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Le blog politique de Thomas JOLY

Le gouvernement, plus dangereux que les terroristes ?

29 Juin 2016, 06:23am

Publié par Thomas Joly

Dans un État, la police fait partie de cet arsenal de prérogatives de puissance publique sans lequel ce même État ne peut revendiquer le monopole de la contrainte légitime, pour reprendre l’expression bien connue de Max Weber. Étymologiquement d’ailleurs, la police emprunte sa racine au latin tardif « politia », soit l’organisation politique, le gouvernement. Cicéron en faisait un synonyme de République, quand les Grecs anciens y logeait le siège de la situation ou de la vie du citoyen et, par extension, la constitution démocratique.

À l’évidence, l’État a-national socialiste, fidèle à sa méthode orwellienne de la « double-pensée », consistant « en pleine conscience et avec une absolue bonne foi, [à] émettre des mensonges soigneusement agencés. Retenir simultanément deux opinions qui s’annulent alors qu’on les sait contradictoires et croire à toutes deux » (1984) a oublié qu’il était un État, garant de l’ordre public et des bonnes mœurs. Laissant filer ces dernières, il s’avère proprement incapable d’assurer celui-là.

Flattant la police à l’encolure endolorie de ses périlleuses missions, le gouvernement fait preuve, dans le même temps, d’un incroyable laxisme permettant que les forces de l’ordre soient conchiées au nom de la liberté artistique et jetées en pâture aux fous d’Allah, par la malveillance d’un employé de la Mutuelle Générale de la Police ayant divulgué, entre autres, leurs noms et adresses sur Google.

Dans le premier cas, les habitants de Grenoble purent contempler les crasses œuvres d’un « artiste » qui, sur les murs de la gare, avait représenté deux policiers anti-émeute en train de matraquer une Marianne à terre. Si le directeur départemental de la sécurité publique manifesta son ire, son ministre de tutelle, Bernard Cazeneuve s’est, lui, contenté d’un « tweet » laconique : « plein soutien aux policiers qui protègent chaque jour les Grenoblois, et qui attendent d’@EricPiolle [maire extrême-gauche de Grenoble, NDLR] qu’il leur dise ses regrets ».

Service infra-minimum. L’ignominie à son comble. Le ministre devait absolument suspendre l’édile dont, par ailleurs, la politique catastrophique plonge résolument Grenoble dans le marasme. Dans le contexte actuel, de simples « regrets » s’analysent, pour le moins, comme une offense à la mémoire des deux policiers récemment assassinés chez eux à Magnanville. Partant, le locataire de la Place Beauvau a clairement choisi le camp de l’idéologie émolliente contre celui de l’ordre républicain devant le conduire à soutenir ses fonctionnaires en toutes circonstances.

Dans le second cas, il s’est également rendu coupable de n’avoir pas mieux protégé la vie privée et l’anonymat de ses agents par la mise en place d’un dispositif ad hoc. Un tel degré d’amateurisme devrait valoir à Monsieur Cazeneuve d’être congédié sur le champ par le Premier ministre. Mais l’autorité est le principal défaut dans la cuirasse de l’un comme de l’autre.

Entrés par effraction au pouvoir, dès 1981, les socialistes (excepté quelques rares personnalités habitées par un vrai sens de l’État) vomissent le réel. Ils sont animés par ce que la philosophe Chantal Delsol dénomme la « haine du monde ». Dans leur jeunesse, ils abhorraient l’ordre (« CRS=SS ») pour ce qu’il était, soit les bornes nécessaires de toutes libertés, en l’occurrence les limites à leurs folles démiurgies prétendument émancipatrices. Aujourd’hui, leur juvénile et capricieuse exécration s’est mue en actes nocifs. Leur impéritie destructrice est une forfaiture.

Aristide Leucate

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Le directeur de Frontex propose de faire venir les envahisseurs par avion

29 Juin 2016, 06:17am

Publié par Thomas Joly

Fabrice Leggeri, directeur de Frontex : « Il faut davantage de voies légales vers l’Europe à partir des régions en crise. C’est ce qu’a proposé la Commission européenne l’an passé. Et j’approuve cette demande. Cela simplifiera la situation aux frontières extérieures de l’UE. Un exemple : Lorsque, l’été dernier, des dizaines de milliers de personnes ont fui de Turquie en Grèce dans les minuscules embarcations des passeurs, c’étaient à 70 ou 80 % des Syriens. S’il y avait eu des voies légales vers l’Europe pour ces personnes ayant besoin de protection, comme par exemple des vols humanitaires spéciaux à partir des camps de réfugiés du Liban, de Turquie ou de Jordanie, nous n’aurions pas eu ces grands problèmes à la frontière extérieure de l’UE. C’est aussi la mission de Frontex d’identifier à la frontière les gens ayant besoin de protection et de leur indiquer le chemin pour aller déposer leur demande d’asile. Frontex ne veut pas dire fermeture des frontières. »

Source : http://www.fdesouche.com

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Un gauchiste incendie un drapeau français et se brûle la main !

