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Le blog politique de Thomas JOLY

Mickael Dos Santos, le second djihadiste français identifié

21 Novembre 2014, 11:19am

Publié par Thomas Joly

Les autorités ont confirmé l’identité du deuxième islamiste à papiers français qui a participé au massacre de dix-huit soldats syriens et d'un otage américain dont la vidéo a été diffusée la semaine dernière. Il se nomme Mickael Dos Santos. Issu de la communauté portugaise de Champigny-sur-Marne, il s’est inverti à l’islam au contact des nombreux occupants présents en région parisienne, notamment en fréquentant un lieu de culte islamiste à Villiers-sur-Marne. Si la justice de Taubira et la police de Valls s’acharnent sur les nationalistes, aucune dissolution n’a été prononcée contre cette mosquée.

Mickael Dos Santos est âgé de 22 ans et a rejoint les rangs des égorgeurs en août 2013.

« C’est mon petit-fils, je le vois à la télé, tout le temps, tout le temps, je l’ai reconnu tout de suite. Il était si gentil, si gentil, ils ont dû le droguer pour qu’il devienne comme ça. Il était catholique, il a fait le catéchisme, je ne sais pas comment ils lui ont tourné la tête. » a témoigné sa grand-mère.

La conversion de ce jeune français n’a rien de surprenant : élevé au cœur des cités occupées où règne le racisme antiblanc, il a été perverti par l’école de la République et la culture moderne. C’est en voulant retrouver de véritables valeurs, abandonnant la « tektonik » et le football, qu’il s’est rapproché de l’islam, trahissant sa famille et son peuple. Tout cela s’est produit avec la complicité active du Système. Un témoin a raconté comment, avec d’autres islamistes, il séchait les cours pour organiser des prières dans les couloirs de l’établissement scolaire qu’il fréquentait.

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À Calais, un chauffeur blessé à coups de couteau par des « migrants »

21 Novembre 2014, 10:03am

Publié par Thomas Joly

Il y a quelques jours, la justice aux ordres de Mme Taubira condamnait un chauffeur routier pour s’être défendu après l’attaque de son camion. La peine semble avoir été assez dissuasive pour que désormais les chauffeurs préfèrent se laisser poignarder par les criminels étrangers. C’est ce qui est arrivé à un camionneur espagnol sur l’aire de repos du Beau-Marais sur l’A16.

« J’étais en train de boire le café dans ma cabine quand je les ai vus arriver. Ils étaient une trentaine et ont essayé d’entrer à l’arrière de mon camion. Je suis donc sorti pour mettre le loquet de sécurité et les empêcher d’entrer. L’un d’eux était muni d’un couteau : il m’a porté des coups à la main » a témoigné le chauffeur. Si les conducteurs de poids lourds qui font appliquer la loi sont impitoyablement traqués, arrêtés, jugés et condamnés par les services de police et de justice de leur République, les criminels étrangers ont pu tranquillement s’échapper sans être inquiétés par les CRS et les fonctionnaires de la police aux frontières (PAF) arrivés tardivement sur place.

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Grande-Bretagne : une école est sanctionnée parce qu'elle a trop d'élèves blancs

21 Novembre 2014, 09:53am

Publié par Thomas Joly

Et ce n’est pas « raciste », ça ?

Une école de la charmante petite ville rurale de Market Rasen, appelée Middle Rasen Primary School, a été sanctionnée par l’autorité de surveillance britannique des écoles publiques, OFSTED, parce qu’elle est trop… anglaise. Jusqu’ici qualifiée de « bonne », la note de l’école n’a pas été augmentée au grade « excellent » pour n’avoir pas assez d’élèves noirs ou asiatiques, et donc, trop de Blancs, a expliqué l’organe de contrôle.

Pensez : le « développement culturel » des élèves de cette école primaire est limité par « un manque d’expérience de première main de la diversité qui caractérise la société britannique moderne ». Comment enseigner à ces enfants – intellectuellement borgnes, forcément – qu’il faut respecter et tolérer toutes les croyances et toutes les couleurs de peau s’ils n’ont pas de quoi se faire la main sur place ?

« C’est du politiquement correct devenu fou », commente le membre du parlement conservateur de Gainsborough, Sir Edward Leigh (mais le politiquement correct peut-il prétendre à la sagesse) ? « L’école primaire Middle Rasen est une école excellente à n’importe quelle aune. Le multiculturalisme n’a pas de pertinence dans le Lincolnshire avec sa petite présence de minorités ethniques, qui sont déjà bien accueillies et bien intégrées dans nos communautés locales, comme elles doivent l’être. »

104 élèves, presque tous blancs

L’école primaire Middle Rasen compte exactement 104 élèves, âgés de 4 à 11 ans, c’est ce qui lui vaut d’être sanctionnée.

