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Le blog politique de Thomas JOLY

5 juillet 1962 à Oran : un crime d’État (par Manuel Gomez)

4 Juillet 2015, 09:47am

Publié par Thomas Joly

3.000 Européens massacrés sous les yeux du général Katz et sur ordre du chef de l’État français de l’époque, de Gaulle. Ce chiffre de plus de 3.000 morts et disparus a été enregistré par Mme Sallaberry, militaire de carrière en poste au bureau des exactions. Le colonel Fourcade a témoigné sous la foi du serment, déclarant avoir assisté en début de matinée, ce 5 juillet, à l’entretien téléphonique entre le général Katz, qui informait le chef de l’État que dans toute la ville se perpétrait un massacre au « faciès blanc », et de Gaulle, qui lui a donné l’ordre criminel le plus formel : « Surtout, ne bougez pas ! »

Le général Katz a décidé dans la matinée de survoler la ville en hélicoptère. Voici le témoignage du pilote : « Nous survolons la ville, partout des gens qui fuyaient et des cortèges de bras en l’air, escortés par des ATO (auxiliaires de l’armée nationale populaire) ou des civils en armes. Nous avons survolé le Petit Lac, là aussi une foule compacte bras en l’air, des gens qu’on faisait entrer dans l’eau et qu’on abattait froidement. J’ai hurlé : “Mon général, on abat des gens, je vois l’eau qui devient rouge de sang”. Le général m’a répondu : “Retour à la base”. »

Les Européens étaient escortés jusqu’au commissariat central, où ils étaient torturés et tués mais également vers le Petit Lac et la ville nouvelle. Ce massacre s’est poursuivi jusque vers 17 heures.

Ce 5 juillet, un jeune appelé qui montait la garde dans une guérite d’une caserne oranaise vit venir à lui un groupe de Français affolés, hommes, femmes et enfants, tous terrorisés, qui le suppliaient d’ouvrir les grilles fermées. Il n’avait pas les clés. Il a appelé, supplié qu’on ouvre les grilles d’urgence… Mais déjà les tueurs avaient rejoint le groupe. Ces gens, hommes, femmes, enfants, ont été égorgés sous ses yeux, alors qu’ils s’agrippaient aux grilles fermées à double tour. Il n’a pas pu utiliser son fusil non chargé pour leur porter secours. Cet homme a témoigné et fait ce récit horrible en pleurant… « Depuis, je ne peux plus passer une nuit sans me réveiller en tremblant, avec les cris et les râles de ces pauvres gens dans les oreilles… »

Le père de Laparre de Saint Sernin a témoigné dans un livre remarquable, Journal d’un prêtre en Algérie, dans lequel il relate plusieurs épisodes de l’agonie sans nom qui fut imposée aux Français d’Oran. Dans ce livre, cet homme d’Église relate avoir recueilli et soigné un malheureux Algérien frappé de terreur depuis qu’il avait, involontairement, assisté, au Petit Lac, à la décapitation à la hache d’un couple et de leur petit garçon d’environ cinq ans. Les appels au secours, les supplications et les prières à la Vierge de Santa Cruz de ce couple résonnaient encore aux oreilles de ce témoin. On est pris de frissons en lisant de telles monstruosités.

Et surtout, ce dernier souvenir, ce père qui a raconté avoir retrouvé son fils de 18 ans pendu à un crochet de boucher aux abattoires d’Oran, après avoir été torturé et égorgé.

Le lieutenant Rabah Kheliff fut le seul officier français qui a eu le courage de désobéir aux ordres criminels de sa hiérarchie en se portant au secours de Français pourchassés et massacrés. Il a sauvé des centaines de vies et son témoignage est accablant. Le général Katz l’a convoqué et sanctionné : « Si vous n’étiez pas un Arabe, je vous casserais. » Le lieutenant Kheliff a été sur le champ muté et rapatrié en métropole.