29 Juin 2016, 06:11am

Publié par Thomas Joly

Au cours de la manifestation contre la loi Travail, mardi à Rennes, un drapeau bleu blanc rouge a été incendié par un dégénéré d'extrême-gauche qui s'est brûlé la main. Il a été soigné à l'hôpital puis placé en garde à vue.

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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Bud Spencer est mort : quelle claque !

29 Juin 2016, 05:59am

Publié par Thomas Joly

Depuis le décès de Carlo Pedersoli, baffes, beignes, bourre-pifs, taloches, mandales et autres coups de pompe dans le derche n’auront plus le même goût, plus le même bruit.

En effet, Carlo Pedersoli était plus connu sous le nom de Bud Spencer, l’autre moitié du duo formé avec Mario Girotti (Terence Hill à l’écran), sorte de Laurel et Hardy transalpins, qui connut jadis la gloire dans la série des Trinita, westerns parodiques à base de bastons clownesques et d’humour façon coussin péteur. La preuve : le genre avait été surnommé « western fayot », succédané tardif du « western spaghetti », vilain surnom dont l’avaient affublé certains critiques américains, agacés qu’on vienne chatouiller l’industrie hollywoodienne en son pré carré westernien.

Bud Spencer, donc. Pas loin de deux mètres sous la toise et près de trois quintaux à la pesée, il était le bon géant que les enfants adoraient applaudir, surtout lorsqu’il torgnolait les méchants, boulot qui l’employa à plein temps dans quelques bonnes dizaines de films, avec ou sans Terence Hill. Bien sûr, imposante carrure mise à part, nous étions loin d’Orson Welles, et la filmographie du défunt présente tant de navets que sa carrière eut tout d’un potager : Petit papa Baston, On m’appelle Malabar, Salut l’ami, adieu le trésor, Mon nom est Bulldozer. On est loin des Cahiers du cinéma.

Pourtant, les gamins – dont nous fûmes tous plus ou moins – l’adoraient, cet ogre gentil. C’était l’époque où les salles de quartier jetaient leurs derniers feux. Avant les multiplexes, avant Internet. Avant toutes ces choses ayant fait que le cinéma, surtout populaire, n’est plus vraiment une fête. Dans ces salles de quartier, parisiennes ou de province, le spectacle était souvent autant dans la salle au velours rouge pelé que sur l’écran pendouillant : au Brady, mythique cinéma de Strasbourg-Saint-Denis, on vit des clochards, au premier rang, faire cuire leurs merguez sur des Butagaz et, vedette locale, un dingo qui ne venait voir que des films d’araignées géantes et qui se pignolait frénétiquement – et surtout bruyamment – à chaque apparition d’arachnides mutants. Mais il y a avait aussi Le Colorado, L’Eldorado, Le Cinex, le Far West, qui devint plus tard un club de rencontres homosexuelles dans lequel, à son corps probablement défendant, un certain Louis Pauwels avait mis quelques billes.

Dans ces salles aujourd’hui disparues, dont la clientèle était principalement composée de travailleurs immigrés – tel qu’on disait alors -, de prostituées venues faire une pause bien méritée, de vagabonds en quête d’un peu de chaleur, de voyous cherchant à échapper aux condés et de cinéphiles déviants – un peu moi, j’avoue –, Bud Spencer était une sorte de figure fédératrice. Dès qu’il montrait sa trogne, tout le monde commençait à s’exploser la rate. Et quand il fracassait les méchants avec ses mains aussi larges que des battoirs, l’extase était proche : on savait qu’il allait défendre la veuve et l’orphelin avec ses manières à lui. Même les voyous plus haut évoqués applaudissaient – c’est dire.

Bien sûr, tout ce joli petit monde ignorait qui était Carlo Pedersoli. En effet, qui put deviner que, sous cette ronde et imposante carcasse, s’était jadis dissimulé un athlète de si haut niveau qu’il fut le premier nageur italien à passer sous la barre d'une minute aux cent mètres, avant de concourir aux Jeux olympiques de 1952 et 1956. Qu’il était diplômé de droit, pilotant avec la même aisance avion et hélicoptère, à tel point qu’en 1984, il fonda Mistral Air, compagnie de transport aérien… Et même qu’il se présenterait plus tard sur une liste Forza Italia, sous égide berlusconienne. À l’époque, on nous l’aurait dit que l’on ne l’aurait pas cru et que – pis – nous aurions refusé de le croire.

