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Le blog politique de Thomas JOLY

Emmanuel Macron prend vraiment les retraités pour des imbéciles

5 Octobre 2018, 06:02am

Publié par Thomas Joly

Visiblement, Emmanuel Macron prend les retraités pour des imbéciles. C’est le sentiment que l’on a, à écouter le Président durant son bain de foule, jeudi, à Colombey-les-Deux-Églises, à l’occasion du soixantième anniversaire de la Ve République.

À une retraitée qui ne touche que 500 euros de retraite, le Président déclare, sur ce ton voisin de celui que l’on prête parfois aux soignants en EHPAD : « Parce que vous n’avez pas cotisé toute votre vie. » Bah oui, on perçoit une retraite proportionnelle à ce qu’on a cotisé. Pas besoin d’un Président-pédagogue pour expliquer cela aux retraités. Donc, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise, ma bonne dame ? Des feignasses comme vous, il y en a des millions, en France. Fallait y penser à l’époque. Cette brave femme, qui a peut-être élevé des enfants qui, aujourd’hui, payent la retraite de Mme Emmanuel Macron, née Brigitte Trogneux, n’a qu’à s’en prendre à elle-même, au fond. Mais, dans le même bain de foule, Emmanuel Macron explique à ces mêmes retraités qu’ils n’ont pas cotisé, lorsqu’ils étaient actifs, pour leur retraite à eux mais pour celle de leurs aînés…

Toujours dans ce bain de foule, le Président nous ressort sa martingale favorite pour faire passer l’augmentation de la CSG qui touche les retraités comme les actifs (sauf que les actifs du privé, en compensation, voient une baisse de leurs cotisations sociales) : la suppression de la taxe d’habitation. Oui, mais voilà, les actifs vont bénéficier aussi, pour 80 % d’entre eux, de cette suppression de la taxe d’habitation. Donc, à l’évidence, le compte n’y est pas pour les retraités. Emmanuel Macron prend donc visiblement les retraités pour des imbéciles, et il ne se gêne même pas. « Je ne donne que l’argent que je prends ailleurs », dit-il. Ailleurs ? C’est-à-dire aux retraités !

Mais là où le « foutage de gueule » confine au cynisme le plus total, c’est lorsqu’il se permet de faire la leçon à ces retraités à 500 euros par mois et, plus largement, aux Français. Sortant de la Boisserie, Emmanuel Macron rapporte ce qu’un petit-fils du fondateur de la Ve République vient de lui raconter sur la vie dans l’intimité familiale de Charles de Gaulle : « On pouvait parler très librement. La seule chose qu’on n’avait pas le droit de faire, c’était se plaindre… Le pays se tiendrait autrement si c’était comme ça. » En clair, dans le texte : fermez votre gueule ! La brave dame à 500 euros a dû apprécier la leçon de ce quarantenaire qui, durant la campagne présidentielle, avait déclaré avoir vécu, quand il était adolescent, avec environ 1.000 euros par mois et savoir ce que c’était que « boucler une fin de mois difficile ». Mais sans doute que cette dame n’a pas les mêmes besoins qu’Emmanuel Macron. Elle devrait quand même pouvoir comprendre ça, cette dame, ou alors c’est à désespérer des Français !

En tout cas, pour ce qui est de se tenir autrement, Emmanuel Macron n’a sans doute pas de leçons à donner aux Français aujourd’hui.

Thomas Bertin

Source : http://bvoltaire.fr

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Emmanuel Macron, pour placer une camarade de l'ENA, change les règles de nomination des recteurs

4 Octobre 2018, 06:37am

Publié par Thomas Joly

En toute discrétion (mais visiblement pas suffisamment) le Conseil des ministres de ce mercredi 3 octobre a adopté un texte permettant de doubler le nombre de recteurs pouvant prétendre au titre sans être habilité à diriger eux-mêmes des recherche. Jusqu'alors seulement 6 recteurs sur 30 pouvaient ne pas être universitaires, le chiffre est dorénavant passé à 12 après adoption du décret.

Le but affiché serait de "diversifier le recrutement des recteurs" mais l'Obs a appris, d'une "source très bien informée" qu'il s'agirait  plutôt "d'ouvrir ces postes de recteurs à plus d'énarques et plus précisément à une camarade d'Emmanuel Macron à l'ENA".

Toujours selon le journal, il serait question de promouvoir l'actuelle secrétaire générale de Science Po, Charline Avenel. Impossible jusqu'alors puisque les six postes ouverts à des personnes non habilitées à diriger des travaux de recherche étaient déjà tous occupés. Il fallait donc ouvrir légèrement les vannes.