Cette déclaration du chef de l’État, de Gaulle, témoigne de sa complicité dans ce crime d’État

« La France ne doit plus avoir aucune responsabilité dans le maintien de l’ordre après l’autodétermination. Elle aura le devoir d’assister les autorités algériennes, mais ce sera de l’assistance technique. Si les gens s’entre-massacrent, ce sera l’affaire des nouvelles autorités. »

Sans être Nostradamus, voici l’oracle du maréchal Juin :

« Que les Français, en grande majorité, aient, par référendum, confirmé, approuvé l’abandon de l’Algérie, ce morceau de la France, trahie et livrée à l’ennemi, qu’ils aient été ainsi complices du pillage, de la ruine et du massacre des Français d’Algérie, de leurs familles, de nos frères musulmans, de nos anciens soldats qui avaient une confiance totale en nous et ont été torturés, égorgés, dans des conditions abominables, sans que rien n’ait été fait pour les protéger, cela je ne le pardonnerai jamais à mes compatriotes. La France est en état de péché mortel, elle connaîtra un jour prochain son châtiment ! »

Ce jour est-il arrivé ?

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Armée du Salut : les Français pauvres virés au profit des clandestins

3 Juillet 2015, 06:28am

Publié par Thomas Joly

L’information ne provient pas de Minute ou de Rivarol mais de Charlie Hebdo. Autant dire que vous pouvez la diffuser sans crainte d’être étiqueté « politiquement incorrect » puisque tout le monde se doit d’être Charlie dans la France de Manuel Valls.

Or, voilà donc que Charlie Hebdo signale une anecdote ô combien révélatrice relative à une distribution de repas organisée par des bénévoles de l’Armée du Salut. Les pauvres habitués à venir y chercher de quoi manger en ont été écartés au profit… des « migrants », appellation délicate pour désigner les immigrés clandestins.

Et dire qu’il y a quelques années des distributions de soupe au cochon ont été interdites sous prétexte qu’elles auraient été « discriminatoires »

Source : http://www.medias-presse.info

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Marseille colonisée : « des centaines de gosses, de 4 ans à l’adolescence, traînent dans les rues »

3 Juillet 2015, 06:24am

Publié par Thomas Joly

Voici le « bilan » sur un an pour le seul quartier de Noailles à Marseille : 120 PV dressés pour des infractions aux règles de propreté ; des interpellations par dizaines menées par la division centre de vendeurs à la sauvette, d’individus impliqués dans des rixes, dans des vols de téléphones, des dégradations, des transactions de drogues ; des bars ciblés par des fermetures administratives pour travail dissimulé ; 2.500 verbalisations de stationnement pour 61 mises en fourrière…

« Des centaines de gosses, de 4 ans à l’adolescence, traînent dans les rues du quartier, parfois jusqu’à minuit », glisse Claire Hintzy, responsable du pôle prévention et médiation de l’association Adelies, qui s’intéresse aux 4-13 ans.

« Ils sont dans la rue parce qu’ils s’y sentent mieux que chez eux, à cause de l’exiguïté, des bestioles, de certaines difficultés affectives, de carences éducatives », décrit la professionnelle évoquant ce quartier envahi où l’on compterait 370 familles monoparentales en grande difficulté, et environ 1.700 enfants au global.

Les parents « démissionnaires » ou soi-disant débordés sont, eux, rappelés à l’ordre lors de « cellules de citoyenneté et tranquillité publique » (sic) à laquelle déjà 90 familles ont été convoquées. « On est très attentif à cette génération qui doit être tirée vers le haut par tout ce que nous mettons en place dans le secteur, les parents ne voient parfois pas le mal à ce qu’ils traînent dans la rue alors il faut leur rappeler certains risques et certaines règles. Le quartier change d’image peu à peu mais ils doivent comprendre qu’ils sont aussi partie prenante de cette évolution… » ose dire le maire de secteur.

Source : http://www.fdesouche.com

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À quand la légalisation de l’inceste, au nom du droit de chacun à vivre sa sexualité comme il l’entend ? (par François Teutsch)

3 Juillet 2015, 06:20am

Publié par Thomas Joly

Notre gouvernement composé de tête creuses n’a décidément rien compris à la notion d’égalité, qu’il confond avec l’égalitarisme. La première considère que toute personne a des droits égaux à une autre, et qu’il n‘est pas possible de les lui refuser sur des motifs purement subjectifs. Par exemple, chaque personne doit être jugée selon la loi, et les exceptions à cette règle ne peuvent procéder que d’une raison objective.

