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Le blog politique de Thomas JOLY

« Le Coronavirus démontre l'incapacité effrayante de la France à faire face à la moindre crise »

5 Mars 2020, 07:42am

Publié par Thomas Joly

 

 

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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°575

5 Mars 2020, 07:31am

Publié par Thomas Joly

Jean-Marie Le Pen est interrogé sur le Coronavirus, le chantage migratoire de la Turquie, le 49-3 utilisé pour faire passer en force la réforme des retraites, les élections municipales, la cérémonie des Césars, ses conseils de lecture.

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Coronavirus : une nouvelle grippe espagnole ?

5 Mars 2020, 07:23am

Publié par Thomas Joly

Les mesures prises ou à prendre sont-elles légitimes ? Pour les voyageurs qui reviennent de zones à risque (Asie), l’arrivée sur le sol français est étonnante. Pas de contrôle, par exemple à Roissy, une simple affichette. Le contraste est frappant avec les pays d’origine. Aux aéroports, aux hôpitaux, chaque personne est questionnée, voire sa température testée. Le masque est omniprésent.

Les raisons invoquées par les autorités sanitaires françaises sont-elles pertinentes ? Pas d’affolement des populations semble être la stratégie du gouvernement. Après tout, la grippe commune ou les canicules ne font-elles ou n’ont-elles pas fait beaucoup plus de morts ? Et est-ce que les pays comme la Chine ou le Japon n’en font pas trop ? La France serait-elle tombée dans la paranoïa ou la peur panique de masse ?

Petit retour en arrière : et si on comparait le Covid-19 au H1N1 de 1918 (grippe dite espagnole, bien qu’elle ait commencée aux États-Unis) ?

Si l’on en croit les historiens, cette épidémie aurait fait au moins 50 millions de morts dans le monde, soit 2,5 à 5 % de la population mondiale, et ce, en un temps très limité (environ deux mois dans chaque pays). Elle était caractérisée par une très courte incubation (deux ou trois jours), une très grande contagiosité (entre 1,5 et 3,5) et une issue fatale dans 2 à 4 % des cas. Au total, cette grippe espagnole, par ses complications pulmonaires, a été 20 fois plus mortelle qu’une simple grippe de l’époque. Il est estimé qu’un tiers de la population mondiale fut touché. La France connut 408.000 décès (avec une population d’environ moitié de l’actuelle). Ce n’est pas rien.

Il est à noter que cette pandémie commença par une dissémination générale de plusieurs mois avant d’exploser dans la population.

Doit-on extrapoler ? Impossible, à l’heure actuelle, de le dire. Notons seulement que les données fournies par la Chine peuvent donner le tournis : un taux de mortalité autour de 2 %. À ce rythme, et si un tiers de la population chinoise était touché, le Covid-19 pourrait faire 8 millions de morts ! On comprend mieux les mesures drastiques de confinement prises par le gouvernement chinois.

Et pour la France ?

Les résultats sont là. Cette politique, ou plutôt cette incurie (le refus du confinement et du contrôle aux frontières) au départ, fait que notre pays est, après l’Italie, le pays le plus atteint par la pandémie en Europe.

Faut-il s’en inquiéter ?

Qu’on ne s’y trompe pas. On vient de le voir, le Covid-19 est beaucoup plus dangereux que la grippe commune. La mortalité est évaluée entre 1 % et un peu plus de 3 %, selon un article de Sciences et Avenir. On est dans la fourchette de la grippe espagnole. À titre de comparaison, la grippe commune a, chez nous, un taux de létalité de 0,5 %, voire beaucoup moins. Ce n’est donc pas pour rien que le petit peuple d’en bas s’émeut. Les salariés des salons, des musées, des stades, des parcs d’exposition, ont fait fermer les entrées ou ajourné événements littéraires ou sportifs. Les maires, les personnels des écoles et même des hôpitaux prennent peur.