Rien ne s'oppose plus à cette nomination explique l'Obs. Une commission ad-hoc dirigée par un membre du Conseil d’État pourrait émettre un avis défavorable mais c'est peu probable vu qu'il s'agit du "corps auquel appartient le Premier ministre et le directeur de Sciences Po" assène le journal.

L'hebdomadaire enfonce le clou en expliquant que "l’heureuse élue a d'ailleurs a prévenu ses proches collaborateurs rue Saint Guillaume de son départ imminent à Versailles, où elle fait déjà des allers et retours".

Plus c'est gros…

Source : http://atlantico.fr

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Jacqueline Sauvage : histoire d’une instrumentation sociale et politique

4 Octobre 2018, 06:26am

Publié par Thomas Joly

Il paraît que trois millions de téléspectateurs ont regardé, lundi soir, Jacqueline Sauvage, c’était lui ou moi, avec Muriel Robin dans le rôle-titre. Je n’en étais pas.

L’ont-ils regardé pour la prestation de Muriel Robin ou pour le scénario ? Sans doute pour Muriel Robin, qui nous a beaucoup fait rire dans le passé et sait maintenant nous faire pleurer dans des rôles noirs, ambigus, de femme fatale au sens premier du mot. Elle y excelle, c’est vrai, mais il semble que, cette fois, elle ait épousé le rôle bien au-delà du simple jeu d’acteur : en militante de la cause des femmes.

La fiction, car c’en était une, est l’ultime étape d’une instrumentation sociale et politique. Un abus de conscience, en quelque sorte, et une manipulation de l’opinion dans laquelle les bonnes âmes trouvent un exhausteur de goût à la vie. Surtout si elles rament pour remonter la pente du doute de soi et de la déprime solitaire, ce qui était, il y a peu encore, le cas de Muriel Robin, à en croire les confidences qu’elle fait à la presse.

« Quand Yves Rénier m’a proposé le rôle, je n’ai pas réfléchi une seconde, je lui ai dit : Jacqueline Sauvage, c’est moi ! », confie-t-elle à Paris Match. Le rôle, en effet, est sans doute conforme à l’idée que Muriel Robin et quelques millions de personnes avec elle se font de cette histoire, mais la question importante est : ce personnage est-il bien Jacqueline Sauvage ? Est-ce que cette femme qu’on nous livre dans une fiction à grand tapage est conforme à la réalité de l’individu Jacqueline Sauvage ?

Non, répond catégoriquement le magistrat Frédéric Chevallier, procureur général dans le procès en appel qui a vu l’accusée condamnée à dix ans de réclusion, confirmant ainsi la condamnation du premier procès. Démarche rarissime, il le fait au travers d’une lettre adressée à Catherine Sauvage et publiée mardi par le journal Le Monde.

Quand Muriel Robin, reprenant ce qui est devenu un roman « d’utilité nationale », résume l’histoire de cette femme à quarante-sept ans de domination et de coups, le magistrat réfute, déplorant que Jacqueline Sauvage soit devenue « le symbole inadapté d’un fait majeur de société ». Il regrette qu’on la présente désormais dans les médias comme « soumise » alors que tout montre qu’elle a toujours été une « femme déterminée », prenant sa vie et son destin en main.

« Ce que vous avez vécu ne peut être cet “enfer” créé par celles et ceux qui vous ont enserrée dans cette image symbole placardée sur leur poitrine “Je suis Jacqueline” […] Vous présenter comme soumise et sous l’emprise de ce “tyran” de Norbert [son mari], c’était nier totalement votre personnalité dont la réalité ne correspondait plus en rien à ce que vous avez été pendant quarante-sept ans », écrit-il. Et de préciser, le lendemain, sur France Info :

« Cette lettre, je l’ai écrite d’abord pour Madame Sauvage […]. Et puis je l’ai écrite pour les jurés. […] Je le dis en leur nom : la vérité judiciaire établit que madame Sauvage est une meurtrière aggravée. Elle encourait perpétuité pour avoir tué son mari. La cour d’assises, après avoir étudié, analysé, évalué l’ensemble de cette affaire, l’a déclarée coupable et l’a condamnée à dix ans [deux fois !]. Madame Sauvage était d’accord avec ce verdict. Elle ne voulait pas faire appel. Et puis surgissent deux avocates qui vont faire appel… »

Il poursuit :

« Il faut que les gens réfléchissent. Est-ce qu’ils considèrent que c’est un symbole acceptable de dire qu’aujourd’hui, pour lutter contre les violences faites aux femmes, il s’agit de tirer trois balles dans le dos de son mari ? »

Quant au droit de grâce dont a usé François Hollande, il pouvait, certes, se justifier dans une époque où la peine de mort était en vigueur et où n’existait pas la possibilité d’appel devant la cour d’assises, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Mais, on le sait, Hollande a cédé à la pression de l’émotion, pas à la réflexion.

