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Le blog politique de Thomas JOLY

Nouvelle attaque islamiste dans un centre commercial de Münich

22 Juillet 2016, 19:19pm

Publié par Thomas Joly

Des coups de feu ont été signalés dans un centre commercial de Munich en Allemagne. Selon des témoins, il y aurait plusieurs morts et plusieurs blessés. La police, elle, évoque un mort et 10 blessés. Selon la police toujours, il n’y aurait qu’un seul tireur. 

Un vaste secteur autour du centre commercial Munich Olympia a été bouclé par les forces de l'ordre.

Source : https://m6info.yahoo.com/allemagne-des-coups-de-feu-1477596634341430.html

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Antisémitisme : quels antidotes ? (par François-Xavier Rochette)

22 Juillet 2016, 17:02pm

Publié par Thomas Joly

Le 12 juillet dernier, L'Obs relayait le mécontentement du directeur du musée de ce qu'on appelle la shoah de Washington (United States Holocaust Memorial Museum). Le patron du musée spécialisé dans la pédagogie infantile (il existe 22 musées géants de ce type aux Etats-Unis), Andrew Hollinger, fit son cinéma (le plus gros donateur du musée n'est autre que Spielberg) parce que quelques visiteurs shoatiques n'auraient pas, selon ses dires, respecté religieusement les codes des lieux (visage éteint, souffreteux, yeux humides, pâleur, nausée...) en jouant, dit-il, à la nouvelle application célébrée par le media obèse, le fameux Pokémon Go. Ce jeu vidéo qui met du virtuel dans la réalité et qui incite ses participants à galoper, à droite, à gauche, à parcourir des kilomètres pour capturer de nouvelles créatures fictives sorties de quelques cervelles japonaises ne doit pas tourner en ridicule le musée du mal absolu. C'est un blasphème ! Le jeu fonctionne pour le moment en Australie et aux Etats-Unis (et à la frontière canadienne) et ferait donc fureur au point de rendre complètement abrutis un tas de jeunes qui n'en demandaient pas tant. Les Pokémons peuvent se trouver partout et même, donc, dans un musée propret dédié à la mémoire de l'Indicible. Quand le virtuel vient faire de l'ombre à l'inexprimable, quelle ironie ! Partout dans le monde, les journaleux aux ordres ont mis en exergue ce cas particulier que Nintendo est sommé de résoudre. Pauvres Japonais qui ne font qu'utiliser les technologies de géolocalisation qui embrassent la Terre entière -sinon quelques zones secrètes, top défense ou très isolées.

Un coup de pub

Pour se faire de la publicité, les autorités d'Auschwitz ont fait savoir, le lendemain, le mardi 13 juillet, qu'elles n'accepteront pas d'entendre parler de ce jeu qui nuit au recueillement et à la pureté des larmes avant même que son application sur le territoire polonais soit activée... Immédiatement, les sites Internet conformes diffusèrent l'alerte des gardiens de la mémoire obligatoire. Et se moquèrent dans le même temps joyeusement du fait que l'on trouvait une foule de Pokémons dans les cimetières chrétiens, les seuls qui ne sont pas, dans leurs esprits, sanctuarisés. On en trouve plein, de ces petites bêtes, dans les cimetières, et c'est « cocasse » lit-on sur un site québéquois. Les bestioles numériques sont légion dans les cimetières et l'information n'est pas scandaleuse alors qu'il semblerait que cette surpopulation de Pokémons dans les cimetières ait été voulue par leurs concepteurs pour faire vibrer d'émotion les petites joueuses en quête de sensations fortes. Voilà où nous en sommes. Les cimetières deviennent des terrains de jeu cocasses (comme nous l'avaient appris avant Nintendo les jeunes abrutis qui déferlèrent sur les tombes des soldats de Verdun sous les ordres de François Hollande et du foutriquet Zimet) alors que la religion shoatique s'érige comme l'unique chose sacrée de la société occidentale. La seule communauté méritant protection et déférence est donc aussi la seule qui se permet d'exiger un pare-feu anti-Pokémons. Même quand les bestioles n'existent pas. A quand des revendications pour obtenir des subventions afin d'équiper Auschwitzland de canons laser anti-aliens ?

L'usure de la couverture juive ?

