véritable implosion de l’impôt sur les sociétés, on s’inquiétera du silence et de la passivité officielle sur le sujet. Là encore, rappelons que cet impôt qui avait rapporté jusqu’à 47 milliards en année pleine en 2013 (sous la folie fiscale hollandaise), en a rapporté moins de 36 en 2017. En 2018, son produit a encore baissé de près de 20 %.

Or les baisses de taux massives annoncées sur cet impôt ne sont pas encore entrées en vigueur. À ce stade, elles n’ont guère touché que les très petites entreprises.

Elles demeurent par ailleurs marginales quant aux taux.

Le problème est donc ailleurs. On ne sait pas bien très bien où. Il serait intéressant que Bercy produise une analyse claire sur le sujet, car il est systémique, majeur, capital. Suffisamment capital pour que l’omerta officielle règne sur le sujet.

La spectaculaire explosion du déficit primaire de l’État sous Emmanuel Macron

Le tableau ci-dessous est peut-être le seul à retenir de cette démonstration pas à pas, car il synthétise la difficulté particulière dans laquelle se trouve aujourd’hui l’exécutif.

La ligne rouge indique les dépenses de l’État au 30 septembre de chaque année depuis 2011. Elle montre clairement qu’avec une somme proche de 250 milliards, l’État n’a historiquement jamais autant dépensé en France qu’avec Emmanuel Macron. 2017 est de toute évidence une année de dérapage des dépenses. Emmanuel Macron, président des fonctionnaires, soigne son carré de fidèles et leur évite les sacrifices qu’il impose au reste de la population.

Dans le même temps, les recettes de l’État fléchissent de façon inquiétante et sans qu’une explication claire ne se dégage. D’où la rigidité du gouvernement face à la hausse des prix du carburant : il ne peut reculer sans dégrader encore un peu plus une situation difficile.

À titre anecdotique, et par une politique fiscale agressive, François Hollande avait réduit à 8 milliards au 30 septembre 2014 le différentiel entre les recettes fiscales nettes et les dépenses de l’État. Avec Emmanuel Macron, ce différentiel a explosé à 26 milliards… Autrement dit, 10 % des dépenses courantes de l’État ne sont pas couvertes par des recettes fiscales. C’est un peu plus que le 3 % de Maastricht.

Vers des difficultés politiques majeures ?

Assez rapidement, Emmanuel Macron devra réagir pour rétablir la barre des comptes publics, qui se dégradent structurellement à vue d’oeil. On peut évidemment multiplier les mesures ponctuelles ou d’affichage pour dire que tout va bien… la réalité chiffrée (et par des chiffres officiels) prouve tout le contraire.

Face à lui, Emmanuel Macron a deux solutions, non exclusives l’une de l’autre : tailler rapidement dans les dépenses publiques ou augmenter les impôts. On mesure à la réaction des « gilets jaunes » la difficulté de la deuxième option dans un pays lourdement ponctionné depuis 2011. On a mesuré à l’occasion de l’affaire Benalla la capacité de nuisance d’une grande administration régalienne comme la police lorsqu’elle est poussée dans ses retranchements.

Bon courage, Monsieur Macron.

Source : http://contrepoints.org

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Mobilisation des gilets jaunes le 17 novembre : le gouvernement brandit la menace du retrait de permis

14 Novembre 2018, 07:34am

Publié par Thomas Joly

"On ne peut pas évidemment laisser s'installer un blocage de notre réseau routier voire du réseau ferroviaire", a déclaré ce mercredi matin François de Rugy sur CNews à propos de la journée de blocage annoncée  ce samedi 17 novembre par les "gilets jaunes".

"Entraver la circulation, bloquer la circulation, cela peut donner lieu à des retraits de permis", a poursuivi  le ministre de la Transition écologique et solidaire, "qu'ils manifestent et qu'ils expriment leur mécontentement ou leurs revendications à travers des manifestations à pied, ou en voiture d'ailleurs, mais sans bloquer".

De son côté, le Premier ministre Edouard Philippe, invité de RTL, a également annoncé que les blocages seraient sanctionnés. "Je respecte cette colère", a-t-il déclaré, "en France, on a le droit de manifester mais de manière organisée, il faut prendre ses responsabilités. J'ai le souci de la sécurité des Français".

Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/mouvement-gilets-jaunes-francois-rugy-brandit-menace-du-retrait-permis-1574540.html?fbclid=IwAR3qk4MVfkjQ81pdgsi62QRrc0R8bEGARLz6yyqsPlIDbK5gm5r3H3Lcd4s

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Trump : la grande peur des bien-pensants

14 Novembre 2018, 07:21am

Publié par Thomas Joly

Les drapeaux roses du boboland planétaire sont en berne : aux États-Unis, contrairement à l'attente du marigot bien pensant, les démocrates ne l'ont emporté qu'avec peine à la Chambre des représentants tandis que Donald Trump confortait ses positions au Sénat.

Les progressistes, emmenés par la très clintonienne (et tout aussi répulsive) Nancy Pelosi, aboieront, japperont, mordilleront mais il n'y aura ni blocage législatif au Congrès ni procédure d'impeachment. Donald Trump reste maître du jeu.

Comment, au demeurant, aurait-il pu en être autrement dans un pays qui affiche un taux de chômage à 3,7 %, une croissance à 3 %, une hausse des salaires de 2,9 % en un an et une baisse des impôts de 8 % ?  Comment en serait-il autrement dans un pays réel à qui le Président a rendu sa fierté et sa conscience de lui-même ?

Le Parti de la France ne cherche de modèles dans aucun État étranger. Il sait qu'une Nation n'a ni amis ni « relations spéciales » mais des alliés et des partenaires. Paris n'est pas Washington et Washington n'est pas Paris. Trump n'est donc pas notre ami au sens affectif, sentimental et moral d'un terme que les relations internationales n'ont pas à connaître. La guerre commerciale qu'il a lancée et ses « oukases » envers les sociétés susceptibles de commercer avec l'Iran nécessiteraient une réponse française et européenne déterminée si la France était la France et si l'Europe de la puissance existait.

Partisans d'une construction continentale forte, identitaire, politique, économique, stratégique, militaire et civilisationnelle, en proximité de projets et d’intérêts avec la Russie, nous ne nous félicitons pourtant pas moins de voir entamé par Donald Trump l'unanimisme multilatéraliste du concert mondial et nous réjouissons de la déconfiture de ses adversaires qui sont aussi les nôtres.

Au moment où l’extrême gauche supposée française, une fois de plus alliée avec l'intelligentsia autoproclamée, entend manifester contre Trump (qualifié par le JDD de « déstabilisateur » et de « menace ») présent à Paris pour la commémoration du 11 novembre 1918 (mais pas pour le « forum pour la paix » qui suivra, initié par Macron selon le rite nouveau et accepté de l'angélisme universel), le Parti de la France salue celui qui a su dire à son peuple : « Make America great again ».

Avec le regret de ne pas encore pouvoir appliquer ce slogan à notre France d'abord. Cela viendra !

Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaires

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La France n'est responsable que de 0,9 % des émissions de CO2 dans le monde

14 Novembre 2018, 07:06am

Publié par Thomas Joly

La France est l'un des pays industrialisés qui rejette le moins de CO2 dans l'atmosphère comme le démontre le tableau ci-dessous. C'est pourtant sous ce prétexte que nos gouvernants culpabilisent les Français et surtaxent de manière délirante le diesel...

 

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13 novembre 2015 - 13 novembre 2018 : 3 ans pour rien

14 Novembre 2018, 07:01am

Publié par Thomas Joly

Alors que nous sommes désormais trois ans jour pour jour après les terribles attaques islamistes de 2015, qui ont coûté la vie à 130 personnes à Paris, force est de constater qu’aucune mesure sérieuse n’a été prise par les dirigeants pour éviter qu’un tel drame se produise à nouveau.

Les filières de trafic d’êtres humains qui permettent de faire venir des islamistes dans le flot de pseudo-réfugiés sont toujours actives.

L’immigration légale et les naturalisations de familles musulmanes continuent au jour le jour à faire progresser l’islamisation de la société, il n’y a qu’à voir ces cérémonies de remises de nationalité française absolument ubuesques où les préfets donnent leur document de naturalisation à des femmes enturbannées parlant à peine français.

Le Président de la République, de son côté, est obsédé par « les années 30 » et préfère se concentrer sur la lutte contre les nationalistes plutôt que sur la lutte contre les salafistes, opérant une diversion qui ressemble à s’y méprendre à de la collusion avec les fous d’Allah.

La seule façon de se débarrasser de l’islamisme et des menaces d’attentats, c’est d’arrêter l’immigration, d’inverser les flux migratoires et notamment d’expulser tous ceux qui ont prêté allégeance à l’islamisme international.

Source : http://pdf14.com

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