Dixit l’OFSTED : « La grande majorité des élèves sont des Britanniques blancs. Peu sont d’autres groupes ethniques, et à l’heure actuelle aucun élève ne parle l’anglais comme seconde langue. »

Que faire pour remédier à cet affreux handicap ? C’est simple : il faut « créer des occasions pour qu’ils puissent avoir une interaction de première main avec leurs homologues venant de contextes différents, au-delà du voisinage le plus immédiat », décrète l’organisme.

L’école sanctionnée envoie ses élèves à la mosquée

Message entendu par l’école. Elle cherche désormais à créer un partenariat avec une école de centre-ville pour remédier à la situation, et modifie sa pratique des voyages scolaires. La directrice, Melonie Brunton, a souligné que les sorties se font généralement à la campagne, pour visiter une ferme ou un zoo : les dernières ont conduit les enfants dans une mosquée et dans une usine.

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De la terreur et des bobogays (par Joris Karl)

21 Novembre 2014, 09:39am

Publié par Thomas Joly

Le revirement démago de Sarko à propos de la loi Taubira fait penser à un pochetron lunaire qui se serait éclaté le crâne sur un réverbère trop sec. Emporté par la houle des gorges déployées, Sarko a trahi une partie de ses légions. Sabre en plastique en main, les petits Zorro ont voulu dégonfler le sergent Garcia. Piquer dans le ventre. Pendant qu’une immense majorité des Français applaudissaient la sortie de l’ex-chef de l’État (« On va l’abroger, cette loi »), il y en a eu, de la révolte dans les colonnes et sur les plateaux. Autant dire sur Pluton.

Charles Consigny, dans Le Point (article du 18 novembre), a décroché le pompon frelaté du ridicule et de l’abject. Vexé, abandonné en rose campagne par son idole, Consigny a fait sa chochotte, et est devenu brutal. Le masque de cire tombe, tel un visage pétrifié à la Renaissance dont on découvre les sombres traits à la lueur des bûchers. Ceux qu’il voudrait rallumer. Petrus Christus aurait pu peindre le jeune exalté. Les couleurs eussent pu en pleurer !

Selon le Joinville des « Grandes Gueules », il devrait être interdit de ne pas penser comme Consigny. Avec la gent bobogay, on avait l’habitude de cette mesure soviétoïde de la liberté. Je goulague, donc je suis. On savait qu’on risquait de flamber dans un nouveau Bazar de la Charité. Mais là où le garçon devient infâme – si j’ose dire –, c’est lorsqu’il insulte les adversaires du mariage gay : « Leurs arguments alambiqués sur le vivre ensemble, la famille ou je ne sais quelles valeurs ne sont que le paravent de cette obsession, et il n’est pas du niveau d’un homme d’État de céder, pour des considérations électorales, aux revendications haineuses de quelques arriérés. »

Des « arriérés ». Le mot est lâché. Enfin. Voilà ce que sont, aux yeux de la minorité bobogay, les millions de gens qui ont défilé dans tout le pays. La majorité silencieuse – « quelques » pour Consigny – n’est donc bonne qu’à rééduquer, et encore, pense l’ex-pole pote de Sarkozy.

Dans la même veine de cette insupportable Inquisition en tutu, les propos de Jean-Luc Romero lors du « Grand Journal » de Canal+. L’ancien UMP, néo-PS, a expliqué aux spectateurs qu’il « était impossible de revenir » sur le mariage homo. Parce que le Conseil constitutionnel l’empêcherait, parce que ce serait l’instauration d’un « régime d’apartheid en France ». La grossièreté de ces envolées, l’excessive posture du Mandela ressuscité en militant gay, tout fait que la cause ultra-politique du mariage homo n’aboutit qu’à la cohue mentale. Une poignée d’extrémistes obsédés par leurs pratiques sexuelles a perdu tout sens commun. Le peuple veut le maintien de certaines institutions parce qu’elles sont des balises dans un monde déchaîné. Un repère. Une protection. La haine des bobogays finira par faire ressortir les pires souvenirs de l’homophobie véritable. Quel triste retour de bâton pour Consigny et les siens !