Ce n'est pas nouveau. La communauté diasporique a toujours tiré la couverture à elle, et en particulier en période de mauvais temps. Après l'orage, c'est toujours la cave du CRIF qui est la plus inondée ; pendant la canicule, c'est toujours la vieille Eliette qui morfle et quand la délinquance générale connaît enfin ses grandes eaux, c'est Moshe qui est dépouillé de son portable et de sa gourmette quand Martin et Christian vivraient encore l'insouciance de leur jeunesse sur le parking d'une cité radieuse en jouant au ballon avec Mamadou. C'est à la lumière de ce comportement qu'il faut analyser l'incroyable colère du dessinateur de bédé, Joann Sfar, auteur du célèbre Chat du rabbin, qui a convoqué la presse le 21 juin dernier (après les attentats du vendredi 13 et quelques jours seulement après les meurtres du couple de policiers devant les yeux de son très jeune fils) parce que, pincez-vous, un exemplaire du Chat du rabbin a été retrouvé écorné (vandalisme par écornage) dans la médiathèque de Lannion dans les Côtes-d'Armor ! Ouest-France donne immédiatement la parole à cet auteur largement surévalué par le media dégoulinant après avoir découvert son message Facebook concernant l'érosion de l'ouvrage. Il s'agit pour notre ganache habituellement primesautier sinon sémillant d'un fait extrêmement grave, d'un indice épouvantable de la montée de l'antisémitisme qui tue ! « Ils commencent par brûler des livres et après ils s'en prennent aux hommes. » Joann Sfar poursuit : « Dans ce monde où chaque semaine annonce une nouvelle tuerie, la première pensée qui me vient, c'est en plus on défonce des livres. Pardon pour mon apathie. » En plus il y a des Pokémons dans un musée à Washington, aurait-il pu ajouter,  sans, ici aussi, ressentir le ridicule de sa pleurnicherie. Et notre Cassandre de Nice (il y est né, voilà tout), toujours plein d'humilité, de prédire des temps sombres et affreux pour les membres de sa communauté. « J'arrive face à vous après quinze ans d'interventions en Zep durant lesquels j'ai vu comme (sic) enseigner la Seconde Guerre mondiale devenait un acte périlleux. Vraiment, au point où on en est, je devrais ne même pas être ému, de découvrir que mes livres qui ne parlent que de vivre-ensemble et de rapprochement entre les hommes sont l'objet de déprédations ». Enfin, aigri, appréhendant l'indifférence du Goy avec force nervosité, le pauvre, qui ne se relève pas de l'écornage de l'exemplaire de Lannion prédit l'excroissance de la haine sur toute l'humanité : « Les juifs sont un baromètre : quand on commence à cogner dessus, c'est que les libertés ne sont plus là pour longtemps. » Moins d'un mois après cette agitation qui a certainement stimulé les ventes de ses misérables albums, l'artiste s'est une nouvelle fois illustré en attaquant les chaînes de télévision française coupables de n'avoir pas assez informés et divertis les téléspectateur d'une manière agréable, réactive, la nuit durant laquelle le monstre tunisien écrabouilla plus d'une centaine d'innocents (en en tuant 84 à l'heure où nous écrivons ces lignes) le 14 juillet à Nice. Un scandale ! Tranquillement chez lui, Joann Sfar a du surfer, se plaint-il, sur le Twitter du New-York Times pour en savoir plus sur le massacre de Nice. Pourtant le  nerveux dessinateur vit actuellement à Nice et il se trouvait chez lui au moment des faits. Pourquoi n'est-il pas sorti avec son chat juif sous le bras pour essayer d'en savoir plus sur cette tuerie puisqu'il semblait tant souffrir du manque de rythme de BFM TV ? Peu importe, les media en plastique, comme 20 minutes,  ont cru important de relayer la petite colère du bonhomme dont on retransmet publiquement la  moindre éructation. L'usure de son album à la médiathèque de Lannion expliquait peut-être le déploiement d'une herse de micros devant sa grande bouche mais pourquoi devrait-on l'écouter sur un sujet qui ne concerne ni son album écorné ni la communauté juive. Quoi ?! Voulait-il observer en direct l'agonie de petits enfants sur son canapé? En quoi cela est-il important pour le lectorat des journaux ?