L’égalitarisme, au contraire, refuse toute exception. Au nom d’une égalité des droits pervertie, il propose une égalisation ne tenant aucun compte de la réalité des choses. L’exemple le plus frappant est celui du mariage : le « mariage pour tous » est un slogan génial. Il ne tient pas compte du fait que le mariage était déjà ouvert à tous, sauf aux mineurs (raison objective), à condition de respecter le sens du mot mariage. Au nom de l’égalité des droits, il a fallu changer la définition du mot. À partir de là, on ne conçoit pas que cette institution devenue un simple contrat reconnaissant l’amour entre deux individus ne soit pas ouverte aux personnes de même sexe.

Un autre exemple nous est rappelé par un bon billet de Sophie Coignard sur le site du Point, à propos des allocations familiales. Depuis le 1er juillet, celles-ci sont réduites de moitié pour un couple avec deux enfants qui gagne plus de 6.000 €/mois, et des trois-quarts au-delà de 8.000 €. La mesure est présentée comme procédant du principe d’égalité. Selon ses instigateurs, il apparaît injuste qu’un couple « riche » touche autant d’allocation qu’un couple « pauvre ».

La notion de justice (sociale) est ici dévoyée. La justice n’est pas l’égalitarisme, c’est l’art de rendre à chacun ce qui lui est dû. La justice considère donc la situation particulière de chacun pour accomplir son objet, quand l’égalitarisme se contente de dire qu’il ne veut pas de tête qui dépasse. En matière d’allocations familiales, le principe est simple : la collectivité compense la charge supplémentaire induite par l’éducation des enfants, en considérant que cette charge pèse sur les familles proportionnellement à leur nombre d’enfants, et que l’accroissement démographique qui en découle lui bénéficie. Cela n’a pas grand-chose à voir avec la redistribution sociale, vers laquelle le système des allocations familiales s’est orienté depuis des années.

Le principe est le même avec le quotient familial, qui permettait à une famille nombreuse avec 6 enfants de ne pas payer, à revenu égal, les impôts d’un célibataire dont le train de vie est, théoriquement, huit fois plus élevé ! Nos gouvernants successifs n’ont vu dans ce système qu’une manière pour les plus riches d’échapper à l’impôt, et ont tout fait pour y mettre fin. Soit ces gens ont peu d’enfants (il faut du temps pour les élever) soit leurs revenus sont de toutes façons tellement confortables que ces questions bassement matérielles leur échappent…

Avec ce genre de raisonnement, on peut envisager de moduler le tarif des péages, ou du stationnement, en fonction de la taille de la voiture. C’et d’ailleurs le cas pour la fameuse taxe CO² qui pénalise les familles nombreuses contraintes de rouler dans des monospaces plus gourmands qu’une Smart de bobo du Marais… Mais on se prive de tout moyen d’interdire des pratiques totalement contraires à la dignité humaine : la PMA et la GPA doivent être autorisées, au nom du droit de chacun à avoir un enfant. Peu importe que cela viole le droit d’un enfant à avoir un père et une mère, et la dignité de la mère porteuse considérée comme une couveuse. Demain, on autorisera l’inceste, au nom du droit de chacun à vivre sa sexualité comme il l’entend. Et pourquoi pas les relations sexuelles avec des mineurs, nubiles ou non.

Il y a quelques jours, un professeur aveugle a été convoqué pour surveiller les épreuves du Brevet des Collèges. Elle explique « On m’a fait comprendre que c’était une question d’égalité. Que si je n’étais pas convoquée, je pouvais attaquer en justice pour discrimination. C’est tout simplement stupide ! Je ne vais pas attaquer pour quelque chose que je ne peux pas faire. »

On en est là.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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3 juillet 1940 : Mers el-Kébir ou la perfide Albion (par Jean-Michel Léost)

3 Juillet 2015, 06:16am

Publié par Thomas Joly

Le 3 juillet, on ne fêtera pas un triste anniversaire : celui de la bataille de Mers el-Kébir ou, pour être plus exact, de l’attaque d’une partie de la flotte française par les Anglais. Il ne s’agit pas ici de faire preuve de quelque anglophobie, mais d’apporter un éclairage sur cet épisode de la Seconde Guerre mondiale.

