La préfecture de Lyon interdit la manifestation en faveur du Bastion Social !

Président du Parti de la France
Le 14 juillet 2016, l'islamiste tunisien Mohamed Lahouaiej Bouhlel, un débile léger, délinquant violent radicalisé fraîchement, fonçait avec un camion sur la foule rassemblée sur la promenade des Anglais à Nice et tuait 86 personnes, en blessant également plus de 200. Les policiers présents finissaient par l'abattre comme un chien galeux mais hélas après son carnage commis.
Depuis, nos gouvernants n'ont pris aucune mesure significative pour endiguer le terrorisme islamique, l'islamisation de notre pays ni même l'invasion migratoire afro-musulmane. Bien au contraire...
Le Parti de la France rend hommage à toutes les victimes de cette tuerie au nom d'Allah et s'engage à éradiquer le terrorisme islamique lorsque nos compatriotes auront la lucidité de mettre la véritable droite nationale aux commandes de notre pays.
Washington rugit depuis 48 heures sur le « scandale Donald Trump Junior », à contre-courant de l’opinion prévalant au « pays réel ». L’on se demande maintenant si ces « révélations » n’étaient, somme toute, qu’un piège tendu par le clan Trump aux médias pour les discréditer une fois pour toutes… et faire le tri entre amis et ennemis au sein des républicains.
Trump n’a pas mis les pieds à Paris que, déjà, l’on réveille une nouvelle qui avait été étouffée. Le 11 janvier dernier, le magazine Politico (« Ukrainian efforts to sabotage Trump backfire ») notait le pari perdu par le gouvernement ukrainien, visant à saboter, en symbiose avec le parti démocrate, la campagne de Trump…
On compte donc maintenant deux partis ayant eu connivence avec l’étranger.
Trump n’a pas fait la bise à madame Macron aux Invalides que, déjà, l’on découvre que la journaliste russe Veselnitskaya (cause des malheurs de Junior) était comme un poisson dans l’eau à Washington. Elle avait ses entrées au Congrès et au ministère de la Justice d’Obama, la ministre Loretta Lynch lui ayant accordé une dispense de visa de séjour avant sa rencontre avec Junior. (The Hill, 13 juillet : « Exclusive : DOJ let Russian lawyer into US before she met with Trump team »).
Avant son départ pour Paris, Trump s’est fait interviewer par la chaîne chrétienne CBN de Pat Robertson, lançant un nouvel argumentaire : « C’est Clinton que Poutine aurait préféré ! » Trump explique qu’il a transformé les USA en pays exportateur d’énergie à bas prix (en démantelant les règles écologiques chères aux démocrates) et qu’il va augmenter massivement le budget militaire. Le contraire de ce que veut Poutine… Et il conclut que, maintenant en position de force, le pays peut et doit tenter de s’entendre avec Poutine.
C’est probablement de cette position de force que Trump aura discuté avec Macron, ce dernier paradoxalement moins contaminé par Obama qu’Angela Merkel, et qui réalise que l’état de ses finances publiques ne permet plus à la France de faire le poids face à l’Allemagne. Et qui aura probablement retenu de son voyage en Algérie que la mort de Bouteflika déclenchera l’implosion du pays (The Spectator, décembre 2016 : « How Algeria could destroy the EU »), libérant une bombe thermonucléaire migratoire sur l’Europe, ce qui préoccupe la Maison-Blanche.
Une nouvelle « narration » de la France se fait jour dans les médias : Macron est de plus en plus catalogué comme l’alter ego de Trump, qui a surgi de nulle part pour prendre le pouvoir, « meilleur pour les États-Unis que Marine Le Pen qui est économiquement socialiste » (Fox News, 13 juillet). Bref, Macron est un populiste aux pieds sur terre, un pragmatique, qui dirige un pays qui a de beaux restes, pays qui n’a jamais été en guerre avec l’Amérique (contrairement aux autres pays européens), avec une armée forte, l’héritage de Charlemagne au cœur (sic Fox News) et l’épopée napoléonienne au ventre (re-sic).