Croquer les antisémites en bouffons

Les livres juifs écornés dans les médiathèques gangrenées par l'antisémitisme ne constituent pas un phénomène nouveau. Mais personne avant Joann Sfar n'avait osé témoigner à visage découvert contre cet autodafé par érosion des couvertures en carton. Cependant, il semblerait que la petite communauté qui a tant souffert s'était donnée le mot pour agir sur les consciences grâce à la magie du divertissement et du cinéma en particulier qu'elle contrôle à défaut de maîtriser son art. Il faut dire qu'à force de népotisme et de cooptation tribale, le monde du septième art en France n'a jamais été aussi médiocre et sa décadence n'est pas près de s'arrêter tant ses dignitaires ont perdu toute lucidité en méconnaisant les talents et le goût du beau à la française. Mais ce n'est pas grave pour elle tant qu'elle ne souffre pas d'une concurrence sérieuse sur le plan de la diffusion des idées et de la propagande. C'est ainsi que le pouacre Yvan Attal a pu sortir son super navet le premier juin dernier, « Ils sont partout » ! Ils ont partout ! Non les Juifs, ou les gredins sectaires mais les antisémites, carrément ! Ce film n'a aucun intérêt, c'est certain. En revanche, les « critiques » adressées par quelques membres de la petite communauté sur le contenu du navet sont intéressantes sur le plan strictement politique. Sans surprise, l'on retrouve les remarques les plus décomplexées dans la revue Causeur d'Elisabeth Lévy. « Certains penseront, comme nous, pouvait-on y lire dans un papier du mois dernier, que le réalisateur aurait dû être plus explicite sur l'antisémitisme qui sévit en banlieue. Mais beaucoup hurleront qu'il en dit déjà trop. Bref, on va beaucoup en parler et nous en avons beaucoup causé. » La réponse d'Attal, l'époux de Charlotte Gainsbourg est éloquente quant à la stratégie communautaire : « Je suis d’accord, on peut le dire comme ça. Je peux comprendre qu’on ressente ça. J’ai une espèce de réponse un peu lâche mais qui est la plus sincère du monde. D’abord, quand je commence à penser au film, c’est quoi les clichés antisémites ? « Les Juifs ont de l’argent, les Juifs sont partout, les Juifs s’entraident. Les Juifs ont tué Jésus. » Il n’y a pas encore tout à fait ce « Ras-le-cul de la Shoah ! » Et il n’y a pas l’antisionisme. Cependant, je ne suis pas aveugle, au moment où je commence à écrire, je ne peux pas ignorer qu’il y a un antisémitisme musulman, et je ne veux pas entrer là-dedans parce que je sens le piège. Si j’en parle, je risque d’être attaqué, et si je n’en parle pas aussi. Donc j’essaie de slalomer. » Traduction : la petite communauté doit passer pour toute gentille devant les beurs comme Hanouna avec son gorille Mokhtar dans ses émissions absurdes. Elle n'a pas à apparaître en première ligne dans les grosses production de propagande populaire.  La confrontation directe, ce sera donc pour les autres.

L'Education nationale au service de la tribu

Pour pallier l'inquiétude des Sfar, des Attal victimes de l'antisémitisme, l'Etat pense et agit sur sa politique éducative.  Et quand on lutte contre l'antisémitisme, on ne prend pas de vacances ! C'est pourquoi une soixantaine de professeurs d'histoire-géographie des académies de Toulouse, Montpellier et Bordeaux ont participé jusqu'au mercredi 13 juillet à une très intense université d'été sur « l'enseignement de la shoah » afin d'optimiser leur rhétorique, leurs techniques pour convaincre, leur talent pédagogique. Le but affiché tranquillement ? Combattre l'antisémitisme qui est un racisme très maléfique. Pour la première fois, ce rendez-vous humaniste incontournable depuis 2008 a eu lieu en province, à Toulouse où l'on trouve une antenne du Mémorial de la shoah parisien. Séquence émotion pour les profs de shoah-géo. Qui ressortent galvanisés de ce stage de perfectionnement. Car désormais, on enseigne non seulement l'histoire shoatique mais également « le présent ». L'idée, c'est de mettre en avant la collusion entre le racisme, l'antisémitisme et le terrorisme. Une priorité pour l'Etat à Toulouse où, cette année, des lycéens ont refusé d'écouter un rescapé-martyr-survivant de la shoah pendant un cours consacré à la sensibilisation anti-antisémitique. L'objectif est de convertir au shoatisme ces jeunes-là aussi.  C'est ce que l'Etat entreprend, notamment à Vauvert, dans le Gard avec les encouragements du député Gilbert Collard, le père fouettard des antisémites maghrébins. Pourtant, car il faut les encourager, les enseignants du pays feraient malgré tout un travail merveilleux dans cette discipline qui supplante toutes les autres. « Les enseignants du collège unique me disent: « Quand on quitte les élèves le vendredi, ce sont des parfaits citoyens. Mais le lundi, quand on les retrouve, il faut tout recommencer », raconte Gilles Clavreul, délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme. Il faut toujours remettre l'ouvrage sur le métier, inlassablement. L'important est de protéger le noyau dur de la république et son assiette au beurre.

Chez nous, en France, on lâche les pédagogues dans les écoles et on incite tous les journaleux imbéciles à taper sur les cervelles à coup de shoah et de mythes faisandés. Nos voisins allemands tout ébaubis par le déferlement de migrants obsédés sexuels n'ont nonobstant pas compris la profondeur du problème perclus qu'ils sont par la dénéazication qui dure depuis plus de 70 ans. Les plus éveillés de nos amis Teutons se croyaient en sécurité lorsqu'ils échangeaient entre eux, tranquillement, sur des groupes privés gérés par le réseau social Facebook. Las, les discussions privées, les groupes privés dits « secrets », furent observés par la police de la pensée qui crut voir de l'antisémitisme ici ou là, et attaqua, et alpagua d'honnêtes Allemands pour cela. Nous sommes entrés dans une ère nouvelle, celle non pas seulement de la trépanation des consciences mais aussi celle de leurs visites impestives. On entre dans les plus petites cavités sociales pour y déceler les pensées impures qui pourraient, éventuellement, contaminer d'autres regroupements cachés ailleurs. On élimine dans l'oeuf  la réflexion, l'analyse, l'intelligence. Les hommes libres ne doivent plus exister. Les sentiments, les émotions, les questions sur l'insolence tribale doivent être sanctionnés, écrasés.  Aucun doute ne doit contaminer l'autre. Chaque abruti doit rester sur son rail. Il a son porno, son shit, son job ? Qu'il vive dans leurs frontières, qu'il se taise et ne contamine point par la pensée le voisin qui s'interroge. Gazé par le mensonge, sidéré par la violence absolue, écrasé par la main de la police, quelle voie reste-t-il pour le jeune homme européen plein de vie et de justice ?

