Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog politique de Thomas JOLY

Fleury-Mérogis : des gangs afro-musulmans organisent le siège de la prison

24 Juillet 2018, 18:53pm

Publié par Thomas Joly

Des gangs afro-maghrébins ont organisé en toute impunité le siège de la prison de Fleury-Mérogis .

Actu Pénitentiaire (source) :

Plusieurs dizaines de personnes se trouvent devant l’établissement de Fleury-Mérogis dans l’Essonne. Les individus sont cagoulés et empêchent le personnel de l’établissement de sortir.

Ce mouvement de protestation fait suite au suicide d’un détenu incarcéré au quartier disciplinaire de l’établissement.

Un SMS circulant sur Twitter faisant appel à une manifestation devant l’établissement à partir de 10h a été partagé de nombreuses fois.

Les personnels de l’établissement vont devoir être escortés par petits groupes afin de pouvoir manger au restaurant du personnel en toute sécurité.

C’est le chaos, une situation de crise sur le domaine declare une source syndicale.

Une vidéo incitant les détenus à filmer les surveillants circule également sur Twitter.

 

Voir les commentaires

Vendu 140 € en France, le nouveau maillot des « Bleus » est produit pour 3 € en Thaïlande

24 Juillet 2018, 10:14am

Publié par Thomas Joly

Alors que nombre de Français décérébrés attendent avec impatience de pouvoir s’offrir le nouveau maillot officiel de l’équipe de France, sa fabrication a débuté il y a une semaine dans la ville de Khon Kaen, dans le nord-est de la Thaïlande. C’est là, ainsi qu’en Indonésie et au Vietnam, que le célèbre équipementier Nike a délocalisé sa base industrielle. S’il sera vendu 140 € pièce en France, son coût de production est bien différent : 3 € pièce, taxes douanières incluses.

« Comme toujours, une infime partie sera fabriquée en Pologne ou en Turquie pour ne pas priver le marché des premières demandes. Mais le gros des maillots sera made in Asia et sans doute made in Thailand pour des raisons de coûts de production », explique Nayla Ajaltouni, coordinatrice de l’ONG Éthique sur l’étiquette.

Source : http://fdesouche.com

Voir les commentaires

Le Drian ordonne d’accueillir en France des « Casques Blancs » syriens, des islamistes déguisés en secouristes

24 Juillet 2018, 09:48am

Publié par Thomas Joly

Jean-Yves Le Drian, ministre français des Affaires Étrangères, a décidé d’accueillir en France des « Casques Blancs », une organisation subversive proche de l’insurrection djihadiste en Syrie.

Russia Today (source) :

Paris a annoncé le 23 juillet qu’elle accueillerait un certain nombre de Casques blancs, une organisation controversée se présentant comme humanitaire, dont plusieurs centaines de membres ont été récemment exfiltrés de Syrie en Jordanie.

Le ministère français des Affaires étrangères a annoncé le 23 juillet que la France «prendr[ait] sa part dans l’accueil des Casques blancs [récemment évacués de Syrie avec leur famille]». Dans la nuit du 21 au 22 juillet, plus de 400 Casques blancs, décrits comme des «secouristes volontaires» dans de nombreux médias, avaient été évacués par Israël vers la Jordanie alors qu’ils «semblaient pris au piège face à l’offensive du régime dans le sud syrien», selon les termes employés par l’AFP.

Cette organisation controversée est financée directement par plusieurs grands pays occidentaux dont les Etat-Unis, qui ont débloqué 6,6 millions de dollars en juin 2018 au profit des Casques blancs.

«Cette opération [d’exfiltration] prévoit leur réinstallation dans des pays tiers. La France prendra sa part dans l’accueil des Casques blancs et leurs familles» et «continuera à se mobiliser en faveur de ces personnes courageuses qui ont risqué leur vie jour après jour pour aider la population syrienne», souligne le Quai d’Orsay.

Les Casques blancs évacués vont être hébergés en Jordanie pendant un maximum de trois mois avant d’être transférés vers plusieurs pays. Le Royaume-Uni, l’Allemagne et le Canada se sont déjà manifestés pour les accueillir, selon les autorités jordaniennes.

