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Le blog politique de Thomas JOLY

Le boxeur accusé d'avoir frappé des gendarmes s'est rendu, il a été placé en garde à vue

7 Janvier 2019, 15:04pm

Publié par Thomas Joly

Christophe Dettinger, l'ancien boxeur accusé d'avoir frappé des gendarmes lors de l'acte VIII des « gilets jaunes », s'est présenté de lui-même à la Sûreté territoriale, selon les informations de France 2. Christophe Castaner a annoncé qu'il avait été placé en garde à vue et qu'il est actuellement entendu. Selon la chaîne, son domicile a également été perquisitionné.

La scène avait rapidement enflammé les réseaux sociaux. Alors que forces de l’ordre et « gilets jaunes » s’affrontent sur la passerelle Leopold-Sédar-Senghor, qui traverse la Seine et relie le jardin des Tuileries au musée d’Orsay, il a repoussé à mains nues des gendarmes mobiles pourtant munis de boucliers, de matraques et de casques.

Avant de se rendre aux autorités, le boxeur a publié une vidéo expliquant son geste.

Source : http://valeursactuelles.com

 

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« Grâce aux Gilets Jaunes, les Gaulois démontrent qu'ils n'ont rien perdu de leur virilité »

7 Janvier 2019, 07:42am

Publié par Thomas Joly

Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, se félicite que le peuple français, par l'intermédiaire de la révolte des Gilets jaunes, prouve qu'il n'est pas constitué que d’efféminés fragiles comme on en croise dans les grandes villes.

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Le gouvernement annonce la constitution de listes d’opposants et une répression massive contre les Gilets Jaunes

7 Janvier 2019, 07:34am

Publié par Thomas Joly

Après des milliers de blessés dont des dizaines grièvement, le gouvernement français veut encore accroître la répression contre la population révoltée contre le racket d’état.

Au programme : constitution de liste d’opposants, arrestations de masse, répression toujours plus violente.

Le Figaro (source) :

Après l’acte VIII des « gilets jaunes », entaché par un déferlement de violences et l’intrusion au tire-palettes dans la cour du porte-parolat du gouvernement, rue de Grenelle à Paris, l’exécutif bombe le torse et promet une contre-offensive. Matignon planche sur « une réponse d’une grande fermeté et sans complaisance par rapport à ce qui s’est passé », selon un conseiller.

Dimanche, le premier ministre, Édouard Philippe, a réuni son ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, et son secrétaire d’État, Laurent Nuñez, pour en définir les contours. « Le gouvernement avait durci le ton sans vraiment durcir son action », estime un ministre. Lequel croit savoir qu’il y « aura désormais des mesures plus fortes comme l’établissement de listes de casseurs, des arrestations plus systématiques, des consignes de plus grande fermeté aux forces de l’ordre ».

La qualification de « casseurs » sera déterminée arbitrairement par le gouvernement qui pourra ainsi prendre des mesures administratives contre les opposants qu’il sélectionnera.

Déjà évoqué récemment, le ministre de l’Intérieur français Christophe Castaner entend faire des listes de citoyens qui seront interdits de manifester, une liberté fondamentale reconnue internationalement (lire ici).

Source : http://breizatao.com

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Gilets jaunes, saison 8 : entre coups de menton et coups de boutoir

7 Janvier 2019, 07:29am

Publié par Thomas Joly

Benjamin Griveaux continue à jeter de l’huile sur le feu à travers ses tweets. L’un de ses derniers, en date de samedi, rappelle d’ailleurs quelle attention il porte à Éric Drouet : « Tout mon soutien aux équipes de @lestrepublicain ! En même temps, rien d’étonnant quand on sait que #EricDrouet considère @RTenfrancais comme le seul media libre en France… » Un tweet envoyé après que des gilets jaunes ont tenté, samedi, de bloquer le siège social du journal L’Est républicain près de Nancy. Éric Drouet était présent sur place ?