François-Xavier Rochette

Article publié dans l'hebdomadaire d'opposition nationale et européenne Rivarol

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Après l’attentat de Nice, une « armée de l’amour ». Tremble Daech !

22 Juillet 2016, 11:09am

Publié par Thomas Joly

En réponse aux attentats de Nice, Jérôme Jarre a donc lancé une « Love army ». L’idée est simple: n’importe où en France, chacun est invité à mener une action positive pour diffuser de l’amour et du bonheur. « Combattre la morosité que les terroristes, les attentats ont installée, par de la solidarité, de la créativité, des bonnes actions », explique le jeune homme dans une vidéo diffusée sur Internet. Lors de chaque initiative, une vidéo peut être tournée qui sera, ensuite, diffusée sur les comptes des réseaux sociaux de Jérôme Jarre, mis à disposition pour l’occasion. Une caisse de résonance énorme au vu du nombre de fans qu’il recense. « Voyons cela comme une sorte de média alternatif pour le bonheur, la positivité, les choses qui marchent. C’est comme ça que la France se relèvera », souligne-t-il, son habituel sourire aux lèvres.

Dans tout le pays, les internautes jouent le jeu. Dans les rues de Colmar, les passants ont ainsi pu croiser une jeune femme, déguisée en Blanche Neige, proposer des câlins gratuits et des danses improvisées. À Lille, de petites citations liées au bonheur ont été distribuées dans les rues. À Lyon, ce sont des roses qui ont été offertes en échange de sourires…

Source : http://www.fdesouche.com/750517-apres-lattentat-de-nice-une-armee-de-lamour

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Gauloises ou Gitanes ? Peut-on encore fumer français ?

22 Juillet 2016, 10:50am

Publié par Thomas Joly

On le sait, la France est en état d’urgence. Logique, donc, que Marisol Touraine, madame « le » ministre de la Santé, participe à l’effort de guerre ; après tout, dans les heures les plus graves de notre histoire, les femmes ont aussi accompli des miracles, que ce soit pour le soin du guerrier ou le repos du soldat.

Là, en ligne de mire, la cigarette. À défaut d’en découdre avec les maux, il est toujours possible de supprimer les mots. « Gold », « Light », « Slim » et autres noms d’oiseaux seraient donc en voie d’interdiction, tandis que l’avènement du paquet neutre et anonyme serait, lui aussi, au programme.

Pourtant, il faut bien qu’il y ait une bonne nouvelle de temps à autre, surtout en période estivale. Les Français pourront finalement continuer à fumer des Gauloises et des Gitanes, même si ces deux marques emblématiques n’ont pas été loin d’être prohibées.

Les Gauloises ? Était-ce un sournois racisme anti-français ? Pourtant, le paquet dessiné par le graphiste Jacno fait encore partie du patrimoine national. À ce titre, nous ne saurions que vous recommander la lecture d’un autre Jacno, fumeur invétéré des cigarettes du même nom – d’où son surnom –, Itinéraire du dandy pop. Là où l’on apprend qu’illustre descendant du membre éminent d’un certain quarteron de généraux à la retraite, il se servit parfois de cette digne filiation pour faciliter quelques contrats discographiques avec des compagnies pas toujours bien disposées à son égard. On notera que le Jacno en question fut le producteur, entre autres artistes, d’Elli Medeiros, Lio, Étienne Daho ou Françoise Hardy. Et que ses mémoires sont à se plier de rire en quatre. Petit exemple : son grand-père, vieux militant d’Action française, refusait d’affranchir son courrier pour ne pas avoir à lécher le cul de Marianne. Toute une époque…

Plus nauséabonde encore, après la tentative d’interdiction des Gauloises, celle des Gitanes. Manouchophobie ou stigmatisation des gens du voyage ? Là encore, un autre sublime paquet, signé d’un autre graphiste faisant lui aussi partie de notre héritage national : Max Ponty. Trop glamour, la Gitane ? Entre jupons froufroutants et voleuse de poules ? C’était quand même la marque préférée de David Bowie ; alors, s’il vous plaît, respect.

Aux dernières nouvelles, cette énième dinguerie serait finalement partie dans les poubelles de l’Assemblée nationale. En attendant la prochaine tentative, les crétins de l’espèce persistante étant généralement des plus nuisibles pour la santé mentale de nos contemporains.