Pendant ce temps, les gens d’en haut, c’est-à-dire nos dirigeants, s’affolent, mais pas pour les mêmes raisons : cette pandémie non seulement va peser sur l’économie mais peut-être remettre en cause toute leur stratégie et celle de leurs sponsors. Car la doxa des partisans de la mondialisation est mise à mal. La libre circulation des personnes et des biens qui leur tient d’idéologie s’effondre devant les réalités. C’est bien de s’être désindustrialisé, essentiellement au profit des pays d’Asie, et de bénéficier de produits à bas prix dans les rayons des supermarchés, mais quid de nos capacités à produire rapidement médicaments, masques et appareils médicaux pour faire face à cette pandémie ? La suppression des frontières, qui facilite l’immigration sauvage, est aussi une autoroute pour les virus et les maladies de toute sorte.

Quant aux écologistes, ils ont perdu leur boussole.

C’est donc le modèle de civilisation imposé aux peuples depuis des décennies qui est remis en cause. Gageons que nos gouvernants, qui en sont les exécutants, ne sont pas à l’aise. D’où leurs hésitations et leur gêne.

Bérenger de Montmuel

Source : http://bvoltaire.fr

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SNCF, RATP : les Blancs sont-ils plus souvent contrôlés que les autres ?

5 Mars 2020, 07:12am

Publié par Thomas Joly

Toute personne qui utilise le train, le métro ou le bus a souvent pu remarquer l'impunité dont bénéficient fréquemment les allogènes de la part des contrôleurs et l'intransigeance pointilleuse de ceux-ci avec les Français de souche.

Cette discrimination au contrôle de billet s'explique par deux raisons :

  • Tout d'abord la trouille des contrôleurs de se faire agresser par des racailles et de se faire traiter de racistes (totem d'immunité brandi systématiquement par les allogènes dès qu'ils sont pris la main dans le sac).
  • Ensuite, l'insolvabilité et la réticence des extra-européens à donner leur véritable identité rend le recouvrement des amendes très hasardeux ; alors que les Français de souche constituent de « bons clients » qui raquent sans trop broncher.

Résistance républicaine lance un appel à témoins, en voici deux :

« Ça m’est arrivé une fois, et c’était en 2005, j’étais vert. Tout le RER rempli de racailles de banlieues se vide d’un coup à Gare de Lyon ou Châtelet car ils se barrent en courant à la vue d’une équipe de contrôleurs qui monte dans le train. Nous n’avons pu faire poinçonner nos tickets car toutes les machines étaient en panne dans la gare de banlieue où nous sommes montés. Mais nous avons les tickets, la facture montrant l’heure et le lieu où nous avons acheté les tickets. Amende. Et les 2356 autres qui se sont barrés en courant sous votre nez et qui n’avaient pas de tickets ? Ce n’est pas votre problème, monsieur. Je ne vous raconte pas mes rêves et ce que je fais au contrôleur dans mes rêves. » Julien Martel

« Hier, contrôle de billets dans le TER, 2 pakis, 5 Noirs, aucun billet, aucune amende, impunité totale. Par contre, le contrôleur a mis 90€ d’amende à un pauvre gamin blanc de 20 ans qui lui a proposé de régler en espèces mais comme il manquait 4€, il lui a collé l’amende. J’avais zéro euro sur moi, sinon je lui aurais donné au jeune. Je suis allé voir ce connard pour lui demander une explication. Il m’a répondu qu’il n’avait pas à se justifier. J’étais très énervé. Ces connards de Blancs collabos sont insupportables. » Greg

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« Le kéké de la République » rhabillé pour l’hiver par son propre frère

4 Mars 2020, 19:07pm

Publié par Thomas Joly

Le titre Le Kéké de la République est sans doute l’élément le plus sulfureux du livre consacré à . Sa vie, son œuvre, ses bars, ses parties de poker avec des malfrats du sud de la France avaient déjà fait l’objet de nombreux articles et commentaires. Outre cet épisode Tony Montana de Manosque, l’homme serait très soucieux de sa communication et de son image… « Ah je ris de me voir si beau en ce journal. » Formé aux techniques médiatiques par Laurent Fontaine, du tandem Bataille et Fontaine. Une référence en matière de rideau. « Y a que la vérité qui compte », l’émission tarte à la crème des années 2000, allait voir l’un de ses animateurs se reconvertir en gourou médiatique du futur ministre de l’Intérieur.