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Calais entre l’enclume et le marteau (par François-Xavier Rochette)

20 Novembre 2014, 14:51pm

Publié par Thomas Joly

La France est inégalement contaminée par l’immigration-invasion sur un plan strictement géographique. Quelle différence de couleur, encore, entre Paris et Limoges ! Entre les régions du Massif central et les Bouches-du-Rhône ! Entre Nancy et Brest, entre Vichy et Mulhouse. D’une manière générale, de nombreuses zones rurales sont encore épargnées par ce que l’on appelle communément maintenant le Grand remplacement. Mais, faut-il le préciser, les territoires qui ont une faible teneur allogène sont presque toujours, également, de faible densité démographique et toujours peu peuplés en valeur absolue. Les poches et les vallées préservées de l’étrange, de l’hétérogène et de l’exotisme se réduisent en outre à une vitesse inquiétante, des quartiers entiers se métamorphosent en des écosystèmes inattendus et changent soudainement la vie des autochtones qui rencontrent la diversité brutalement. Nous ne ferons pas de corrélations entre immigration et certains phénomènes sociaux car la loi nous l’interdit, mais force est de reconnaître que l’existence est plus douce dans certains villages de Lozère, des Hautes-Alpes ou du Pays basque qu’à Saint-Denis, Saint-Ouen ou Roubaix ! Et il ne s’agit pas seulement d’une question de ruralité, comprenons-nous bien… Il y a cinquante ans, il existait des quartiers populaires parisiens qui étaient encore parfaitement respirables, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Il y a seulement 25 ou 30 ans, Dijon et Metz étaient des villes assez aérées si l’on peut dire et Grenoble n’était pas encore ce tison délinquant qui brûle une grosse partie d’une Isère défigurée.

Bref, il existe toujours des Français qui naissent au bon endroit, au bon moment. Et puis, il y a les autres, qui vivent là où le chaos s’accélère, là où la neige a la couleur de la boue et la rue l’odeur du pois chiche, du shit et de la crasse internationale. Le quotidien ne doit pas être toujours facile, surtout pour les collégiens et lycéens indigènes évoluant au sein de cités où les allogènes croissent d’une manière exponentielle (et si ostentatoire)… Le petit Blanc perdu dans cette nouvelle démographie vit en temps réel ce processus de disparition du peuple historique alors que dans le même temps, évidemment, les étrangers ont naturellement conscience du développement fulgurant de leur communauté, un phénomène continu fortifiant en chacun d’eux une volonté de puissance qui devient impossible à contenir.

Le très banal racisme anti-blanc provient de là, de cet orgueil né du nombre, et non de je ne sais quelle rancœur à la noix. Il n’est donc pas nécessaire d’être diplômé en ethnologie pour saisir l’ampleur du problème qui pèse sur les populations autochtones qui y sont confrontées. Mais il existe des cantons, des agglomérations, des villes qui cumulent les difficultés sur les plans démographique et sociologique. On dit trivialement qu’il pleut là où c’est mouillé et que le malheur attire le malheur… Calais, qui souffre d’un chômage aigu, d’une immigration classique en progression (même si elle n’est pas, fort heureusement, au niveau de celle qui a ruiné la Seine-Saint-Denis) est depuis quelques années victime de sa position géographique, celle-là même qui devait constituer son plus grand atout.

CALAIS, GOULET D’ETRANGLEMENT DE L’IMMIGRATION CLANDESTINE

La plus grande ville du Pas-de-Calais (73.000 habitants) ne souffre en effet pas seulement de l’immigration banale, légale et même de la simple immigration clandestine telle qu’on la connaît un peu partout en Hexagonie, mais également d’une immigration sauvage, ou pour être précis, d’une migration sauvage puisque les candidats africains et arabes qui se bousculent à cette halte calaisienne n’ont qu’une idée en tête, Londres et ses mirages. Nous connaissons bien le phénomène depuis Sangatte et ses multiples soubresauts. Celui de vagues successives de Kossovars, de Somaliens, d’Erythréens, de Soudanais, d’Afghans, qui foncent vers Calais pour s’immiscer dans la remorque d’un camion, pour franchir l’Eurotunnel avant de trouver, pensent-ils, le paradis britannique. Las, parvenus à Calais, les illégaux se retrouvent dans un parfait goulet d’étranglement, et les moins “fortunés”, ceux d’entre eux ne pouvant s’offrir les services d’un passeur professionnel se voient contraints, pour atteindre leur rêve, de prendre d’assaut les semi-remorques à destination de la Perfide Albion.