Nicolas Gauthier

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Attentat de Nice : le parquet de Paris demande à la mairie de détruire 24 heures d'images

21 Juillet 2016, 18:54pm

Publié par Thomas Joly

Une réquisition judiciaire urgente a été envoyée au centre de supervision urbain de Nice mercredi 20 juillet. Le parquet de Paris évoque un souci « d'éviter la diffusion non contrôlée de ces images ».

Panique et incompréhension à la mairie de Nice. Mercredi à 11 heures, la sous-direction antiterroriste (SDAT) a envoyé aux agents qui gèrent la vidéosurveillance de la ville une réquisition citant les articles 53 et L706-24 du code de procédure pénale et de l'article R642-1 du Code pénal leur demandant l'effacement «complet» de 24 heures d'images provenant de six caméras nommées et numérotées, mais aussi de toutes les scènes depuis le début de l'attentat ayant eu lieu sur la promenade des Anglais, dans la nuit du 14 juillet.

De quoi mettre en état de sidération les agents du centre de supervision urbain de Nice. «C'est la première fois que l'on nous demande de détruire des preuves, précise une source proche du dossier. Le centre de vidéosurveillance et la ville de Nice pourraient être poursuivis pour cela et d'ailleurs les agents en charge du dispositif n'ont pas compétence pour se livrer à de telles opérations».

La demande paraît d'autant plus étonnante que la SDAT a envoyé depuis vendredi dernier des serveurs afin de récupérer les 30.000 heures de vidéosurveillance liées aux événements. Une opération de sauvegarde qui va s'étendre encore sur plusieurs jours. «Nous ne savons pas si donner un ordre de destruction alors que nous sommes en pleine sauvegarde ne va pas mettre en rideau tout le système», s'inquiète-t-on dans l'entourage du dossier.

Lire la suite : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/07/21/01016-20160721ARTFIG00225-attentat-de-nice-quand-la-justice-demande-a-la-mairie-de-detruire-24-heures-d-images.php

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Quand la sécurité routière « assassine » le portefeuille des automobilistes

21 Juillet 2016, 09:42am

Publié par Thomas Joly

En cette période estivale, le sujet est cruellement d'actualité : les radars guettent l'automobiliste inattentif, source inépuisable de subsides pour un Etat toujours plus gourmand, au nom de notre "sécurité" . Une nouvelle enquête d'Armel Joubert des Ouches pour Réinformation TV.

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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Vers l’ubérisation du terrorisme ?

21 Juillet 2016, 09:36am

Publié par Thomas Joly

L’actuelle période troublée que nous traversons est propice à toutes les inflations langagières et autres surenchères sémantiques. En ce domaine, Manuel Valls n’a pas son pareil. « Guerre civile », « guerre » tout court, « état d’urgence », en attendant « l’état de siège » et le vote des pleins pouvoirs au maréchal Hollande ?

Au cœur de ce débat qui n’en est d’ailleurs pas un : le « terrorisme », auquel il faut « faire la guerre », une « guerre totale », dixit l’énervé de Matignon. Traditionnellement, la violence légitime – peine de mort incluse – est monopole d’État. Idem pour la violence illégitime – le terrorisme d’État, donc. Ce dernier peut être franc et direct (opérations de déstabilisation conjointes entre CIA et KGB, opposant blocs de l’Est et de l’Ouest) ou de manière détournée : le Mossad israélien était prompt à aider l’OAS, tandis que la CIA américaine ne fut jamais la dernière à filer quelques discrets coups de main au FLN.

Ce terrorisme institutionnel, l’Europe l’a longtemps affronté. Il y eut l’OLP palestinienne, les Brigades rouges italiennes, l’IRA irlandaise, la Fraction armée rouge d’Andreas Baader, la plus française Action directe et même Carlos – pas le chanteur, mais l’énervé argentin. Le dernier de cette lignée de « princes » du terrorisme ? Oussama ben Laden qui, lui au moins, avait des revendications claires : obliger l’armée américaine à quitter ses bases installées dans le sanctuaire mecquois. Et une organisation digne de ce nom, Al-Qaïda, laquelle n’existe plus depuis 2006, sachant qu’aucune officine de ce type ne peut tenir longtemps si elle a tous les services secrets de la planète sur le râble.

De la même façon, la campagne d’attentats ayant frappé la France dans les années 80 du siècle dernier était parfaitement identifiable et identifiée. L’Iran était à la manœuvre tandis que l’État syrien assurait la sous-traitance. Paris avait arnaqué Téhéran sur le dossier nucléaire – déjà ! –, empiétait sur le pré carré syro-iranien du Liban. Mais, à l’époque, il était encore possible de temporiser la situation, de faire libérer nos otages beyrouthins, d’arranger le tout à l’amiable, malgré quelques victimes collatérales, dans les deux camps, précisons ; ce, grâce aux services secrets français, forts de la bonne connaissance du terrain.