C’est sans doute Churchill qui décida de cette opération contre l’avis de ses amiraux qui l’estimaient ignoble. Il était convaincu que, si les Allemands projetaient de saisir les navires français, leurs moyens de pression étaient tels qu’ils y réussiraient. C’était mal apprécier la loyauté, la trempe et le sens de l’honneur des officiers français. Dès le 20 juin 1940, l’Amiral Darlan avait adressé à tous les commandants de navires et de ports des instructions chiffrées : ils ne devaient jamais abandonner aux Allemands un bâtiment intact. Quatre jours après l’armistice, il confirmait ses ordres.

L’Amiral anglais Somerville avait, lui aussi, suffisamment le sens de l’honneur pour être certain du refus français de placer notre flotte sous la coupe de la Royal Navy : aucune Marine n’aurait pu accepter l’ultimatum qu’il fit remettre à l’amiral Gensoul, le commandant du port. Il répugnait au massacre d’une flotte sans défense dont les bâtiments constituaient une cible immanquable, leur dispositif de mouillage les empêchant de répondre aux tirs, mais les autorités anglaises n’en tinrent pas compte : si les Français refusaient ces conditions, il était de la ferme intention du Gouvernement de sa Majesté de détruire les bâtiments.

Après des pourparlers qui ne pouvaient pas aboutir, vers 18 heures, un déluge de feu s’abat sur les croiseurs, les cuirassés, un porte-hydravions, six contre-torpilleurs, causant la mort de 1.300 Français. Seul un bâtiment en réchappera.

Fin 1940, la Marine demeurait la seule force militaire française qui ne se fût pas effondrée sous la poussée allemande. Ses plus lourdes pertes en hommes et en navires, elle les doit au tir des canons lourds des cuirassés et croiseurs anglais venus attaquer des bâtiments au mouillage de Mers el-Kébir. Beaucoup de ces marins avaient leurs familles à Brest qui, sous les bombes anglaises, continuaient à leur demander de frapper les « Teutons ». Quelques mois plus tard, pour échapper aux Allemands tout en refusant de se livrer aux Anglais, une autre partie de la flotte française se saborde. Qu’elle ait choisi de rejoindre Londres à l’appel du général de Gaulle — une minorité — ou de rester fidèle au gouvernement légal, la Marine française a toujours considéré que l’Allemagne était son ennemie et s’est unie pour participer activement à la libération de la France.

Un officier du Richelieu avait écrit une chanson pour revigorer les matelots sur l’air du 31 du mois d’août : « Buvons un coup, buvons-en deux / À la santé du Richelieu / À la santé de notre France / Et merde pour le roi d’Angleterre / Qui n’a pas déclaré la guerre ». Nos amis anglais devraient méditer ce refrain pour éviter à leur pays le surnom de Perfide Albion.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Grande-Bretagne : Les enfants qui critiquent l’homosexualité à l’école déclencheront une alerte d’« extrémisme »

3 Juillet 2015, 06:15am

Publié par Thomas Joly

Les enfants qui expriment une critique contre l’homosexualité en classe pourraient déclencher les alertes d’« extrémisme » à l’aune des nouvelles directives du gouvernement britannique visant à prévenir le terrorisme islamiste. C’est ce qu’a indiqué le ministre de l’Education du Royaume-Uni, Nicky Morgan. L’enfant qui qualifierait l’homosexualité de « mal » ou de « faute », alerterait ce faisant les professeurs invités à y voir un indice de « radicalisation ».

Ces directives – auxquelles s’ajoutent les très récents propos du Premier ministre David Cameron dans le Daily Telegraph assurant que la Grande-Bretagne doit être « intolérante à l’égard de l’intolérance » – évitent, bien sûr, de désigner les enfants musulmans ou issus de communautés à dominante musulmans. La discrimination est interdite, après tout. Et la police de la pensée qui s’installe à la faveur de la lutte contre le terrorisme a besoin d’effacer les frontières entre les communautés pour mieux avoir prétexte à surveiller chacun.