Moscou et Damas accusent régulièrement les Casques blancs de proximité avec des groupes djihadistes comme le Front al-Nosra (lié à al-Qaïda), notamment en raison de la présence de leurs membres uniquement en zone rebelle armée. D’après la journaliste indépendante de terrain Vanessa Beeley, les Casques blancs «sont entièrement intégrés dans les régions contrôlées par les terroristes. Ils fournissent des soins médicaux aux terroristes, ils acheminent les équipements par la Turquie dans les régions terroristes […] Ils ont été filmés participant à l’exécution d’un civil à Alep. Ils diffusent des vidéos, sur leurs pages dans les réseaux sociaux, des exécutions de soldats et de civils arabes». En juin 2017, un membre des Casques blancs a été exclu de l’organisation après avoir participé à des scènes extrêmement choquantes de décapitation.

Les sympathies pour l’insurrection islamiste de l’État Français en général et de Le Drian en particulier ne sont pas un secret (lire ici).

Source : http://breizatao.com

Voir les commentaires

« Sous de Gaulle, on recrutait de vrais barbouzes, du voyou, du tueur, pas des petites frappes de bas étage ! »

24 Juillet 2018, 09:29am

Publié par Thomas Joly

Carl Lang, Président du Parti de la France, réagit avec ironie à « l'affaire Benalla ».

Voir les commentaires

Plan anti-Trump : la pornocratie à la rescousse de Mueller et Rosenstein

24 Juillet 2018, 09:15am

Publié par Thomas Joly

Trump est un agent russe. Trump est un criminel en col blanc. C’était la thèse des #Never Trump républicains dès 2015. Les éléments du dossier bâti par eux pour les primaires de 2016 furent ensuite transmis à Obama et Hillary Clinton, afin d’en faire ce « dossier Steele » qui a permis de lancer officiellement l’appareil d’État contre Trump. Clinton et Obama ne pensaient certes pas que Trump pourrait gagner, mais ils souhaitaient vraisemblablement mettre en place une vigoureuse version « légale » de la thèse des « ingérences russes dans notre démocratie ».

Probablement parce qu’ils comptaient utiliser cette narration pour procéder eux-mêmes à un changement de régime en Russie lors de l’élection présidentielle russe de 2018. Objectif : le contrôle états-unien absolu sur l’ensemble de l’hémisphère nord et ses boréales ressources énergétiques.

Mais le parti unique washingtonien a dû faire passer cette priorité géopolitique au second plan. La « catastrophe » de 2016 les a conduits à planifier un autre changement de régime, pour la première fois sur leur propre territoire, contre Donald Trump, cet obsédé d’une nouvelle détente avec la Russie.

Le parti unique de l’État profond a, depuis, méthodiquement lancé plusieurs missiles.

D’abord, c’est « l’extrême gauche » qui a été sollicitée dès novembre 2016 par Soros et Pelosi pour lancer la « résistance », financée par les fondations caritatives mondiales et leurs groupes financiers. Cette résistance a pris de l’ampleur au point d’en devenir, aujourd’hui, violente. Ensuite, c’est l’establishment médiatique démocrate qui a avidement embrassé la thèse d’une élection trumpienne fabriquée par Poutine. D’abord parce qu’il fallait masquer l’incompétence de Hillary Clinton, ensuite parce qu’il y avait de sérieux comptes à rendre aux très mécontents bailleurs de fonds de Hillary. Enfin, parce que ceux qui voyaient leur plan de carrière s’effondrer (ainsi du parlementaire Schiff) voulaient leur livre de chair.

Le troisième missile avait pour objectif d’ahurir les idiots utiles de la droite en couvrant l’opération de six couches « légales » (six enquêtes par le Congrès et le ministère de la Justice). Ce légalisme censé valider les ingérences russes visait, en fait, à propulser la thèse de la complicité de Trump avec Poutine, à lui faire perdre les législatives de l’automne 2018 pour que le Congrès puisse enfin se débarrasser de lui (impeachment). Pas de chance ! Non seulement rien de tangible n’a été prouvé à ce jour, mais l’une des commissions parlementaires (dirigée par le député Nunes) a lancé une subtile et patiente contre-attaque documentant la thèse d’un quasi-coup d’État de l’appareil contre Trump.