Pour nous, il demeurera toujours Bud Spencer, le gros rigolo qui faisait rigoler les enfants. Nous étions bien les seuls, mais nous étions si nombreux… Et aujourd’hui, sa mort nous fait comme une très grosse claque. La dernière qu’il aura distribuée.

Nicolas Gauthier

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Selon le pape François, les chrétiens devraient demander pardon pour la tuerie d’Orlando !

28 Juin 2016, 06:51am

Publié par Thomas Joly

La destruction et l’humiliation de l’Eglise catholique par les anti-christ n’en finit pas. Une nouvelle provocation ignoble déclenchée par le cardinal Marx, président de la conférence des évêque d’Allemagne et grand promoteur de l’homosexualité. Ce dernier avait osé accuser les chrétiens et l’Eglise d’être indirectement à l’origine de la tuerie d’Orlando, où des dizaines d’homosexuels ont perdu la vie dans une boite de nuit, sous prétexte du comportement odieux des chrétiens et de l’Eglise vis à vis de ces personnes. Le cardinal Marx a par la même occasion demandé à l’Eglise de supprimer le passage du catéchisme sur les homosexuels jugé « violent » !

La question a donc été posée au pape, qui loin de dénoncer les propos ignobles de l’évêque allemand, a abondé dans son sens. Plus encore, à aucun moment il n’a condamné l’homosexualité, émettant simplement des réserves sur « certaines manifestations un peu trop offensives pour les autres. » Voilà qui vient confirmer les termes de la Relatio post disceptationem, un texte intermédiaire du Synode sur la famille de 2015, prônant l’acceptation de l’homosexualité, et dont certains ont affirmé que les paragraphes les plus scandaleux émanaient du pape François lui-même.

Faudra-t-il que le pape et son compère Marx demande à Saint Paul de s’excuser ?

« C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes : car leurs femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature; et de même les hommes, abandonnant l’usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. » (Romains I, 26,27)

Et si cela n’est pas suffisant, il faudra aussi que le pape François demande à Dieu lui-même de s’excuser pour ses propos largement outranciers !

« Quand un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ce qu’ils font tous les deux est une abomination : ils seront mis à mort, leur sang retombe sur eux. » Lévitique 20, 13

Quant à l’aspect grotesque des propos du pape, celui-ci estime que les chrétiens doivent demander pardon pour un massacre commis par un musulman homosexuel !

Vraiment cette Eglise conciliaire n’aura épargné aucune insulte à l’Eglise du Christ ! Nullam partem.

Source : http://www.medias-presse.info/selon-le-pape-francois-les-chretiens-devraient-demander-pardon-pour-la-tuerie-dorlando/57084

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L'infâme Hillary Clinton défile à la Gay Pride de New York

28 Juin 2016, 06:45am

Publié par Thomas Joly

Elle est la candidate préférée de la classe politique française L'ancienne sénatrice de New York, en pleine campagne électorale, s'est ralliée, tout sourire, au cortège de la Gay Pride en plein cœur de Manhattan. 

Un an après la légalisation du mariage homosexuel par la Cour suprême américaine, cette décision a été à nouveau saluée par Hillary Clinton : « Il y a un an, l'amour triomphait dans notre plus haute cour. Et pourtant les Américains LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres, ndlr) font encore face à trop de barrières. Continuons à manifester jusqu'à ce que ce ne soit plus le cas », a écrit sur Twitter Hillary Clinton, arborant les couleurs arc-en-ciel, symboles de la fierté homosexuelle, sur son profil Twitter.

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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Et si Londres devenait un paradis fiscal ?

28 Juin 2016, 06:42am

Publié par Thomas Joly

Loin des scénarios catastrophe, cet article du Monde explore une piste qui pourrait expliquer les vraies raisons du mécontentement si démonstratif des dirigeants, des ministres des finances et des financiers de l'Union européenne :

Il ne croyait pas si bien dire, Emmanuel Macron. Mais comme il a fait preuve de clairvoyance, ce 14 avril, en voyage à Londres, deux mois donc avant le « Brexit », en provoquant les Britanniques d’un : « Vous ne voulez quand même pas devenir le “Jersey” ou le “Hongkong” de l’Europe ? »

Car derrière le risque de marginalisation de la puissante City de Londres, qu’entendait dénoncer le ministre français de l’économie, en cas de divorce d’avec l’Union européenne (UE) – une marginalisation coûteuse en emplois et en points de croissance économique – se cache, en réalité, un autre risque. Celui-là est pernicieux, et surtout, lourd de conséquences pour l’ensemble de la communauté internationale, notamment européenne.