Lire la suite : http://www.contre-info.com/uk-les-enfants-qui-critiquent-lhomosexualite-a-lecole-declencheront-une-alerte-d-extremisme#more-38592

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Après un demi-siècle d'indépendance, l'Algérie n'est plus qu'une poubelle à ciel ouvert

2 Juillet 2015, 06:50am

Publié par Thomas Joly

En accompagnement du voyage éclair de François Hollande à Alger, la télévision française nous a proposé deux documentaires sur l’Algérie : « L’Algérie vue du ciel » par Yann Arthus Bertrand, sur France 2. Un documentaire magnifique qui nous a enchanté, mais hélas commenté par Yazid Tizi dans un texte très engagé et rempli de contre-vérités historiques. C’était tout à fait regrettable et inutile car la beauté des paysages se suffisait à elle-même.

Le second, en revanche, offert par France 3 et son magazine Thalassa, sous le titre : « L’Algérie, une mer retrouvée », est fortement sujet à polémique, notamment de la part des Algériens eux-mêmes.

En effet, révélée par Médiapart le 13 juin, des reporters de l’émission se sont livrés à des commentaires peu flatteurs sur ce document filmé en Algérie et distribué dans plusieurs cinémathèques.

Selon le quotidien algérien Liberté du 15 juin 2015, ce documentaire « L’Algérie, une mer retrouvée », nous a présenté une Algérie de carte postale, avec des allures d’eldorado touristique, une sorte de Nouvelle-Calédonie sans Kanaks. Des plages immaculées car nettoyées avant chaque prise de vue et filmées en vertu d’autorisations délivrées par 8 ministres, sans que cela soit mentionné à l’antenne par les producteurs et réalisateurs.

Il a consterné les Algériens qui l’ont visionné. Il présentait des sites paradisiaques, des sports d’été, une harmonie de vie sans faille, etc. Les Algériens avaient la réelle impression de découvrir les côtes d’un pays étranger et non pas les plages jonchées d’ordures de toutes sortes que le commun des citoyens algérien fréquente.

Pourquoi vouloir à tout prix, même au prix de mensonges, donner de l’Algérie actuelle l’image de l’Algérie d’il y a soixante ans, l’image de l’Algérie « vivante », propre, gaie, où il faisait bon être venu au monde, grandir, vivre ?

Ecoutons certains intellectuels algériens qui ne sont pas aveuglés par une propagande destructrice et une indignation de mauvais aloi.

L’Algérie qui fait s’écrier à la journaliste Raïna Raïkoum dans le Quotidien d’Oran : « Des milliers de bouteilles vides d’eau minérale emportées par le vent, roulant sur l’asphalte. Une terrible saleté sur les plages algériennes, des sachets, des détritus. Pas la saleté habituelle mais une saleté plus ample, plus grave, qui dure. Fallait-il libérer ce pays avec du sang pour, au final, le noyer dans la saleté ? »

Et toujours dans « Le quotidien d’Oran », Ahmed Farrah : « Le malheur d’une certaine frange d’Algériens (les vieux) c’est d’avoir des repères que les jeunes n’ont pas. L’indépendance a fait la fierté de notre peuple, mais peut-on, aujourd’hui, parler de fierté en Algérie alors que la régression est partout visible à rendre myope ? Le temps des bibliothèques scolaires et municipales, des librairies et des grandes éditions, des bouquinistes et des kiosques dans les villes et les villages. Le temps de la lecture et de la culture. Le temps où le maitre d’école en blouse grise était le notable et le modèle. Le temps de l’obligation de sortir les poubelles à la tombée du jour et de les rentrer avant le passage de l’arroseuse communale qui nettoyait les rues. Le temps des denrées bien achalandées dans des lieux nets, propres et astiqués. Le temps de la pudeur, du respect, où l’on n’importunait pas les femmes dans les bus. Le temps des vertus et de l’honnêteté. Le temps des solidarités entre voisins qui partageaient ce qu’ils avaient. Il n’est nullement question de sentiments nostalgiques « pieds-noirisés », ni de l’idéalisation d’un passé décomposé (qu’est-ce que ce serait alors ?) mais simplement de rappeler que l’Algérien était alors travailleur, laborieux, appliqué, consciencieux, bien élevé, respectueux, sociable, pacifique et civilisé. Une fois le « colon » chassé où en sommes-nous un demi-siècle plus tard ? On récolte ce que l’on a semé ! »

