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Le blog politique de Thomas JOLY

Socialisme intégral : le Venezuela a perdu cinq zéros en dévaluant sa monnaie

22 Août 2018, 10:35am

Publié par Thomas Joly

Les nouveaux billets vénézuéliens sont entrés en vigueur lundi, première étape d’un plan de relance du président Maduro censé sortir le pays de la crise. Au prix d’une dévaluation sans précédent.

Si le sujet n’était pas aussi douloureux pour nombre d’habitants du Venezuela, il pourrait prêter à sourire. Le bolivar, la monnaie locale de ce pays d’Amérique du sud naguère très riche et qui détient les plus grandes réserves de pétrole de la planète, vient d’être dévalué. Pas à la marge : depuis lundi il a perdu d’un seul coup… cinq zéros ! Un billet de 100.000 bolivars ne vaut donc plus… qu’un bolivar.

C’est le résultat de la mise en place du « nouveau système économique » présenté par le président Nicolas Maduro comme le plan de relance miracle censé sortir le pays du désastre économique dans lequel il ne cesse de s’enfoncer depuis plusieurs années. Ce nouveau bolivar dit « souverain » sera adossé au « petro », la cryptomonnaie imaginée par le successeur d’Hugo Chavez pour amortir les sanctions financières des États-Unis.

Preuve du scepticisme de Vénézuéliens épuisés par la crise, de longues queues s’étaient formées ces derniers jours devant les magasins pour tenter d’acheter le peu de produits proposés à la vente.

Pour faire passer la pilule, les autorités de Caracas ont décidé de multiplier le salaire minimum par… trente-quatre. Mais l’inflation devrait, elle, s’élever à environ 1.000.000 %, selon le FMI. Et le plan de relance prévoit aussi une forte augmentation de l’essence, seul produit jusque-là bon marché.

La débâcle économique (qui était en marche bien avant les sanctions américaines) est telle que plus de 2,3 millions de Vénézuéliens (sur 31,3 millions habitants) ont fui vers les pays voisins. Au Brésil, ce brusque afflux de réfugiés qui s’entassent dans des camps précaires a créé des tensions avec la population locale.

La crise économique se double d’une crise politique tout aussi grave. Le régime de Caracas a perdu une large partie de ses soutiens. L’arrestation de deux généraux et de militaires haut gradés à la suite de la tentative d’attentat aux drones (aux tenants et aboutissants peu clairs) dont aurait été victime le 4 août Nicolas Maduro indique que ce dernier se méfie de l’armée, naguère pilier indéfectible du régime.

Source : http://news.suavelos.eu

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En Allemagne, même la gauche radicale décide d’adopter une politique anti-immigration

22 Août 2018, 10:23am

Publié par Thomas Joly

Sahra Wagenknecht, la co-présidente du groupe parlementaire de la gauche radicale allemande vient de faire une annonce qui a de quoi surprendre. Pour réduire l’influence du parti de droite radicale Alternative für Deutschland (AfD), première force d’opposition au Bundestag, la femme politique, résolument de gauche, compte aller chasser sur les terres de l’AfD. Elle va à cet effet lancer le 4 septembre un mouvement pour tenter de rassembler sa famille politique, tout en durcissant les positions traditionnelles de cette dernière sur la question de l’asile.

Son futur mouvement dénommé Aufstehen qui signifie « Debout » ou « Réveil » va donc tenter de mobiliser très à gauche, mais en changeant de cap sur le thème de la politique migratoire qui bouleverse le paysage politique allemand depuis 2015 avec l’arrivée de plus d’un million de migrants, facilitée par la chancelière Angela Merkel.

Outre les grands thèmes sociaux chers à sa famille politique, Sahra Wagenknecht veut en effet «mettre la pression» sur les partis de gauche pour qu’ils engagent une «autre politique migratoire», selon ses termes. Elle veut en finir avec la « bonne conscience de gauche sur la culture de l’accueil » et ces « responsables [politiques] vivant loin des familles modestes qui se battent pour défendre leur part du gâteau ». « Une frontière ouverte à tous, c’est naïf. Ce n’est surtout pas une politique de gauche », insiste-t-elle.

Les milliards dépensés par le gouvernement pour accueillir les demandeurs d’asile en 2015 « auraient pu aider beaucoup plus de nécessiteux en Allemagne », selon la dirigeante politique. « Plus de migrants économiques signifie plus de concurrence pour décrocher des jobs dans le secteur des bas salaires. Le nombre de logements sociaux n’est pas non plus illimité », estime-t-elle encore.