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Campagne sur les violences sexistes et sexuelles : tous les agresseurs sont des Blancs sur les vidéos de propagande !

4 Octobre 2018, 06:12am

Publié par Thomas Joly

Marlène Schiappa, Secrétaire d’État à l’égalité femmes-hommes, l’a annoncé sur son compte twitter : depuis le 30 septembre, une campagne TV inédite à destination des témoins de violences sexistes et sexuelles est lancée. Problème : les 4 vidéos de cette campagne ne montrent que des agresseurs blancs.

Nous vous laissons découvrir les quatre clips de la campagne, financés donc par le contribuable français.

Nous vous proposons maintenant de découvrir quelques reportages, réalisés cette fois-ci « dans la vraie vie ». Étrangement, les agresseurs sont différents de ceux mis en évidence dans les clips actuellement diffusés à la télévision :

Marlène Schiappa et le gouvernement vivent-t-ils dans le même monde que la majorité des Français ? La question mérite d’être posée. A moins qu’en fin admirateurs du système orwellien de 1984 , nos dirigeants pensent aussi que « le mensonge, c’est la vérité ».

Source : http://breizh-info.com

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Lorrain de Saint-Affrique : « Comme le dit lui-même Jean Marie Le Pen, le cadavre se porte bien ! »

4 Octobre 2018, 05:55am

Publié par Thomas Joly

Depuis le communiqué de son avocat excusant son absence à son procès pour cause d’hospitalisation, les rumeurs vont bon train sur l’état de santé du président du Front national. Sur les réseaux sociaux, certains vont jusqu’à affirmer que les jours de Jean-Marie Le Pen seraient comptés.

Au micro de Boulevard Voltaire, Lorrain de Saint Affrique, son assistant parlementaire et secrétaire général des comités Jeanne, dément l’information.

Source : http://bvoltaire.fr

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Guerre civile ou partition du territoire : les aveux de Gérard Collomb (et sa solution délirante)

3 Octobre 2018, 06:38am

Publié par Thomas Joly

Le départ de Gérard Collomb du Ministère de l’Intérieur a révélé à quel point les dirigeants de l’État sont non seulement victimes d’aveuglement idéologique, mais qu’ils nous emmènent également droit au chaos.

En effet, Gérard Collomb a indiqué que « nous vivons côte à côte » et qu’il y a un risque pour que demain « nous vivions face à face ». Ce que Gérard Collomb croit ne pas avoir besoin d’expliciter, à savoir quels sont les « nous » en question, il faut l’expliciter, sinon on ne comprend rien à la situation de certains quartiers de notre pays.

« Nous vivons côte à côte » et « nous vivons face à face » ça parle des Français de souche européenne et des descendants d’immigrés extra-européens. Tout simplement ! Gérard Collomb pense que le risque c’est que les blancs fassent face à tous ceux qui détestent les blancs. Le constat n’est pas mauvais.

Par contre, la solution proposée par le désormais ex-Ministre de l’Intérieur est tout simplement hallucinante : il faut plus de mixité sociale !

On sait ce que terme veut dire : ça veut dire re-mélanger des populations antiblanches aux populations blanches, alors que ces dernières ont déjà dû s’imposer un exode pour en finir avec les intimidations, les vols et les agressions « gratuites ».

Gérard Collomb craint la guerre civile mais sa seule solution c’est d’augmenter le potentiel de déclenchement de cette guerre civile.

Que des dirigeants soient à ce point inconséquents est une chose inquiétante, qui doit encourager les nationalistes à se mobiliser pour reprendre le pouvoir des mains de ces pompiers-pyromanes !

Source : http://pdf14.com

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Italie : arrestation d’un maire gauchiste pour aide à l’immigration clandestine

3 Octobre 2018, 06:30am

Publié par Thomas Joly

« Que vont dire maintenant Saviano et tous les bien-pensants qui voudraient remplir l’Italie d’immigrés ? » a ironisé, lundi, le ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini, ­rejoint par son secrétaire d’État et responsable du Mouvement Cinq étoiles Carlo Sibilia, qui annonce « la guerre au business de l’immigration » et va ­jusqu’à faire un parallèle ­entre les ennuis ­judiciaires de « Mimmo » ­Lucano et ­l’exploitation ­financière des migrants par la mafia.