Avec une nuance émise par Fox, décidément en verve : « Si George Washington et Napoléon Bonaparte étaient des génies militaires, Washington se battait pour la liberté alors que Napoléon était un dictateur. » Ne mélangeons pas…
André Archimbaud
Source : http://www.bvoltaire.fr
Eux ne cassent rien, n’importunent pas les passants dans les rues, ne viennent pas quémander de la nourriture ou un toit. Eux ne sont pas, non plus, français, mais ne sont pas partis de chez eux pour avoir un confort financier ou des avantages économiques. Eux attendent au minimum trois ans pour être des citoyens français alors que, par simple mariage, un étranger, au bout d’un an, peut demander sa nationalité. Eux acquièrent cette dernière parce qu’ils ont été blessés au combat, alors que les immigrés nés en France et ayant vécu cinq ans dans le pays sont de plein droit français.
Eux, comme vient de le rapporter Le Figaro, ce sont ces légionnaires qui servent la France avec honneur et fidélité.
Ainsi, après douze ans dans la Légion, Sergueï, un Russe de 32 ans, a demandé la nationalité française et vient de l’obtenir. « Il en a pleuré d’émotion », témoigne un gradé de son régiment en se souvenant du jour où le jeune Russe a appris que sa demande était accordée. Oui, vous avez bien lu, il a pleuré d’émotion alors que certains migrants logés en Formule 1 refusent les repas car ils ne sont pas halal ou pas assez épicés.
Depuis 1998, 5.217 légionnaires ont obtenu la procédure classique de naturalisation. Le chef de corps du 4e régiment étranger (le régiment d’instruction de la Légion) explique le pourquoi d’une telle décision : « Il y a seulement environ 10 % de nos hommes qui demandent la nationalité française, ce qui sous-tend une volonté vraie, forte, car il y a des moyens plus faciles pour l’acquérir, par le mariage par exemple. »
En France, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur publiés en 2016, il y a eu 113.608 nouveaux Français en 2015 et, sur ceux-ci, simplement 205 légionnaires.
Pour ces soldats d’élite, le critère de naturalisation est le volontariat. Le militaire doit avoir plus de trois ans de service, « notamment pour éviter l’immigration illégale et le regroupement familial », prouver sa volonté d’intégration à la nation française et obtenir son certificat de bonne conduite. Sa demande est d’abord pré-instruite par le commandement de la Légion, qui parfois refuse, puis ensuite elle est traitée par le ministère de l’Intérieur. Si la procédure est identique à celle des civils, par contre, les motivations sont diamétralement opposées. Pour les képis blancs, il s’agit du prestige de la France, de l’amour du pays qu’ils servent et qui leur a tout donné.
D’après un officier de la Légion ils soulignent tous que « c’est un honneur pour eux de devenir français… qu’ils éprouvent une grande gratitude… que devenir français c’est une façon de remercier ».
Mariusz Nowakowski, lui, a acquis la nationalité française « par le sang versé ». En 1993, âgé de 23 ans, ce Polonais en « opé » à Sarajevo se fait arracher une jambe par un tir de mortier. Après des semaines de coma, il est transféré à l’hôpital des Invalides, à Paris. Le ministre de la Défense de l’époque venu le voir lui demande ce qu’il souhaite : « Ni argent ni médaille, mais être français », répond le légionnaire. Il se souvient qu’il avait « peur de ne plus pouvoir rester dans la Légion et de devoir quitter la France » alors qu’il « avait fait quelque chose pour ce pays » et se « sentait vraiment français ».
Aujourd’hui, devenu père de famille, la Légion le fait travailler comme civil pour Képi blanc, le magazine de la Légion étrangère. Depuis 1831, près de 38.000 légionnaires ont été tués au combat et, depuis 1940, plus de 40.000 ont été blessés.
Les uns sont venus donner à la France sueur, peur, fatigue ainsi que leur sang. Les autres, souvent, c’est pour recevoir des avantages sociaux qu’ils sont chez nous.