Ce même samedi, j’ai participé à la manifestation déclarée de l’hôtel de ville qui devait nous conduire, via les quais de la rive gauche, à l’Assemblée nationale. Dès le départ, alors que nous étions coincés dans une petite rue, un barrage de gendarmes nous balance une grenade qui éclate les oreilles, suivie de gaz lacrymogène. De quoi commencer à énerver la foule. Le temps d’avaler un croque-monsieur pendant que le cortège était finalement autorisé à traverser la Seine, me revoilà en queue de cortège. Tout semble être parfait. Une manif normale. « Macron démission » ou le chant de « Ciao bravo bravo », revisité par des paroles très politiques, retentissent. Rien à signaler. La foule est là, en gilet jaune ou pas. Jeunes et vieux. C’est une manif autorisée. Ce que niera, plus tard, un CRS barrant l’un des ponts donnant sur le Louvre et qu’il est impossible de franchir.

Les gilets jaunes, jusque-là fort pacifiques, vont se retrouver boulevard Saint-Germain, puis derrière l’Assemblée nationale gardée comme le trésor de la couronne, puis dans une nasse. Dès lors, on ne peut pas s’empêcher de penser au laxisme dès lors qu’il s’agit de vider les cités de leurs trafics ou le marché aux voleurs de Barbès. Je n’ai pas assisté, plus tard, au saccage du boulevard Saint-Germain qui s’est déroulé malgré d’impressionnantes forces de police, comme si les casseurs avaient toute liberté pour ce faire. En revanche, j’ai vu des touristes ahuris devant un tel déploiement de fourgons de police tout autour du Grand Palais jusqu’à la Concorde. Le tout dans un déchaînement de sirènes assourdissantes destiné, sans doute, à impressionner les passants.

Car c’est bien le problème auquel doit faire face Christophe Castaner et son patron. Celui de mater cette rébellion, qui, au bout de huit semaines, résiste, malgré toute la propagande diffusée depuis Noël. Nombre des ronds-points qui auraient dû être évacués, de force ou non, ne l’ont pas été. Et les manifestations à travers la France ont montré la puissante vague jaune. Loin, encore une fois très loin des chiffres officiels relayés avec complaisance par les chaînes d’info en continu. 25.000 samedi soir. 50.000, lit-on, ce dimanche matin… Alors qu’ils étaient probablement dix mille à travers Paris, plusieurs milliers à Toulouse, 4.500 à Bordeaux, selon la préfecture (pourquoi pas 4.521 ?), 4.000 à Rouen, 2.500 à Laon, plusieurs grosses centaines au Puy-en-Velay, où les paysans se sont joints aux gilets jaunes avec leurs tracteurs, etc.

En bref, ça sent quand même un peu la fin de règne. Cet acharnement à coups de grenades et de gaz lacrymo n’est dû qu’aux ordres venus de très haut. Pour décrédibiliser le mouvement, il faut exciter la foule. J’ai assisté à ce jeu malsain.

Et pour exciter la foule, les mots prononcés par Macron et Griveaux ont sans doute été décisifs pour marquer cette huitième saison du feuilleton gilets jaunes. Alors quand ce dernier proclame, après l’irruption d’un engin dans la cour de son ministère, que « ce n’est pas moi qui ait été attaqué, c’est la République », on peut lui rétorquer que ses coups de menton de ces derniers jours ne sont peut-être pas pour rien dans ce coup de boutoir contre la porte d’un ministère.

Floris de Bonneville

Source : http://bvoltaire.fr

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Migrants : accord franco-britannique collaborationniste

7 Janvier 2019, 07:14am

Publié par Thomas Joly

Annoncées vendredi avec tambours et trompettes, les dispositions prises par les gouvernements français et britanniques visant à « stopper les traversées illégales de la Manche par des clandestins » s'inscrivent dans la grande tradition collaborationniste de la gestion européenne de l’immigration, faite de renoncement et d'acceptation passive de la colonisation.

Loin de revenir sur les fameux accords du Touquet signés par Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur de Jacques Chirac en 2003, accords qui revenaient à confier à la France le soin de jouer les gardes frontières en région calaisienne, les mesures annoncées viennent en renforcer les grandes lignes avec tout au plus un concours à peine plus actif des forces de sécurité maritimes du Royaume encore uni. Castaner, de fait, à tout simplement cédé à son homologue britannique qui, légitimement irrité de ce que 504 clandestins avaient réussi ces derniers mois à gagner les rives anglaises, réclamait à cor et à cri une politique plus ferme de la France qui devra donc tout faire pour conserver ses populations allogènes sur son territoire si accueillant,

D’avantage de patrouilles sur les côtes comme le prévoit le protocole signé, plus de présence de bâtiments anglais, contrôle « 24h sur 24 » des espaces maritimes, lutte prétendument accrue contre les filières de passeurs… Rien de tout cela ne changera évidemment quoi que ce soit à la réalité d'une situation invasive des deux côtés du Channel ni surtout à celle, chaque mois plus dégradée, que connaissent les Calaisiens et que subissent tout au long des côtes de la Manche nos compatriotes sur un sol français abandonné aux tribus de jungles dix fois démantelées et dix fois reconstituées, un sol français en voie d’envahissement.