Le maire de Riace en Italie, Domenico Lucano, avait choisi d’accueillir des migrants pour redonner vie à son village. Mais pour la justice italienne, il est désormais soupçonné d’avoir été trop loin et d’avoir favorisé l’immigration clandestine.

Domenico Lucano est accusé d’avoir organisé des mariages de convenance entre des habitants de son village et des femmes étrangères, afin de leur obtenir un titre de séjour. Le communiqué cite des extraits d’écoutes téléphoniques dans lesquelles Domenico Lucano semble effectivement agir, en connaissance de cause, contre la loi en vigueur, qualifiée de « stupide ».

« Je vais vous faire la carte d’identité, je suis hors-la-loi, je suis hors-la-loi, car pour faire la carte d’identité je devrais avoir un permis de séjour encore valable. En plus, vous devriez démontrer que vous résidez à Riace, que vous avez une habitation à Riace (…), j’assume la responsabilité et je vous dis que ça va », dit-il ainsi à une femme étrangère dans une conversation enregistrée par les enquêteurs, selon le parquet.

Dans les années 2000, M. Lucano, un maire de gauche, a été l’un des premiers à parier sur l’accueil des réfugiés pour redonner vie à son village de 1.800 habitants. Depuis, des dizaines d’Afghans, Érythréens ou Irakiens se sont installés, repeuplant le village et son école, attirant même le tourisme en rouvrant des ateliers d’artisanat local main dans la main avec des anciens du village. Distingué en 2010 comme troisième « meilleur maire du monde », cité parmi les 100 personnalités les plus influentes par le magazine Fortune en 2016.

Source : http://fdesouche.com

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Carl Lang à Avignon samedi 6 octobre pour la Journée d'Amitié et d'Action Française

3 Octobre 2018, 06:21am

Publié par Thomas Joly

Grande journée d'Amitié et d'Action française le samedi 6 octobre prochain, près d'Avignon en présence de S.A.R le Prince Sixte-Henri de Bourbon Parme, du Docteur André Charles, Président du Comité Directeur de l'Action Française, de Marion Sigaut, historienne spécialiste du XVIIIe siècle et de la Révolution Française et de Jean-Pierre Papadacci, infatigable militant nationaliste, membre fondateur de notre association, représentant de l'Adimad. Carl Lang, Président du Parti de la France, interviendra au cours de cette journée.


Programme :

- 10h00 -- Messe pour la France célébrée par l'abbé Vella, assistant général de l'Institut du Bon Pasteur

- 12h00 -- Apéritif puis repas convivial

- 14h30 -- Message de Marie-Gabrielle Pujo et conférences :

.Abbé Vella : "Pour servir le Bien Commun"
.Hugues Petit : "Pour en finir avec le Droit-de-l'hommisme"
.Catherine Rouvier : "Pour un mouvement civilisationniste"
.Carl Lang : "Pratiquer le compromis nationaliste"
.Stéphanie Bignon : "S'enraciner pour s'élever"
.Jacques Bompard : "Agir au plus proche, le localisme"
.Robert Mestelan : "Rebâtir le patrimoine, l'appel de Saint-Hilaire"
.Elie Hatem : "l'Action française peut sauver la France"
.Conclusion par S.A.R le Prince Sixte-Henri de Bourbon Parme

Le lieu de la messe et du repas/conférences (15 min d'Avignon) vous seront signalés 48 h avant l'événement, par mail ou par téléphone.

Un grand choix de livres sera à vote disposition (vous trouverez des ouvrages de Charles Maurras, Jacques Bainville, Robert Brasillach, Jean Madiran, Gérard Bedel, Carl Lang sans oublier les Mémoires de Jean-Marie le Pen etc.).

Les tarifs sont les suivants :
- Journée complète : 32 euros (Repas et conférences)
- Tarif de soutien - journée complète: 38 euros (Repas et conférences)
- Conférences: 10 euros
- Tarif de soutien - conférences: 12 euros.

Réservez sans tarder et avant le 30 septembre sur www.amitieactionfrancaise.com (paiement par chèque), infos et réservations : contact@amitieactionfrancaise.com, téléphone : 06 46 33 56 95

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« Arrestation de Redoine Faïd : il aura fallu 3 mois alors qu'il se planquait dans son propre quartier à Creil ! »

3 Octobre 2018, 05:53am

Publié par Thomas Joly

Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France et Délégué départemental pour l'Oise, réagit à l'arrestation de Redoine Faïd dans sa ville natale de Creil colonisée par l'immigration afro-maghrébine.

