La fin du monde...
Président du Parti de la France
Dans un papier nauséabond publié et mis en avant dans Le Plus du Nouvel Obs sous le titre « Civitas : nos impôts financent l’intégrisme et la haine. Il faut
que cela cesse ! », l’auteur, manifestement un militant gauchiste, laisse transparaître sa vraie nature, celui d’un petit totalitariste haineux. Aujourd’hui, c’est Civitas qui en
fait les frais : avec cette tribune et une pétition qui revendique plus de 10.000 signatures en moins de deux jours, il ne veut rien moins que d’empêcher les remises fiscales sur les dons
qui lui sont alloués, affirmant que l’État n’a donc pas à financer « l’intégrisme et la haine ».
On sait déjà que les gauchistes sont fascinés par l’Institut Civitas : des chapelets, des croix, des soutanes, des jeunes filles et jeunes hommes biens peignés, des vieux cathos, bref, toute
la France qu’ils détestent, qu’ils vomissent même, et qui pourtant existe encore – et même de plus en plus, à voir les chapelles traditionnelles se remplir. La stratégie consiste à les soupçonner
a priori, à interpréter leur comportement de façon à les présenter comme des provocateurs, des individus qui menacent la paix de la société et dépassent les limites admises. Une phrase résume tout cela : « Devons-nous
encore une fois tolérer qu’un tel déferlement d’homophobie, d’intolérance et de haine puisse se tenir devant le Sénat, symbole de notre République laïque, égalitaire et
fraternelle ? »
Franchement, comment un gauchiste LGBT, qui vit et milite sous perfusion des subventions publiques, peut-il avoir l’outrecuidance de demander la suppression des remises d’impôts aux donataires de Civitas ? Sachant que Civitas est loin de toucher les millions versés quotidiennement aux milliers de satellites LGBT ou antiracistes — et même au Nouvel Obs — et que cette association fait déjà l’objet de toutes les pressions possibles et inimaginables, parce que ses adhérents osent prier dans la rue, rappeler la position du cathéchisme sur l’homosexualité ou se défendre face à l’agression des Femen. Bref, parce qu’ils sont parmi les derniers de la France de la chrétienté et du bon sens, à avoir encore une once de courage.
On finit par se demander, pour reprendre les mots de l’article en question, qui donc propage « l’intolérance et la haine en toute impunité » ?
Elle s’est ouverte à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, avec la
bénédiction de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits de la femme (qui sont très curieusement distingués des droits de l’homme), et Dominique Bertinotti, ministre délégué à la
« famille ».
Par conséquent, les petites filles ne sont pas encouragées à jouer à la poupée et les petits garçons au bricolage, « on préfère plutôt encourager les pratiques inverses, quitte à pousser les enfants à aller contre leurs envies. » (Source)
Il est clair que les instigateurs de ces fabriques à dégénérés relèvent de la psychiatrie lourde, comment pouvons-nous confier l'avenir de nos enfants à de tels tarés ?
La société
Pepsi, en vue de lancer son produit « Pepsi Next »,
a fait face à la réaction d’une partie de la population américaine laquelle, pro-vie, appelait au boycott. Et pour cause, la société utilise dans ses recherches des cellules issues de foetus
avortés afin de réhausser le goût de la boisson. Eh bien Pepsi a obtenu gain de cause grâce à l’aide de l’administration Obama : la Security and Exchange Commission, mise en place par le
président Obama, a statué et rendu publique sa décision le 28 février : le laboratoire Semonyx, filiale de recherche du groupe PepsiCo’, est autorisé à utiliser des restes de foetus
avortés comme rehausseurs de goût.
Signe avancé d’une société de mort qui se substitue à la Civilisation. Le fœtus n’est-il donc qu’un amas de cellule ? Qu’un matériau à la disposition de la toute puissance d’un homme qui a
voulu se faire Dieu ? Ou bien n’est-ce pas d’abord une vie humaine qui a été conçue ? N’est-ce pas plutôt un être humain en gestation ?
Mais le pire, c’est qu’en plus de légiférer sur un usage que condamnent tous les principes traditionnels sur lesquels s’est bâtie la civilisation occidentale, et dont témoigne par exemple le serment d’Hippocrate, l’administration Obama considère cet usage comme des « opérations commerciales ordinaires ». Ou comment banaliser la culture mort… Ignoble !
