L'héroïque Grèce se dresse contre l'invasion migratoire et repousse les envahisseurs envoyés par Erdogan
Jean-François Touzé, Délégué général du Parti de la France : « La colère européenne grandit contre l'ingression migratoire et ceux qui — Etats, lobbies, organisations mondialistes, finance — la veulent et l'organisent. Elle se manifeste aujourd'hui en Grèce. Elle pourrait bien se matérialiser demain sur l'ensemble de notre continent. Nos peuples veulent rester ce qu'ils sont, conformément à leur identité, leur histoire et leurs traditions. Pour notre civilisation, le pire n'est plus certain. »
La Grèce « n’acceptera aucune demande d’asile pendant 1 mois » et « expulsera tous les migrants franchissant sa frontière » ont déclaré les autorités du pays, après l’afflux massif de migrants, afflux provoqué par la Turquie, qui s’est révélée ces derniers jours être ce que beaucoup avaient déjà dénoncé, à savoir un ennemi juré de l’Europe et des Européens.
Notre conseil de sécurité nationale a pris la décision d'augmenter au maximum le niveau de dissuasion à nos frontières.A partir de maintenant, nous n'accepterons aucune nouvelle demande d'asile durant 1 mois
— La Grèce en France (@GreceParis) March 1, 2020
Nous invoquons l'art. 78.3 du TFUE pour avoir le total soutien européen https://t.co/hnP14hAsCp
En attendant, c’est la Grèce qui se retrouve à faire face, seule, abandonnée par les autres nations européennes pour le moment (ce qui va encore faire se demander à des citoyens à quoi sert l’UE), en première ligne pour repousser cette invasion migratoire.
Les grecs envoient plus de troupes pour protéger de l’invasion leur pays et les frontières de l'Union européenne. #Evros #IStandWithGreece pic.twitter.com/URrwhrPCAP
— Alex (@AlexLeroy90) March 1, 2020
Et les mesures ont été rapidement prises, signe de la gravité de la situation :
- Suspension de toutes les demandes d’asile pendant un mois
- Expulsion de tous les migrants franchissant la frontière grecque
- Déploiement de la Force d’intervention rapide européenne en mer Égée
Des sources ont indiqué à Kathimerini que, de 7 à 11h dimanche matin, plus de 400 migrants sont arrivés sur les îles de Lesbos, Chios et Samos.
Par ailleurs, excédés par le fait de se voir imposer depuis des années des migrants sur leur île (et d’en subir les conséquences économiques, culturelles, sécuritaires), des habitants de l’île grecque de Lesbos ont mis le feu dimanche soir à un centre d’accueil inoccupé de migrants près de la plage de Skala Sykamineas, après en avoir bloqué l’entrée.
📹 VIDEO 📹 - #Grèce : Important incendie dans le centre d'accueil pour migrants de #Sikaminea sur l’île de #Lesbos. #Συκαμνιά #IStandWithGreece #DefendEurope #GreeceUnderAttack pic.twitter.com/TzunO9DfHe
— FranceNews24 (@FranceNews24) March 1, 2020
Ce centre, autrefois géré par le Haut commissariat aux réfugiés de l’ONU, avait été fermé fin janvier. Il accueillait auparavant les migrants avant qu’ils soient conduits vers un centre d’hébergement sur l’île. Craignant qu’il rouvre ses portes, les habitants l’ont ensuite incendié partiellement.
La population, en colère (que certains journalistes militants continuent pour protéger le système à qualifier de « groupes d’extrême droite » – alors même qu’Aube Dorée par exemple, est très peu implantée sur l’île) s’en est par ailleurs prise à la représentante locale du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés prise à partie par des habitants à Lesbos, mais aussi à des journalistes militants et membres d’ONG accusés de faciliter l’immigration vers l’Europe et plus précisément vers ces îles grecques.
The representative of the United Nations High Commissioner for Refugees getting attacked by Greeks in Lesvos.#IStandWithGreece #boogaloo pic.twitter.com/oCykUxnakd
— ChildOfEurope (@ChildOfEurope) March 1, 2020
À Lesbos, des insulaires empêchent une embarcation d’exilés d’accoster sous le regard de gardes-côtes passifs. Situation désastreuse à la frontière européenne où une population délaissée s’en prend à des migrants manipulés. pic.twitter.com/8Vl06n7GG5
— Alexandros Kottis (@alexandros_kts) March 1, 2020
Des Grecs attaquent des membres des ONG immigrationistes et balancent leur matériel vidéo de propagande à la mer.#Lesbos #Grece. ⤵️ https://t.co/FVN0cBYcFo
— Olivier Marteau (@MarteauOlivier) March 1, 2020
De son côté, l’ONU prône à nouveau à mots couverts l’accueil et la collaboration à l’invasion migratoire : « Les Etats ont certes le droit légitime de contrôler leurs frontières et de gérer les mouvements irréguliers, mais ils devraient se retenir d’user d’une force excessive et disproportionnée et mettre en place un système permettant de faire une demande d’asile de manière ordonnée », a écrit un porte-parole du Haut-Commissariat aux réfugiés (HCR), Babar Baloch.
L’Histoire semble s’accélérer du côté de la Grèce et des portes de l’Europe…
Source : http://breizh-info.com
A Idlib, la situation devient difficilement gérable à la frontière greco-turque. Si la Grèce refuse toujours d’ouvrir ses frontières et de se laisser submerger, des centaines d’entre-eux tentent de passer illégalement sur le territoire grec.
Selon la journaliste Jenan Moussa, un syrien originaire d’Alep, Mohamed AlArab, aurait été tué par des tirs de balles en caoutchouc en tentant de passer illégalement la frontière.
This is the first reported death among migrants trying to cross from Turkey to Greece.
— Jenan Moussa (@jenanmoussa) March 2, 2020
One syrian man was shot dead by Greek border guards. Here is the video.@akhbar pic.twitter.com/LIM5L8d03h
GRAPHIC:
— İlker Sezer (@Ilkersezerrr) March 2, 2020
Greek border guards shot a migrant trying to cross the border. This is an indication of a huge setback of Europe's worsening human rights record against refugees and migrants. #GreeceUnderAttack pic.twitter.com/jl3na2MCJ4
Source : http://contre-info.com
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