Le blog politique de Thomas JOLY
Président du Parti de la France
Penser à la réinsertion...
Renforcement de la protection des lieux de culte. Même catholiques ?
S'exprimant devant l'Elysée après avoir reçu des représentants de la communauté juive, le président de la République a annoncé que « le ministère de l'intérieur renforcera ces prochains jours, ces prochaines heures, les protections des lieux de culte qui en ont besoin et qui sont susceptibles de faire l'objet d'agressions, comme cela a encore été le cas hier soir ».
Cette annonce intervient après de tirs à blanc, samedi soir, sur une synagogue d'Argenteuil, en provenance d'une voiture. François Hollande n'a pas reçu l'évêque de Soissons, qui a publiquement déploré les profanations de deux églises. Alors, la protection des églises sera-t-elle renforcée ? Il est permis d'en douter.
En passant par le boulevard Voltaire…
« Boulevard Voltaire », c’est le nom du site d’info lancé par le journaliste Robert Ménard avec une certaine médiatisation mais ces mots désignent aussi une grande artère parisienne.
On y trouve une boutique, au 167. Il ne s’agit pas d’un magasin de déguisements ou de farces et attrapes, non, c’est une boutique de « prêt à porter féminin » musulman. Il y a même un très glauque rayon fillettes comme on le voit sur son site internet (image ci-contre), avec cette ahurissante phrase de présentation : « La rubrique « Nos petites princesses » reflète la joie de vivre de l’enfance. »
Un tel lieu dans une telle rue, c’est « cocasse » ; mais telle est la France de 2012 et n’oublions pas que par-delà l’opposition apparente entre les idées de Voltaire et les joies de l’islamisation, il existe un vrai lien de cause à effet, qui passe entre autre par la déchristianisation.
Nouveau clip de Goldofaf
Compte-rendu du déjeuner nationaliste du 6 octobre dans la Somme
Même si le préfet de la Somme a interdit à Thomas Joly, Yvan Bénédetti et Alexandre Gabriac de se rendre à Amiens-Nord à la rencontre des Français abandonnés de cette zone de non-droit pour « risques de trouble à l'ordre public », le déjeuner nationaliste prévu dans un restaurant proche d'Amiens a évidemment eu lieu.
70 nationalistes de tous âges et de toutes conditions sociales se sont retrouvés dans une salle bondée autour d'un repas convivial rythmé par les interventions des trois orateurs.
Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, a pris le premier la parole pour tout d'abord remercier l'ensemble des participants et en particulier Alexandre Gabriac et Yvan Bénédetti qui ont accepté son invitation en Picardie. Il a également salué la présence de l'écrivain nationaliste Hervé Ryssen ainsi que celle de Werner Riegert, leader de la Picard Crew, groupe de jeunes nationalistes sur qui l'on peut toujours compter lors des réunions ou manifestations nationalistes et patriotiques organisées en Picardie. Revenant sur la persécution judiciaire que doivent subir les véritables nationalistes qui refusent de se plier aux règles du Système en place, relatant l'opération de la mâtinée devant la future mosquée de Beauvais, commentant le scandaleux arrêté préfectoral qui lui a été notifié la veille par la gendarmerie, il a particulièrement insisté sur l'inébranlable détermination qui doit nous animer pour mener notre combat politique rappelant la ligne politique du Parti de la France qui n'entend pas aseptiser son discours pour une illusoire reconnaissance médiatique.
Ce fut ensuite au tour du dynamique et prometteur Alexandre Gabriac de faire un premier bilan de l'action des Jeunesses Nationalistes, toute jeune organisation qui n'a qu'une année d'existence mais se développe et s'implante de manière fulgurante à travers toute la France, bénéficiant d'un engouement exceptionnel qui donne toutes les raisons d'espérer. Le jeune conseiller régional de Rhône-Alpes est aussi revenu sur les différentes interdictions de manifestations qu'il avait organisées et l'acharnement policier et judiciaire à son égard.