Pour le Parti de la France, il ne s'agit pas d'empêcher les migrants de franchir la Manche mais de leur interdire définitivement et par tous les moyens de traverser la Méditerranée.

Ou alors, en sens inverse…

Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et argumentaire

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« Que les Verts montrent l'exemple et arrêtent de se reproduire, ils rendront service à la planète ! »

6 Janvier 2019, 12:54pm

Publié par Thomas Joly

Carl Lang, Président du Parti de la France, répond à Yves Cochet et aux écologistes tarés qui veulent que les Français cessent d'avoir des enfants pour mieux accueillir les migrants.

 

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Lundi sans viande et sans poisson ? Mais foutez-nous la paix !

6 Janvier 2019, 12:22pm

Publié par Thomas Joly

C’était en septembre dernier, soit une éternité à l’échelle du temps médiatique. On nous expliquait alors, courbes et graphiques à l’appui, que « par convictions écologiques, des hommes et des femmes du monde entier ont choisi de renoncer à avoir des enfants pour sauver la planète ».

« Faire moins d’enfants, le geste écolo ultime ! » était alors l’injonction très progressiste des GINK (pour Green Inclinations, No Kids) dont la représentante nous assenait sa morale : « La maternité devrait être plus réfléchie. Il s’agit d’un choix qui va au-delà d’un besoin personnel égoïste, mais qui doit aussi prendre en compte l’intérêt de tous. » Une évidence, disais-je alors, car les enfants sont comme les vaches : ils dégazent abondamment, font leur rototo sans retenue et salissent des couches en quantité. Pouaaah, les sales bêtes !

Mais ça, comme dit la pub, c’était avant. Avant que nos vedettes ne prennent les choses en main. Attention, ne voyez là aucune allusion salace. Il n’est pas (encore) question de faire la police des braguettes au nom de l’écologie. Simplement de nous priver de viande et de poisson le lundi.

Lundi, ce sera donc raviolis. Mais ravioli ricotta-épinards ou champignons, pas bœuf. Ainsi en ont décidé des « personnalités » qui, dans une tribune publiée mercredi soir dans Le Monde, affirment qu’« il existe aujourd’hui des raisons impératives de diminuer collectivement notre consommation de chair animale en France ». Bien sûr, toutes ces belles personnes le reconnaissent : « Bien que ces évolutions de pratiques individuelles ne soient pas suffisantes pour produire tout le changement nécessaire (qui relève, naturellement, d’un niveau plus global), nous pensons qu’elles y contribuent. »

Ils sont 500 à avoir signé la pétition pour un « lundi vert », ou « viande free », comme ils disent, assurant : « Nous nous engageons à titre personnel à remplacer la viande et le poisson chaque lundi (ou à aller plus loin dans ce sens). »

Et là, je me marre : qui va vérifier dans l’assiette d’Adjani, de Juliette Binoche ou de Boris Cyrulnik s’il ne traîne pas un bout de steak ou quelques arêtes de poisson ?

Tout cela n’est, une fois de plus, qu’une gigantesque fumisterie. Une colossale escroquerie intellectuelle. Une bouffonnerie de VIP en mal de gilet jaune.

En passant, mesure-t-on l’énormité de la chose qui consiste à se faire donner des leçons de “nature” par des femmes dont certaines sont plastifiées comme des ballons, les cheveux teints et reteints, bouffies au Botox, le front paralysé et les lèvres gonflées comme des pneus ? C’est à peu près aussi crédible qu’un serment de Cahuzac ou un cours magistral sur l’honnêteté par Balkany. Et, comme le souligne, auprès de l’AFP, Christiane Lambert, l’actuelle présidente de la FNSEA, on peut s’étonner de « voir des artistes, hommes ou femmes célèbres, donner des leçons entre trois allers-retours entre Paris et New York ».