Le risque est de voir le Royaume-Uni et son centre financier se lancer dans un dumping fiscal et réglementaire particulièrement agressif, pour s’imposer comme « le » paradis fiscal de l’Europe, plus poreux et complaisant encore qu’il ne l’est aujourd’hui envers l’argent sale, gris ou noir, issu de la fraude fiscale, des trafics ou de la corruption.

Le Monde en profite tout de même pour lancer un procès d'intention en imaginant que seul "l'argent sale, gris ou noir, issu de la fraude fiscale, des trafics ou de la corruption". Et si cela, au contraire, forçait la France à arrêter le matraquage fiscal...

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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Féminisme à géométrie variable : la preuve par Public Sénat…

28 Juin 2016, 06:33am

Publié par Thomas Joly

« Les femmes sont plus proches les unes des autres qu’un homme ne l’est d’un autre homme », disait, en 1975, Benoîte Groult, grande figure féministe française qui vient de rendre l’âme. Ça dépend lesquelles. Et le féminisme meurt aujourd’hui de cette — inique — réserve-là.

Renaud Muselier était invité le 23 juin sur la chaîne Public Sénat. De l’émission, la chaîne a mis en avant un petit extrait. Elle l’a titré « Renaud Muselier se lance dans une imitation des minauderies de Marion Maréchal-Le Pen ».

Public Sénat a attendu, attendu, attendu… le formidable « bad buzz » qui devait s’abattre. C’était tellement énorme, Cécile Duflot et sa robe fleurie à l’Assemblée pourrait aller se rhabiller. Public Sénat a fait les cent pas. Consulté sa montre. C’était un peu longuet, tout ça. Penses-tu. Le buzz n’est jamais venu.

Public Sénat doit être dépitée. Et bien étonnée.

Sur sa vidéo, Renaud Muselier fait un mouvement grotesque de la tête et de la main pour faire mine de rejeter sa chevelure en arrière : « Je minaude et je suis toujours absente. » La saynète finie, il rajoute : « Elle est sympathique, elle est jolie mais elle sert à rien. »

L’un des journalistes trouve l’imitation si drôle qu’il lui demande de recommencer. Renaud Muselier s’exécute bien volontiers (Voir la vidéo).

Bien sûr, le petit sketch de Muselier n’est, en soi, pas très grave. Et après tout, on pourrait convenir que tous les coups sont permis, même les plus bas : tourner en dérision la chevelure de Marion Maréchal-Le Pen comme le crâne d’œuf d’Alain Juppé – pas sûr que ces vannes capillaires apportent grand-chose au débat, mais pourquoi pas. À condition que tout le monde soit logé à la même enseigne. Et que l’humour lourdingue façon Laurent Gerra éclabousse aussi d’autres donzelles que celle-là.

Imaginons un instant qu’à la place de Renaud Muselier il y ait eu Nicolas Sarkozy, et à celle de Marion Maréchal Ségolène Royal — qui doit bien, de temps en temps, remettre ses cheveux en arrière, attendu qu’elle n’a, elle non plus, on l’en excusera, c’est l’époque qui veut ça, ni le chignon serré de Marie-France Garaud ni le brushing figé de Margaret Thatcher. Supposons qu’il ait singé ses petites manières, puis qu’il l’ait accusée de faire sa mijaurée, et même de n’avoir d’autre utilité que celle d’être décorative…

On imagine le tollé, le scandale, la bombe atomique. Déchaînement sans précédent dans les officines féministes. Aboiements déchirants chez les Chiennes de garde. Chacune des ministres se serait fendue d’un communiqué, d’une déclaration. Pour avoir simplement qualifié de « très jolie femme » Najat Vallaud-Belkacem, sans autre commentaire péjoratif, Jean-Pierre Elkabbach s’est attiré les foudres d’Aurélie Filippetti, ministre alors en exercice, qui l’a accusé publiquement de « machisme ».