Mais aujourd’hui ? À l’instar d’une économie globalisée, le terrorisme lui aussi se mondialise. Al-Qaïda avait franchisé la chose, façon Benetton ; d’où ses épigones maliens et maghrébins. Avec l’État islamique, c’est l’ubérisation de la profession. Chacun peut être son propre terroriste. Tout près au coin de la rue, comme ces supérettes tentant de coloniser nos centres-villes.

Mais là, il n’y a plus personne au bout du fil ; un peu comme chez Orange, lorsque vous pleurez pour avoir un être humain dans le turlu, naviguant entre touches étoile et dièse. Ainsi le moindre dingue peut-il sortir de l’anonymat, histoire de se faire une célébrité planétaire. Tenez, celui de Nice… En Amérique, il se serait contenté de buter quelques dizaines d’étudiants sur un campus ou de faire un carton lors de la première du dernier Batman, film certes mauvais – la peine de mort n’aurait pas été de trop pour son réalisateur et son scénariste –, mais de là à démastiquer l’assistance entière… Qui sait leurs noms ?

Celui de Nice, se proclamant d’un État islamique ne revendiquant ce triste bazar que de loin, aura donc le sien gravé sur le trottoir, façon Hollywood Boulevard.

Ce monde est définitivement le sien. Fortuitement, il est aussi le nôtre.

Nicolas Gauthier

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Où commence et où finit la « sûreté de l’État » ?

20 Juillet 2016, 15:09pm

Publié par Thomas Joly

Surenchère électoraliste oblige, on entend depuis le 14 juillet et l’attentat qui a terrassé la ville de Nice un déferlement d’inepties sécuritaires. La palme d’or revient sans conteste à Henri Guaino, qui souhaite armer les policiers de lance-roquettes, « une arme légère qui se porte à l’épaule ». Ben oui, et pourquoi pas, aussi, poser des mines autour des lieux de rassemblement ?

Dans ce contexte, les « fichés S » (pour « sûreté de l’État ») sont aussi l’objet de tous les fantasmes. Passons sur le fait que les fiches en question ne concernent pas seulement (loin s’en faut) des personnes en lien ou supposées en lien avec la mouvance islamiste (seulement 10.500 individus sur les 20.000 fichés en France) ; passons également sur le fait que le dénommé Mohamed Lahouaiej Bouhlel n’était pas fiché ; passons enfin sur le fait que des individus entrant dans toutes les cases sont passés à travers les mailles lâches du filet et regardons ce qui, en l’état actuel de notre déconfiture, est faisable ou ne l’est pas.

Nicolas Sarkozy, qui se rêve en « sauveur de la France – le retour », suggère ainsi que les fichés S « qui présentent des risques de radicalisation devraient porter un bracelet électronique, être assignés à résidence ou mis en centre de rétention ». Question : c’est quoi, « présenter des risques de radicalisation » ? Et à quel titre, sur quel fondement juridique, arrêterait-on ces personnes-là ? Mais peut-être M. Sarkozy a-t-il trop rêvé de Minority Report, peut-être se prend-il pour le chef de la « Précrime », ce service qui combat le crime grâce aux extra-lucides qui le prévoient avant qu’il n’arrive ?

Je ne sais pas, vous, mais imaginer que Nicolas Sarkozy revenu à la tête du pays envisage de s’affranchir de l’arsenal juridique existant n’est pas de nature à me rassurer. D’autant que le fichage en question, comme le soulignait Manuel Valls au lendemain des attentats de novembre, concerne, au-delà des apparentés à la mouvance islamiste, « le PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan), la ligue liée à des mouvements tamouls, la branche militaire du Hezbollah, des militants violents liés à l’ultra-droite ou à l’ultra-gauche, des hooligans, etc. » Ça fait du monde, et éventuellement du monde qui, politiquement, dérange.

Un incident survenu début juin sur l’île de La Réunion donne un aperçu de ce qui pourrait nous arriver. Un vol Corsair en partance pour Paris a été retardé de deux heures après que deux individus en eurent été débarqués. « L’un, ressortissant algérien habitant dans l’ouest de l’île, devait se rendre dans son pays pour raison familiale et le second, originaire du Moyen-Orient, voulait aller en métropole », rapporte Le Figaro. Coïncidence fâcheuse, bien que ces deux personnes n’aient aucun lien entre elles, et bien que leur niveau de signalement dans le fichier S « n’implique pas une interdiction de voyager ou de sortir du territoire », le commandant de bord, seul maître à bord justement, leur a interdit l’accès de son avion. Confirmation d’un avocat spécialiste du droit aérien : le commandant de bord « a tous les droits en matière de débarquement. Étant en charge de la sécurité dans son appareil, il décide de débarquer avant ou pendant le vol les personnes qu’il juge dangereuses selon le principe de précaution. »

Qu’avaient-ils fait ? Pourquoi étaient-ils fichés ? Mystère. Reste la remarque du juriste : « La grande question est désormais de savoir comment le commandant de bord a été tenu au courant de leurs fiches S, et si cela peut constituer un précédent. »

D’aucuns en seront rassurés… ou bien se demanderont si leurs idées assez peu « conformistes » ne risquent pas de leur valoir, un jour, pareille mésaventure.