Fortement marqué par le personnage de Franck Dubosc dans Camping, Christophe Castaner arborait une chaîne en or autour du cou. Bien que celle-ci fût dépourvue de médaille indiquant les nom et adresse de l’intéressé, le professionnel de la communication conseilla d’abandonner cet accessoire quelque peu voyant. « Jamais sans ma chaîne ! » rétorqua le campeur. Le précieux bijou figure toujours en bonne place, mais dissimulé derrière cravates et chemises à col roulé. Kéké un jour, kéké toujours.

À défaut d’autorité sur la maison policière, le ministre aurait acheté sa légitimité à coups de primes distribuées avant même d’être demandées. « Pendant la période gilet jaune, il a fait notre boulot de syndicalistes. On n’avait pas besoin de monter au créneau. Il était là ! » a déclaré Frédéric Lagache (Alliance police nationale) aux auteurs de l’ouvrage, Jérémy Marot et Pauline Théveniaud.

L’affaire de la soirée en discothèque, où le ministre avait été photographié tendrement enlacé par une jeune fille, donne l’occasion à son frère, Serge Castaner, d’apporter la touche rustique à cette biographie de moins en moins autorisée : « Si tu n’es pas capable de te douter qu’il y avait 25 portables autour de toi, c’est que tu as dépassé les limites et que tu n’es plus capable de te protéger. » Et puis ne tournons pas autour du pot : « Soit il faut être ivre mort, soit con comme un âne. Mon frère ne boit pas. »

Laurent Fontaine l’avait bien dit : « Y a que la vérité qui compte. »

Jany Leroy

Source : http://bvoltaire.fr

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La vermine antifa tente de perturber le meeting de la candidate du camp national à Nantes

4 Mars 2020, 14:46pm

Publié par Thomas Joly

Éléonore Revel, candidate du RN à Nantes, également soutenue par le Parti de la France, tenait meeting hier 3 mars dans le cadre de sa campagne pour les élections municipales.

Une cinquantaine de pouilleux d'extrême-gauche, aréopage d'antifas et de cégétistes, ont tenté d'agresser les participants et ont reçu une bonne correction de la part du service d'ordre (compte-rendu complet sur le site Breizh Info).

La courageuse candidate n'entend pas se laisser faire et a annoncé son intention de déposer plainte.

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Municipales : le Parti de la France soutient Julien Guibert à Clamecy (58)

3 Mars 2020, 07:41am

Publié par Thomas Joly

Natif de Clamecy dans la Nièvre, Julien Guibert, cadre commercial de 35 ans, mène une liste soutenue par le Rassemblement National afin de mettre fin à des décennies de gestion de gauche de la commune.

S'engageant à rétablir la sécurité et l'attractivité économique, touristique et culturelle de la commune, Julien Guibert mène une active campagne de terrain avec ses colistiers.

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Qui est Aïssa Maïga ? La militante tapie derrière l’actrice

3 Mars 2020, 07:08am

Publié par Thomas Joly

Vendredi dernier, plus de deux millions de spectateurs ont pu prêter l’oreille à l’homélie antiraciste de Maïga. Son prêche, loin d’avoir fait l’unanimité, a plutôt semé la discorde au sein des derniers fidèles de la cérémonie des Césars. Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes ont exprimé le "malaise" qu’ils avaient ressenti en visionnant ce discours décousu et parfois même incompréhensible. A défaut d’être original, le fond de son propos était certes à peu près clair : les minorités ne vont « pas laisser le cinéma français tranquille ». En revanche, certaines subtilités de son allocution ont pu laisser les téléspectateurs pantois, notamment lorsque l’actrice s’est essayée à l’humour, en couronnant Vincent Cassel premier « renoi du cinéma français ».