Restait le dernier missile à ogives multiples que connaît bien le ministre adjoint de la Justice Rosenstein pour avoir testé, jadis, la méthode en lançant la procédure d’impeachment contre Bill Clinton : le sexe. Mais, cette fois-ci, dans une version financière ! Les pions de Mueller-Rosenstein sont les paiements (présumés illégaux) par Michael Cohen (avocat de Trump) à l’intention de la star porno Stormy Daniels ainsi qu’à un ex-modèle de Playboy (où Cohen enregistre son client à son insu), et maintenant l’interrogation par Mueller d’une ancienne courtisane actuellement en prison parce qu’elle a été la collaboratrice d’un proche de Trump, Roger Stone, lui-même présumé proche d’Assange. Diantre…

André Archimbaud

Source : http://bvoltaire.fr

Voir les commentaires

Le mariage soi-disant annulé de Benalla était apparemment bidon

23 Juillet 2018, 23:10pm

Publié par Thomas Joly

Étrange… Alors que le Parisien et M6 révélaient ce week-end qu’Alexandre Benalla aurait dû se marier samedi 21 juillet à 11h à la mairie d’Issy-les-Moulineaux avant de devoir renoncer pour cause de garde à vue, nulle trace de bans n’apparaissait dimanche sur les panneaux d’affichage de la mairie. Ce qui n’est pas sans poser un certain nombre de questions.

L’ancien adjoint au chef de cabinet d’Emmanuel Macron, empêtré dans une affaire qui n’en finit pas de prendre de l’épaisseur, au point d’ébranler la Macronie, a-t-il bénéficié d’une exception de publication avec sa fiancée Myriam B., privilège réservé aux personnalités de premier plan - on se souvient que Nicolas Sarkozy et Carla Bruni avaient été exemptés d’une telle publication -, ce qui constituerait un passe-droit supplémentaire ? Les bans auraient-ils été retirés ?

A moins que ce mariage ne soit une fake news de plus ? Comment s’empêcher de poser la question quand depuis le début de l’affaire, l’Élysée et les services de l’État ne cessent de mentir comme pour protéger Alexandre Benalla avant finalement d’en faire un fusible.

Source : http://valeursactuelles.com

Voir les commentaires

Macron escomptait dépenser 180.000 € pour rénover l’appartement de Benalla

23 Juillet 2018, 21:32pm

Publié par Thomas Joly

L’adjoint du Chef de Cabinet d’Emmanuel Macron, Lahcene Benalhia – alias « Alexandre Benalla » – devait bénéficier, en plus de ses nombreux privilèges, d’une rénovation complète d’un logement pour la somme de 180.000 euros aux frais des contribuables.

L’Express (source) :

Alexandre Benalla s’était vu attribuer un appartement de fonction quai Branly, dans une résidence de la République rassemblant une soixantaine d’appartements, où sont logés aussi bien le chef d’état-major particulier du président que le secrétaire général de l’Elysée ou d’autres collaborateurs ; certains sont fonctionnaires et leur présence en permanence sur les lieux de travail est impérative, d’autres bénéficient d’un appartement de manière discrétionnaire.

Ces lieux discrets, doit-on le rappeler, furent dévoilés au grand public lorsqu’on apprit un jour que François Mitterrand y logeait Anne Pingeot et leur fille Mazarine…

Selon nos informations, un budget de 180.000 euros aurait été prévu afin de réunir deux appartements pour Alexandre Benalla et en faire un duplex, d’une surface de près de 200 mètres carrés. Sollicité sur ce point, l’Elysée n’avait pas fait de commentaires à l’heure du bouclage.

Depuis, il a également été révélé que Lahcene Benalhia, d’origine marocaine, avait accès à l’Assemblée Nationale (source), était habilité « secret défense » (source), bénéficiait d’un port d’arme (source) en plus de se livrer à des activités d’espionnage politique (source).

