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Le blog politique de Thomas JOLY

Un « réfugié » viole sauvagement une jeune femme à Menton

10 Septembre 2015, 06:26am

Publié par Thomas Joly

Le journal Nice Matin du 9 septembre nous apprend qu’un « migrant » parlant un patois somalien a violé une jeune femme de 22 ans à Menton. Les faits se sont déroulés près de la gare routière.

Un témoin – une habitante alertée par les cris de la victime – décrit la grande sauvagerie de la scène. « (…) j’ai entendu un hurlement. Ce cri n’était pas normal. Je crois que j’aurais poussé le même si j’avais vu mon enfant se faire arracher le bras. J’ai alors vu la pire scène de ma vie. Il y avait cette femme nue coincée contre le grillage et cet homme dessus comme un animal. » Après avoir accompli sa sale besogne, l’agresseur a repris son chemin. « Tranquillement, en marchant. »

La femme qui avait été témoin, à sa fenêtre, de la scène, avait appelé la police mais celle-ci n’arrivait toujours pas. Elle a alors crié à un groupe de jeunes de rattraper ce violeur, ce que les jeunes ont fait.

Le procureur saisi de l’affaire a souligné la violence extrême des faits.

Source : http://www.medias-presse.info

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Casse-tête à Bercy : arrivée de réfugiés = sortie de contribuables (par Marie Delarue)

10 Septembre 2015, 06:16am

Publié par Thomas Joly

Cocorico ! La France, enfin, ose se regarder au fond des yeux. S’émeut devant son miroir de salle de bains devant sa grandeur retrouvée. Il aura suffi d’une photo pour nous racheter, nous pardonner, nous absoudre. Foin des querelles et des humeurs maussades : ce matin, nous sommes tous l’abbé Pierre.

Depuis l’aube, la nouvelle passe en boucle sur les radios : les 200 premiers réfugiés partis mardi soir de Munich sont arrivés ce matin à Champagne-sur-Seine. Je n’ai pas vu les images, mais j’imagine la fanfare et les pompiers. Peut-être monsieur Cazeneuve aussi, et le président Hollande au bout du tapis rouge s’il n’a rien de plus urgent à faire. Et puis, si ce n’est aujourd’hui, ce sera pour demain puisque entre mercredi et vendredi, on attend 1.000 personnes. Sur 24.000 (et plus si affinités).

Du coup, l’information rapportée au petit matin dans la rubrique « Trois minutes pour comprendre » (Matinale RTL) est passée bien inaperçue. Il s’agit d’un rapport de Bercy sur l’évasion fiscale, rapport qui devrait être communiqué aux parlementaires à la fin de ce mois. Il a « fuité », sans doute échappé des mains d’un fonctionnaire zélé qui craignait de le voir comme tant d’autres enterré.

Faut les comprendre, aussi, à Bercy… Ce rapport, donc, concerne les familles françaises en route pour l’exil. Des « réfugiés fiscaux », en quelque sorte. Des gens, pourtant, qui « ne fuient pas toujours l’impôt ». Tout cela est légal, tient-on à préciser. En effet, « il ne s’agit pas d’évasion fiscale », mais de départs très officiels vers des lieux plus propices à l’entreprise individuelle et collective. En effet, la première catégorie d’exilé, « la grosse masse », est constituée des « cadres de grandes entreprises et les jeunes très diplômés ». Précisément, chiffres du ministère à l’appui : « Les trois quarts des exilés fiscaux actuels ont moins de 40 ans. » En général célibataires et surdiplômés. Ce sont les « High-po », les jeunes à potentiel élevé pour qui l’on a banqué l’école gratuite et obligatoire, souvent aussi les grandes écoles, et qui vont voir ailleurs s’ils ont une autre perspective que le chômage national. Destination favorite : Londres et l’Asie. Là où le monde regarde devant et pas derrière lui.