Une égérie antiraciste 

Outre les débats sur cette nouvelle polémique, la soirée fut également l’occasion pour beaucoup de simplement découvrir la comédienne. Qui est donc Aïssa Maïga, l’égérie autoproclamée de l’antiracisme au cinéma ?

Les premiers pas politiques d’Aïssa sont à retracer dans un ouvrage collectif publié en 2018, intitulé Noire n’est pas mon métier. Dans ce livre, 16 actrices d’origine africaine racontent des anecdotes issues de leurs vies professionnelles et dénoncent les discriminations dont elles ont été victimes dans le milieu du cinéma. Cet ouvrage, repris par Quentin Delcourt dans le documentaire Pygmalionnes, peut se lire comme un manifeste féministe intersectionnel qui ne dit pas son nom. L’année de sa publication, les 16 auteurs feront les unes du monde entier en dansant sur les marches du Festival de Cannes, puis lanceront leur collectif politique, Diaspora, dont Aïssa sera la présidente. Le militantisme de Maïga ne s’arrête pas là. La comédienne est également présidente du collectif 50/50, célèbre pour ses chartes de l’inclusion, de la parité et de la diversité, (toutes rédigées en écriture inclusive, cela va de soi). Ce groupe affichant ostensiblement son idéologie féministe et antiraciste, souhaite imposer une parité absolue et des quotas ethniques dans tous les domaines de l’industrie du cinéma :

« En signant la Charte [Pour l’inclusion], les signataires s’engagent, au travers d’actions concrètes à tous les stades de la production cinématographique et audiovisuelle, à favoriser la diversité de la société française dans toutes ses différences, ses richesses, ses composantes culturelles, ethniques, géographiques et sociales, pour l’égalité des chances et la parité entre les hommes et les femmes. »

Porosité avec l'idéologie LGBT et le parti des Indigènes de la République

En dehors du cadre de l’industrie cinématographique, cette association semble également acquise à la cause des mouvements LGBT. Sur Twitter, le compte du collectif 50/50 a soutenu le festival féministe de Concarneau Very Bad Mother, car il poussait à : « Réfléchir et construire ensemble de nouvelles parentalités, en dehors du cadre "d’un papa une maman" ». Notez la référence explicite au slogan de la Manif’Pour Tous. A titre personnel, il arrive également qu’Aïssa Maïga se prononce publiquement sur des sujets de société. On peut notamment citer son soutien à la pétition du groupe MTE (Mères Toutes Egales) en 2011, relayée par le PIR, défendant le droit au port du voile pour les accompagnatrices lors des sorties scolaires.

Son engagement politique est sans doute compréhensible à la lumière de son passé. Maïga est originaire du Sénégal, pays dans lequel elle va séjourner jusqu’à ses cinq ans, pour finalement rejoindre la France. L’enfance de la comédienne a été marquée par la mort de son père, Mohamed Maïga, alors qu’elle n’avait que 9 ans. Ce dernier était un célèbre journaliste de Jeune Afrique, ayant participé à la révolution de Sankara au Burkina-Faso. Sa mémoire laissera une empreinte idéologique profonde sur Aïssa, qui déclarera plus tard : « Mon père était journaliste, l’écriture est pour moi une arme ».

Agée de 22 ans, la jeune actrice est découverte par Yvan Attal et décroche un rôle de premier plan dans son film Saraka Bô. Le scénario, issu d’un roman de Tobie Nathan, raconte une enquête sur l’assassinat de deux femmes noires. Ce rôle fut le début d’une longue et prestigieuse carrière pour Aïssa, arrivant enfin sous le feu des projecteurs. On la retrouvera ensuite dans des films de Michael Haneke, Claude Berri, ou encore Cédric Klapisch. Plus tard, Maïga est devenue scénariste : « J’avais envie d’avoir ma propre parole (…) J’ai des choses à dire ». Au fil des années, la comédienne n’a plus souhaité s’exprimer uniquement devant l’objectif ou à travers ses tournages : Aïssa Maïga est devenue militante.