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Des racailles du 93 volent les victimes d’un accident mortel avant de prendre des selfies avec les blessés agonisant

2 Octobre 2018, 21:01pm

Publié par Thomas Joly

Un motard de 44 ans est décédé dans une violente collision samedi. Sa compagne est toujours à l’hôpital. Le parquet a ouvert une deuxième enquête pour vols en réunion.

Des témoins qui prennent des photos des victimes, au lieu d’appeler les secours, des sacs dérobés… « C’est complètement abject », se désole une source proche de l’affaire. L’enquête ouverte ce week-end suite à l’accident mortel d’un couple du Val-d’Oise, et aux blessures de sa compagne, dans une violente collision, laisse présager d’autres poursuites.

La collision s’est produite route de Saint-Leu, vers 1h10, à Villetaneuse. Le motard aurait heurté la Golf alors qu’elle effectuait un demi-tour. « Le conducteur de la voiture allait à Paris avec deux amis lorsqu’il s’est aperçu qu’il manquait de carburant, il a fait alors demi-tour pour aller à la station la plus proche et n’a pas vu le deux-roues arriver », relate une source proche de l’affaire. Le scooter, dont on ne sait si ses phares fonctionnaient ou non, a heurté l’aile de la voiture. Dans la violence du choc, les passagers ont été projetés.

La jeune femme, âgée de 27 ans, s’est retrouvée éjectée, ses vêtements déchirés. Son compagnon s’est retrouvé à un autre endroit, gisant au sol mais toujours vivant, a rapporté le conducteur de la voiture aux forces de l’ordre. Il était descendu pour porter assistance à la victime après avoir appelé les secours. Une autre automobiliste, qui venait de garer sa voiture dans le quartier, a porté secours à la jeune femme.

« Le conducteur de la Golf a eu sa voiture fouillée par un homme qui a ramené une bouteille d’eau, qu’il a déversée sur le blessé, encore casqué, poursuit un proche de l’enquête. Le motard a enlevé son casque de lui-même, peut-être pour pouvoir respirer… »

Les policiers sont intervenus les premiers, mais ont rapporté une intervention rendue compliquée par un groupe plutôt hostile – dont au moins un des membres était alcoolisé – massé autour des victimes. Les fonctionnaires sont repartis sans arrêter personne, ni faire de constatations.

Le chauffeur de la voiture a signalé avoir été menacé et découvert le vol d’un casque et d’une meuleuse qui se trouvaient dans son véhicule. Ce ne sont pas les seuls objets volés sur les lieux. Les sacs du motard et de sa compagne ont disparu. Envolées aussi les clés de voiture de l’automobiliste qui était intervenue. Des témoins ont été décrits en train de prendre des photos et des selfies avec les victimes au sol, dont les vêtements étaient déchirés.

L’intervention des sapeurs-pompiers n’a pas permis de maintenir le motard en vie. Il a succombé à ses blessures vers 4h30. Sa compagne, blessée aux jambes, était toujours hospitalisée dimanche et n’a pas été interrogée.

Le conducteur de la voiture, qui ne vit pas en Seine-Saint-Denis, est revenu samedi après-midi au commissariat où il était convoqué. Il a été placé en garde à vue pour homicide involontaire et remis en liberté, le temps de la poursuite de l’enquête. Tous les dépistages effectués samedi sont négatifs.

Des expertises complémentaires doivent avoir lieu, matérielles et médicales. Une enquête distincte a été ouverte par le parquet de Bobigny pour vols en réunion.

Source : http://breizatao.com

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Le parti d’Angela Merkel est désormais beaucoup plus populaire chez les migrants que chez les Allemands !

2 Octobre 2018, 06:34am

Publié par Thomas Joly

Le parti d’Angela Merkel, la CDU (centre-droit), est devenu le parti le plus populaire chez les migrants, à 43 % d’opinions favorables.

Comparée à la popularité du parti auprès des Allemands en général, qui se situe à 28 %, le parti de la chancelière est désormais plus populaire chez les étrangers que chez les Allemands.

Source : http://breizatao.com

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Valérie Pécresse découvre que l’insécurité règne dans les lycées d’Île-de-France

2 Octobre 2018, 06:32am

Publié par Thomas Joly

Le plus sécuritaire des Français aurait applaudi des deux mains aux propos tenus sur le thème de la sécurité par Valérie Pécresse, lors de son passage au « Grand Jury » de RTL, dimanche dernier. En effet, tout y était : minorité pénale à 16 ans, construction de 15.000 places de prison, développement de la vidéo-sécurité, effectivité des peines de prison prononcées par la Justice, armement obligatoire des polices municipales dans les grandes villes.