Plus sérieusement : va-t-on, enfin, nous foutre la paix ? Il y en a marre, de toutes ces injonctions liberticides, de ce terrorisme à prétention sanitaire qui, insidieusement, nous prive chaque jour un peu plus des petits plaisirs quotidiens : plus de tabac, plus d’alcool, plus de vitesse, plus de viande, plus de poisson… Sans parler des grands plaisirs et des bonheurs élémentaires de l’existence : faire et avoir des enfants !

Par pitié, lâchez-nous !

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Alain Juppé prêt à rejoindre Emmanuel Macron. Ou à le remplacer ?

6 Janvier 2019, 12:03pm

Publié par Thomas Joly

Le départ d’Alain Juppé de LR était attendu. Après sa défaite à la primaire face à Fillon en 2016, après l’élection de Wauquiez et la nomination de son poulain Édouard Philippe à Matignon, la messe avait été dite et redite : ce qu’il reste de LR se situe nettement à droite et Alain Juppé au centre.

Du reste, ce départ correspond au calcul d’Emmanuel Macron qui, dans la recomposition politique qu’il souhaite pour les européennes, voulait attirer cette ultime frange de leaders de droite europhiles. C’était le plan arrêté lors du déjeuner du 24 octobre lors duquel Emmanuel Macron avait reçu Alain Juppé en tête-à-tête à l’Élysée.

Mais voilà, tous ces châteaux en Espagne – ou en Aquitaine, où le Président devait d’ailleurs faire un déplacement officiel en ce mois de janvier pour concrétiser cette entente -, c’était avant. Avant que le Président ne trébuche et que la cruche se casse. Les cailloux coupables sont connus : Benalla, qui n’arrive pas à quitter la chaussure du Président, mais surtout les gilets jaunes, qui ne veulent pas libérer le chemin de notre Perrette présidentielle.

Avec un Président affaibli et dont l’impopularité record frise la détestation au point que ses déplacements en province sont limités, le scénario d’une liste soutenue par les deux têtes d’affiche Macron et Juppé n’est plus tout à fait le même. Surtout sur une ligne opposant les progressistes aux populistes. Le succès est loin d’être garanti. Les sondages le disent.

Mais alors, pourquoi Alain Juppé déroule-t-il le scénario comme si de rien n’était ? N’aurait-il pas vu l’état du pays et du Président ? Il y a peu de chances, puisque l’un des points les plus chauds des gilets jaunes en province, samedi après samedi, se situe précisément à Bordeaux, sur la place Pey-Berland, sous ses fenêtres.

Dans cette situation de crise grave d’où personne ne sait vraiment comment sortir, et où la personne du Président est devenue un point de crispation, une démission d’Emmanuel Macron dans les mois qui viennent, selon la tournure des événements, n’est pas à exclure. Le pays déboussolé chercherait une solution pour faire oublier les erreurs de ce trop jeune Président dont l’arrogance aura mis le feu.

Après la fable du « nouveau monde » agité de Macron – qui n’était qu’un remake de l’ancien –, l’ancien reprendra ses droits, mais avec des anciens. Alain Juppé sera tout désigné. S’il quitte aujourd’hui LR, ce n’est peut-être pas seulement pour rejoindre Macron, mais pour le remplacer. Et les compliments qu’il a faits au Président pour ses vœux seront un atout. Il serait, effectivement, le mieux placé pour le convaincre poliment, le moment venu, de quitter l’Élysée. Et, ainsi, obtenir le soutien de son parti pour le remplacer, sur une ligne d’apaisement et d’union nationale qu’Emmanuel Macron ne peut plus incarner.

Un autre signe du retour des grands anciens ou des vieux sages, et de leur inquiétude quant à la tournure que prend la situation ? L’interview publiée, il y a trois jours, par Le Monde d’Hubert Védrine, ancien ministre des Affaires étrangères sous Jospin et Chirac, ancien secrétaire général de l’Élysée sous Mitterrand. Même âge que Juppé. Même profil. Une interview où, à côté de satisfecit obligés au nouveau Président, il dénonce la ligne qu’il a choisie pour les européennes (et qui est, aussi, celle qu’il adopte contre les gilets jaunes) :

« Il n’y aura pas, aux prochaines élections européennes de mai 2019, un affrontement binaire entre populistes et progressistes, c’est plus compliqué et, de toute façon, il faut voir au-delà de cette échéance. La demande des peuples européens d’un meilleur contrôle des flux migratoires, qui n’est pas la fermeture, doit être entendue. Aucun peuple européen n’est favorable à l’immigration massive, et on ne fera pas disparaître le sujet en les accusant de xénophobie. »

« Voir au-delà de cette échéance » et du quinquennat plombé d’Emmanuel Macron : c’est ce que font un Juppé et un Védrine. Ça tombe bien, les Français aussi.