Peut-être plus inquiétant encore pour le gouvernement : l’exil des retraités. Leur eldorado : le Portugal. Et pas seulement pour toutes les Maria et les Luis qui se sont usé les reins à cirer les parquets et monter des parpaings. Jusqu’en 2012, ceux-là ont constitué la première vague, celle du retour au pays. Et puis en 2012, donc, le Portugal a offert à ceux qui viendraient vivre au moins six mois par an dans le pays une exonération de tout impôt pour une durée de 10 ans. Motivant, non ? Résultat : on se bouscule au portillon. Avant 2012, 250 dossiers par an en moyenne. En 2013, Bercy comptabilisait 617 départs. On parle aujourd’hui de 2.000 dossiers en attente.

Plus gênant encore pour les finances françaises, les expatriés sont « de plus en plus riches » : « En 2012, les retraités qui s’envolaient pour Lisbonne payaient en moyenne 3.948 euros d’impôts. Aujourd’hui, ceux qui partent payaient 6.489 euros d’impôt sur le revenu. » Les fiscalistes parlent d’une « véritable hémorragie ». Ce que Bercy tente certes de minimiser, mais les chiffres sont là.

« C’est lourd pour le budget de l’État. Cette population des plus riches ne représente qu’un contribuable sur 1.000, mais ils pèsent 10 % des recettes fiscales (7 milliards d’euros). À chaque fois que l’un d’eux s’en va, c’est un trou énorme dans la caisse », commentait ce matin Loïc Farge. Qui va les remplacer ? Les réfugiés, peut-être ?

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Le Front National mis en examen pour complicité d'escroquerie et recel de produits d’abus de biens sociaux

10 Septembre 2015, 06:15am

Publié par Thomas Joly

De très probable, la mise en examen du FN pour son financement est devenue effective  mercredi. Le trésorier du parti et candidat frontiste aux régionales en Ile-de-France, le calamiteux Wallerand de Saint-Just, était entendu mercredi matin au pôle financier dans l’enquête sur son financement et des soupçons d’escroquerie au préjudice de l’Etat lors des élections législatives de 2012.

Le parti de Marine Le Pen est mis en examen en tant que personne morale pour recel de produits d’abus de biens sociaux et complicité d’escroquerie dans l’enquête sur son financement, a annoncé le trésorier du parti à sa sortie du bureau du juge.

Dans cette enquête, les juges soupçonnent des responsables du parti d’extrême droite, d’une entreprise amie, Riwal, et du micro-parti Jeanne, géré par des proches de Marine Le Pen, d’avoir mis en place un système de surfacturations lors des législatives de 2012 et d’avoir escroqué l’État, qui rembourse les frais de campagne. Riwal et Jeanne ont déjà été mis en examen dans ce dossier, ainsi que six personnes dont le vice-président du FN Jean-François Jalkh.

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L’Allemagne, épicentre de la névrose européenne (par Thierry Thodinor)

10 Septembre 2015, 06:05am

Publié par Thomas Joly

Devrons-nous payer un jour de la vie de nos enfants les névroses de petits-bourgeois teutoniques complexés par leur histoire ? Alors que le conflit syrien semble entrer dans un Endspiel apocalyptique, la chancelière Merkel qui traite à la schlague les peuples d’Europe (cf. la Grèce pour un début) entreprend d’organiser dans la bonne humeur la submersion démographique de notre continent par des populations extra-européennes.

Elle vient ainsi d’adopter une série de mesures – 10 milliards d’euros supplémentaires pour l’année 2015 selon le magazine Challenges – accordant aux armées de clandestins d’Afrique et du Proche-Orient un droit d’installation assorti d’avantages en nature qui sont refusés aux nationaux ainsi qu’aux migrants européens – balkaniques, notamment.

Le porte-serviette de l’Élysée glapit à sa suite pour exiger un « mécanisme permanent et obligatoire ». Les pays européens récalcitrants seront à l’amende avant de se voir imposer leur quota de migrants par la force.

Les ex-clandestins seront, quant à eux, assignés à résidence dans leur pays d’affectation pendant un minimum de cinq ans : nous sommes en présence d’un plan orwellien de remplacement de la population européenne imposé par la technostructure européenne. L’idéologie bourgeoise des droits de l’homme justifie l’entreprise et, relayée par la bouillie multiculturelle télévisée, elle dénature le sentiment populaire pour évincer les mystiques prolétariennes (lutte des classes, abolition du salariat).