Bref, toute une série de mesures de bon sens, et aujourd’hui indispensables pour notre sécurité, que les amis LR de la présidente de la région Île-de-France se sont pourtant bien gardés de mettre en place lorsqu’ils étaient au pouvoir. Et pour compléter ces dispositions, l’élue francilienne y est allée de quelques propositions destinées à crédibiliser sa démarche. Ainsi a-t-elle a formulé l’idée de la création d’une brigade de sécurité mobile, destinée à intervenir dans les lycées de son ressort. Il est vrai que la violence et l’insécurité sont, depuis de nombreuses années, présentes dans nos établissements d’enseignement. Du primaire au supérieur, il n’est pas de jour sans que soient rapportées par la presse les multiples exactions commises par des individus de plus en plus jeunes, et de plus en plus violents. Il y a quelques jours à peine, à Garges-lès-Gonesse, un jeune de 17 ans était violemment agressé et sérieusement blessé par une dizaine d’individus, dont certains étaient armés de bâtons et de barres de fer. Quelques jours auparavant, dans le Val-d’Oise, c’était un policier municipal qui était roué de coups en pleine rue, par un groupe de personnes. Et la liste pourrait être longue de ces événements qui empoisonnent la vie quotidienne des Français, et qui attestent bien de ce que le niveau de violence est devenu insupportable dans notre pays.

Car aujourd’hui, plus une catégorie de citoyens n’est épargnée. Les sapeurs-pompiers, depuis plusieurs mois, tirent le signal d’alarme. Les agents des transports, confrontés à une violence qui ne cesse de monter – 15 % d’augmentation en ce qui concerne les agents de la RATP -, les services d’urgence dans les hôpitaux, où la violence se déchaîne de façon récurrente, les policiers nationaux et municipaux, les gendarmes : tous sont confrontés à un phénomène auquel le gouvernement se trouve dans l’incapacité, souvent par pure idéologie, d’apporter une solution.

Face à cette plaie purulente que constitue la violence pour notre société, Valérie Pécresse annonce donc une nouvelle initiative, la mise en place d’une unité de sécurité qui aura pour mission de sécuriser les lycées dont elle a la charge. Malheureusement, cette nouvelle formation, composée d’une quinzaine d’agents recrutés, notamment, parmi les anciens policiers et gendarmes, risque fort de se trouver bien démunie face à des bandes de délinquants déterminés et souvent armés. Par ailleurs, si c’est au rectorat qu’il appartiendra de gérer cette entité, rien n’est dit sur ses compétences réelles. Quelles seront ses prérogatives judiciaires. En aura-t-elle seulement ? À quelles autorités publiques de police, de gendarmerie, de Justice devra-t-elle rendre compte ? Quels seront ses moyens, sachant qu’a priori, ses membres ne seront pas armés ? Autant de questions actuellement sans réponses, mais qui laissent augurer d’une nouvelle et énième initiative davantage destinée à répondre aux journalistes en vue de prochaines échéances électorales qu’à traiter véritablement du cœur de la question fondamentale que constitue l’ancrage de la violence et de la criminalité au cœur de notre société.

Olivier Damien

Source : http://bvoltaire.fr

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Sécurité sociale : les deux mensonges du retour à l’équilibre

2 Octobre 2018, 06:18am

Publié par Thomas Joly

Alors qu'il visait un retour à l'équilibre des comptes de la Sécurité sociale en 2020, le Premier ministre vient d'annoncer que la France y parviendra avec un an d'avance. Selon le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) présenté mardi 25 septembre, le solde du régime général et du fonds de solidarité vieillesse (qui prend en charge le minimum vieillesse) sera bénéficiaire de 700 millions d'euros en 2019.

Nul tour de passe-passe dans ce rétablissement annoncé puisqu’il n'est que le résultat mécanique de l'augmentation des recettes de la Sécurité sociale qui semblent dynamiques, grâce à la hausse de la masse salariale (+3,5 %), des créations d'emploi qui, malgré un net tassement depuis trois mois, ont été au rendez-vous au premier semestre 2018 (du fait de la provisoire reprise mondiale), du ralentissement de la hausse des dépenses sociales et de santé qui n'augmenteront « que » de 2 % l'an prochain contre une progression de 2,3 % en moyenne ces dix dernières années, et de la hausse de la CSG.

Au final, le déficit de la branche maladie sera réduit à 500 millions d'euros en 2019 (Il était encore de 5,8 milliards d'euros en 2015), conséquence de la politique d’austérité sociale, de tiers-mondisation budgétaire des hôpitaux malgré le dévouement admirable de leurs personnels, et d’approche uniquement comptable de la santé publique voulue par le gouvernement, politique régressive de rigueur sanitaire qui a conduit de nombreux Français pauvres à renoncer à se faire soigner.