Source : http://breizatao.com

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Nicole Belloubet a le feu dans ses prisons, mais son souci, c’est la prise en charge des migrants !

22 Août 2018, 09:57am

Publié par Thomas Joly

En France, on ne compte plus les ras-le-bol : celui de l’armée, de la police, des pompiers, des enseignants, des personnels des hôpitaux, des ruraux, des automobilistes, des retraités, des cheminots, des maires des petites communes, des avocats, des notaires, des huissiers, des agriculteurs, des habitants des quartiers, des buralistes, des anti-migrants, etc. Plus ce gouvernement avance dans le temps, plus il se met à dos de nouveaux secteurs de la population.

« The last but not the least » est celui des prisons car, depuis les grèves de cet hiver, non seulement rien n’a été réglé, mais les incidents se multiplient. Un chiffre résume le comportement des prisonniers : plus de 40.000 téléphones portables ont été saisis dans les prisons françaises en 2017, un chiffre huit fois supérieur à celui de 2007. Cette somme s’explique, certes, par la hausse du nombre de mobiles en circulation, mais aussi par la pugnacité des « taulards ».

Dans un long article du Figaro, les surveillants pénitentiaires dépeignent leur quotidien de plus en plus violent et anxiogène. Nombreux sont les agents à avoir la boule au ventre en partant travailler. Aux crachats, menaces, invectives s’ajoutent les 4.000 agressions physiques par an dont sont victimes les gardiens de prison. Le 5 août, un détenu armé d’une lame de rasoir se jette sur un surveillant qui vient d’ouvrir la porte de sa cellule, à la maison d’arrêt de Nîmes ; une veine du cou est touchée, le gardien s’en tire avec onze points de suture. Cinq jours plus tard, un détenu de la prison de Liancourt (Oise), muni d’un bout tranchant découpé dans une canette, se jette au cou d’un surveillant qui parvient à esquiver le geste de justesse. À Nantes, dernièrement, cinq surveillants sont agressés en une semaine. Cela, sans compter les manifestations devant les prisons organisées par des proches ou des soutiens, comme ceux de Tariq Ramadan. Soyons clair : actuellement, ce ne sont plus les prisonniers qui ont peur des « matons » mais les « matons » qui ont peur des prisonniers.

Vu le manque d’effectifs, les gardiens font trente à quarante heures supplémentaires par mois, les dépressions, arrêts maladie et absentéisme record se succèdent. Les personnels ne croient plus en l’utilité de leur métier, nombreux sont les jeunes qui, venant de passer le concours de l’École nationale d’administration pénitentiaire, démissionnent juste avant de prendre leur poste. Avec un surveillant pour 2,46 détenus en 2017, la France possède l’un des pires taux d’encadrement d’Europe. De plus, la vétusté de certaines prisons, comme à Colmar, rend également incompatible le respect des exigences de sécurité. Enfin, la surpopulation carcérale explose : selon Le Figaro, « au 1er juillet, 70.710 personnes étaient détenues dans les prisons françaises, un record historique depuis la Libération. C’est 48 % de plus qu’en 2001, et ceci alors qu’aujourd’hui, ceux qui prennent moins de deux ans sont exemptés de prison. Résultat : le taux d’occupation des cellules atteint plus de 120 %. »

Mais surtout, derrière cette multitude, se cache un phénomène bien connu : la prolifération des racailles de quartiers, surreprésentées en prison. Le quotidien américain Washington Post, pourtant classé à gauche, estimait dans un article d’avril 2015 que « 60 % à 70 % » des détenus en France sont musulmans alors qu’ils représentent « à peine 12 % de la population totale du pays ». Déjà, en 2014, en sa qualité de président de l’Institut du monde arabe, Jack Lang, qui n’est pas lepéniste, avait écrit que « près de deux tiers des prisonniers en France étaient musulmans ».

Je vous laisse imaginer les chiffres actuels que, bien évidemment, l’administration ne communiquera jamais. On comprend mieux, alors, pourquoi les gardiens se sentent démunis et dépassés face aux détenus radicalisés !

Pendant ce temps, Nicole Belloubet, toujours en pointe, déclarait : « La France sera au côté de l’Espagne pour prendre en charge les migrants. » Car, évidemment, ceci n’a rien à voir avec cela.