Trahie par ses élites, l’Europe n’est plus respectée…

Ainsi que l’écrit Guillaume Faye, « les marines européennes […] sont une aide à l’invasion et non plus une protection. La faiblesse larmoyante des dirigeants européens, leur “droit-de-l’hommisme” délirant, leur “antiracisme” dogmatique et xénophile, excitent l’agressivité des “migrants” qui pénètrent de force. Ils se sont – et on les a – persuadés qu’ils ont un droit imprescriptible à se “réfugier” chez nous, à s’y installer, à s’y faire entretenir. Ils n’oseraient évidemment pas raisonner de même avec Israël, la Russie, l’Australie ni les États-Unis ! »… ni avec l’Arabie saoudite qui, curieusement, n’est pas leur destination privilégiée.

Le Sunday Express révèle, d’ailleurs, que des milliers de combattants de Daech ont été infiltrés en Europe à la faveur du chaos migratoire de ces dernières semaines.

Les Etats-Unis, architectes du chaos qui frappe le monde arabe, se gardent bien, au nom d’impératifs de sécurité nationale, d’accueillir chez eux le moindre migrant syrien. Mieux encore : selon le magazine Info Direkt qui cite des sources du renseignement autrichien, ils organiseraient le passage des « réfugiés » en Europe.

Les peuples européens ne sont, certes, plus maîtres chez eux mais il y a chez les Allemands une manière particulière (Schadenfreude) de s’en réjouir. Culpabilisé, ayant appris à maudire son passé, le peuple allemand a remplacé son allégeance à la nation par une allégeance à la production. Laisser détruire ses représentations collectives l’a conduit à un mal de vivre (taedium vitae) dont témoigne un taux de natalité languissant.

L’Europe des Européens ne doit pas accepter de voir sa conduite dictée par un pays névrosé qui est également occupé militairement et piloté stratégiquement depuis Washington ; quelques voix s’élèvent dans l’Est européen, qui indiquent à qui sait les entendre le chemin de la dignité et de la liberté.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Samir Hammal, enseignant à Sciences Po, dénonce une pub Jacadi car les enfants y sont blonds

10 Septembre 2015, 06:01am

Publié par Thomas Joly

Samir Hammal, enseignant à Sciences Po, dénonce une pub Jacadi car les enfants y sont blonds

Un enseignant maghrébin de Science Po, dénommé Samir Hammal, n'a rien trouvé de mieux à faire que de dénoncer la dernière campagne de publicité Jacadi parce qu'elle ne met en scène que des enfants blancs et blonds.

Comment s'étonner que ce genre de pulsion de haine anti-blancs, complaisamment relayée par les médias, puisse devenir quasiment banale dans notre société ethnomasochiste où l'étranger se permet toutes les arrogances ?

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Dévastations et menaces de mort : les images du comportement des « réfugiés » en route pour l’Allemagne

9 Septembre 2015, 06:34am

Publié par Thomas Joly

Voici une courte séquence d’un reportage de la télévision hongroise où l’on peut voir dans quel état la multitude des prétendus « réfugiés » a laissé derrière elle la gare de Budapest. On y voit aussi un jeune immigrant faisant un geste menaçant en direction de la caméra de télévision.

Source : http://www.ndf.fr

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Quand Roland Cayrol confond pieds-noirs et « migrants » (par Manuel Gomez)

9 Septembre 2015, 06:30am

Publié par Thomas Joly

Lors de l’émission « C dans l’air » de ce lundi 7 septembre, à la question posée par Yves Calvi « La France peut-elle accueillir 24.000 réfugiés ? », le politologue Roland Cayrol, un esprit apparemment fort brillant, n’a pas hésité une seule seconde pour lui répondre : « La France a bien accueilli, en 1962, plus d’un million de pieds-noirs ! »

Comment peut-on énoncer de telles contre-vérités sans se sentir ridicule ? Et pas un seul participant n’a eu le courage de le lui faire remarquer.

Tout d’abord, il ne s’agissait pas d’un million d’étrangers qui réclamaient le droit d’asile, mais d’un million de Français qui revenaient chez eux, dans leur pays, dans leur patrie. Un million de Français que la France avait obligés à quitter leurs départements français.