Ces bonnes nouvelles permettent à l’exécutif de procéder à un certain nombre d'annonces supposées permettre la mise en œuvre des quatre grands plans dévoilés ces derniers mois par l'exécutif, en faveur des Ehpad (établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes), du « reste à charge zéro » sur certains soins (optique, dentaire, audioprothèses), contre la pauvreté et sur la « transformation » du système de santé. Sans oublier d'autres mesures qui feront encore grimper l'addition : revalorisation du minimum vieillesse, « correction » de la hausse de CSG pour les retraités modestes, exonération des heures supplémentaires, coup de pouce pour la garde d'enfants handicapés, allongement du congé maternité pour les travailleuses indépendantes…

Tout cela serait bel et bon si cette fin annoncée du « trou de la sécu » ne reposait pas sur deux mensonges.

  • Premier mensonge, l'insincérité du budget de la sécurité sociale 2019 qui repose sur une double imposture : une croissance estimée à 1,8 % (après avoir été espérée à 2,4 %) et qui sera selon toutes les prévisions sérieuses inférieure à 1,5 % ; une inflation maîtrisée alors que tout indique qu'elle sera nettement supérieure aux 2,2 % actuels.
  • Deuxième mensonge, l'illusion d'un rétablissement acquis des comptes sociaux : certes, la Sécu va enregistrer un excédent en 2019, mais rappelons qu'elle a toujours une dette exorbitante qui se chiffre à 121 milliards € (fin 2017) sur les 260 milliards accumulés en vingt ans, que le nombre de médicaments et de soins remboursés ne cesse de baisser, et que la dentisterie, les lunettes et prothèses auditives ne sont quasiment pas prises en charge, contrairement à la plupart des pays européens de même niveau de vie que la France.

Pour le Parti de la France, la santé des Français, tout comme le devoir de solidarité avec nos compatriotes les plus fragiles, par les pensions, le remboursement des soins nécessaires, le minimum vieillesse (aujourd'hui ASPA Allocation de solidarité aux personnes âgées), les allocations familiales aux nationaux, ou l’aide a la dépendance, tout cela relève du régalien.

Rétablir réellement l’équilibre des comptes sociaux, c'est :

  • Faire la chasse aux fraudes (en 2011 un rapport parlementaire faisait état d’une fraude sociale à hauteur de 20 milliards par an, alors que les chiffres gouvernementaux n’évoquaient « que » 500 millions. Ces mêmes estimations gouvernementales reconnaissant en 2017 que la fraude aurait doublé en cinq ans, on n'ose en extrapoler le chiffrage actuel).
  • Rationaliser les conditions d’accès aux urgences hospitalières qui ne doivent plus être utilisées comme des permanences consultatives pour populations irresponsables le plus souvent venues d'ailleurs.
  • Peser, par une action forte de l’État visant à établir avec les laboratoires pharmaceutiques des conventions contractuelles, sur les prix des médicaments et l'usage des génériques.
  • Stopper l’immigration dont le seul coût social atteint plusieurs dizaines de milliards par an.
  • Réserver les aides aux seuls nationaux avant la mise en œuvre d'une vaste politique de remigration.

Jean-François Touzé - Délégué national aux études et argumentaire

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Sortie du nouveau livre de Jean-Claude Rolinat : « La bombe africaine et ses fragmentations »

2 Octobre 2018, 06:13am

Publié par Thomas Joly

La cause est entendue, l’homme blanc est coupable de tous les maux de la création, et en particulier en Afrique noire où la colonisation serait responsable de tous les malheurs qui frappent le continent. La vérité est bien plus complexe et moins simpliste qu’on veut bien le dire. Il est vrai que l’erreur principale du colonisateur aura été, lors de la conférence de Berlin en 1885, de ne pas tenir compte des réalités ethniques et d’avoir découpé, avec gourmandise, ce nouveau « fromage ». Mais l’homme blanc n’allait pas simplement en Afrique pour exploiter les natifs et les richesses continentales, il y allait pour évangéliser et apporter les bienfaits de la civilisation.

Toutes les entreprises coloniales ne furent pas glorieuses, mais celles expérimentées par notre pays furent sans aucun doute, comparées à d’autres colonisateurs, les plus humaines, empreintes d’empathie pour ce que l’on appelait péjorativement les « indigènes ». Des hommes comme Léopold Sédar Senghor ou Houphouët Boigny, ayant atteint les sommets de la hiérarchie politique française, en ont été les preuves vivantes et auraient pu en témoigner. Vaste continent de 30.415.873 km² que les soubresauts de la décolonisation (bien souvent bâclée), n’auront pas épargné, les « sept plaies d’Égypte » se sont abattues sur lui : guerres coloniales et postcoloniales ; conflits ethniques ; pénuries d’eau ; famines ; maladies (notamment sida et Ebola) ; corruption, etc.