« Oser le féminisme » serait oser défendre les femmes quelles qu’elles soient, même si elles défrisent Caroline De Haas et ses amies, même si elles ne leur reviennent pas, même si elles les trouvent franchement antipathiques. Même si le parti auquel elles appartiennent est aux antipodes du leur. Même si ce qu’elles racontent les débecte. Même si elles s’appellent Marion Maréchal, Christine Boutin, Frigide Barjot, pour ne citer que celles-là. Simplement parce qu’elles sont femmes.

Pour être osé, ce serait vraiment osé. Ça aurait même de la gueule, et du panache. Ça serait honnête et courageux. On dirait « chapeau bas ». Mais ce n’est pas le cas.

Et faute d’oser vraiment le féminisme, elles ont « losé » le féminisme. À force de collusion politique et de parti pris idéologique.

Gabrielle Cluzel

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Les derniers vikings humilient l'Angleterre cosmopolite

28 Juin 2016, 06:08am

Publié par Thomas Joly

C'est une équipe islandaise ethniquement homogène à 100 % qui a battu une équipe anglaise métissée et sans inspiration. Dimanche prochain, les courageux vikings sortiront-ils le ramassis de mercenaires africains qui composent l'équipe dite « de France » ?

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Le succès de la pétition anti-Brexit est dû à une manipulation massive

27 Juin 2016, 18:02pm

Publié par Thomas Joly

Une pétition appelant à la tenue d’un second referendum après la victoire du Brexit et ayant obtenu plus de 3 millions de signatures a été grossièrement manipulée.

Les données publiées sur le site des pétitions du gouvernement britannique et du parlement montre un nombre suspect de signatures attribuées dans des pays autre que le Royaume-Uni, dans certains cas plus que leur population totale.

Ainsi, 39.411 résidents de la cité du Vatican, où habite le pape François, avaient visiblement signé la pétition ce dimanche matin, malgré le fait que ce petit État-cité ne possède une population que d’à peine 800 habitants.

De même, dans un pays isolationniste comme la Corée du Nord, un des pays au monde le moins connecté à internet, 23.778 personnes se seraient apparemment connecté en ligne pour exprimer leur frustration de voir le Royaume-Uni quitter l’Union Européenne.

Tout ça ne tient pas comme le révèle le site Heat Street qui reproche à la BBC d’avoir relayé l’information sans la vérifier. La plupart des signataires de cette pétition trop populaire pour être honnête sont en réalité des bots mis en place par des utilisateurs de 4chan qui moquent l’absence quasi-totale de vérification de l’origine des signatures.

Source : http://www.fdesouche.com/743039-brexit-deux-millions-de-personnes-signent-une-petition-pour-un-nouveau-referendum

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Joseph Hirt, « survivant d’Auschwitz », avoue avoir tout inventé

27 Juin 2016, 06:41am

Publié par Thomas Joly

Régulièrement invité dans les écoles, les universités et à la télévision, Joseph Hirt, 91 ans, habitant Adamstown en Pennsylvanie, a voyagé pendant des dizaines d’années à travers les Etats-Unis pour donner des conférences sur l’Holocauste et raconter son évasion d’Auschwitz alors que son corps ressemblait à un « squelette de 28 kg recouvert de peau ».

Mais Joseph Hirt vient d’avouer qu’il avait menti.

Lui qui multipliait les détails durant ses récits, racontant sa rencontre avec le docteur Josef Mengele, qui menait des expériences médicales sur les détenus  ou comment il avait réussi à passer sous des fils barbelés et à s’évader d’Auschwitz, a fini par admettre qu’il avait tout inventé, s’excusant publiquement auprès de ceux à qui son histoire pourrait nuire.

« Je n’étais pas prisonnier là-bas », a-t-il avoué.

C’est un professeur d’histoire à Turin, Andrew Reid, qui a décelé des « incohérences » dans le récit de Joseph Hirt. Le 15 avril, il assistait à une conférence de Joseph Hirt à New-York. Joseph Hirt y a montré le numéro de prisonnier tatoué sur le haut de son avant-bras. Le professeur d’histoire, qui écoutait attentivement, a remarqué que Joseph Hirt déclarait avoir été capturé par les nazis, déporté à Auschwitz en 1941 avant de parvenir à s’échapper du camp de concentration en 1942, le 31 mars exactement, jour de l’anniversaire de son père. Mais d’après les responsables du Musée National d’Auschwitz-Birkenau, le numéro de prisonnier tatoué sur le haut de l’avant-bras de Joseph Hirt correspond à celui d’un Polonais arrivée à Auschwitz en 1944.

