Maman célibataire
Grâce aux féminisme, de nombreuses femmes à qui on a inculqué qu’elles étaient des êtres omnipotents décident de faire des enfants toutes seules, c’est à dire de se débarrasser du père pendant leur grossesse ou après la naissance de l’enfant. Ces pères, réduits au statut de donneurs de sperme et de payeurs de pensions alimentaires, sont évincés de leur rôle parental grâce à l’action de la justice française, majoritairement constituée de femmes, qui privilégie presque constamment les mères.
La femme, abusant de son plus grand pouvoir, qui est celui de porter la vie, s’approprie à elle seule l’enfant. Ce dernier, aimant inconditionnellement sa génitrice, comble une grande partie de ses besoins affectifs et la conforte dans sa position de toute puissance. Mais en le privant égoïstement d’un père, elle le prive également d’une autorité qui, loin de la fusion maternelle, ouvre l’enfant sur le monde social et lui enseigne le respect des lois.
Privés d’une affection masculine, indispensable pour leur construction psychologique, certains garçons deviendront homosexuels, cherchant à combler ce manque affectif à travers leur sexualité, et certaines filles deviendront misandres et reproduiront le même schéma que leur mère.
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