L’Algérie que Kamel Daoud décrit comme une « poubelle ». « Il y a quelque chose de lourd, de douteux et de trop insistant dans l’indignation. On y trouve une volonté de faire dans le zèle pour masquer quelques honteuses évidences. »

Le Lac de Réghaïa, ce joyau de la nature à seulement 30 km d’Alger, décrit comme un paradis puant, dans El Watan du 11 avril : « Un marécage aux odeurs pestilentielles, des marais aux eaux verdâtres où il est nécessaire de se boucher le nez pour l’approcher. »

Ne serait-il pas plus honnête de présenter aux Algériens et aux Français le visage de l’Algérie telle qu’elle est devenue après un demi-siècle d’indépendance et non pas de tenter de l’enjoliver pour le plaisir de quelques uns en déniant la réalité ?

Source : http://magoturf.over-blog.com/

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Kinshasa ? Lomé ? Dakar ? Non, Aubervilliers, France...

2 Juillet 2015, 06:34am

Publié par Thomas Joly

Depuis le début de la canicule, la population afro-maghrébine de la ville colonisée d'Aubervilliers dégrade les bouches d'incendie en ouvrant les vannes pour s'arroser et remplir des piscines gonflables ; laissant s'écouler ainsi d'immenses quantités d'eau qui seront facturées aux contribuables français...

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Alain Juppé, le Bilderberg, le transhumanisme et la NSA

2 Juillet 2015, 06:30am

Publié par Thomas Joly

Interrogé à propos de sa présence à la réunion 2015 du Bilderberg, Alain Juppé a nié le caractère secret de cette assemblée et a simplement concédé qu’il y a été question de différentes questions géopolitiques ainsi que de « l’intelligence artificielle » qui nous mène tout droit au transhumanisme.

Source : http://www.medias-presse.info

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617 000 € de subvention pour une exposition d'art contemporain dans le Nord/Pas-de-Calais sinistré

2 Juillet 2015, 06:27am

Publié par Thomas Joly

Le Nord-Pas-de-Calais a financé l'exposition de 14 « oeuvres » installées dans les paysages sauvages ou agricoles...

La directrice de la communication a défendu : « C’est une ouverture extraordinaire sur la culture et la création contemporaine. C’est également l’occasion pour les visiteurs, les habitants, les touristes, les artistes de faire des rencontres surprenantes, intéressantes. Ce type de projet, totalement gratuit, a un coût. Mais le site, les animations, les œuvres sont accessibles à tous sans paiement en échange ».

Moi quand je mets mes encombrants sur le trottoir, la mairie ne me donne rien.

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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8 organisations criminelles sur 10 détectées en France sont étrangères ! (par Olivier Porri Santoro)

2 Juillet 2015, 06:10am

Publié par Thomas Joly

« Mon métier, c’est de dire la vérité ! » Le 24 juin, Éric Zemmour répondait, tout en gouaille, devant la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris à des accusations « d’incitation à la haine raciale » après une chronique sur RTL. Le procureur a requis 5.000 euros d’amende contre le journaliste. Pour mémoire, ce dernier s’était borné à expliquer que « les grandes invasions d’après la chute de Rome sont désormais remplacées par des bandes de Tchétchènes, de Roms, de Kosovars, de Maghrébins, d’Africains qui dévalisent, violentent ou dépouillent ».

Alors, simple lubie d’un cuistre aigri ayant la prétention de paraître « plus goy que goy », comme l’a prétendu si pitoyablement Léa Salamé, ou analyse lucide d’un journaliste digne de ce nom ?

Pour en avoir le cœur net, Boulevard Voltaire s’est procuré une note interne de police faisant l’objet d’une « diffusion restreinte ». Il s’agit d’un rapport de 98 pages portant sur la criminalité organisée en France (2011-2012) rédigé par le Service d’information, de renseignement et d’analyse stratégique sur la criminalité organisée (SIRASCO), émanant du ministère de l’Intérieur.