Les conditions d’entrée aux alentours du tunnel sont aujourd’hui plus difficiles, les routiers ayant témoigné violemment de leur exaspération (même si la justice persiste à condamner les récalcitrants agissant manu militari pour expulser les Africains en exil), les migrants surexcités se déplacent en amont sur le parcours des véhicules de marchandises, principalement sur l’autoroute A16, à son terme, là où les premiers ralentissements autorisent l’abordage des camions. Les policiers seraient impuissants devant le déferlement de ces envahisseurs…

« Sur la rocade menant au port, nous avons une grande visibilité », analyse Gilles Debove, du syndicat Unité-SGP-Police-FO. « Alors qu’ici, les migrants se cachent dans des bosquets, dans les marais, par petits groupes. Il n’y a pas de trottoir, on ne peut faire ni demi-tour, ni marche arrière. Et ça roule vite, rien à voir avec la rocade : c’est hyper dangereux. ». En effet, le 21 octobre, une Ethiopienne de 16 ans est pulvérisée par une voiture alors qu’elle traverse l’autoroute avec un groupe de noirs. Le 22 octobre un Soudanais téméraire saute d’un pont donnant sur la bretelle d’accès au Tunnel pour essayer de s’introduire dans un camion. Le cascadeur improviste rebondit comme une grume d’ébène sur la bâche et s’écrase au sol en se brisant tous les os ; il décède quelques heures plus tard. Le 6 novembre, un sérieux accident se produit entre deux poids lourds, ce qui engendre un bouchon important sur l’A16. Quelques minutes plus tard, des centaines d’illégaux foncent vers les camions à l’arrêt, non pour secourir les routiers, mais pour s’offrir un petit voyage chez les Britanniques. La situation autour de Calais devient de plus en plus critique du fait de l’accroissement continu du nombre de ces allogènes en quête d’eldorado européen.

15 ANS DE PRESSION MIGRATOIRE

Depuis 1999 et la réquisition d’un hangar à Sangatte (commune limitrophe de Calais) pour héberger 200 migrants (à l’époque surtout des Kossovars) qui campaient jusque- là dans un parc, la situation n’a cessé de se dégrader pour les vrais Calaisiens. La fausse charité de l’Etat pressé par des ONG antinationales d’intervenir prestement a mis le feu aux poudres. Dès 2000, le fameux hangar géré alors par la Croix-Rouge s’occupe en moyenne de 1 500 clandestins par jour (soumis à un fort turn-over). En 2002, année de sa fermeture, le centre de Sangatte aura vu passer plus de 50.000 illégaux qui furent à la fin de leur parcours « pris en charge » par une vaste filière d’immigration clandestine. Affolé par l’ampleur du phénomène migratoire, le gouvernement a voulu, en premier lieu, casser le thermomètre et flouter une activité mafieuse ne cessant de grossir d’une manière concomitante. Les noirs en question ne retournent pourtant pas sur leur continent mais s’incrustent dans des terrains vagues entre deux dunes…

L’un de ces squats est rapidement surnommé la “jungle” pour les raisons que l’on devine. La “jungle” devient un abcès de fixation médiatique et sera donc évacuée en 2009 par un pouvoir public qui entend détruire les symboles de l’invasion pour empêcher la colère populaire de s’alimenter de ses stigmates. Notre indigénat veut tout embrouiller. Dégagez ! Y’a rien à voir ! En 2014, d’autres zones ont été évacuées, comme pour mimer une action policière digne de ce nom.. Et la Grande-Bretagne promet désormais 15 millions d’euros pour sécuriser le port… Alors que ces Africains dans la nature investissent les camions avant que ces derniers n’accèdent au port… Les autorités s’échinent bel et bien à plâtrer des jambes en bois depuis 15 ans. La situation est aujourd’hui explosive après toutes ces années de laisser-faire. Avant l’été, les migrants n’étaient “que” 600 installés sur Calais. Ils sont aujourd’hui 2 500, demain ils seront 3 000, en 2015, 5 000.