Le site du musée américain de l’Holocauste a également fait remarqué que la méthode de tatouage au niveau de la face interne du haut de l’avant-bras gauche des prisonniers d’Auschwitz, là où se trouve celui de Joseph Hirt, n’est entrée en vigueur qu’en 1943, soit deux ans après que, selon ses dires, il y ait été déporté. Enfin, les officiels du Musée National d’Auschwitz-Birkenau ont déclaré à Andrew Reid qu’il n’y avait eu « qu’une seule évasion » recensée au cours de la période avancée par Joseph Hirt et qu’il ne s’agissait pas de la sienne.

Pas sûr que l’affaire fasse l’objet d’un reportage au journal télévisé… Ni que les étudiants soient avertis qu’ils ont écouté un faussaire.

Source : http://www.medias-presse.info

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42.000 morts par an à cause de la pollution : le pipeau de l’UE !

27 Juin 2016, 06:34am

Publié par Thomas Joly

La nouvelle est tombée comme un couperet : il y aurait 42.000 morts par an en France à cause de la pollution.

Cette fois, l’Europe s’est surpassée, elle n’y est pas allée progressivement dans son annonce (d’abord quelques milliers, puis 10.000, puis 15.000,…). Non 42.000 morts directement et pour la première fois ! Un record ! C’est comme jouer au Monopoly et toucher 20 000 Francs sans passer par la case départ !

Quand on rentre dans le détail, on voit que ce chiffre qui est issu du rapport CAFE CBA : Baseline analysis 2000 to 2020 publié en 2005 par le programme CAFE (Clean Air for Europe, « Air pur pour l’Europe »), mené par la Commission européenne de 2001 à 2006 pour lutter contre la pollution atmosphérique.

En creusant, on constate aussi que « On ne peut pas comptabiliser directement le nombre de décès dus à la pollution atmosphérique car les affections respiratoires, cancers du poumon ou accidents vasculaires cérébraux peuvent être provoqués par de nombreux facteurs. Il n’y a pas de pathologie traceuse mais un faisceau d’éléments convergents ».

« Il s’agit donc de se baser sur des études épidémiologiques qui ont établi une corrélation statistique entre les niveaux de pollution aux particules fines et des risques pour la santé », poursuit-elle. « En mesurant les niveaux de pollution à un moment donné et le nombre de personnes exposées, on peut ensuite réaliser une modélisation pour obtenir le nombre d’années de vie perdues et de décès. »

En gros, c’est un chiffre théorique, fait sur des hypothèses elles-mêmes très théoriques… qui ne reposent sur aucune preuve sérieuse.

C’est comme lorsqu’on vous dit qu’à cause du réchauffement climatique, le pôle nord diminue… on ne vous dit jamais que le Pôle sud augmente de taille… et qu’il y a donc un équilibre. De surcroit, comme le soulignait un ancien Ministre, chaque jour la température de la mer varie de plusieurs degrés, sans que l’on constate que les villes côtières sont rayées de la carte…

Ah ces gens de la commission européenne, ces fonctionnaires zélés inconnus grassement payés pour nous pondre des réglementations complexes et folles sur les sujets les plus improbables !

Je vais vous dire le fond de ma pensée : quand on nous pond une catastrophe comme celle-là (même si on n’a vraiment rien vu, ce qui est déjà bizarre, et que ça ne repose sur aucune preuve sérieuse) c’est qu’on veut nous pondre de nouvelles réglementations pour nous pourrir la vie, restreindre nos libertés et nous piquer notre pognon (pour ceux qui en ont encore).

Ce n’est qu’une préparation du terrain, et il y a « une bonne raison », votre santé. Par conséquent, ça sent le coup monté et l’enfumage eurotechnogaucho à plein nez…

On sait déjà qu’en France, on ne peut plus fumer, on ne peut plus aller voir des « courtisanes » de rue (en gros, on ne peut plus baiser…), que nos déplacements vont être de plus en plus contraints (circulation alternée, mise à la casse des véhicules anciens (merci pour les pauvres qui n’ont pas les moyens d’en avoir une neuve, car ils ne sont pas fonctionnaires européens), mais ce n’est pas assez.

Bientôt, vous verrez que malheureusement, on achètera des quotas de droits de respirer. On a déjà eu une bourse sur les droits à CO2 qui a permis à des escrocs malins de dépouiller la France de 1.300.000.000 € grâce aux brillantes idées d’énarques de Bercy.

Et puis dernier rappel, vous convaincre que la vraie catastrophe imminente, et même déjà là, ce sont ces pseudo 42.000 morts putatifs, ça permet de détourner l’attention et de vous faire oublier que l’immigration de masse en provenance du Maghreb et du Moyen-Orient n’en est pas une, et que c’est même une chance pour la France (pour remplacer les morts ?) 