La première partie du rapport, consacrée aux « organisations criminelles qui impactent la France », est édifiante. En guise d’incipit, il est inscrit noir sur blanc – et c’est justement une des inquiétudes exprimées sur RTL par Éric Zemmour – qu’il existe une « présence dans la plupart des agglomérations françaises d’organisations criminelles étrangères ».

Incroyable mais vrai, il est dit que sur un total de 10 organisations criminelles détectées en France, 8 d’entre elles sont (roulement de tambour)… « étrangères ». Voici, en résumé, l’énumération telle qu’elle se présente dans l’approche transversale du SIRASCO : les organisations criminelles françaises, les organisations criminelles balkaniques, les groupes criminels turcophones, les organisations criminelles russophones, les mafias italiennes, les groupes criminels issus des communautés des gens du voyage, la criminalité organisée africaine, les organisations criminelles asiatiques, les gangs de motards, les cartels et la criminalité organisée latino-américaine.

N’en déplaise aux contradicteurs du polémiste, le SIRASCO avance que les choses ne vont qu’en empirant. « En 2011, le nombre d’étrangers mis en cause augmente de 6,54 % par rapport à 2010 », décrit le rapport. « Et la part des étrangers mis en cause dans la criminalité organisée et délinquance spécialisée s’élève à 29,44 %, en hausse de 1,73 point par rapport à 2010 (27,71 %). Pour information, la part des étrangers mis en cause dans la délinquance générale s’élève à 20,58 % ».

Mais le rapport va plus loin : « L’évaluation de la menace liée à la criminalité organisée constitue aussi et surtout un enjeu européen, en raison du caractère désormais transnational des organisations criminelles. » Et, tenez-vous bien, cette étude ne saurait être totalement représentative de la réalité, nous prévient le SIRASCO, sans fard ni artifice.

Oui, car « les 28.770 crimes ou délits constatés en France en 2011», nous dit-on, « ne représentent que moins de 1 % du total général de la criminalité enregistrée ». En d’autres termes, Éric Zemmour serait, en dépit de ses hypothèses les plus pessimistes et de la violence que lui prêtent les pinailleurs de « chiffres » comme Aymeric Caron, toujours en deçà de la réalité.

Sacrifiant la réalité à une conception raciste du débat d’idées, au mépris d’une connaissance des rapports de police, il semblerait que madame le procureur se soit malheureusement contentée de reprendre sans discernement critique les accusations portées par l’association aux relents ethnocentristes CRAN (Conseil représentatif des associations noires) pour condamner, non pas Éric Zemmour, mais le réel.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Décapitations : l’État islamique vers l’égalité hommes-femmes (par Pierre Cassen)

2 Juillet 2015, 06:08am

Publié par Thomas Joly

Comme dans les grandes années du stalinisme, je me dois d’effectuer une autocritique publique pour avoir proféré, aveuglé par mon islamophobie obsessionnelle véhiculée par la propagande réactionnaire de l’ennemi, de graves contre-vérités. Ce mardi 30 juin, place de la Bourse, j’animais un rassemblement demandant la démission de Valls et de Cazeneuve, incapables de protéger les Français de la barbarie des soldats d’Allah. Cette initiative, provoquée par la première décapitation islamique sur le sol français, entendait alerter nos compatriotes sur la réalité de la guerre que l’islam nous mène, sur notre sol, avec la complicité de ceux que nous appelons les islamo-collabos.

Or, lors de ma conclusion, j’ai affirmé que l’islam était incompatible avec notre mode de vie et nos valeurs. Parmi les exemples que j’ai cités, j’ai parlé de l’égalité entre les hommes et les femmes, et affirmé que ce principe était en contradiction avec le dogme mahométan.

Pourtant – d’où mon autocritique pleine de repentance -, en Syrie, à Mayadine, deux femmes ont été décapitées publiquement en compagnie de leur mari, m’infligeant un camouflet cinglant, et prouvant que, même dans l’islam, l’égalité entre les hommes et les femmes est possible. Les deux condamnées portaient un hijab leur recouvrant l’ensemble du visage, des fois que, même dans cette posture, elles aient pu susciter la moindre concupiscence d’un mâle en rut. Le crime de ces deux couples ? Ils étaient en possession de fétiches, ce qui leur a valu l’accusation, fatale, de « sorcellerie » et de « magie ».