MAUVAISE CONSCIENCE ET ETHNOMASOCHISME

Cette multiplication inquiétante est facilement explicable. Travail clandestin, prestations sociales (que le Royaume-Uni sait aussi verser sans compter aux allogènes), fantasmes divers sur la Blanche lubrique cultivés par les media du monde entier et par l’industrie de la pornographie interraciale, toutes choses qui tranchent radicalement avec la vie quotidienne de ces Noirs dans leur pays, terre natale qu’ils préfèrent fuir plutôt que d’utiliser leur énergie pour la sauver de la misère. Le courage de ces individus est donc pour le moins relatif. Leurs valeurs ne sont a priori pas les nôtres. Comment peut-on accomplir tant d’efforts et dépenser tant d’argent (pour les passeurs notamment) pour partir si loin de chez soi si l’on est sincèrement attaché à son pays ? Et puis, le fait d’être bloqués en France, un certain temps, avant de décrocher la timbale, ne représente pas vraiment une perspective angoissante pour eux. Une fraction non négligeable de ces migrants décide même, chaque année, de rester chez nous après avoir compris qu’elle peut toucher mensuellement un revenu géré par le Pôle Emploi (le mystère de l’usine à gaz antiraciste de notre Hexagone… et de ses pompes aspirantes) à toute personne étrangère faisant une simple demande d’asile politique, et profiter de l’Aide Médicale d’Etat (AME).

Les autres peuvent profiter de la générosité d’essence ethnomasochiste des nombreuses associations parasitaires qui s’occupent des migrants parfois en les pouponnant. Repas chauds (récemment l’affaire des plats insuffisamment épicés au goût des clandestins fit le buzz sur Internet), argent, douche, recharges des téléphones portables des migrants (exécutées notamment par une certaine Brigitte Lips, militante du Secours “catholique”), et on se demande si certaines autochtones ne s’offrent pas carrément aux illégaux pour les réconforter dans un tendre câlin… Si on rajoute à ce tableau l’impunité dont ils jouissent malgré les méfaits de plus en plus nombreux et de plus en plus graves qu’ils perpètrent, on obtient une zone très attractive pour beaucoup d’Africains bien décidés à « profiter de la vie » de toutes leurs forces, ici ou ailleurs en Europe.

LA CRIMINALITE EXPLOSE, LA RESISTANCE SE DEPLOIE

Nous ne comptons déjà plus les actes de délinquance commis par ces « chances pour l’Europe ». Plusieurs Calaisiens (il y a quelques jours, une jeune femme a été volée et agressée sexuellement par trois Africains sur le quai de la gare) ont été férocement tabassés par ces bandes ethniques qui peuvent toujours compter sur la bienveillance de la “justice”, des politiciens locaux et des journaux régionaux pour minimiser leurs actes, voire pour les innocenter sur un ton misérabiliste. De jeunes Calaisiens, en colère contre la chienlit qui se répand, se sont organisés au sein d’un collectif appelé (sans emphase tant la situation devient grave) « Sauvons Calais ». Contre tous, menés par le très dynamique Kévin Reche, ils agissent au quotidien pour la population calaisienne qui souffre dans cet assourdissant silence médiatique. Ils sont à l’écoute des petites gens abandonnées de cette gauche arrogante qui préfère les autres avant les nôtres. Mais ce n’est pas tout ! Kévin Reche est décidé à ce que les choses changent enfin dans le Calaisis. Pour ce faire, il s’est engagé avec de nombreux militants de Sauvons Calais en politique dans un mouvement qui, depuis quelques mois, prend localement une nouvelle ampleur, le PdF, le Parti de la France.

Marine Le Pen avait bien fait un saut de puces à Calais il y a 5 semaines avant d’évoquer le fantasme que serait le Grand remplacement (chez nous et en Europe), mais, loin de soutenir les Calaisiens en plein chaos et qui ne se risquent plus à sortir le soir, elle cracha sur les militants de Sauvons Calais qui ont eu le toupet de lutter, en vrai, contre l’immigration-invasion. Le secrétaire général du PdF, Thomas Joly, que nous avons interrogé sur les échéances à venir, est décidé à présenter et à soutenir plusieurs candidats aux prochaines élections départementales sur les différents cantons calaisiens. « Les clandestins ont violé la loi en entrant illégalement sur le territoire français », s’explique-t-il. « La France n’a pas vocation à accueillir toute la misère du monde ni les réfugiés de toutes les guerres du monde. Qu’ils aillent demander l’asile à des pays musulmans bien plus proches et richissimes comme le Qatar ou l’Arabie Séoudite. » Dans l’immédiat, il faudrait, selon Joly, mettre en place un groupement de gendarmerie mobile dans le Calaisis afin de réduire tout de suite l’insécurité qui a explosé en l’espace de quelques semaines. « Instaurer l’état d’urgence le cas échéant comme lors des émeutes en 2005 ». Puis, il est impératif de résoudre le problème en profondeur en « mettant en place un camp de rétention afin d’organiser le renvoi rapide, total et définitif des clandestins. »