Il était une fois une bourgade
oubliée, assoupie dans un coin de Bourgogne, entre Chalon et Beaune : Chagny, un peu plus de 5.000 âmes au compteur. Chagny, son pensionnat catho, son port de plaisance, ses bons vins tout
autour et surtout… son « Bamboula » !
Rien que ce nom, c’est un coup de tournevis au fond des oreilles chastes.
Il faut le voir pour le croire. Chaque année, lors de la mi-carême, se tient une fête à l’ancienne, avec des reines couleur locale, des chars décorés et un défilé où rivalisent les jolis déguisements. C’est là qu’intervient Bamboula, personnage « symbole du mal ». « Après le défilé, le deuxième dimanche, on exécute Bamboula. » explique sobrement le site internet de la ville. Vous vous rendez compte du dérapage ? Caroline Fourest vite !
Vigilant gardien des valeurs modernes, le Journal de
Saône et Loire avait posé la dramatique question il y a quelques années : « Faut-il interdire Bamboula ? » ou au moins, changer son nom… À notre douce époque du
« vivre ensemble », cet ignoble vocable nous rappelait en effet les heures les plus sombres. « Bamboula », ça puait le colonial, ça sentait le racisme à
plein nez. Du coup, ces dernières éditions au moins, les organisateurs avaient eu l’intelligence de donner un visage blanc à Bamboula. La mini polémique n’avait pas fait long feu car une partie
de la population aurait été choquée que les élus touchassent à la tradition, née… en 1947 ! Bamboula survécut finalement, contrairement aux biscuits du même nom dans les années 90.
Comme l’a bien souligné Laurent Obertone dans « France orange mécanique », la presse régionale est pleine de saveurs pour les historiens du présent. En lisant un nouvel article consacré à Bamboula (JSL du 8 mars 2013) on en est convaincu : la tradition perd encore une bataille. Ils n’ont pas encore eu la peau de Bamboula, mais celle de la guillotine dont on se servait pour le zigouiller !
« C’est la fin d’une tradition, une évolution avec le temps » écrit le journaliste. « Cette année, Bamboula ne sera plus guillotiné. Non, sa peine va le
faire réfléchir pendant toute une année. » Taubira serait-elle passée par là ? Le président du comité de la Mi-Carême nous donne la raison de la modification : « Il
n’y a plus la peine de mort en France et en plus, on guillotinait quelqu’un qui revenait l’année d’après. » Belle trouvaille et beau foutage de gueule. On espère qu’il ira dire aux
Corses qu’il n’y a plus de décapitation de Maures en France et qu’il faudrait changer leur drapeau. Et puis cette « Marseillaise » de facho avec son « sang
impur », ses jours sont comptés.
Plus de guillotine, bientôt sûrement plus de Bamboula. On l’appellera peut-être Kevin, ou François « pour ne pas stigmatiser ». Dans un village tout proche, une boulangerie sert toujours des « têtes de nègres ». Pour combien de temps encore ?
Non, le quartier gitan de Perpignan...
En bref, un raciste, ce n’est pas celui qui n’aime pas une personne de couleur, mais c’est plutôt celui qu’une personne de couleur n’aime pas !
Marie Drucker nous l’annonce tout sourire : on
s’apprête à introduire une nouvelle fournée de mots savants dans le dictionnaire. Le premier qu’elle cite, pimpante : « boloss ».
Merveilleux vocable que le linguiste Alain Rey hésite pourtant encore à intégrer à son Petit Robert, nous dit-on.
L’homme n’est pourtant pas un puriste chevillé à un usage archaïque de la langue française. Il serait même plutôt de ces intellectuels qui estiment qu’une langue s’enrichit lorsqu’on la passe à la centrifugeuse pour en inverser l’ordre des syllabes ou des lettres.
Ainsi, Monsieur Rey nous fait part de sa fierté d’avoir inclus dans son dictionnaire, et ce dès le début des années 1990, des « meufs » et des « keufs ». Car depuis, nous dit-il, ces mots sont entrés dans le langage familier de tout un chacun.
Il s’agit d’une avancée, n’en doutons pas. Et la langue française s’est enrichie,
qui pourrait le nier ?
La question du « boloss » semble un peu plus délicate. Monsieur Rey cherche toujours son étymologie exacte. Il lui faut encore éplucher ses dictionnaires de latin et de grec pour valider la définition avant-gardiste de la journaliste : le « boloss » serait un abruti.