Frédéric Sirgant

Source : http://bvoltaire.fr

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Le roquet de Macron, Benjamin Griveaux, se sauve comme un pleutre devant les Gilets jaunes !

5 Janvier 2019, 20:38pm

Publié par Thomas Joly

Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, jamais avare d'une déclaration haineuse et/ou mensongère à l'égard des Gilets jaunes, a dû être évacué ce samedi après une intrusion dans les locaux de son secrétariat d’État à Paris.

Selon un témoin présent sur place, « vers 16h30, une quinzaine de personnes, certaines habillées en noir, d’autres avec un gilet jaune, ont défoncé la porte du ministère avec un engin de chantier. » Les intrus sont rentrés dans la cour, s’en sont pris à des véhicules et sont rapidement repartis. Le secrétaire d’État et ses collaborateurs ont été évacués en catastrophe.

« Ce n’est pas moi qu’on attaque, c’est la République et les institutions », a estimé, tremblotant, Benjamin Griveaux. « C’est le fait d’une minorité mais c’est gravissime et inadmissible », a-t-il encore jappé devant plusieurs caméras de télévision.

Les lieux, rue de Grenelle, abritent également le ministère des Relations avec le Parlement et se situent non loin de Matignon. Selon Le Parisien, des tentatives d’intrusion ont également eu lieu dans d’autres ministères.

Source : http://www.leparisien.fr/politique/benjamin-griveaux-evacue-de-ses-bureaux-apres-une-intrusion-violente-05-01-2019-7981473.php#xtor=AD-1481423552

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Acte VIII : très grosse mobilisation des Gilets jaunes niée de manière ridicule par les médias et le gouvernement

5 Janvier 2019, 19:52pm

Publié par Thomas Joly

Samedi 5 janvier, le gouvernement espérait de toutes ses forces que l'Acte VIII des Gilets jaunes serait un échec, multipliant, les jours précédents, les déclarations haineuses et arrogantes comme quoi ils ne seraient plus qu'une poignée de fous dangereux et irresponsables.

Hélas pour Macron et sa clique, malgré une nouvelle répression féroce des supplétifs du pouvoir en place que sont devenues les « forces de l'ordre », malgré des chiffres de participation ridiculement sous-estimés par les médias d'État et de la police politique contredisant toutes les images, des dizaines de milliers de Français « réfractaires » ont déferlé dans les rues de Province et de la capitale.

C'est donc à une véritable révolte que doit faire face un Système vermoulu, clairement désavoué par le peuple français, défendu par des larbins casqués qui, pour quelques centaines d'euros de prime, n'hésitent pas à commettre des violences inouïes contre les Gilets jaunes. Il ne reste plus que l'oligarchie politico-médiatique pour vouloir maintenir en vie cette Ve République moribonde dont l'agonie ressemble à celle des pires dictatures communistes ou africaines...

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Carl Lang et le Parti de la France vous souhaitent une très bonne année 2019 !

1 Janvier 2019, 01:47am

Publié par Thomas Joly

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Le Parlement européen mobilise les électeurs d’origine africaine pour contrer les « populistes »

31 Décembre 2018, 14:58pm

Publié par Thomas Joly

Avec le soutien du Parlement Européen et de la République française, l’African Diaspora Youth Forum in Europe (Adyfe) mène une campagne visant à ce qu’un maximum de personnes d’origine africaine votent aux prochaines élections européennes. Cette campagne intitulée #Diasporavote ne cache pas avoir, entre autres, pour objectif de contrer la montée des partis dits populistes ou d’extrême-droite.

Ainsi, Céline Fabrequette, de l’African Diaspora Youth Forum in Europe, répète aux journalistes son inquiétude au sujet « des évolutions politiques dans des pays comme l’Autriche ou l’Italie ».

Source : http://medias-presse.info

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Pétition climat : l’affaire du siècle ou l’arnaque du siècle ?