Des Français qui s’étaient battus les armes à la main pour conserver ses départements à la France et qui, nombreux, se sont fait assassiner par l’ennemi FLN et, ce qui est bien plus grave, par l’armée française.

Un million de Français qui, il m’est pénible de le rappeler à Roland Cayrol, n’ont pas été accueillis par la France, bien au contraire, comme en témoigne l’interview que Gaston Defferre avait accordée à Paris-Presse-L’Intransigeant le 26 juillet 1962 :

« Il y a 15.000 habitants de trop actuellement à Marseille, c’est le nombre des rapatriés d’Algérie. Pas question d’inscrire leurs enfants à l’école car il n’y a pas assez de place pour les petits Marseillais. Qu’ils quittent Marseille en vitesse, qu’ils essaient de se réadapter ailleurs. Ils fuient ? Tant pis ! En tout cas je ne les recevrai pas ici. D’ailleurs nous n’avons pas de place. Rien n’est prêt. Qu’ils aillent se faire pendre où ils voudront ! En aucun cas et aucun prix je ne veux des pieds-noirs à Marseille. »

Un sondage IFOP, début juillet 1962, indiquait que 62 % des métropolitains refusaient toute idée de sacrifice à l’égard des Français d’Algérie.

Lors du Conseil des ministres du 18 juillet 62, Louis Joxe s’exclamait : « Les pieds-noirs vont inoculer le fascisme en France. Il n’est pas souhaitable qu’ils s’installent en France. Il vaudrait mieux qu’ils aillent en Argentine, au Brésil ou en Australie. »

Pompidou, alors Premier ministre, appuie cette idée : « Pourquoi ne pas demander aux Affaires étrangères de proposer des immigrants aux pays d’Amérique du Sud ou à l’Australie ? Ils représenteraient la France et la culture française. » Et de Gaulle d’ajouter : « Mais non ! Plutôt en Nouvelle-Calédonie ! Ou bien en Guyane, qui est sous peuplée et où on demande des défricheurs et des pionniers ! » Pas l’once d’une compassion parmi les responsables politiques français…

À Alain Peyrefitte qui expose alors « le spectacle de ces rapatriés hagards, de ces enfants dont les yeux reflètent encore l’épouvante des violences auxquelles ils ont assisté, de ces vieilles personnes qui ont perdu leurs repères, de ces harkis agglomérés sous des tentes, qui restent hébétés », le Général répond sèchement : « N’essayez pas de m’apitoyer ! »

Il s’agissait pourtant d’un million de Français, et non pas d’étrangers, qui partageaient les mêmes valeurs, la même culture, la même religion. Un million de Français qui ne pourraient jamais retourner « chez eux » puisque ce « chez eux » n’existait plus !

Alors, un peu de retenue, Roland Cayrol ! Il semble parfois indispensable de rafraîchir les mémoires défaillantes de certains… La France n’a pas accueilli un million de pieds-noirs, ce sont eux qui ont dû s’imposer, dans leur propre pays !

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Un évêque hongrois : « Le Pape ne sait pas de quoi il parle. Ils arrivent ici en criant Allah Akbar, c’est une invasion »

9 Septembre 2015, 06:10am

Publié par Thomas Joly

Pour Laszlo Kiss-Rigó, un évêque du sud de la Hongrie, le pape François ne sait pas de quoi il parle. L’afflux de réfugiés n’est pas une crise humanitaire, mais “une invasion”, explique-t-il.

Le pape François se trompe. L’évêque hongrois Laszlo Kiss-Rigó s’insurge dans les colonnes du Washington Post contre l’appel lancé par le souverain pontife dimanche, dans lequel il enjoint à chaque paroisse catholique d’Europe d’accueillir une famille de réfugiés.

“Ce ne sont pas des réfugiés. C’est une invasion, assène ce responsable catholique de Szeged, dans le sud de la Hongrie, une région où ont transité ces dernières semaines des dizaines de milliers de migrants. “Ils viennent ici en criant “Allah Akbar”. Ils veulent nous envahir”, prévient-il.

Sa position fait écho à celle du Premier ministre hongrois Viktor Orbán, qui, après avoir érigé un mur de barbelés à la frontière avec la Serbie, continue de défendre la fermeture des frontières pour parer à l’arrivée des migrants.