Mais cette journaliste n’a manifestement pas beaucoup étudié les arbres généalogiques desdits abrutis qui, une source anonyme et un peu d’observation nous l’indiquent, seraient très majoritairement d’origine « sous-chienne » ; des « bourgeois lopettes » comme le définit une source autorisée, plus érudite que Monsieur Rey.
Le « boloss » serait, pour résumer, une sorte de « bougnoule pâlichon » qui, au nom de la tolérance et de l’amitié entre les peuples, mériterait bien les honneurs du Petit Robert 2014.
J’aurais préféré me taire parce que j’adore le
père et que je pensais que l’idéal, même faiblard, tiendrait… mais tant pis, je me lance. Les scores dont on a fait grand cas l’an dernier ne sont pas meilleurs en 2012 qu’en 2002 quand les deux
candidats nationalistes caressaient les 20% déjà au premier tour de la présidentielle la plus géniale de l’histoire. Depuis, on fait du surplace, depuis on régresse, quoiqu’en pensent les experts
en dédiabolisation.
Dernièrement Eric Zemmour ironise : le FN devient un parti de gauche, voire d’extrême-gauche. Ce n’est pourtant pas un extrémiste, Zemmour, sauf pour les fous (il y en a).
Voyons voir : le Front
National de Marine Le Pen est-il en perte de vitesse ? Le message de l’ex-parti le plus diabolisé du monde est-il encore bien reçu ? Y a-t-il encore un message, d’ailleurs ? Ou est-on en train de
le brouiller, le beau parti débarbouillé, pardon, dédiabolisé ? Et a-t-on compris en pas très haut lieu que le 13 janvier fut une splendide occasion gâchée ? A-t-on compris que pour Chesterton la
famille est le seul État qui crée et aime ses citoyens, et que pour cette raison il vaut tous les États et tous les partis du monde ? Ou s’est-on soumis platement aux commandements d’une
camarilla et d’un lobby noyauteur par trop efficaces ? Car depuis quand le FN se doit-il d’être le parti islamophobe alors qu’il est le parti de la patrie française trahie par les gaullistes,
depuis quand le FN est-il devenu le parti de l’ultra-laïcité, alors que cette laïcité a fait depuis 1870 le lit de l’hexagone moderne nihiliste et jouisseur, mais arrogant et harceleur ? Et
depuis quand le FN sozial promeut-il un SMIC ridiculement élevé alors qu’il était le parti de la baisse des impôts ? Depuis quand et pourquoi, surtout, le FN ne veut-il plus être le parti de la
pensée sauvage, comme l’avait superbement baptisé Jean Baudrillard ?
On ne peut pas être mieux dénoncé (je n’écris pas trahi) que par les gens qui vous voulaient du bien, ou attendaient beaucoup de vous. Surtout lorsque ces gens ont du talent. Je pense à un journaliste célèbre et courageux.
Il faut
voir cette étonnante émission : Eric Zemmour tentait avec son culot et sa faconde de remonter les pendules du flageolant Front National et de rappeler Marine Le Pen non pas à l’ordre nouveau mais
ancien, celui de la famille par exemple (si j’ose dire il voulait la rappeler sous les drapeaux !). Comme elle a peu d’arguments pour justifier son absence remarquée le 13 janvier dernier au
défilé du sauvetage de la famille française, Marine Le Pen se braque et s’en prend de sa grosse voix toujours enrouée à la personne de notre journaliste préféré ainsi qu’à celle de son compère.
Elle s’embrouille et nous sort un brouet politique sur les raisons de ne pas y aller pour ne pas tomber dans le piège du gouvernement (alors que c’est en n’y allant pas qu’elle y est justement
tombée), qui détourne l’attention de la situation sociale qui est si grave et patati patata.
Quel argument sot, tout de même. Car la situation sociale est grave, elle l’est d’ailleurs depuis mille ans, mais elle ne rassemble pas un million de personnes dans la rue. Elle ne rassemble plus, la situation sociale. La famille, oui, rassemble : et c’est pourquoi ils vont l’achever, les socialistes. Lire la suite
Il y a quelques jours, une quinzaine de militantes du RF Paris ont envahi le local de la milice extrémiste antichrétienne Femen (grassement subventionnée par de discrets oligarques).
Cette première action est une « déclaration de guerre » à la bêtise et à la haine qu’incarnent les Femen, sous le vocable trompeur de « féminisme ». Les Françaises sont dans leur très grande majorité plus proches des valeurs que défendent nos militantes, que de celles d’une minorité de bobos libertaires.
Les VRAIES femmes n’ont pas dit leur dernier mot.