Loin de n’être qu’une actrice, Aïssa Maïga est également une femme engagée à l’extrême-gauche et dotée d’une influence considérable dans le milieu du cinéma. Son allocution de la 45e cérémonie des Césars n’était pas une simple errance imbibée de bons sentiments trop faciles, mais un discours de meeting. Aïssa a beau être une actrice, elle s’est comportée ce soir-là comme une militante. A travers la figure de Maïga, on en vient à se demander si la cérémonie des Césars vise à célébrer des artistes, ou si elle s’est définitivement transformée en une tribune de portée nationale pour une extrême-gauche radicale, minoritaire et sermonneuse qui avance voilée.

Nicolas Clément

Source : http://valeursactuelles.com

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Interdire les relations hétérosexuelles ou castrer les jeunes mâles ? That is aujourd’hui the question…

3 Mars 2020, 07:03am

Publié par Thomas Joly

Le coronavirus a, paraît-il, fait 3.000 morts dans le monde. C’est le cinquième d’une petite grippe française en année ordinaire, mais bon, il faut bien trouver des sujets pour alimenter le délicieux frisson des psychoses collectives.

Avis personnel : il y a un virus infiniment plus dangereux que le Covid-19, c’est celui qui ronge les têtes de notre vieil Occident, un mal autrement plus pernicieux. Le grand-guignol de la cérémonie des César, samedi soir, en a montré l’ampleur.

Pressentant ce qui allait advenir, Benjamin Sire s’inquiétait, le matin même, dans Le Figaro. Si les querelles sur les difficiles rapports entre l’art et la morale existent depuis fort longtemps, écrivait-il, elles « s’avancent sur un terrain autrement plus glissant quand elles convoquent la moralité même des créateurs et s’interrogent sur la possible séparation entre ces derniers et leurs œuvres. Or, c’est très exactement ce que nous vivons aujourd’hui, à l’heure de la prédominance d’origine anglo-saxonne d’un “politiquement correct” qui applique à toute œuvre une grille de lecture morale où se bousculent les notions de sexualité, de genre, de revendications identitaires ou encore “d‘appropriation culturelle”. »

Chez nous, c’est le César de Roman Polanski qui continue d’agiter les smokings et les robes longues du cinéma français. Virginie Despentes, passée des salons de massage à l’académie Goncourt, a publié, ce lundi, dans Libération, une tribune en hommage à l’héroïne de la soirée, la comédienne Adèle Haenel. Elle y écrit : « Ton corps, tes yeux, ton dos, ta voix, tes gestes tout disait : oui on est les connasses, on est les humiliées, oui on n’a qu’à fermer nos gueules et manger vos coups. Vous êtes les boss, vous avez le pouvoir et l’arrogance qui va avec, mais on ne restera pas assis (sic) sans rien dire. Vous n’aurez pas notre respect. » Et d’ajouter : « C’est la seule réponse possible à vos politiques. Quand ça ne va pas, quand ça va trop loin ; on se lève, on se casse, et on gueule, et on vous insulte, et même si on est ceux d’en bas, même si on le prend pleine face votre pouvoir de merde, on vous méprise, on vous dégueule. »

Il faut toujours regarder de l’autre côté de l’Atlantique. On y voit la préfiguration de ce qui nous attend, l’étape suivante du grand chambardement.