J-P Fabre Bernadac
Source : http://www.bvoltaire.fr
Florian Philippot et Marine Le Pen s'aimaient. C'était avant le naufrage de l'entre-deux tours de la présidentielle et l'échec aux législatives, le Front national ne parvenant pas à remporter suffisamment de sièges pour créer un groupe parlementaire.
Ils se sont aimés.
Désormais, les coups fusent. L'annonce de la création par le n°2 du FN du mouvement Les Patriotes, au lendemain de l'élection présidentielle, a profondément irrité la cheffe frontiste. Du côté du vice-président, on n'admet pas de voir ses amis mis de côté et ses idées remises en cause. Les piques s’enchaînent.
Dernier exemple en date ce mercredi 12 juillet. Cité par Le Canard Enchaîné, Florian Philipot se déchaîne devant ses ouailles contre Marine Le Pen. Il dit : « Marine [Le Pen] a été bonne jusqu'en 2012, et vit maintenant sur ses acquis. […] Depuis le débat de l'entre-deux-tours, elle est décrédibilisée à jamais. »
Le débat télévisé entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron aura été un naufrage pour la présidente du FN. Hésitante sur les sujets économiques, virulente dans ses propos, elle aura surtout offert aux téléspectateurs l'un des instants TV les plus gênants de ces dernières années.
Depuis l'échec de la présidentielle, les deux s'embrouillent par médias interposés. « J'attends que Marine [Le Pen] redevienne elle-même, elle a besoin de vacances. Qu'est-ce que c'est que cette histoire de se couper de son aile la plus moderne ? » C'est en ces termes, démentis ensuite, que Florian Philippot s'était interrogé en privé, selon des propos rapportés par l'AFP. « C’est sûr que lui n’a pas besoin d’en prendre, ses vacances, c’était pendant la campagne des législatives », a répliqué la patronne du FN, citée par Le JDD le 9 juillet.
Source : http://lelab.europe1.fr/pour-florian-philippot-marine-le-pen-est-decredibilisee-a-jamais-3387464
Édouard Philippe a détaillé ce mercredi les mesures du gouvernement entrant dans le cadre du « plan migrants ». Le Premier ministre a notamment promis la création de 7.500 places d’hébergement en deux ans pour les demandeurs d’asile.
« Nous devons également développer l’offre d’hébergement pour les demandeurs d’asile », a ajouté le chef du gouvernement, estimant à 40 % les demandeurs d’asile n’ayant actuellement pas accès à un hébergement. Pour résoudre ce problème, le Premier ministre a assuré que 4.000 places seront créées en 2018 et 3.500 en 2019.
« Au total, je crois que nous disposons actuellement de 80.000 places. Nous aurons une progression d’environ 10% du nombre de places disponibles sur deux ans », a-t-il précisé.
« 5.000 places » seront créées sur la même période pour aider les réfugiés à accéder au logement, a également indiqué Édouard Philippe.
Source : http://breizatao.com
Choisir le prénom de ses enfants ? À la fois plaie et casse-tête ! Dans son très fouillé Dictionnaire des prénoms (Monts d’Arrée et Picollec éditeurs), Alain de Benoist note en préface : « C’est un acte important que le choix d’un prénom, et il est certainement regrettable que ce choix, qui va marquer un enfant, puis un homme ou une femme pendant toute son existence, se fasse trop souvent de façon hasardeuse, négligente, fantaisiste ou encore en fonction d’engouements superficiels ou de modes éphémères, qui auront déjà disparu quelques mois après la naissance de l’intéressé ! » On ne saurait mieux dire.
Malheureusement ou non, c’est ainsi : « Dis-moi comment tu te prénommes et je te dirai à peu près qui tu es », le prénom étant autrement plus « stigmatisant » que le patronyme ; en termes sociologiques, s’entend.