“Je suis totalement d’accord avec le Premier ministre”, a déclaré Laszlo Kiss-Rigó. Ce dernier estime que le pape, en revanche, “ne connaît pas la situation”. Selon lui, l’Europe est submergée de personnes qui se présentent comme des réfugiés, mais qui représentent en réalité une grave menace pour les “valeurs chrétiennes et universelles” du continent, rapporte The Washington Post.

“La plupart d’entre eux se comportent de manière très arrogante et cynique”,poursuit-il. L’évêque hongrois dénonce le fait que les migrants laissent des déchets derrière eux, qu’ils refusent la nourriture qui leur est offerte. Pour lui, ils n’ont tout simplement pas besoin d’assistance.

Source : http://breizatao.com

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L’enseignement catholique français est-il encore seulement catholique ? (par François Teutsch)

9 Septembre 2015, 06:00am

Publié par Thomas Joly

Sidération : profond bouleversement psychique ou émotionnel qui paralyse la réflexion et la capacité d’action.

Cette définition s’applique à l’attitude d’une immense majorité de nos contemporains qui se trouvent incapables de comprendre les enjeux de la pensée unique et de la morale « républicaine » dont on nous rebat les oreilles à longueur de temps, surtout depuis l’instauration du fameux « esprit Charlie ». Elle s’applique également, hélas ! à l’école dite catholique qui vient, une fois encore, de montrer sa totale soumission au système politico-médiatique.

Dans un communiqué publié il y a quelques jours, l’Enseignement catholique s’associe à sa manière à la Charte de la laïcité rendue obligatoire dans les établissements publics. Il écrit :

L’adoption le 7 juillet dernier par le comité national de l’Enseignement catholique du texte intitulé “Projet éducatif et éthique républicaine” constitue l’une des contributions importantes de l’Enseignement catholique à la mobilisation en faveur des Valeurs de la République. En effet, la charte de la laïcité 2013 que la circulaire de rentrée 2015 du ministère demande de présenter à la signature des parents, ne s’applique pas aux établissements catholiques. Pour autant, l’Enseignement catholique a demandé à ses établissements, en lien avec les autorités de tutelle, d’intégrer un texte dans le projet éducatif que les parents signent au moment des entretiens d’inscription. Ce texte souligne comment la laïcité peut trouver place dans les orientations éducatives de l’école catholique.

On croit rêver. L’histoire de notre pays montre pourtant que la République n’a eu de cesse de mettre la main sur l’école et de formater les intelligences pour faire des élèves de bons petits républicains. Il suffit de se référer aux nombreux écrits des penseurs républicains, brillamment exposés par Vincent Peillon dans sa biographie intitulée Une religion pour la République : la foi laïque de Ferdinand Buisson, parue en 2010, pour comprendre à quel point la lutte contre la liberté de l’enseignement et l’endoctrinement des consciences est une constante du régime. Cela, aucun dirigeant d’une école catholique ne saurait l’ignorer. Et l’état de sujétion dans lequel l’enseignement privé sous contrat est tenu par l’État en est la preuve éclatante.

Au lieu de mener le combat pour la liberté fondamentale d’éducation, qui relève de la responsabilité des parents, l’école privée n’a de cesse, depuis des décennies, de se couler dans le moule et de donner au régime des gages de républicanisme qui ne lui ont jamais valu que du mépris, des règles plus contraignantes chaque année, et l’obligation de suivre à la lettre les programmes de l’Éducation nationale, si funestes soient-ils.

C’est donc l’école catholique qui se plie désormais à la doxa des « valeurs de la République ». En matière scolaire, ces fameuses valeurs sont aux antipodes de la liberté chrétienne, liberté de conscience, liberté de croire, liberté d’enseigner, liberté de penser et d’agir en accord avec sa foi. En s’aplatissant devant les oukases de madame Vallaud-Belkacem, l’enseignement privé accomplit le dernier acte de trahison à la mission qui lui est confiée. Il n’est même pas certain qu’il en ait conscience : c’est l’effet de la sidération.