Plus radicales que Virginie Despentes ou Adèle Haenel, qui ont trouvé le réconfort sinon l’apaisement dans leurs amours homosexuelles, Gabrielle Bouchard, présidente de la Fédération des femmes du Québec (FFQ), a réclamé, fin janvier, l’interdiction des relations hétérosexuelles au motif qu’elles seraient basées sur la religion et la violence : « Les relations de couple hétérosexuelles sont vraiment violentes. En plus, la grande majorité sont des relations basées sur la religion. Il est peut-être temps d’avoir une conversation sur leur interdiction et abolition. »

Devant le tollé qu’elle a provoqué, elle s’est justifiée : « Les statistiques sont quand même claires que les femmes sont tuées en grande majorité dans un contexte de relations intimes avec un partenaire masculin. »

À ceux qui voudraient persister dans la voie de l’hétérosexualité dangereuse et perverse, Gabrielle Bouchard propose néanmoins une alternative : « On devrait discuter de la vasectomie obligatoire à 18 ans. »

Interdire les relations hétérosexuelles ou castrer les jeunes mâles, voilà donc l’alternative !

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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« En guise de représailles, renvoyons tous nos Turcs à Erdogan ! »

2 Mars 2020, 20:04pm

Publié par Thomas Joly

 

 

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L'héroïque Grèce se dresse contre l'invasion migratoire et repousse les envahisseurs envoyés par Erdogan

2 Mars 2020, 07:33am

Publié par Thomas Joly

Jean-François Touzé, Délégué général du Parti de la France : « La colère européenne grandit contre l'ingression migratoire et ceux qui — Etats, lobbies, organisations mondialistes, finance — la veulent et l'organisent. Elle se manifeste aujourd'hui en Grèce. Elle pourrait bien se matérialiser demain sur l'ensemble de notre continent. Nos peuples veulent rester ce qu'ils sont, conformément à leur identité, leur histoire et leurs traditions. Pour notre civilisation, le pire n'est plus certain. »

La Grèce « n’acceptera aucune demande d’asile pendant 1 mois » et « expulsera tous les migrants franchissant sa frontière » ont déclaré les autorités du pays, après l’afflux massif de migrants, afflux provoqué par la Turquie, qui s’est révélée ces derniers jours être ce que beaucoup avaient déjà dénoncé, à savoir un ennemi juré de l’Europe et des Européens.

En attendant, c’est la Grèce qui se retrouve à faire face, seule, abandonnée par les autres nations européennes pour le moment (ce qui va encore faire se demander à des citoyens à quoi sert l’UE), en première ligne pour repousser cette invasion migratoire.

Et les mesures ont été rapidement prises, signe de la gravité de la situation :

  • Suspension de toutes les demandes d’asile pendant un mois
  • Expulsion de tous les migrants franchissant la frontière grecque
  • Déploiement de la Force d’intervention rapide européenne en mer Égée

Des sources ont indiqué à Kathimerini que, de 7 à 11h dimanche matin, plus de 400 migrants sont arrivés sur les îles de Lesbos, Chios et Samos.

Par ailleurs, excédés par le fait de se voir imposer depuis des années des migrants sur leur île (et d’en subir les conséquences économiques, culturelles, sécuritaires), des habitants de l’île grecque de Lesbos ont mis le feu dimanche soir à un centre d’accueil inoccupé de migrants près de la plage de Skala Sykamineas, après en avoir bloqué l’entrée.

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Télévision : une épidémie de « paranoïavirus »

2 Mars 2020, 07:02am

Publié par Thomas Joly

Cette semaine, sur toutes les télévisions, on ne parlait que du coronavirus, que certains appellent déjà le « paranoïavirus ». Il était partout, dans tous les journaux, les débats, les émissions spéciales, les reportages, les commentaires des experts : une véritable épidémie médiatique !

C’est que la situation devenait grave. En Italie, un foyer de la maladie avait été décelé. Et c’était vraiment pas de chance : à peine débarrassé d’un gouvernement populiste et de la bête immonde, voilà ce pauvre pays envahi par la bête virale ! Les reportages nous montraient partout les hommes et les femmes disparaissant du paysage, remplacés par des êtres masqués, et même en Corée du Sud, on voyait des sortes de scaphandriers qui arrêtaient les automobilistes pour prendre leur température ou leur prélever un peu de salive pour l’analyser. Tous ces hommes masqués se dépêchaient d’aller faire leurs courses au péril de leur vie, avant de rentrer chez eux et de tenter de survivre. On voyait un bon père de famille coréen, dans sa voiture, un masque sur le nez, qui allait retirer ses commandes dans un supermarché, sans y entrer, et, en Italie, les clients, masque sur le nez eux aussi, y allaient en groupes selon un plan de décontamination très précis.