31 Décembre 2018, 10:40am

Publié par Thomas Joly

Ces derniers jours, sans doute avez-vous entendu répéter régulièrement, dans les médias, un message du type : « Il y a, en ce moment, une pétition qui cartonne. Jamais, en si peu de temps, on n’était arrivé à regrouper autant de signatures. » Il s’agissait, bien sûr, de la pétition en faveur du climat lancée par quatre ONG écologistes : Greenpeace, Oxfam, la fondation Hulot et Notre affaire à tous.

Cette évolution stupéfiante du nombre de pétitionnaires (400.000 en douze heures, selon un tweet de Greenpeace) a éveillé la curiosité de certains internautes et du club des professionnels en informatique, qui se sont amusés à signer plusieurs fois, voire plusieurs milliers de fois, à l’aide d’algorithmes afin de vérifier la robustesse des contrôles de signature.

Évidemment, ils n’ont pas été déçus. Cette pétition, hébergée par l’un de ses organisateurs, la plate-forme Greenpeace France, pouvait faire l’objet de signatures automatiques car aucun contrôle par retour d’e-mail ou CAPTCHA® n’a été mis en place. Pire : comment ne pas imaginer que cette organisation, tellement active pour le sauvetage de la planète, n’a pas été tentée de manipuler des bases de données d’e-mails pour faire des imports de pétitionnaires, comme le suggère, avec de bons arguments, le consultant Cédric Moro, dans un article pour le journal Contrepoints ? Les records de signatures, largement battus, d’autres pétitions nationales ou internationales le laisseraient à penser.

Ce manque de rigueur et d’impartialité n’a jamais été soulevé par la presse et les médias, dans leur ensemble, se sont révélés, une fois de plus, d’une légèreté accablante et d’un parti pris relevant de la manipulation.

Le ministre de l’Écologie lui-même s’est exprimé en tant que soutien du message véhiculé par ces organisations, en rappelant que « nous vivons un état d’urgence climatique », et cela, pour essayer de redorer son blason d’écologiste après le camouflet infligé à la politique de taxation des carburants.

Comment pouvait-il en être autrement, quand on sait que Greenpeace, Oxfam et la fondation Hulot appartiennent au Réseau action climat, largement subventionné par ce même ministère ? Ces subventions ont peut-être servi à la fabrication du clip de lancement de la pétition, où apparaissent quelques vedettes du show-biz, ou à l’achat d’espace publicitaires sur Facebook pour son lancement. Elles pourront peut-être servir également à soutenir l’action en Justice qu’elles comptent entreprendre contre l’État… pour inaction climatique !

Marc Le Menn

Source : http://bvoltaire.fr

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« Halte au fétichisme de l'uniforme ! »

30 Décembre 2018, 15:54pm

Publié par Thomas Joly

Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, met en garde les Français face à ces vieux généraux sur le retour qui se présentent comme des sauveurs.

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Gilets Jaunes : face à l’immigration et à la propagande, la révolte des « minus »

30 Décembre 2018, 15:16pm

Publié par Thomas Joly

Tant va la cruche à l’eau qu’elle se brise… et que se réveillent les insatisfactions et les malaises existentiels qui minent les Français. Ils ne supportent plus de voir leurs préoccupations ignorées et interdites d’antenne, de paroles publiques et même parfois de conversations privées. C’est contre ce bâillonnement étouffant et ses conséquences concrètes sur leur vie que les gilets jaunes crient leur colère et s’érigent aux ronds points contre la marche infernale de cette société mécanique inhumaine et méprisante.

Coût de l’immigration : préoccupation du peuple, pas des élites

Au premier rang des interdits, la question de l’immigration est d’autant plus ressentie qu’elle entre en concurrence financière directe avec les besoins des 9 millions de nos concitoyens placés sous le seuil de pauvreté. En 2012, Jean Paul Gourevitch évaluait déjà à 17 milliards le coût de l’immigration sur le sol français.

La suppression incomprise et hautement symbolique de l’impôt sur la fortune et l’optimisation fiscale dont bénéficient les Google, Amazone, Facebook, Apple et Microsoft sont venues provoquer la colère de « cellesetceux » qui tirent le diable par la queue alors que les milliardaires de la silicone vallée jouent les généreux en Afrique ou ailleurs pour se faire une bonne santé médiatique et pénétrer ces nouveaux marchés ! Et ce n’est pas le taux ridiculement bas envisagé pour faire payer ces géants du net qui va calmer la colère.