Et, comme si tout cela ne suffisait pas, l’incapacité et la rapacité de nombre de dirigeants sanguinaires, corrompus, pratiquant souvent le népotisme, jettent une ombre sur la capacité d’une bonne gouvernance dans ces pays. Mais, le mal absolu, le danger suprême pour l’équilibre même de la planète, c’est la démographie explosive, non maîtrisée, de l’Afrique en général et de l’Afrique noire en particulier. De 100 millions d’habitants en 1900, la population du continent est passée à 640 millions dans les années 1990, pour atteindre et dépasser le milliard en 2015 (16 % de la planète, à comparer avec les 9 % de 1950 !). Selon les projections démographiques, sa population pourrait même atteindre plus de deux milliards en 2050 et, 4,4 milliards à la fin du XXIe siècle. Ce phénomène est une menace pour l’Europe, à la population vieillissante. Ce livre n’a pas d’autres prétentions que de rafraîchir les mémoires et d’être un lanceur d’alerte.

L’auteur, successivement cadre administratif, archiviste-documentaliste et journaliste, élu local depuis 1977, aime à parcourir le monde et découvrir ses curiosités naturelles, historiques et politiques. Il a publié chez divers éditeurs 17 ouvrages, biographies de célébrités ou livres de géopolitique.

La bombe africaine et ses fragmentations, Jean-Claude Rolinat, Editions Dualpha, 570 pages, 37 €, pour le commander cliquez ici

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La démission refusée de Gérard Collomb : du grand Guignol ?

2 Octobre 2018, 06:02am

Publié par Thomas Joly

Le Figaro vient de le révéler : Gérard Collomb a présenté ce lundi 1er octobre sa démission mais le Président l’a refusée. Après la démission en direct de Nicolas Hulot, celle imprévue de Laura Flessel pour raisons personnelles, est-ce un nouvel épisode du feuilleton d’un été désastreux qui joue les prolongations ? Toujours selon Le Figaro, le ministre de l’Intérieur aurait démissionné « parce que l’institution qu’il dirige pouvait pâtir d’une sorte de campagne de dénigrement dont il s’estimait l’objet ».

Et il est vrai que depuis que Gérard Collomb a annoncé qu’il démissionnerait de son poste après les élections européennes en 2019 pour se lancer à la reconquête de sa ville de Lyon en 2020, il commençait à être sérieusement démonétisé. Car, ainsi va la vie, dès que l’on sait que le patron a un pied dans la tombe et l’autre sur une plaque d’égout, ça s’agite sérieux pour savoir qui va prendre la suite… Pas nécessaire d’attendre la mort du lion pour que les chacals commencent à se partager l’empire, aurait pu dire Audiard. Ces derniers jours on parlait même du sénateur Alain Richard (deux ans plus âgé que Gérard Collomb) qui fut ministre de la Défense sous Lionel Jospin. Autant dire au temps des Croisades.

Alors qu’est donc cette démission aussitôt refusée ? On peut évidemment y voir de l’eau dans le gaz entre le Président et son ministre d’État. Il est vrai que depuis que Gérard Collomb a publiquement reproché à l’exécutif son « manque d’humilité », les relations ne sont peut-être plus celles de l’époque héroïque lorsque le maire de Lyon, le jour du sacre, pleurait comme une madeleine dans les bras de son héros. Mais cette démission ratée, ce coïtus interruptus par grâce présidentielle, n’est-il pas au fond une sorte de scène de théâtre ? Cet acte manqué est-il si manqué que cela ? N’avons-nous pas ici, une sorte de Grand Guignol comme on le joue à Lyon au pied de la colline de Fourvière ? Le gendarme, répondant parfois aux doux noms de Flageolet ou Chibroc, est venu rendre son bâton au juge dans l’espoir que ce dernier lui rende aussitôt. Mieux, la chose était peut-être même entendue d’avance entre Flageolet et le juge, histoire d’amuser les petits enfants et de redonner un peu d’autorité au gendarme si l’on ne voulait pas que les gones s’amusent avec ses moustaches pendant sa sieste.

En attendant, les petit enfants, eux, attendent que le gendarme laisse ses états d’âme au râtelier, prenne son bâton et s’en serve hardiment.

Thomas Bertin

Source : http://bvoltaire.fr

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