Ainsi, nous révèle Le Figaro de ce mercredi dernier, il convient « d’américaniser son prénom pour réussir aux USA ». C’est ainsi que « Jean » devient « John » ; « Jean » étant un prénom féminin de l’autre côté de l’Atlantique : voir Norma Jean Baker, plus connue sous le sobriquet de Marilyn Monroe. Ni une ni deux, Jean Rauscher est devenu « John » Rauscher : « Alors même qu’il franchissait la frontière américaine, la contrôleuse des douanes lui annonce que s’il veut faire carrière aux États-Unis, il va rencontrer de sérieuses difficultés… » Et la même, tatillonne comme le sont ces cerbères d’aéroport, de lui affirmer : « Au téléphone, vos pairs vont trouver que vous avez une voix bien grave pour une femme ! »
On passera, évidemment, sur la dimension réactionnaire du machin en question. « Jean » aurait pu être « Jeanne » – voire même le contraire –, ce qui aurait pu faire offense à ceux qui changent de sexe comme de prénom. Il n’empêche, le prénom sera toujours plus discriminant que le nom. D’où, à l’annonce des résultats de notre cher baccalauréat, la prévisible apocalypse des Kevin, Dylan, Jordan, Steven, Morgan et autres Bryan.
A contrario, voyez le record de mentions emporté par Diane, (premier prénom du classement), suivie par Joséphine, Jeanne, Augustin et Alice. Et on ira dire, après, que la lutte des classes n’est plus que concept d’antan…
Les parents de la « beurgeoisie » ne s’y sont évidemment pas trompés, affublant généralement leurs enfants de prénoms bibliques, façon Adam ou Zachariah. Ce n’est pas grand-chose, mais juste petit viatique et geste qui peuvent sauver l’avenir de leurs galopins.
Pour aller plus loin, l’abdication de nos prénoms français aux USA et l’adoption d’autres prénoms en nos contrées, issus de séries télévisées américaines ou d’une imagination débordante 1, est tristement révélatrice des maux frappant notre société en voie d’éclatement. En dehors de nos frontières, nous avons honte de ce que nous représentons, tandis qu’à l’intérieur, nous ne savons plus qui nous sommes.
À cet égard, il ne serait peut-être pas inopportun d’en revenir aux prénoms légués par les saints du calendrier grégorien ; ce qui pourrait éviter le calvaire à venir d’Albator et de Goldorak, ou même de la petite Térébenthine, fille de Cécile Duflot et de Xavier Cantat, frère de Bertrand, naguère chanteur de Désir noir ; pardon, de Noir désir. Dire qui l’on est est effectivement une assez bonne manière de définir qui nous sommes.
Nicolas Gauthier
Source : http://www.bvoltaire.fr
Source : http://lesalonbeige.blogs.com
Chaque année pendant l’été, les mêmes scènes se répètent un peu partout en France : le déversement de bennes entières de fruits et légumes devant des préfectures, des centrales d’achat, des supermarchés, parfois des ambassades, comme ce fut le cas mardi 11 juillet devant le consulat d’Espagne à Perpignan, où les arboriculteurs en colère ont purement et simplement détruit deux tonnes de pêches. L’été ne fait que commencer et il est à parier que cette pratique va se renouveler dans les prochaines semaines, dans d’autres endroits et sur d’autres produits bruts.
Comme à l’accoutumée, les agriculteurs pestent contre les « pratiques déloyales » qu’ils demandent aux « services de contrôle » de « sanctionner », indique un communiqué commun de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles), de la FNPF (Fédération nationale de la pêche en France) et de JA (Jeunes agriculteurs). Il faut traduire « pratiques déloyales », notamment, par « dumping social », et « services de contrôle » par les directions départementales des territoires (DDT) et celles de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP).
Voilà des décennies que les agriculteurs, en particulier ceux qui emploient de la main-d’œuvre, se plaignent des écarts de salaires et de charges sociales entre, d’un côté, la France et, de l’autre, les pays européens (ou non) qui n’ont pas le même niveau de vie et les mêmes exigences que le nôtre. Les distorsions de concurrence sociale et salariale existent. Mais ni les gouvernements successifs en France, ni l’Union européenne (Parlement, Conseil et Commission) n’ont pris ce problème à bras-le-corps. Par exemple, le SMIC est deux fois moins important en Espagne qu’en France. Dans ce même pays, il y a beaucoup de travailleurs marocains payés au prix du Maroc. De plus, tous les pays ne respectent pas les normes sanitaires qu’impose (normalement) l’Union européenne.