Albert Nollet

Source : http://ripostelaique.com

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La CGT vandalisée : retour à l’envoyeur !

27 Juin 2016, 06:22am

Publié par Thomas Joly

Le siège de la CGT à Montreuil (Seine-Saint-Denis) a été vandalisé dans la nuit du vendredi 24 au samedi 25 juin. Selon plusieurs sources, des hommes cagoulés, deux ou trois, ont escaladé l’entrée principale et ont brisé quelques portes et vitres de l’immeuble avant de prendre la fuite quand ils ont été surpris par des vigiles.

Tout comme pour le siège de la CFDT vandalisé, lui aussi, deux jours plus tôt, la police mène l’enquête afin de rechercher les coupables et les traduire devant la justice. Il est normal que, dans un État de droit, les fauteurs de troubles soient recherchés, jugés et condamnés.

Maintenant, nul ne peut s’empêcher de penser que l’arroseur a été arrosé. Il y a même une sorte de catharsis dans cet épisode nocturne : beaucoup rêvaient de bloquer le siège de la CGT et même de le briser, en représailles de ce que ce syndicat avait pu faire subir pendant des semaines en mai et juin à des millions de Français. Beaucoup en rêvaient et certains l’ont fait. « C’est tant mieux, c’est bien fait. La CGT n’a que ce qu’elle mérite », doivent se dire, en leur for intérieur, de nombreuses personnes. En effet, la CGT, qui est à l’origine de la fronde contre la loi El Khomri, n’a rien fait pour empêcher les dégradations et les violences pendant ses défilés à Paris, Nantes, Rennes, Caen, Marseille, etc. Celles commises au 236, rue de Paris à Montreuil restent moindres que celles perpétrées un peu partout en France. Et puis, le coût des réparations sera vite compensé par la solidarité cégétiste. 50 centimes d’euro de cotisation en plus, ça ne représente pas grand-chose. En revanche, aucun de ces syndicalistes ne s’est cotisé pour réparer les vitres, les Abribus, commerces et autres distributeurs de billets cassés, vandalisés ou pillés…

Quelle jubilation, aussi, de voir le patron de la CGT fulminer dans un communiqué de presse contre cette attaque, même si ses propos ne trompent personne : « Nous réaffirmons que seuls le débat et l’action syndicale par les mobilisations permettent de faire entendre les revendications des salariés et du monde du travail […] Les violences commises ne font que desservir ces revendications et contribuent à essayer de discréditer le mouvement social en cours. Les violences verbales et les insultes contre la CGT contribuent, également, à entretenir ce climat délétère. »

Dans son combat, Philippe Martinez a reçu le soutien du Premier ministre, Manuel Valls, qui a tweeté : « Rien ne peut justifier ces attaques contre les acteurs de la démocratie sociale. » On aurait aimé que le chef du gouvernement mît plus d’entrain et d’ardeur à soutenir d’autres plus nobles causes que celle des casseurs. On se demande même pourquoi il ne s’est pas rendu sur place pour apporter son soutien à son opposant social. Mais ça ne saurait tarder…

Henri Saint-Amand

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Un « réfugié » a commencé le regroupement familial de ses 3 femmes et 20 enfants

27 Juin 2016, 06:18am

Publié par Thomas Joly

La déferlante migratoire n’en finit pas de susciter des problèmes. Avec les immigrés qui affluent illégalement pour demander l’asile en Europe, ce sont leurs coutumes qui s’importent chez nous. Parmi celles-ci, la polygamie, qui va rapidement faire à nouveau débat.

Au Danemark, le cas de Daham Al Hasan est dans tous les journaux. Ce « réfugié » s’est installé au Danemark. Mais il a trois épouses et vingt enfants ! Il est d’abord arrivé seul. Puis une de ses femmes et huit enfants ont suivi. Et il a demandé de bénéficier du regroupement familial pour pouvoir faire venir ses autres femmes et tous leurs enfants au Danemark si accueillant. Grâce aux pressions, neuf autres enfants sont déjà arrivés au Danemark. Et, bien que la législation danoise interdise la polygamie, les experts juridiques considèrent que les deux autres femmes doivent pouvoir venir à leur tour au Danemark puisque… la plupart de leurs enfants y sont déjà arrivés.

Il faut encore préciser que Daham Al Hasan affirme être trop malade pour travailler et trop vieux pour apprendre la langue danoise. Il se réjouit donc de pouvoir vivre avec sa grande famille grâce aux allocations que lui accordent le Danemark. Des allocations très importantes puisqu’elles tiennent compte des vingt enfants dont dix-sept ont moins de quinze ans.