En France, où l’on dénombrait déjà deux morts, mais aucun blessé, le médecin du deuxième décédé était confiné chez lui, on le voyait entrouvrant sa porte, le masque sur le nez, comme de bien entendu, et déplorant son sort de soignant ne pouvant plus soigner. Les télévisions nous montraient la carte du virus, avec le nombre de cas par pays. À l’Élysée ou à Matignon, les réunions de crise se succédaient pour ne rien faire et ne rien décider. Et cependant que des élèves revenant d’Italie étaient confinés chez eux, on apprenait que 3.000 supporters italiens arrivaient à Lyon pour assister à un match de la Ligue des champions.

Heureusement, une bonne nouvelle. Les fabricants de masques et de gels désinfectants voyaient la vie en « coronarose » car les ventes explosaient, tout le monde voulait son masque ou son gel, si bien que les pharmacies étaient en rupture de stock ; on voyait une vieille dame affolée sortant d’une officine, sa fiole à la main, et qui nous parlait de sa terreur, avant de retourner se barricader chez elle.

Une ambiance d’apocalypse s’installait, à en oublier le réchauffement climatique et l’explosion prochaine de la planète, malgré le combat de la jeune missionnaire écologiste Greta. Et face à cette situation dramatique, le ministre de la Santé Olivier Véran invitait les Français à éviter les poignées de main, et tant pis si cela pouvait compromettre la qualité du vivre ensemble.

À l’Assemblée, où les députés font face à des milliers d’amendements et où la loi sur la réforme des retraites n’avance pas, on évoquait le , si bien qu’on ne savait plus si c’était un médicament contre le blocage de la réforme ou contre le coronavirus. Certains se le demandaient…

Face à toute cette agitation, le Président sans mesure à proposer annonçait que l’épidémie était devant nous, qu’il n’y avait rien à faire – d’ailleurs, on ne faisait rien – et l’on nous expliquait que c’était inutile de fermer les frontières. D’autant qu’on le sait, ce n’est pas bon pour le commerce et le tourisme et, justement, Bruno Le Maire arrivait, déplorant déjà les conséquences désastreuses du virus sur l’économie de notre pays.

Heureusement, on annonçait un vaccin en préparation. Et bientôt, on peut supposer qu’il sera prêt et que les Français apeurés se précipiteront pour se faire vacciner, de quoi refaire la prospérité des laboratoires et relancer l’économie. Et certains formulaient alors l’hypothèse que tout cela pourrait être téléguidé, après les onze vaccins des Buzyn, le douzième de Véran…

Ouh là là, mais que voilà un propos bien complotiste et paranoïaque, sans doute un effet du « paranoïavirus » !

Qui vivra verra !

Jean-Pierre Pélaez

Source : http://bvoltaire.fr

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Coronavirus : l'État-roi est nu

1 Mars 2020, 20:22pm

Publié par Thomas Joly

Désormais deuxième foyer européen après l'Italie de contamination par le coronavirus - le COVID-19 puisque tel est son nom de code - la France s'enferme dans une gestion minimaliste de la crise, oscillant entre alarmisme et relativisation du risque épidémique.

Le devoir des gouvernants est pourtant de prévoir et d'anticiper. Depuis plus de dix ans, l'apparition de maladies nouvelles, en Asie ou en Afrique, faisaient peser une menace lourde sur les populations du monde entier. Accuser ici la globalisation planétaire n'aurait pourtant que peu de sens, dans la mesure où les ravages pandémiques de la peste ou, plus récemment, de la grippe espagnole qui fit, rappelons le, bien plus de victimes que la guerre de 14/18 à la fin de laquelle elle se déclencha, se produisirent dans des contextes géopolitiques totalement différents.