À quand la suppression totale de l’adjectif « catholique » de son enseigne ? Pour révolutionnaire qu’elle soit en apparence, la mesure aurait au moins le mérite de la clarté. Et rappellerait à tous que, finalement, l’école privée n’est plus qu’une école publique payante.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Belgique envahie : une maman et son enfant doivent laisser leur logement aux clandestins

8 Septembre 2015, 06:50am

Publié par Thomas Joly

An Neve (32 ans) est en colère. Sa frustration, elle l’a évacuée sur Facebook. Elle a été forcée d’abandonner son logement à Oostmalle (province d’Anvers) pour faire de la place à des pseudo-réfugiés. « C’est le monde à l’envers », se plaint-elle. Aujourd’hui, elle se retrouve dans un « petit studio sale » avec sa fille Robine (3 ans).

Source : http://www.fdesouche.com

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Racket fiscal : le « stationnement gênant » désormais facturé 135 au lieu de 35 euros

8 Septembre 2015, 06:30am

Publié par Thomas Joly

Le montant du procès verbal pour stationnement « gênant » a augmenté de 100 euros cet été, selon un arrêté publié au Journal Officiel. Il ne coûtera plus 35 mais 135 euros dans toute la France.

C’était déjà valable pour le stationnement gênant sur une place pour personnes handicapées mais qui est désormais généralisée. Le ministère de l’Intérieur applique depuis le 1er juillet dernier ce nouveau tarif à Paris et dans la plupart des grandes villes du pays.

De nombreux automobilistes ne sont d’ailleurs pas informés de cette nouvelle mesure appliquée discrètement en même temps que d’autres mesures de Sécurité Routière comme l’interdiction de l’usage du kit mains libre, la tolérance de l’alcool zéro chez les jeunes…

La France sombre lentement dans le chaos, les envahisseurs déferlent, les gitans peuvent bloquer une autoroute une journée pendant le retour des vacances sans être inquiétés, etc, mais le gouvernement à ses priorités…

Source : http://www.contre-info.com/

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Bienvenue à Arno Klarsfeld et Olivier Mazerolle dans la dictature lacrymale ! (par Gabrielle Cluzel)

8 Septembre 2015, 06:15am

Publié par Thomas Joly

Il est des mots que notre presse, notre monde politique, atteints de psittacisme, affectionnent tout spécialement. Ainsi, le mot « indigne ».

« Indigne ! », « indigne ! », « indigne ! »

Tous les matins, nous découvrons la charrette des « indignes » du jour et, telles des tricoteuses, nous observons leur tête sur le billot, impuissants, fascinés, vaguement soulagés de ne pas être à leur place. Ces choses-là arrivent si vite.

Aujourd’huuuuuuuiiiii, roulements de tambour… Arno Klarsfeld et Olivier Mazerolle.

« Migrants : un tweet d’Arno Klarsfeld n’en finit pas d’indigner » (Huffington Post). Les questions d’Olivier Mazerolle à Myriam El Khomri « ont indigné les internautes » (Metronews).

Mais de quelle « conduite avilissante, honteuse, déshonorante, méprisable », pour reprendre les termes du dictionnaire, se sont-ils donc rendus coupables ? Leur forfait se résume pour chacun à une question.

Arno Klarsfeld s’est demandé, au sujet de « l’enfant syrien », s’il était « raisonnable de partir de Turquie avec deux enfants en bas âge sur une mer agitée dans un frêle esquif » ; Olivier Mazerolle a interrogé le nouveau ministre du Travail sur ses origines : « Vous dites “Je suis marocaine par mon père”, ça donne quel trait de caractère ? » 

Comme c’est avilissant, honteux, déshonorant, méprisable ! Apportez-moi mes sels, c’est tellement insoutenable, je sens que je vais défaillir.

Pour le socialiste Jérôme Guedj, Arno Klarsfeld a « la palme d’or du tweet le plus indigne », rien de moins. En revanche, le journaliste Bruno Masure, qui traite Arno Karsfeld de « pauvre con » avec toute la mesure et la neutralité requises par sa profession, tweete, lui, sans doute très dignement ? Comme son confrère de RTL à la retraite, Jérôme Godefroy, qui accuse Arno Klarsfeld de « braconner les conneries » ?