Il est bien évident que seule la solution nationaliste peut aider les Calaisiens, perdus chez eux, submergés, abandonnés et trahis. Mais Calais est plus que Calais, c’est un symbole du combat que les authentiques nationalistes doivent mener à tout prix : celui de notre sécurité, de notre identité, celui de notre délivrance et du renouveau. Loin du blabla des baudruches médiatiques, la bataille de Calais est le front des patriotes, des radicaux, des honnêtes Français qui deviennent des braves ! Pour que Calais devienne notre Dreux nationaliste ! Pour que, demain, toutes nos villes soient libérées de l’immigration-invasion, il faut agir maintenant !

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Convention du CRIF : « L’impunité sur internet tient à l’absence de gouvernance mondiale » déclare l’avocat de l’UEJF

20 Novembre 2014, 14:29pm

Publié par Thomas Joly

Le dimanche 16 novembre, le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) tenait sa cinquième convention devant près de 1200 personnes. On y trouvait l’incontournable BHL, amené à gloser sur le thème « Heureux comme un Juif en France ». Il y avait là aussi Luc Ferry qui y a révélé qu’il avait lu à 11 ans Les Protocoles des Sages de Sion ! Citons encore Sylvie Fondacci (Inter-LGBT), Dominique Sopo (président de SOS Racisme), le Préfet Régis Guyot, Paul Amar, Alain Finkielkraut, Eric Halimi,…

A en croire les intervenants de cette journée, le péril antisémite guette à tous les coins de rue, entretenu par les musulmans, le Front National, le Front de Gauche, Soral, Dieudonné et le Web.

Delphine Reyre, représentant Facebook, a présenté ses humbles excuses en déclarant « nous ne pouvons pas surveiller tout le monde ».

Mais on retiendra surtout cette pensée de Me Stéphane Lilti, avocat de l’UEJF : « L’impunité sur internet tient à l’absence de gouvernance mondiale » !

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Un maire en grève de la faim contre la prétendue « mixité sociale »

20 Novembre 2014, 14:18pm

Publié par Thomas Joly

Guy Rabuel, maire sans étiquette de Ruy-Montceau (Dauphiné), est en grève de la faim pour dénoncer la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbain (dite SRU) et son application. Au prétexte de « mixité sociale », la loi SRU a été utilisée par le gouvernement pour imposer à toute la France des populations indésirables, jusqu’au plus petit village du Dauphiné.

Ruy-Montceau, commune de 4.380 habitants, compte déjà près de 5 % de logements « sociaux » (sic) – mais la loi en exige 25 % – et alors même que la communauté de commune en compte plus de 30 %. Refusant et incapable de faire face à cette obligation – la commune ne possède même pas l’espace foncier pour les bâtir –, la mairie subit de lourdes pénalités : plus de 50.000 euros par an ces deux dernières années.

Ses administrés se rassembleront pour le soutenir ce samedi à 10h.

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Yvan Benedetti mis en examen pour reconstitution de ligue dissoute

20 Novembre 2014, 13:18pm

Publié par Thomas Joly

Le président de l’Œuvre française Yvan Benedetti a été officiellement mis en examen pour reconstitution de ligue dissoute.

Depuis plusieurs semaines, le mouvement nationaliste est l’objet de toutes les attentions de la justice « indépendante ». Pendant que ministres et députés escroquent et détournent des milliards, pendant que des enfants de France sont invertis à l’islam et transformés en tueurs, pendant que les patrons voyous plongent dans la misère des millions de Français en délocalisant et en s’octroyant des « retraites chapeaux » et des augmentations scandaleuses, et que les mafias pillent notre pays, la justice s’acharne sur les nationalistes.

Cette mise en examen ne faisait aucun doute et Yvan Benedetti n’a jamais varié face au gouvernement socialiste. Il a maintenu sa position durant cette ultime audition devant la justice aujourd’hui, une audition qui a été « très brève ».

« Je m’en suis tenu à une déclaration de principes […]. L’Œuvre française existe toujours, car ce n’est pas à un gouvernement qui a deux ans d’existence de prononcer l’interdiction d’un mouvement qui existe depuis 1968 » a-t-il rappelé.