En revanche, tout aurait dû être mis en œuvre pour prévenir les épidémies et les traiter. Au lieu de cela, la France a laissé se dégrader son système hospitalier, tandis que l’État désertait ses responsabilités de protection sanitaire et laissait se délocaliser en Chine ou en Inde l'industrie du médicament, pour le plus grand profit des laboratoires pharmaceutiques.

C'est à contre-temps, dans l'urgence et au cas par cas, que réagit désormais le gouvernement. À contre-temps et dans l'incohérence la plus totale, créant des zones de surveillance et de confinement à l'intérieur du pays mais refusant les contrôles aux frontières, interdisant les réunions de plus de 5000 personnes en milieu fermé mais laissant se dérouler toute autre manifestation, sportive, sociale ou politique, fermant des écoles, mais laissant les autres ouvertes, supprimant soudain la dernière journée du salon de l'agriculture, comme si cela devait changer quoi que ce soit au risque épidémique. Sans même évoquer la légèreté toute éthérique avec laquelle a été conduit le rapatriement des Français présents en Chine, exposant sans grandes précautions nos soldats de la base aérienne de Creil qui semble être au centre de la contamination dans le département de l'Oise.

Le pire n'est pas toujours sur et nous savons raison garder. Comme chaque fin d'hiver, nous apprendrons dans quelques semaines que la grippe saisonnière a fait des milliers de morts dans notre pays, (60.000 par an en Europe) et nous n'oublions pas que les maladies cardiovasculaires ou le cancer constituent des menaces autrement plus redoutables. Les Français, échaudés par tant et tant de mensonges et de manipulations conservent leur sens critique, cultivent leur scepticisme, et font la part des choses. Une certitude toutefois: quels qu'en soient les développements, cette alerte sanitaire aura mis en avant dans l'ordre de la santé comme dans celui de l'ensemble des domaines régaliens, la nudité absolue de l'État-roi.

Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France

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« Thomas Joly répond à vos questions » - N°1 - 29 février 2020

29 Février 2020, 20:33pm

Publié par Thomas Joly

Thomas Joly, Président du Parti de la France, répond aux questions des internautes.

Sujets abordés : les élections municipales, le soutien du PdF à des candidats RN, les relations du PdF avec la Dissidence Française et les autres organisations nationalistes, les « Primaires pour la France », l'élection présidentielle de 2022, Jean « Hossam » Messiha, le site internet du PdF, le meeting du 18 avril à Paris organisé par le PdF.

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Syrie : une opportunité que l'Europe ne saisira hélas pas

29 Février 2020, 16:12pm

Publié par Thomas Joly

Si l'Europe avait deux sous de bon sens, une once de courage et une parcelle de conscience de ce qu'est son intérêt civilisationnel, elle saurait profiter de la crise ouverte en Syrie entre Moscou et Ankara pour opérer enfin un renversement d'alliance et, en se dégageant de sa dépendance atlantique, prendre fait et cause pour la Russie.

Tout devrait nous y pousser : le soutien de la Turquie au djihadisme, son expansionnisme au Maghreb et dans les Balkans, la présence sur notre sol d'une forte diaspora turque politisée, les menaces exercées par Erdogan sur notre continent d'ouvrir les vannes de la submersion migratoire, le grand dessein de reconstitution de l'Empire ottoman, sont autant de menaces que notre continent ne pourra affronter seul.

Cette opportunité salvatrice, nous savons que l'Europe ne la saisira pas, qu'elle continuera de se plier aux mécanismes corrupteurs pour son identité, son indépendance et sa sécurité de l'OTAN, et à appliquer les sanctions décidées à Washington contre la Russie, la poussant ainsi vers ses tropismes orientaux.

Seule pourtant la constitution d'un nouveau paradigme Madrid/ Rome/ Paris/Berlin/Moscou sauvera notre civilisation.

Mais il faudra attendre que les forces nationales parviennent au pouvoir dans chacun de nos États pour en voir la réalisation.

Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France

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