En fait, les Français au gilet jaune soutenus par plus de 70 % de la population ne se retrouvent pas dans les préoccupations des journalistes bobos soldés par les oligarques propriétaires des médias et vendus au mondialisme financier et politique par conviction ou nécessité de conserver leur emploi : écologie catastrophiste, immigrationnisme, manipulations biologiques, procréation médicalement assistée et gestation pour autrui… On est bien loin des préoccupations de nos concitoyens.

Une révolte contre les « fuck news » des médias de propagande

Alors face à l’ignorance de leurs angoisses, en butte à la morgue de la caste des petits morgeux prétentieux (mord gueux ?) paradant dans les arcanes du pouvoir, des « fake news » fleurissent périodiquement sur le net comme des provocations, des cris de désespoir, des protestations véhémentes et extravagantes contre ce que l’on pourrait appeler les « fuck news » abrutissantes et manipulatrices des journalistes propagandistes de la foi politiquement conforme.

En somme, des exutoires contre des bobards… au premier rang desquels la fameuse nécessité de « sauver la planète », comme si depuis sa naissance il y a 4 milliards d’année elle avait eu besoin de l’homme pour exister! Quelle mégalomanie que de prétendre avoir une influence significative sur la vie ou la mort de notre astre ! Quelle hypocrisie de cacher sous une apparente attitude généreuse pour les générations futures une volonté de détruire la civilisation occidentale industrialisée à coup de taxe carbone !

Autre bobard : faire croire que l’immigration est l’avenir de l’homme. C’est pourtant la dernière manœuvre de l’ONU avec le pacte de Marrakech qui conduira à la submersion et à la destruction des nations développées sans pour autant assurer une vie meilleure aux immigrés et à leur pays d’origine.

Face à ce mépris des Français qui s’est installé depuis 40 ans, de Pompidou qui met les finances de l’État dans les mains des banquiers, à Giscard qui sacrifie l’unité nationale en encourageant l’immigration, de Mitterrand renonçant au socialisme à la française pour rejoindre le libéralisme européen, à Chirac qui abandonne ses grandes envolées patriotiques pour inféoder lui aussi notre pays à l’Europe mondialiste et technocratique, de Sarkozy bafouant le vote de 2005 des Français contre la constitution européenne, à Hollande qui oublie illico élu que « la Finance c’est l’ennemi », et enfin Macron, qui après avoir déclaré avec grandiloquence aux Français qu’il les aimait, accuse la France d’avoir commis lors de son entreprise coloniale des crimes contre l’humanité et lui nie par ailleurs toute spécificité culturelle. Face à toutes ces trahisons tranquilles et relayées par des médias inféodés, il ne faut pas s’étonner des accès de colère et de violence.

Une révolution sans violence est-elle possible ?

Mais quelle révolution a évité ces regrettables dérives ? Notamment pas celle de 1789 qui est pourtant fêtée et cautionnée chaque année et sert de référence pour tous ceux qui aujourd’hui font semblant de s’émouvoir des débordements violents qu’ils ont eux-mêmes mis en scène et instrumentalisés avec l’aide de sauvageons et d’extrémistes pour déconsidérer la cause du peuple de France.

Il est d’ailleurs amusant de voir que ceux qui ont voté Macron par peur des troubles qu’auraient suscitées l’élection hautement improbable de Marine Le Pen, tremblent maintenant des errements de leur champion inexpérimenté.

En fait, pour paraphraser Clémenceau, la politique est trop sérieuse pour la laisser entre les mains des politiciens et des technocrates qui sont tentés d’abuser de leurs rentes de situation comme d’autres font de l’abus de biens sociaux. C’est pour éviter cette dérive que la démocratie représentative doit être contrôlée et complétée par des mécanismes de démocratie directe, notamment le référendum d’initiative citoyenne qui sera un aiguillon indispensable pour que nos représentants ne nous oublient pas et ne perdent pas de vue leur mission !

« Le désespoir en politique est une sottise absolue ». La révolte des gilets jaunes démontre par sa vigueur, sa vérité, son courage et sa légitimité combien cette sentence est vraie. Grâce à eux, la France se débarrassera peut être des carcans multiples qui la séparent de son histoire et de son génie, tel un Gulliver entravé par des minus !

Pierre Lours

Source : http://polemia.com

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