Manuel Valls avait utilisé la mort d’un jeune gauchiste à la fin du printemps 2013 pour dissoudre deux mouvements nationalistes sans le moindre lien avec ce fait divers, l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes (JN). Le fondateur des JN, Alexandre Gabriac, pourrait également être mis en examen pour le même motif.

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Matchs truqués, corruption : la maison foot menace ruine (par Joris Karl)

20 Novembre 2014, 12:48pm

Publié par Thomas Joly

Ce mardi 18 novembre a été un mardi noir pour le Wall Street du ballon rond. Deux bombes ont explosé au-dessus des terrains en même temps, provoquant la chute du Black 40, l’indice de crédibilité de Pape Diouf, moraliste et gardé à vue, désintégrant l’image vaguement ripolinée d’un foot hexagonal gavé de Benzenul et de loustics en Ferrari. Cervelle de moule, vigueur de bulot, les « experts » du jeu à onze ont gerbé dans le confessionnal télé toute la sainte journée. La frousse. La drouille en fusion le long des pantalons. La maison foot est menacée dans ses fondations.

Dire que, drapé dans ses beaux sentiments, il y a encore quelques jours, Pape Diouf appelait les joueurs noirs « à boycotter une journée de championnat » suite aux déclarations de Sagnol. Il n’aura plus le temps de jouer au père la morale ces prochains jours !

Son collègue Vincent Labrune, président de l’OM, a été comme lui interpellé par les flics le jour du match des Bleus à Marseille. L’ambiance était lourde. Sur place, le correspondant d’i>Télé semblait craindre une rafale perdue. Je parle de mistral, bien sûr. Oui, des balles perdues, le trio ball-chevik, la troïka des impurs, Labrune, Diouf (président de Marseille de 2004 à 2009) et Dassier (2009-2011) vont en ramasser à la pelle ! En ces temps de réchauffement climatique, l’hiver sera ardent. J’oubliais : les gaillards ont été gardés à vue dans le cadre de l’enquête sur le transfert d’André-Pierre Gignac, le buteur gitan de l’OM. Oui, je sais, ça fait encore plus glauque. Pour faire simple, la répartition des commissions liées au transfert — en 2010 — se serait faite un peu bizarrement. Mais n’allez pas trop parler de magouilles ou de blanchim… Non j’ai rien dit. C’est sans doute encore un complot parisien contre la cité phocéenne.

Une mauvaise nouvelle arrive rarement seule. 21 ans après l’affaire VA-OM, c’est le tour de Nîmes, et sans doute d’autres clubs de seconde division, d’être embourbés jusqu’à l’écharpe de supporter dans un scandale de matchs arrangés. Déjà que le spectacle proposé par le championnat de France est d’une nullité assommante, si en plus les résultats sont pliés d’avance… En mai 2014, le match Caen-Nîmes s’était terminé sur un nul 1-1 salvateur pour les deux clubs : les Normands montaient en L1, les « Crocos » se maintenaient en L2. Pour assurer le coup, et le match nul, le président nîmois aurait offert… 400 bouteilles de vin à son homologue. De quoi fêter ça !

Sentant le vent du boulet se rapprocher, l’inénarable président de la ligue professionnelle Frédéric Thiriez, coupe de cheveux des années 30 et lunettes de Léon Blum, fit une déclaration sur l’honneur de « tout faire ce qui était en son pouvoir blablabla et de lutter avec toute sa force, etc. » ; Sorte de Copé du foot, notre saint homme n’est bien sûr au courant de rien. Rassurez-vous, Français, il n’y pas que la politique qui sent le poisson pourri…

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Congrès européen samedi 22 novembre : le réveil des Nations

20 Novembre 2014, 12:38pm

Publié par Thomas Joly

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Valérie Pécresse veut désendoctriner les djihadistes « français » à leur retour

19 Novembre 2014, 14:44pm

Publié par Thomas Joly

L'ancienne ministre UMP ne souhaite pas emprisonner les islamistes tarés qui reviennent de Syrie ou d'Irak après avoir massacré hommes, femmes et enfants au nom du Djihad. Non, elle veut seulement leur rappeler les valeurs de la République dans des « centres de désendoctrinement ». Tant qu'elle y est, elle pourrait aussi proposer de leur verser une pension d'anciens combattants...