Enfin, ce fut à Yvan Bénédetti, nouveau président de l'Œuvre Française qui a succédé à Pierre Sidos en février de cette année, de captiver l'assistance avec un discours d'une justesse et d'une force de persuasion extraordinaire. Expliquant que c'est l'amour de notre terre, de nos traditions, de nos ancêtres et de notre identité qui doit décupler nos forces et guider notre action de sauvegarde et de défense de notre civilisation, il a été salué par un tonnerre d'applaudissements. Yvan Bénédetti a en outre souligné la complémentarité des organisations politiques que sont le Parti de la France, les Jeunesses Nationalistes et l'Œuvre Française, déclarant toute l'admiration et le respect qu'il éprouvait pour Carl Lang, président du PDF.
Compte-rendu de la conférence de presse devant la future mosquée de Beauvais
Samedi 6 octobre à Beauvais, Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, Yvan Bénédetti, président de l'Œuvre Française, et Alexandre Gabriac, chef des Jeunesses Nationalistes, ont donné rendez-vous à la presse locale 55 rue Corréus, à l'endroit où doit être érigée une mosquée-cathédrale.
C'est à cet endroit symbolique de l'implantation d'un Islam conquérant, que les trois dirigeants nationalistes ont dénoncé la colonisation migratoire, cause réelle de l'islamisation de notre pays, organisée par nos dirigeants acquis au mondialisme destructeur des Nations et des identités.
Un recours administratif est d'ailleurs en cours de constitution pour empêcher la construction de ce gigantesque « centre culturel islamique » (terme plus pratique pour extorquer des subventions publiques sans enfreindre la loi sur la laïcité) puisqu'il ne répond pas aux règles élémentaires d'urbanisme en matière de stationnement, aucun parking suffisant n'étant prévu pour accueillir les 1.500 mahométans attendus.
Cette conférence de presse s'est déroulée sans aucun incident, un service d'ordre d'une trentaine de solides militants était là pour parer à toute provocation. Néanmoins, même s'ils se sont montrés relativement discrets, on a pu remarquer une certaine fébrilité policière qui avait mis en place un dispositif discret mais conséquent que l'on aimerait plutôt voir déployé pour empêcher la racaille afro-maghrébine de nuire dans les quartiers colonisés de Beauvais...
Une vidéo de la conférence de presse sera bientôt disponible.
Ci-dessous l'article du Courrier Picard paru dimanche 7 octobre :
Le préfet de la Somme interdit la venue des nationalistes à Amiens-Nord !
Par arrêté préfectoral en date du 5 octobre, M. Jean-François Cordet, préfet de la Somme et de la région Picardie, interdit à Thomas Joly, Yvan Bénédetti et Alexandre Gabriac de venir à la rencontre des Français abandonnés des quartiers nord d'Amiens pour des motifs absolument hallucinants sur lesquels nous reviendrons bientôt.
Il semble donc que les autorités publiques font le choix délibéré de protéger la racaille étrangère qui fait régner la terreur à Amiens-Nord et d'abandonner à leur sort les Français qui tentent de survivre dans ces quartiers colonisés, islamisés et ravagés par la délinquance et la criminalité.
Le déjeuner nationaliste dans un restaurant proche d'Amiens est bien sûr maintenu et n'entre évidemment pas dans le cadre de cette interdiction inique digne des pires heures du soviétisme liberticide.
Carl Lang en Franche-Comté samedi 20 octobre
Photo de 4 suspects en fuite impliqués dans le massacre tribal d'Echirolles
De bons Français (grâce au droit du sol),
comme il fallait s'y attendre...