Source : http://breizatao.com

Voir les commentaires

Facebook purge massivement tous les articles satiriques traitant de l’affaire Macron/Benalla

22 Juillet 2018, 17:19pm

Publié par Thomas Joly

Le site satirique Nordpresse, équivalent du “Gorafi”, fait face, depuis aujourd’hui, à un effacement massif de tous ses articles relatifs à l’affaire Benalla-Macron.

Dans un premier post publié sur Facebook, Nordpresse indique être ciblé par une purge générale de ses article sur le réseau social depuis le début de l’affaire Benalla – Macron :

Depuis ce matin nous avons reçus des centaines de messages de gens qui ont vu leurs partages d’articles Nordpresse supprimés de Facebook puisque considérés comme indésirables.

TOUS ces articles concernaient l’affaire Benalla ou Macron. On sait comme le patron de Facebook France est en lien direct avec l’Elysée après l’affaire Génération identitaire.

Bordel, on tombe littéralement de notre chaise. Est-ce ça aujourd’hui la démocratie française ? Mettre un site satirique sur liste noire parce qu’il en rajoute sur ce qui est déjà une affaire d’état ?

On va continuer à essayer de comprendre mais les centaines de témoignages reçus ce matin nous terrifient. Pas pour nous et nos clics.

Pour la démocratie qui est plus que jamais en péril.

Et si les grands médias taisent la censure qui nous est encore une fois appliquée, on saura ce qu’il en est de leur complicité.

Peu de temps après, Nordpresse indiquait qu’il ne pouvait plus poster d’articles avec des photographies d’illustration. Une manœuvre dont le but pourrait être d’éviter tout article où figure le visage du président français ainsi que celui d’Alexandre Benalla.

Pourquoi purger Facebook en temps réel des articles, même satiriques, traitant de cette affaire ? C’est le bureau du Premier ministre, Edouard Philippe, qui l’a expliqué discrètement.

Dans Le Parisien, les conseillers du chef du gouvernement résume leur philosophie :

A Matignon aussi, l’espoir secret du staff d’Édouard Philippe est que « le truc va retomber », les Français « champions du monde » ayant la tête ailleurs, aux vacances. La preuve ? « Ça fait le buzz sur Twitter, le réseau social du microcosme parisien, mais sur Facebook où sont tous les Français, ça ne prend pas plus que ça », ose un collaborateur.

Surtout si Facebook purge activement les contenus sur ordre du gouvernement. Il faut dire que son directeur, Laurent Solly, est un membre du cercle très fermé qui contrôle le pays. C’est un ancien proche de Nicolas Sarközy.

Source : http://borislelay.com

Voir les commentaires

Paris, paradis des classes moyennes ? Encore une « fake news » d’Anne Hidalgo

22 Juillet 2018, 10:25am

Publié par Thomas Joly

Géraldine Woessner anime, chaque matin à 7 heures, sur Europe 1, « Le vrai-faux de l’info ». Ce vendredi matin, Anne Hidalgo fait encore la une, ayant sorti avec son aplomb coutumier l’une de ces énormités dont elle a le secret. En effet, si le temps est aux « fake news », madame le maire de Paris en est l’une des grandes pourvoyeuses.

On le sait, entre deux mensonges et trois tartufferies sur les pistes cyclables, les vélos introuvables, les voitures électriques débranchées, les camps de migrants qui font le tour de la capitale et « la Ville Lumière » promue capitale de la crasse, des rats et des détritus… entre tout cela, donc, Anne Hidalgo ambitionnait, en début d’année, le titre de « meilleur maire du monde ». Les résultats de ce concours mirobolant (World Mayor 2018) ne nous sont pas encore connus, mais gageons que si Notre-Drame de Paris en était la lauréate, cela figurerait déjà au fronton de l’hôtel de ville.

En attendant, notre maire se déboutonne. Avec nos impôts. On apprend, ainsi, dans la dernière livraison du Canard enchaîné, que la ville a dépensé la coquette somme de 224.580 euros pour un rapport de quatorze pages, résumé d’une consultation citoyenne « pour connaître l’avis des Parisiens sur la propreté des rues parisiennes ». Sept commissions composées de quinze habitants chacune ont planché sur ce délicat sujet d’où il ressort, par exemple, que « la perception de la propreté à Paris se fonde en négatif sur des constats relatifs à la malpropreté ou encore que la multiplication des fêtes et l’afflux de touristes sont synonymes de “nuisances et de déchets sur la voie publique” ».