Hollande, qui, comme tout homme de gauche digne de ce nom, a mené une farouche bataille pour l’abolition de la peine de mort, dans les années 1980, soutient donc, par son action quotidienne en Syrie contre le régime de Bachar el-Assad, ceux qui décapitent à tour de bras des hommes, et maintenant des femmes, dans les zones conquises.

Lui et ses camarades socialistes, depuis les années 1980, ont favorisé la venue sur notre sol de centaine de milliers de Yassin Sahli. S’ils avaient lu le Coran, ils sauraient que si ceux-ci veulent être de bons musulmans, ils se doivent d’imiter en tous points la vie de leur prophète. Ils n’ignoreraient pas que celui-ci a fait décapiter à tour de bras ceux qui osaient lui résister, comme ces six cents juifs de la tribu de Banu Qurayza, à Médine, en 627.

Le blogueur algérien Aldo Sterone, dans une vidéo, alertait les Français en leur affirmant que, si rien n’était fait, il y aurait bientôt une centaine de décapitations dans notre pays.

Rappelons que lors du dernier septennat de Giscard, il n’y a eu que trois exécutions capitales, et que la dernière femme guillotinée, Geneviève Leloy-Godefroy, l’a été en 1949.

Résumé : la gôche s’est battue de toutes ses forces, il y a quarante ans, contre une mesure symbolique qui n’était pratiquement plus appliquée.

Mais elle a introduit sur le territoire français des centaines de milliers de Yassin Salhi qui rêvent, pour les plus radicaux d’entre eux, d’imiter en masse, en France, les actes barbares des soldats de l’État islamique en Syrie, et de l’assassin de Saint-Quentin-Fallavier.

La gauche, soutenue par l’UMP, a donc réintroduit, en plus barbare encore, la peine de mort sur notre sol, qui sera réservée aux seuls infidèles, ce qui fait juste 50 millions de Françaises et de Français parmi les potentielles futures victimes des coupeurs de tête.

Merci encore, Hollande, Valls, Cazeneuve et les potes !

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Google Photos : le service confond les personnes noires avec des gorilles

2 Juillet 2015, 06:02am

Publié par Thomas Joly

Oups. C’est une belle boulette pour Google, qui ne sait plus où se mettre. Le nouveau service Google Photos est doté d’un système de reconnaissance automatique des objets et des personnes. Mais ce dernier n’est pas encore 100 % efficace. Preuve en est avec cet exemple très gênant où Google Photos a apposé le tag « Gorille » sur la photo d’une jeune femme noire. Le bug à connotation raciste a immédiatement été partagé sur Twitter lundi 29 juin par Jacky Alciné, un programmeur informatique, qui l’a constaté sur certaines de ses propres photos.

L’algorithme, qui ajoute automatiquement des tags sur l’ensemble des photos ajoutées dans le service, a visiblement des ratés. La seule solution trouvée par Google pour tenter d’endiguer au plus vite la polémique a été de… supprimer le tag « Gorille ». Yonathan Zunger, en charge de Google Photos au sein de la firme de Mountain View, a très vite réagi (une heure et demie après le premier tweet) et même discuté avec le lanceur d’alerte sur Twitter pour faire disparaître ce bug au plus vite. « C’est tout en haut de ma liste de bugs que vous voulez JAMAIS voir se produire », a-t-il tweeté à Jacky Alciné.

Mardi 30 juin, Yonathan Zunger a confirmé que le tag « Gorille » n’existait plus le temps de trouver une réelle solution au problème concernant les personnes ayant une peau foncée et de comprendre pourquoi l’algorithme de Google Photos n’a pas reconnu un visage humain.

Source : http://www.fdesouche.com/623279-google-photos-le-service-confond-les-personnes-noires-avec-des-gorilles#

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Discours de Carl Lang au rassemblement pour la démission de Manuel Valls et de Bernard Cazeneuve

1 Juillet 2015, 06:51am

Publié par Thomas Joly

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