Et pourtant, est-ce attenter à la mémoire de ces petits, est-ce remettre en cause le chagrin du pauvre père que de juger cet embarquement d’enfants en bas âge par gros temps et sans qu’ils soient équipés de gilets de sauvetage « déraisonnable », alors que la Turquie, où la famille était installée depuis quelque temps, est un pays « tranquille » qui ne nécessite pas de fuir dans l’urgence et au mépris de toute règle de sécurité ?

Pour Jérôme Godefroy (toujours lui) – il y a des retraités qui tuent le temps en pêchant à la ligne, lui n’aime rien tant que dénoncer l’indignité de son prochain sur Twitter avec des mines de rombière victorienne -, « l’interview d’Olivier Mazerolle était indigne, surtout qu’il n’est pas un débutant ».

C’est vrai, Olivier Mazerolle n’est plus un galopin, il devrait avoir compris depuis longtemps qu’il est des terrains casse-gueule. Évoquer les origines marocaines du père d’un ministre en est un. Et peu importe qu’il ait ensuite interrogé la dame de la même façon sur les origines bretonnes de sa mère.

La casuistique politiquement correcte est devenue si complexe, si imprévisible, si implacable et fantasque à la fois, qu’elle tourne à dire vrai à la roulette russe, à un jeu de « ni oui ni non » dont on ne donnerait pas à l’avance les règles, à un trou de loup bien planqué qui vous fait vous casser la binette au moment où vous vous y attendez le moins.

Arno Klarsfeld et Olivier Mazerolle sont éberlués, n’y comprennent que couic. Impossible de se justifier, les sanglots bruyants dans les mouchoirs couvrent leur voix. Cela s’appelle une dictature lacrymale, mes chéris, et quand on s’y frotte, cela fait mal.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Enrichissement sanitaire : plusieurs cas de gale chez les réfugiés du parc Maximilien à Bruxelles

8 Septembre 2015, 06:10am

Publié par Thomas Joly

L’alerte a été donnée par Pascale Peraïta (PS), directrice du CPAS de la Ville de Bruxelles. Des employés du CPAS de la Ville de Bruxelles auraient détecté 4 ou 5 cas de gale chez les réfugiés qui dorment dans le parc Maximilien, situé en face des bureaux de l’Office des Etrangers.

La gale étant une maladie fort contagieuse et les délais d’attente étant fort importants avant que les réfugiés ne soient reçus par l’Office, la crainte est grande de voir une épidémie se propager rapidement. En outre, les malades du parc Maximilien étant des personnes attendant d’être reçues par l’Office, ils n’ont pas encore de dossier à leur nom. Et donc ils n’ont en théorie pas droit à l’aide médicale urgente. La question est donc, pour les services sociaux, de savoir qui va prendre ne charge le traitement de ces réfugiés atteints de la maladie…

« C’est très embêtant. Cela peut vite se transformer en épidémie. On va être très vigilant. Le problème est que ces gens n’ont pas droit en théorie à une aide médicale urgente. Qui va financer les soins? Je compte en tout cas prendre contact avec le ministère de la Santé publique », explique Pascale Peraïta, qui suit désormais la situation du Parc Maximilien au jour le jour.

Source : http://www.fdesouche.com

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États-Unis dégénérés : une lesbienne porte plainte après avoir accouché d’un bébé métis et pas blond aux yeux bleus

8 Septembre 2015, 06:03am

Publié par Thomas Joly

Ce n’est pas le cadeau qu’elle avait voulu. C’est comme s’il y avait erreur sur la marchandise. Bref, elle est déçue, et veut se faire rembourser. Sauf que le cadeau raté est en réalité… un bébé. Et là, le service après-vente est moins coopératif.

Jennifer Cramblett, une jeune homosexuelle en couple, a décidé de poursuivre la clinique qui l’avait inséminée. Elle a en effet accouché d’une petite métisse… alors qu’elle avait spécifié vouloir un bébé « blanc et blond ». Elle a en fait été inséminée artificiellement par le sperme d’un homme Afro-Américain, par erreur.