Résumé du résumé : les Parisiens auront donc dépensé 16.041,42 euros pour chaque page d’un rapport exprimant en langage abscons ce que tout le monde constate soir et matin : la ville est des plus sales, terriblement bruyante, de plus en plus chère et le niveau de pollution y bat des records. Conséquence logique : tous ceux qui ont les moyens de quitter la capitale s’enfuient vers la province et, pour les mieux lotis, à l’étranger. Pour résumer d’un mot : c’est la débandade. Principalement celle des classes moyennes et moyennes supérieures.

Qu’en dit madame Hidalgo ? demande le candide de service. Elle dit que c’est faux. Dénonce une fausse nouvelle. Et devient un sujet pour Géraldine Woessner… qui écrit sur son compte Twitter :

« Se croire en vacances de fact-checking. Allumer sa radio. Entendre @Anne_Hidalgo déclarer : “Paris n’est pas une ville de riches ! Plus de 60 % de la population parisienne sont des familles avec enfants, de la classe moyenne.” Lever un sourcil. Circonspect. Et de fait. »

Elle poursuit : « Seuls 25 % des ménages parisiens ont des enfants. Ils représentent (familles monoparentales incluses) 46 % de la population. Et ils sont concentrés dans quelques arrondissements (19e, 20e, 13e…). »

Je précise, ici, que les arrondissements en question sont ceux qui comptent le plus de logements sociaux (jusqu’à 40 % pour le 19e), regroupés dans les fameuses « cités » du nord de Paris qui concentrent des populations immigrées ou d’origine immigrée, ou encore le très asiatique 13e arrondissement, Chinatown depuis les années 70.

« Dans les arrondissements centraux, poursuit Géraldine Woessner, la part [des ménages avec enfants] tombe en dessous de 18 %. Ce n’est pas beaucoup. Et depuis 2010, cela diminue. » Surtout, « parmi les familles qui restent, 40 % gagnent plus de 37.500 euros par an (et font donc partie des 10 % des Français les plus riches). Mais les inégalités sont énormes… » poursuit-elle.

La réalité que madame Hidalgo se refuse à admettre, c’est que Paris se vide à grande vitesse de ses classes moyennes. N’y resteront bientôt plus que les habitants à hauts revenus, bobos chics ou résidents étrangers, et les familles pauvres qui vivotent sur les minima sociaux.

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

Voir les commentaires

Macron victime de ses connivences musulmanes

22 Juillet 2018, 10:00am

Publié par Thomas Joly

On ne vous dit pas tout, chers citoyens !

Les « racailles » soutenues par l’Elysée coûte que coûte et jusqu’à la dernière minute.

L’affaire Benalla arrive à sa conclusion. Les privilèges dont jouissait cet « intime » du couple présidentiel, âgé à peine de 26 ans, payé comme un ministre (10.000 euros mensuels) et bénéficiant d’une voiture de fonction avec chauffeur et dotée d’un matériel policier et, tout récemment (déclaré par Benalla en juillet), alors qu’il avait déjà été mis à pied dans cette affaire de violence, d’un appartement dans le 7e arrondissement, Quai Branly, dans une dépendance de l’Elysée.

Ce chargé de mission, devenu « par miracle » lieutenant-colonel dans la réserve citoyenne (fort heureusement un grade sans aucune autorité) a suscité une colère non retenue des milieux préfectoraux lorsque le président de la République l’a proposé au poste de sous-préfet.

Benalla, ambitieux mais prudent, a préféré renoncer bien malgré lui !

Mais s’il n’y avait que Benalla, parmi les « racailles » de l’entourage Macron ! Ce n’est pas le cas, on pourrait même être tenté de parler « d’association de malfaiteurs ».

Avant l’incident, devenu « affaire d’Etat », Benalla qui, rappelons-le, avait déjà auparavant agressé un journaliste et un militant communiste, et même, tout récemment, menacé un commissaire de police, à l’intérieur de l’hôtel Crillon, où devaient descendre « Les Bleus » et provoqué un accident de voiture en tentant de s’échapper.