Marie Delarue

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Le terrorisme raconté aux enfants

20 Juillet 2016, 14:17pm

Publié par Thomas Joly

Qu’est-ce qu’un terroriste ? Après l’attentat islamiste de Nice, si vos enfants ou petits-enfants vous posent la question, allez donc voir sur le site education.francetv.fr/, cette plate-forme Internet éducative, dépendant du groupe France Télévisions. Visionnez sa vidéo datant de mars 2016 et mise en première page du site depuis deux jours. Vous ne serez pas déçu du voyage.

Un terroriste, c’est tout simplement un franchouillard à moustache, portant béret basque, fusil de chasse en bandoulière et qui se bat pour la libération du cassoulet ! En 14, on représentait l’ennemi sous l’uniforme d’un uhlan – souvenir de 70 -, mangeur d’enfants et horrible barbare teuton. En 14, on haïssait l’ennemi et on gagna la guerre en 1918. En 2016, on cultive la haine de soi, de la France. Et on n’a pas encore gagné la guerre, c’est le moins que l’on puisse dire…

La vidéo dure trois minutes une seconde. Tout d’abord, une définition du terrorisme et de ses méthodes. Jusque-là, pas grand-chose à dire sur le fond. Les choses commencent à se gâter lorsqu’il s’agit d’illustrer le propos : le terroriste « béretbasqué » est représenté sous les traits d’une sorte de voleur de poules tout droit sorti d’un film en noir et blanc des années 50.

Puis vient un petit historique. Attachez votre ceinture. On remonte alors à la Révolution. Après avoir expliqué que le terrorisme vient du mot terreur, on se dit qu’on va évoquer cette terreur que l’on affuble d’une majuscule de sang dans notre Histoire de France. Même pas ! Le terrorisme commence avec l’attentat royaliste de la rue Saint-Nicaise en 1800 contre Bonaparte qui, pour le coup, devient républicano-compatible. Ensuite, on enjambe les siècles pour arriver à la guerre d’Algérie et évoquer, évidemment, le terrorisme de « l’extrême droite », le « groupe OAS, par exemple, qui défendait l’Algérie française ». Les attentats du FLN en Algérie sont curieusement passés sous silence (faute de place, sans doute)… Le terrorisme d’extrême gauche des années 70 est tout de même cité, ainsi que celui des nationalismes basque et corse. Mais, histoire de dédramatiser ce qui se passe en France depuis janvier 2015, le commentateur explique bien que, selon Europol – la caution experte, incontestable par définition -, « la majorité des actes terroristes en Europe sont conduits par des groupes de ce type ».

Vient ensuite, car on ne peut faire autrement, l’évocation du terrorisme islamiste. Là encore, relativisons : « Près de 60 % des attaques terroristes ont lieu dans cinq pays » – Pakistan, Irak, Inde, Nigeria, Afghanistan -, comme quoi, au fond, la France ne s’en tire pas si mal dans tout ça… Évidemment, les djhadistes de Daech « rêvent d’imposer au monde leur vision radicale de l’islam qui n’est pas celle de L’IMMENSE majorité des musulmans », précision obligatoire, ça va sans dire.

« Alors, qui sont ces individus qui ont rejoint ce groupe (Daesh) ? », poursuit notre pédagogue de education.francetv.fr. « Existe-t-il un profil type ? » Apparaissent alors à l’écran deux gugusses, un rouquin boutonneux et un basané, parité oblige, j’imagine. « 16-30 ans, tous les milieux touchés, favorisés ou défavorisés, urbains ou ruraux, centres-villes comme banlieues. » En clair, des Français moyens, quoi.

Apothéose : on termine en énumérant les mesures du gouvernement français (précision qui paraît donc nécessaire par les temps qui courent !) « pour éviter cela » : plate-forme Stop-djihadisme, lutte contre la radicalisation, construction de centres de déradicalisation (en prévision), sans oublier les mesures éducatives. « Car, comme dit l’adage, mieux vaut prévenir que guérir », conclut le commentateur.

Qui disait que les contes pour enfants sont faits pour les rassurer avant qu’ils ne s’endorment ?

Georges Michel

Source : http://www.bvoltaire.fr

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« Terroristes à mort, immigrés dehors », les nationalistes s'invitent sur la rocade de Dijon

20 Juillet 2016, 14:04pm

Publié par Thomas Joly

« Terroristes à mort, immigrés dehors ». C'est l'inscription que l'on pouvait lire, ce mardi soir, sur une banderole accrochée sur l'Avenue du Mont-Blanc, au niveau du pont enjambant la rocade, à Dijon. Le message est celui du Parti de France et de son responsable départemental de Saône-et-Loire, Benjamin Lematte. Les automobilistes ont pu l'apercevoir durant près d'une heure trente, de 18h à 19h30 environ. La police, prévenue par les usagers de la rocade est intervenue et a fait décrocher la banderole. Les quatre individus sont repartis sans être inquiétés.