Curieusement, il paraît que de plus en plus de Danois envisagent de voter pour un parti anti-immigration. Etrange, non ? Mais surtout un peu trop tard…

Source : http://www.medias-presse.info/un-refugie-a-commence-le-regroupement-familial-de-ses-3-femmes-et-20-enfants-qui-vont-tous-vivre-aux-frais-des-contribuables/56811

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Le Brexit n’est pas l’élection présidentielle autrichienne

27 Juin 2016, 06:13am

Publié par Thomas Joly

À en croire L’Obs, cela chauffe pour les pro-Brexit. Lancée depuis vendredi, une pétition des partisans du Remain sur le site du Parlement britannique demandant qu’« en cas de victoire du “Brexit” à moins de 60 % des voix, un autre vote soit organisé » a recueilli près de 3 millions de partisans. Cette pétition s’appuie sur les profondes divisions du pays apparues à l’occasion du référendum, jeunes contre vieux, Écosse, Irlande du Nord et Londres contre périphéries des grandes villes et campagnes.

Autre illustration de l’activité fébrile des anti-Brexit : la revendication humoristique très british d’un journaliste anglais : « Londres indépendant ! Sadiq Kahn président ! Vive le Lexit ! » Son action n’en a pas moins recueilli 130.000 soutiens.

Sadiq Khan, le maire de Londres, a publié vendredi un communiqué dans lequel il réclame que la capitale soit associée aux négociations de sortie de l’Union européenne et « reste un membre du marché unique ». « Il est crucial que Londres ait voix au chapitre pendant ces renégociations, comme l’Écosse et l’Irlande du Nord », a-t-il explicité.

Enfin, vendredi soir, 400 militants pro-UE ont défilé à travers la capitale pour protester contre le Brexit. « On a peur, tous ces gens formidables ici ont peur », expliquait l’une des manifestantes, Polly Butler, une étudiante de 22 ans.

On le voit, pas très beaux joueurs, tous ces « rosbifs » qui en pincent pour l’Europe. En véritables illusionnistes, ils voudraient changer le cours du temps et les mathématiques. De plus, comme la valeur du peuple, suivant qu’il vote dans le bon sens ou pas, n’est pas identique, ils ont décidé qu’il était nécessaire, pour que le « Brexit » l’emporte, de détenir 60 % de voix. Nous avons, ici, la nouvelle forme de démocratie directe que nous concoctent la gauche et la droite mondialisées. L’arithmétique n’est plus la règle, plus 50 % de suffrages deviennent à l’occasion plus 60 %. Par contre, ce précepte n’aurait pas été applicable si le Remain était sorti victorieux. Dans ce cas, même une voix d’avance aurait entraîné le succès du camp de l’Union européenne.

Cette attitude vindicative et méprisante vis-à-vis du peuple est à rapprocher de celle, très digne, observée en Autriche lors des présidentielles. Norbert Hofer reconnaissait, le dimanche 22 mai au soir, sa défaite et demandait à ses partisans de ne pas manifester. Pourtant, entre la Grande-Bretagne et l’Autriche, il n’y a pas photo, une différence de pratiquement 4 % (52 % contre 48 %) et plus d’un million de voix d’écart pour les tenants du souverainisme contre une différence de 1 % (50,35 % contre 49,65 %) et simplement 30.000 voix d’avance pour le candidat écologiste. Malgré cela, le chef du FPÖ, Heinz-Christian Strache, prit le temps durant plusieurs jours d’analyser les résultats pour être certain que le comptage du vote par correspondance n’avait pas été fait dans les règles et qu’il y avait bien incidence sur le résultat final de l’élection. C’est après s’être assuré de ces paramètres qu’il décida de porter réclamation devant la Cour constitutionnelle de son pays.

On le voit, le flegme aujourd’hui n’est plus britannique mais autrichien !

Notons un dernier point en revenant en France. En Grande-Bretagne, on peut lancer une pétition auprès du Parlement. Si elle atteint 100.000 signatures, elle est alors examinée par les députés. En France, les médias ont oublié de rappeler, tout à leur joie de la pétition des No Brexit, que M. Delevoye, le président du Conseil économique, social et environnemental, n’avait pas daigné, en 2013, prendre en compte les 540.000 signatures de la Manif pour tous contre le mariage homosexuel, les envoyant directement à la poubelle.

J-P Fabre Bernadac

Source : http://www.bvoltaire.fr

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