Malgré tous ces « menus problèmes », en tant qu’adjoint au chef de cabinet du Président (c’était son titre officiel) c’est toujours Benalla qui était chargé de l’organisation des vacances du couple présidentiel au Fort de Brégançon.

Mais oublions un instant Benalla et souvenons-nous de cet autre garde du corps du Président, recruté par Benalla justement, le nommé « Makao », ce colosse, ex rugbyman de 2 m 10 d’origine congolaise, qui avait été surpris, dans une vidéo diffusée par « Snapchat », en juin 2018, à jouer à un jeu vidéo en compagnie de Jawad Bendaoud, vous savez : celui qui a logé (sans le savoir, paraît-il) les terroristes de Daech.

Cette proximité malencontreuse n’a entraîné aucun commentaire de l’Elysée.

Autre « racaille », proche de l’Elysée, ce représentant de La République en Marche dans le Val d’Oise, Mohamed Saou, qui s’affiche comme un partisan inconditionnel du dictateur Erdogan et, ce qui à notre avis est plus grave, du CCIF de Marwan Muhammad.

Ce Mohamed qui a twitté : « Je n’ai jamais été et je ne serai jamais Charlie ! ».

Pour d’autres raisons, bien évidemment, que les nôtres.

Protégé par Emmanuel Macron : « C’est un type bien, Mohamed, et c’est pour ça  que je ne l’ai pas viré. Il fait un travail remarquable. Il a le droit de ne pas être Charlie. »

Ajoutons, dans cette « association », l’humoriste (paraît-il !) Yassine Bellatar.

Accusé, par « Marianne » notamment, de ne pas cacher son approbation à un « certain islamisme », ni aux discours contre les « Blancs », Bellatar s’est plaint, par SMS, auprès de « son frère » Macron : « C’est une guerre contre moi que lance Marianne, je suis au fond du trou ! »

C’en était trop pour Emmanuel, qui lui répond aussitôt : « Continue, les critiques suivent le talent. »

Son talent ? Avoir menacé le père du soldat français assassiné par Mohamed Mérah, affirmé que « Les hommes « Blancs » de plus de 60 ans sont les clés du problème. », comparé Thierry Ardisson à un « nazi », animé un gala du CCIF, etc.

Interpellé et placé en garde à vue, en février 2018, pour avoir insulté un policier, Belattar a été remercié pour ce geste par le Président puisque, quelques semaines plus tard, l’a intégré dans le Conseil présidentiel des villes, en le recevant à l’Elysée.

Terminons, enfin, cette énumération avec ce député de LREM, bien connu des services de police, M’Jid El Guerrab, élu des Français de l’étranger, qui avait frappé de deux violents coups de casque, un cadre du Parti Socialiste, Boris Faure, en août 2017, opéré et hospitalisé en soins intensifs.

Mis en examen pour violences volontaires avec arme, El Guerrab avait démissionné de son Parti tout en conservant sa fonction de député.

Toute cette « racaille » faisait partie de cette « République inaltérable », proposée par Emmanuel Macron, avant son élection, et même actuellement, mais bien loin d’avoir été réalisée !

Manuel Gomez

Source : http://ripostelaique.com

Voir les commentaires

Un transsexuel placé dans une prison de femmes en viole 4 avant d’être transféré

22 Juillet 2018, 09:41am

Publié par Thomas Joly

Un prisonnier transgenre a été accusé d’avoir agressé sexuellement quatre détenues après avoir été envoyé dans une prison pour femmes, bien qu’il n’ait pas été opéré.

Il est allégué que la première attaque a eu lieu quelques jours après que le détenu soit arrivé à la prison de New Hall à Wakefield, dans le West Yorkshire, au Royaume-Uni.

Le prisonnier, qui vit en tant que femme depuis plus de deux ans, a été vu le sexe en érection dans le complexe de haute sécurité.