L’histoire est rapportée par le Daily Mail. Avant l’insémination, Jennifer Cramblett avait stipulé auprès de la banque de sperme qu’elle voulait le sperme d’un donneur de race blanche, aux cheveux blonds et aux yeux bleus, le numéro 380. Mais l’employée a mal lu le numéro, écrit à la main. Et a sélectionné la fiole numéro 330, celle d’un homme de type Afro-Américain. Trois ans après la naissance, les deux mamans, Jennifer Cramblett , 37 ans, et sa compagne Amanda Zinkon, âgée de 30 ans disent « aimer » leur petite Payton. Mais elles ont cependant décidé de poursuivre la banque de sperme.

Source : http://www.fdesouche.com

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Migrants : le choix du confort plutôt que l’orgueil de l’honneur ? (par Philippe Arnon)

8 Septembre 2015, 06:02am

Publié par Thomas Joly

Il est des évidences qui sont tellement… évidentes qu’on s’étonne que les journalistes, toujours prêts (comme les hommes politiques, d’ailleurs) à déverser leurs affirmations péremptoires, n’aient pas pensé à celle qui saute pourtant tellement aux yeux.

La télévision nous montre depuis plusieurs jours des milliers et des milliers de migrants déferlant sur l’Europe. On y voit des femmes et des enfants et peu de vieillards. On y voit surtout des milliers et des milliers d’hommes dans la fleur de l’âge. Tous disent qu’ils fuient leur pays, parce qu’il est en guerre pour certains, et parce qu’il est dirigé par un dictateur cruel pour d’autres. On peut dans l’immédiat évidemment les comprendre.

Mais ce qui est surprenant, dans tout cela, c’est que tous ces hommes, vigoureux pour la plupart donc, n’aient pas eu auparavant l’idée de se liguer et d’entrer en résistance. Prenons le cas de la Syrie, par exemple. On sait qu’il y a là-bas des rebelles qui combattent à la fois Assad et Daech. Aussi, ces hommes vigoureux, ces milliers d’hommes, au lieu de fuir – car c’est bien de cela qu’il s’agit -, auraient été quand même bien inspirés de rester dans leur pays pour se battre avec leurs frères de sang rebelles, devenant eux-mêmes des rebelles et accélérant, par une résistance ainsi renforcée, la chute de leur tyran et l’éradication de la vermine islamique.

Qu’ils mettent à l’abri leurs femmes et leurs enfants en les accompagnant dans leur exil, rien de plus normal. Mais une fois cette mission familiale accomplie, leur devoir devrait être de revenir très vite dans leur pays pour prendre les armes et se battre. Et on peut parier, sans beaucoup de crainte de se tromper, que l’Europe, faisant le constat plus tard de leur victoire, n’hésiterait pas alors à mettre tous les moyens nécessaires pour assurer, avec la plus grande humanité, le retour de leurs femmes et de leurs enfants. Quand on pense qu’il y a des gens qui partent d’Europe et qui font donc le chemin inverse pour aller détruire justement le pays de ces déserteurs qui ne se soupçonnent pas comme tels, on ne peut être que confondus !

Il faut le crier très fort : le fait, pour ces hommes, de partir vivre en Europe est en fait de la lâcheté et un désintérêt total pour leur propre pays, ce pays qui les a vus naître. C’est finalement choisir le confort et la facilité plutôt que l’orgueil de l’honneur et la fierté d’être des hommes. On peut douter, d’ailleurs, quand les rebelles – leurs compatriotes, engagés, eux – seront sortis victorieux de cette guerre infâme qui n’en finit jamais, que ces milliers d’hommes vigoureux reviennent au sein de la mère patrie. Et si certains d’entre eux osent tenter ce choix, auront-ils au moins la décence de baisser la tête, comprenant qu’ils n’ont été finalement que des couards ?

La Syrie en ruine, l’Érythrée, l’Afghanistan, le Soudan, l’Irak… ne sont déjà plus que des mères stériles parce qu’abandonnées par leurs hommes. Leur ventre sera bientôt sec. Il y a peu encore, les Tunisiens, les Libyens, les Égyptiens, les Yéménites se sont battus. Alors, pourquoi pas eux ? Et qu’attends-tu, Europe, avec ta sensiblerie et ta fausse compassion, pour leur jeter cette vérité à la face ? Sans doute ton silence s’explique-t-il par le fait que tes hommes à toi ont perdu depuis bien longtemps leur virilité…

Source : http://www.bvoltaire.fr

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