À ces problèmes laissés à la dérive vient maintenant se greffer l’épineux sujet de l’immigration illégale. Ainsi, le président de la FDSEA des Pyrénées-Orientales, Yves Aris, a-t-il clairement pointé du doigt l’Italie : « […] C’est une véritable mafia qui fait travailler pour presque rien les migrants dans les exploitations. » Mais l’Italie, pour peu que l’information soit vérifiée, est-elle le seul pays à pratiquer ce qu’il faut appeler du « travail au noir » ?
Pour couronner le tout, la grande distribution entre dans la danse en privilégiant le prix au détriment de la qualité et du goût. Elle a les moyens de faire pression. Près de 80 % des fruits et légumes vendus en France passent par ses centrales d’achat ! Elle aurait tort de se priver et va donc se ravitailler au mieux offrant : les pays concurrents de la France.
Et comme un malheur n’arrive jamais seul, les générations les plus jeunes consomment quatre fois moins de fruits et de légumes que leurs grands-parents, assure une étude du CREDOC publiée le 11 juillet. Questions : comment les agriculteurs français vont-ils s’en sortir ? Que fait le gouvernement ? Que fait l’Europe ? Réponse : rien comme d’habitude.
Henri Saint-Amand
Source : http://www.bvoltaire.fr
Le Conseil national suédois de médecine légale (RMV) a publié de nouveaux chiffres qui montrent que la majorité des cas litigieux de migrants supposés « mineurs » sont en fait des adultes.
Le RMV a publié des chiffres cette semaine après avoir testé médicalement 1.481 migrants afin de déterminer s’ils avaient menti ou non sur le fait d’être mineurs. Il a été révélé que 1215 cas ou 86 % des individus testés étaient en réalité des adultes.
Les tests couvrent une période de trois mois, entre mars et juin de cette année et ont impliqué une IRM de l’articulation du genou et une radiographie des dents de sagesse. Les résultats ont ensuite été examinés par des médecins qui ont déterminé si les migrants étaient des adultes ou des mineurs.
Sur l’ensemble des migrants testés, seules 49 personnes, ou 3,3 %, étaient des femmes (dont 33 avaient plus de 18 ans). Les chiffres montrent le nombre écrasant de migrants de sexe masculin qui prétendent être mineurs.
Source : http://suavelos.eu
La Délégation de l'Oise du Parti de la France organise mardi 18 juillet à 19h30 un repas militant et convivial à Saint-Just-en-Chaussée.
La soirée se déroulera dans un établissement sympathisant aux tarifs très abordables, le choix du menu se fera à la carte (règlement sur place).
Réservation obligatoire au : 06.09.96.44.37 ou thomasjoly60@yahoo.fr
La Poste a décidé d'arrêter la livraison de colis dans plusieurs immeubles d'Argenteuil. En cause : les agressions des agents trop fréquentes.
Selon des informations du Parisien, plusieurs immeubles du quartier de l'hôpital au Val d'Argent sud à Argenteuil (Val-d'Oise) ne sont plus livrés en colis par la Poste. En cause ? Une décision assumée de l'agence postale publique, dont les agents sont régulièrement agressés : “cette décision a été prise suite à des faits récurrents d’agressions et de dégradations matérielles subies par des agents” explique La Poste au Parisien.
Mais la colère des riverains se fait entendre. “Les résidents doivent prendre leur mal en patience et se rendre au bureau de poste d’à côté, déjà saturé” explique le quotidien.
Source : http://valeursactuelles.com
Le 9 juillet 2017, à 16h25, un individu a importuné les fidèles devant la cathédrale Sainte-Croix d’Orléans avant de menacer de mort les policiers présents et crié « allah akbar ».
Imaginons un chrétien faire le même cirque devant une mosquée dans un pays musulman, il aurait été, au mieux, roué de coups par les fidèles et jeté en prison, au pire lynché par la foule ou abattu par les policiers.
Source : http://breizatao.com