Le prisonnier transgenre a maintenant été envoyé dans une prison pour hommes de catégorie B. Cette affaire va relancer le débat sur la question de savoir si de tels prisonniers devraient être envoyés dans des prisons pour femmes avant une opération de changement de sexe.

Les chiffres récents indiquent qu’il y avait 125 prisonniers transgenres en Angleterre et au Pays de Galles jusqu’à la fin mars 2017 (70 un an plus tôt).

Source : http://madame.suavelos.eu

Voir les commentaires

Pendant ce temps, Gérald Darmanin annonce la hausse des taxes sur le carburant au nom de la « transition énergétique »

21 Juillet 2018, 12:43pm

Publié par Thomas Joly

Le ministre de l'action et des comptes publics, Gérald "Moussa" Darmanin l'a révélé aux lecteurs de Var Matin jeudi 19 juillet. À la question "Les taxes de carburants vont-elles diminuer pour favoriser le pouvoir d'achat ?", il s'est exclamé "Non ! Au contraire, on va les augmenter car le diesel est une des premières causes de mortalité dans les villes". Évidemment, sans pouvoir prouver par la moindre étude scientifique crédible son affirmation péremptoire...

L'objectif est donc une économie décarbonisée, une "logique contre intuitive" selon le jargon technocratique du ministre. "Pendant des années on a fait acheter du diesel mais aujourd'hui nous devons passer à une transition énergétique plus écologique." ajoute-t-il, avant d'évoquer la prime de conversion. Il qualifie cette initiative de "grand succès" et avance le mensonge éhonté que ceux qui passent à l'électrique réalisent de grandes économies, sans bien sûr préciser que les voitures électriques coûtent une fortune et que leur autonomie est ridicule...

Voir les commentaires

Thomas Joly : « Il est légitime de s'interroger sur la véritable nature des relations entre Benalla et Emmanuel Macron »

21 Juillet 2018, 09:32am

Publié par Thomas Joly

Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, s'interroge sur les liens qui unissent Emmanuel Macron à son homme de main qui défraye la chronique, Alexandre Benalla.

Voir les commentaires

Viande : les bobos font de bons gogos !

21 Juillet 2018, 09:12am

Publié par Thomas Joly

L’aveu me coûte, mais je confesse que je regarde parfois Arte pour ses films. Pour mardi soir, toutefois, je n’ai d’autre excuse que la curiosité malsaine pour les trois émissions d’un festival écolo de la série Thema. Le premier sujet, « Pesticides et santé : l’équation sans solution », s’ouvrait sur un musée des horreurs d’images animalières, avec des porcelets à six pattes ou à l’œil au milieu du front, que son éleveur allemand – faisant fi de toute présomption d’innocence – attribuait péremptoirement au glyphosate utilisé pour la culture des céréales dont ses cochons s’étaient nourris.

Puis, départ pour les monocultures de colza en Argentine. Là, ce sont les hommes (et les enfants) qui seraient victimes des pulvérisations aériennes dont les frappes ne semblent pas toujours chirurgicales. Mais on comprend vite que plus que les produits, ce sont en réalité les mesures de protection les plus élémentaires des manipulateurs qui font défaut. Alors, ces handicaps, toxiques ou génétiques ? « La question demeure », conclut Arte ; mais on sent que sa religion est faite, et qu’elle nous la prêche. Mais craindre de consommer de la viande d’animaux nourris aux OGM est aussi logique qu’avoir peur de prendre une balle parce qu’on mange du chevreuil abattu à la carabine !

La deuxième séquence, « Voyage au bout de la viande », justifierait, s’il en était besoin, la réaction de toute personne sensée devant les kebabs, un vaste détour, tant leur barbaque est la quintessence d’une suite de tripatouillages et de recongélations. C’est clair, quand même les fabricants de nourriture pour poissons rouges n’en veulent pas, on en fait du kebab ! Quand à une simple barquette de farce à tomates de supermarché, on y trouve mêlées – de l’aveu même du fabricant – les viandes de pas moins de 150 porcs et 60 bovins (comme un samedi soir dans une boîte échangiste !).