Audrey Pulvar : « Je fais ce que je veux de l'argent que je gagne »
« Je fais ce que je veux de l'argent que je gagne », voilà ce que "tweete" Audrey Pulvar à propos du buzz provoqué par la révélation du prix de... sa paire de lunettes. Celle-ci aurait coûté 12000 euros. Certes, Pulvar fait ce qu'elle veut de son argent; le hic, c'est l'indécence qu'il y a à se faire passer pour une femme de gauche, un soutien d'un président qui de son propre aveu « n'aime pas les riches », et vivre comme la femme d'un vulgaire PDG. Son compagnon ministre pourra toujours tapoter l'épaule des ouvriers dont l'usine ferme, et qui perdent tout du jour au lendemain ; accuser les patrons, les parachutes dorés, les dividendes et autres gros mots ; faire mine d'imposer à ces patrons voyous des plans de relance ; il fait partie du même monde. Comme sa bonne femme, les patrons pourront lui dire qu'après tout, ils font ce qu'ils veulent de l'argent qu'ils gagnent...
Euthanasie : comment orienter le sondé
Quand on demande aux Français s'ils préfèrent
mourir dans des souffrances insupportables ou être euthanasiés, l'écrasante majorité des sondés choisit la deuxième option. Comment répondre autrement ? On en déduit benoîtement
qu'il faudrait légaliser l'aide active à mourir. C'est là un raisonnement un peu court.
Je voudrais témoigner d'une expérience personnelle, régulièrement répétée, auprès de publics très divers : lycéens, étudiants, adultes. Chaque fois que j'ai pris le temps - il faut plusieurs heures - d'expliquer clairement la loi actuelle, d'examiner objectivement les affaires médiatiques de la fin de vie (Malèvre, Humbert, Sébire, etc.), de recueillir le récit des personnes présentes ayant vécu des accompagnements difficiles, mes auditoires sont parvenus d'eux-mêmes à la conclusion suivante et cela à une écrasante majorité : « bien » mourir n'exige en aucune façon que le législateur donne aux soignants le droit de faire mourir délibérément les patients.
Comment expliquer cet étrange retournement ? Par un constat évident : le temps de la réflexion rationnelle, celui qui fait cruellement défaut à notre époque soumise au rythme imposé par la télévision et l'Internet, n'est pas celui de l'immédiateté du réflexe émotionnel.
Que dit la loi française ? Toute souffrance pour un malade incurable et en phase terminale doit être soulagée, même si sa vie devait s'en trouver abrégée. Or, aujourd'hui, toutes les souffrances peuvent être apaisées, ne serait-ce que par le recours à l'endormissement, le plus souvent réversible. L'acharnement thérapeutique, appelé obstination déraisonnable, qui prolonge une existence et ne respecte pas la personne, est interdit par le législateur et donc condamnable par les tribunaux. Enfin, chacun est libre de refuser un traitement, investigations comprises, au nom du principe de la protection contre toute intrusion non consentie dans son propre corps. [...]
L'euthanasie ne « complète » pas les soins palliatifs, elle les interrompt. Elle ne couronne pas l'accompagnement, elle le stoppe. Elle ne soulage pas le patient, elle l'élimine.
Pas racistes puisque pas européens…
Lors de l’émission « C dans l’air » (France 5) du 1er octobre consacrée à l’évacuation d’un campement de Roms à Marseille par des riverains, le journaliste José d’Arrigo (qui enseigne le journalisme à l’Université de Provence à Aix) tient à préciser que l’affaire n’a pas de dimension raciste puisque « ce ne sont pas des Européens qui ont fait ça, je vous le garantis »…
Syrie : mensonges & diffamations, deux mamelles (encore bien pleines) de la presse française
Le fait que leur rêve de
subversion de la Syrie s’évapore ne dissuade par certains journalistes et médias militants de continuer à mentir et désinformer.
Parmi ceux-ci nous sommes contraints, une fois encore, de « distinguer » I-Télé qui s’est empressée lundi soir, d’une part de relayer une thèse abracadabrantesque, et d’autre part de mentir ouvertement sur un fait, ces deux désinformations ayant, on l’aura deviné, pour but commun de charger le gouvernement syrien de crimes qu’il n’a pas commis, même en pensée. Lire la suite