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La population SDF en France en hausse de 44 % en 11 ans

19 Novembre 2014, 09:55am

Publié par Thomas Joly

Le dernier portrait social de l'Insee fait état de la nette augmentation du nombre de sans domicile fixe dans l'Hexagone ces dix dernières années. Des précaires qui doivent parfois compter sur la générosité pour survivre, notamment celle des Restos du Cœur, dont la 30e campagne débute lundi.

En 2012, la France comptait 112.000 SDF, dont 31.000 enfants, dans les moyennes et grandes agglomérations, un chiffre en hausse de 44 % en 11 ans, selon une étude de l'Insee rendue publique mercredi.

Dans son "Portrait social de la France", l'Insee dévoile la "grande diversité" de la population de sans-domicile en France, à partir d'une enquête sur les personnes ayant fréquenté les services d'hébergement ou de restauration dans les agglomérations de plus de 20.000 habitants, au premier trimestre 2012.

Depuis la dernière étude menée sur les sans-domicile, en 2001, leur nombre a augmenté de 44 %, pour s'établir à 81.000 adultes et 31.000 enfants. Le chiffre ne couvre pas toute la réalité des sans-domicile, certainement plus nombreux, si l'on inclut notamment ceux qui ne fréquentent aucun service d'hébergement ou de restauration, et ceux vivant dans des communes rurales ou de moins de 20.000 habitants.

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Science Po Paris : après Descoings le débauché, Chauveau la plagiaire

19 Novembre 2014, 09:23am

Publié par Thomas Joly

Il y a deux ans, Science Po faisait l’actualité avec l’annonce de la mort de son directeur Richard Descoings à New York après une orgie. Les conditions de sa mort n’ont jamais été véritablement éclaircies : son ordinateur avait été retrouvé explosé et deux jeunes hommes avaient été vu quittant la chambre d’hôtel où il fut retrouvé mort, officiellement d’une crise cardiaque. C’est son amant Guillaume Pépy qui était venu reconnaître le corps.

Ce lundi, c’est l’annonce de la mise en congés de l’une des cadres de Sciences Po qui remet l’un des pires organes de la formation de l’élite politiquement correcte au cœur de l’actualité.

Agnès Chauveau a été dénoncée par d’autres journalistes, notamment de l’équipe d’Arrêt sur images, pour de nombreux plagiats pour ses chroniques à la radio dite, sans doute par ironie, France Culture. Elle publiait ensuite certaines d’entre elles sur le Huffington Post, le site dirigé par Anne Schwartz-Rosenberg dite Sinclair.

Cette « spécialiste des médias et du politique » dirigeait jusque-là l’École de journalisme (EDJ) de Sciences Po ; malgré l’extrême gravité des accusations, très étayées, elle demeure productrice et chroniqueuse à Radio France.

Parmi les articles de cette « spécialiste », digne représentante de Science Po, signalons : « Les médias sont-ils racistes ? », « Faut-il supprimer les vœux politiques ? », « Faut il [sic] supprimer les sondages en lignes ? » ou encore « La télévision doit-elle nous faire rire à tout prix ? ».

Pour toute justification elle a déclaré : « J’oublie de citer certains papiers, mais ce n’est jamais volontaire ».

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Seine-Singe-Denis

19 Novembre 2014, 09:16am

Publié par Thomas Joly

Les pompiers ont capturé dimanche dernier un magot qui se promenait en liberté au Blanc-Mesnil, en Seine-Saint-Denis occupée. Le petit singe a probablement été relâché par un occupant d’une cité proche. Parmi diverses autres populations animales exotiques et inassimilables importées en France et notamment en Seine-Saint-Denis, les macaques de Barbarie demeurent prisés.

Ces singes sont ramenés illégalement d’Afrique du Nord, font l’objet d’un marché noir et sont souvent maltraités et rendus extrêmement agressifs par les racailles qui organisent des combats clandestins.

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Allemagne : des élus de gauche veulent 50% de « feux tricolores féminins » dans leur ville…

19 Novembre 2014, 09:09am

Publié par Thomas Joly

La prétendue « égalité » de gauche fait prendre bon nombre de décisions ridicules et plus ou moins graves, mais les élus socialistes et écologistes de la petite ville de Dortmund, dans l’est de l’Allemagne, font fort : ils veulent désormais que 50 % des feux tricolores de leur ville représentent des femmes…

Une petite dizaine de villes ont déjà installé des « feux féminins », mais aucun élu n’avait été jusqu’à demander la parité !

Comble du grotesque, des féministes ont déjà protesté contre ces feux, non parce que l’idée est idiote, mais parce que le pictogramme féminin… porte une robe !

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