Mais l’obsession d’Arte, c’est la traçabilité. Sur la musique du méchant poursuivant Jason Bourne dans les thrillers, on voit au début les bêtes « étiquetées à l’oreille » (allusion limpide aux tatouages des heures les sombres…), mais au fil des transformations, « la traçabilité devient impossible ». Mais si sa viande est saine, que nous importe qu’un bœuf soit né en Hongrie, engraissé en Roumanie, abattu en Allemagne, conditionné en Hollande et vendu en France ? Je m’intéresse plus au certificat final de nos services vétérinaires qu’au carnet de voyage du bestiau…

Ce qui est curieux, pour un média aussi européiste qu’Arte, c’est qu’il devient tout à coup ultranationaliste quand il s’agit de boustifaille. La viande sans papiers, vade retro, fermons les frontières, enfoncés les Identitaires !

Le scandale de la « contamination » des lasagnes par de la viande de cheval est ensuite présenté pratiquement comme un crime contre l’humanité, avec le mot « intoxiqué » revenant en boucle, comme pour du gaz sarin. Pour certains amis de la plus belle conquête de l’homme, l’absorption d’une seule de ses particules les vouerait apparemment à une damnation aussi éternelle que celle d’une côte de porc pour un salafiste, mais de là à parler d’intoxication !

Ce qui fait le lien avec le troisième volet de la soirée, « Les animaux ont-ils des droits ? ». Bien sûr, toute personne douée d’un minimum de sensibilité préfère que les bêtes soient élevées dans un minimum de confort et abattues le moins douloureusement possible. Mais on arrive vite au vegan, dont le salon alimentaire prouve, en tous cas, que le business ne perd jamais ses droits : les bobos font de bons gogos ! Toutefois, quand on demande au gourou de la secte vegan ce qu’on ferait de tous les animaux d’élevage au cas où nous deviendrions tous adeptes, il y a comme un trou noir…

Conclusion générale : il serait possible de se passer d’OGM, de pesticides et des multinationales agroalimentaires, mais à condition de payer 3 euros pour un yaourt et 150 pour un kilo de bœuf.

Richard Hanlet

Source : http://bvoltaire.fr

Voir les commentaires

Sortie du nouveau numéro de Synthèse Nationale (été 2018)

21 Juillet 2018, 09:08am

Publié par Thomas Joly

AU SOMMAIRE DU N°49 (été 2018) :

P 2 : ÉDITORIAL  Roland Hélie

P 4 :  SORTIR DE L’EUROPE ? Arnaud Menu

P 6 : LA DÉSINFORMATION PAR LE DÉTAIL Bernard Plouvier

P 11: AFFAIBLIR LES MÉDIAS AUX ORDRES 

P 15 : LEXIQUE ANTI-SUBVERSIF Éric Delcroix

P 22 :  QUE DEVIENT SERGE AYOUB ? Rencontre avec Basile Tomé

P 28 : ENTRETIEN AVEC VINCENT VAUCLIN (DISSIDENCE FRANÇAISE)

P 33 : LA CHRONIQUE BARBARE Philippe Randa

P 35 : NON AUX ÉOLIENNES Aristide Leucate

P 38 : L’AVENIR INCERTAIN DES BLANCS SUD-AFRICAINS Jean-Claude Rolinat

P 44 : ERDOGAN VOILÀ UN ENNEMI Jean-François Touzé

P 48 : IL Y A 30 ANS : DÉCÈS DE ROMUALDI ET D’ALMIRANTE Massimo Magliaro

P 52 : UN TRAIN PEUT EN CACHER UN AUTRE Charles-Henri d’Elloy

P 58 : UN GRAND ENTRETIEN AVEC JEAN-PIERRE COUSTEAU Clothaire de La Rue

P 72 : LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

P 75 : LES EXPOS VISITÉES PAR Scipion de Salm

P 80 : REÇUS, LUS ET APPRÉCIÉS 

P 82 : LES PAGES LITTÉRAIRES Georges Feltin-Tracol, Daniel Cologne

P 93 : LA VIE DE SYNTHÈSE NATIONALE Activités de l’association

106 PAGES : 12 € (+ 4 € de port)

COMMANDEZ-LE, ABONNEZ-VOUS !

Le commander en ligne cliquez ici

Voir les commentaires