Source : http://www.bienpublic.com/edition-dijon-ville/2016/07/19/dijon-terroristes-a-mort-immigres-dehors-les-identitaires-s-invitent-sur-la-rocade

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Un islamiste marocain poignarde une mère et ses trois filles parce qu'elles sont trop court-vêtues

19 Juillet 2016, 14:24pm

Publié par Thomas Joly

C’est dans un centre de vacances des Hautes-Alpes que les faits se sont produits. Une mère de famille et ses trois filles, âgées de 9, 12 et 14 ans, ont été violemment attaquées à coups de couteau ce mardi matin vers 10h, situé à Garde-Colombe. Le pronostic vital de la plus jeune, âgé de 9 ans, est engagé, selon TF1. Le suspect a pris la fuite en voiture et a été interpellé quelques minutes plus tard par les gendarmes.

Il s'agit d'un Marocain bien connu des services de police pour violences et actes de délinquance divers, islamisé comme la plupart des afro-maghrébins occupant la France (sa femme est complétement voilée).

Le fanatique musulman, âgé de 37 ans, reprochait à ses voisines de bungalow leur tenue trop légère.

La maman et la fille aînée sont très grièvement blessées.

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Northmen Impakt en concert à côté de Saint-Quentin vendredi 5 août

19 Juillet 2016, 10:22am

Publié par Thomas Joly

Northmen Impakt en concert à côté de Saint-Quentin vendredi 5 août

Vendredi 5 août, à proximité de Saint-Quentin (02), se déroulera un concert du groupe nationaliste Northmen Impakt. Pour découvrir leurs chansons, voici leur chaîne Youtube : https://www.youtube.com/channel/UC4rv5JAJwqhPFm3VLX8TJiQ

L'entrée est gratuite mais le service d'ordre se réserve le droit de refuser l'entrée à toute personne au comportement non-approprié, et il est demandé aux participants de consommer dans l'établissement qui accueuille l'événement. Un service de restauration rapide sera également assuré sur place.

La soirée débutera à partir de 19h et le concert commencera vers 21h.

Réservation obligatoire à cette adresse mail : thomasjoly60@yahoo.fr ou 06.09.96.44.37

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Allemagne occupée : un islamiste Afghan attaque les passagers d'un train à coups de hache

19 Juillet 2016, 10:06am

Publié par Thomas Joly

Un homme, armé d'une hache et d'un couteau, a attaqué des passagers d'un train lundi soir près de Würzburg, en Allemagne du Sud. L'auteur de l'attaque a été abattu alors qu'il prenait la fuite.

Dès lundi, le ministre de l'Intérieur de Bavière indiquait que cette attaque est "probablement" un "attentat islamiste". L'annonce mardi de la découverte d'un drapeau islamique au domicile du présumé terroriste va dans ce sens. Les faits ont été commis par un demandeur d'asile afghan de 17 ans.

L'attaque s'est produite vers 21h15 à bord d'un train régional assurant une liaison entre les villes de Treuchlingen et Würzburg, en Bavière. Un riverain, qui a pu pénétrer dans le convoi, a décrit une "scène de boucherie" à l'intérieur du train.

Source : http://www.bfmtv.com/international/allemagne-attaque-a-la-hache-dans-un-train-au-moins-21-blesses-1007807.html

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États-Unis : Trois nouveaux policiers tués par un extrémiste noir converti à l’islam

18 Juillet 2016, 16:54pm

Publié par Thomas Joly

Suite à l’appel à “purger” la police de l’État de la Louisiane aux États-Unis par des organisations extrémistes noires il y a une semaine (voir ici), un militant du groupe noir Nation of Islam a abattu trois policiers et en a blessé sept autres dans la ville de Bâton Rouge.

Le terroriste s’appelle Gavin Long, un noir âgé de 29 ans. Le Pentagone a confirmé qu’il s’agissait d’un vétéran du corps des marines, passé par l’Irak pendant huit mois en 2008. Il était originaire de Kansas City dans le Missouri, une ville située à 1.150 kilomètres du lieu de la fusillade. Il était inconnu des services de police du Missouri.

Dans une vidéo de sa chaîne Youtube, Gavin Long expliquait appartenir au groupe radical noir Nation of Islam, de confession islamique (source). Dans une autre vidéo, Gavin Long qui se faisait appeler “Cosmo Ausar Setepenra”, narrait sa présence à Dallas le jour de l’attaque contre la police par un autre militant extrémiste noir qui avait fait sept morts au sein des forces de l’ordre.

Le terroriste de Dallas, Micah X. Johnson, était également un noir converti à l’islam et partisan du déclenchement de la guerre raciale et religieuse contre les Blancs (voir ici).

Source : http://breizatao.com

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Valls et les élus conspués par la foule lors de l'hommage aux victimes à Nice

18 Juillet 2016, 12:59pm

Publié par Thomas Joly

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