Non, les Fem’haine ne défendent pas les femmes, mais seulement la vulgarité et la haine du christianisme.
En soutenant la famille
du petit garçon prénommé Jihad, le MRAP vient de confirmer sa vraie nature : ce mouvement, qui prétend œuvrer pour l’Amitié entre les Peuples, n’est autre qu’un des fers de lance de
l’islam radical. Les explications et les excuses qu’il donne pour minimiser l’affaire du tee-shirt porté par le garçonnet de 3 ans vont dans ce sens. Tout est bon, en effet, pour justifier la
normalité d’un intégrisme politico-religieux prompt à manier aussi bien la takia que le sabre !
Le problème est qu’un tel
aveuglement idéologique condamne le Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples à n’être que son contraire, l’amitié entre les peuples ne pouvant aller de pair avec
les bombes humaines, sauf à penser qu’un Dieu a acheté la vie des croyants « en échange du Paradis », ces derniers tuant et se faisant tuer lorsqu’ils combattent
« dans le sentier de Dieu » (Coran 9 :111). Car enfin, est-il normal qu’un bambin se présente à l’école de la République vêtu d’un tee-shirt sur lequel on peut lire
« Je suis une bombe » ou encore « Jihad, né le 11 Septembre » ? Ces deux inscriptions ne sont-elles pas explicites ? N’atteignons-nous point ici le
sommet de l’horreur en mêlant l’innocence à la barbarie ?
Supposons que l’enfant soit de sexe féminin : la formule « Je suis
une bombe » pourrait être interprétée en devenir ! Mais quid de la précision renvoyant au « 11 Septembre » ? L’Histoire n’est-elle pas l’Histoire ?
Aurait-elle mille significations ? Si d’aucuns voient dans les avions pénétrant les Tours jumelles un acte d’amour universel, allons-nous pour autant en accepter l’augure ? Jusqu’à
quand la France va-t-elle tolérer l’intolérable ? Suffit-il qu’un père choisisse le prénom de son enfant pour que ce prénom figure sans contestation possible sur les registres de l’État
civil ? Que dirait-on si j’appelais mon petit garçon « Matamore », c’est-à-dire « Tueur de Maures » ? Y verrait-on une « marque
d’humour », ou encore une « mauvaise blague » ? La « plaisanterie » serait-elle jugée « innocente » ? Aurais-je le
droit d’invoquer mes origines espagnoles pour souligner qu’un tel prénom a toute sa place dans ma culture d’origine ? En tant que chef de famille, serais-je l’archétype d’une
« famille paisible » ? Manuel Valls me soutiendrait-il ?
A Arveyres, en Gironde, une petite commune de 1900 habitants située près de Libourne, le maire sans étiquette, Benoît Gheysens, a pris une décision courageuse qui a suscité l’émoi de la
communauté musulmane. La mairie a décidé en effet de supprimer à l’école les fameux plats de substitution destinés aux enfants qui ne mangeant pas de porc. Le motif ? Les contraintes budgétaires
et techniques auxquelles est confrontée la municipalité. Sur 180 enfants, 28 sont musulmans : selon le maire, si les familles des enfants musulmans ne sont pas satisfaites par la décision
de la mairie, elles « peuvent retirer leurs enfants de la cantine ce jour-là ».
Une décision massivement saluée parles habitants et l’opinion publique, malgré l’hostilité de certaines familles, concernées par les repas de la cantine, la pression qu’exercent les médias, ou
encore le sous-préfet de Libourne, Patrick Martinez. Preuve de la popularité de cette démarche, les villages voisins de Saint-Germain-du-Puch et de Saint-Quentin-de-Baron ont décidé d’appliquer
la même décision que le maire d’Arveyres.
« Personne ne peut obliger ces musulmans à manger du porc, mais personne non plus les a obligés à venir dans notre pays », résumera un internaute. Comme quoi, le bons sens n’a pas encore abandonner la population ! Car en France, on mange du porc : chaque pays a sa tradition culinaire, marquée par son terroir, sa religion, et tout cet ensemble de tissus et de liens, sécrétés par l’histoire, et qui contribuent à façonner des codes commun, en bref, une culture qui cimente le lien social. Sans culture, sans règles de vie commune, les individus peuvent éventuellement coexister, mais ils ne peuvent pas vivre ensemble. Pour vivre ensemble, il faut avoir quelque chose à partager. Le « copain », c’est celui qui partage le même pain…