J-P Fabre Bernadac

Source : http://bvoltaire.fr

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Le candidat idéal pour la mairie de Paris en 2020 : Mounir Mahjoubi, musulman, homosexuel et pacsé avec un juif

21 Août 2018, 12:24pm

Publié par Thomas Joly

Il est mignon, décontracté et souriant, Mounir. Et puis, lauréat du concours d’éloquence de Sciences Po, il a une tchatche du feu de Dieu ou une logorrhée verbale, c’est selon. Il a tout pour plaire. Jeune, marocain, musulman et berbère, pacsé à un homme, parisien, souriant, hâbleur, enfant du PS ayant rallié Macron après avoir fait ses classes avec Royal puis Hollande, ami des chiens, défenseur des LGBT, entrepreneur et geek reconnu. Nanti d’un CAP de cuisine, il est fin connaisseur en tambouille électorale ce qui l’a porté au secrétariat à l’industrie numérique et à la députation du XIXe arrondissement. En outre, il est soutenu par le Maroc qui avait envoyé sa télévision pour filmer son élection à la députation. Opportuniste, il avait rallié à sa cause les propriétaires de chiens de sa circonscription en leur faisant des promesses (parcs canins) qui, après un an, n’ont pas vu l’ombre d’une réalisation. Un candidat à la mairie de Paris qui a tout pour plaire à l’électorat parisien parce qu’il ressemble à ses forces vives.

Sur la photo de Paris-Match ci-dessus, on observe qu’il s’est dégoté un de ces petits logements bobos (preuve qu’il est comme eux) particulièrement apprécié dans les arrondissements dits « populaires ». Une cour pavée, le rez de chaussée d’un immeuble ancien joliment rénové avec une grande baie vitrée ouvrant sur le jardinet.

Mounir fait parler de lui autant qu’il le peut : avec les propriétaires de chiens contre la politique canine d’Hidalgo, en prévision des prochaines municipales ; contre l’homophobie, en déclarant publiquement son homosexualité et en posant avec son mari dans Paris-Match ; en déclarant fermer son twitter à la veille de partir en vacances ; en donnant son avis sur Aïcha, sa sœur aînée, annonçant que, de chef de projet du numérique, elle se professionnalisait dans la voyance sous le nom de Madame Aessa ;  co-fondateur de « La ruche qui dit oui », organe de distribution de produits bio de proximité ; longue interview sur Thinkerview, un média contestataire ; nombreuses présences dans les médias (Paris-Match, Gala, Voici, Huffington post…) sur des sujets qui ont peu à voir avec le numérique, sa mission ministérielle ; toujours présent pour lier social et numérique, comme dans sa visite du 11 août à Anduze (Gard) : « proposer des lieux physiques avec des êtres humains qui accueillent la population. On va continuer à numériser mais aussi à réhumaniser  » ; prises de position sur tout, ne craignant pas d’empiéter sur les missions de ses collègues et sur celles de la CNIL ; etc. Maintenant, on attend les déclaration de Mounir Mahjoubi sur le véganisme et le végétarisme, sur le spécisme (discrimination des espèces animales), sur la PMA et la GPA, sur les démissions en nombre des maires de France, sur les radars et les limitations de vitesse, sur la pollution, sur l’immigration, le pouvoir d’achat, le chômage et tout ce qui fait les titres des médias. Sur son compte twitter, contrairement à son rival Benjamin Griveaux qui se contente, avec une stricte langue de bois, de relayer les actions du gouvernement  dont il est le porte-parole, Mounir a un mot pour tout et sait artistiquement orner la langue de bois en y glissant quelques ingrédient humanistes.

En juin 2018, le journal 20 minutes faisait le point sur les candidats et non-candidats au siège d’Anne Hidalgo. La liste comprenait deux femmes, Rachida Dati et Ségolène Royal, et cinq hommes, à savoir Benjamin Griveaux, Marcel Campion, Xavier Niel (qui nie et ironise : pour devenir millionnaire, il suffit qu’un milliardaire se lance en politique), Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel. Mounir était, à cette date, soupçonné d’être candidat mais ne s’était pas encore officiellement déclaré. Il s’est décidé très rapidement et maintenant, c’est fait.

Le politique de 34 ans partage la vie de Mickaël Jozefowicz, 31 ans, expert en financement des projets liés aux énergies renouvelables. Pacsés il y a trois ans, les deux hommes se sont rencontrés il y a treize ans à Paris, alors qu’ils étaient étudiants, indique encore Paris-Match. Le nom Jozefowitz se retrouve dans la population juive de Pologne ; si Mickaël est effectivement juif, l’union de Mounir, le musulman (berbère, donc « light ») avec un juif, est un atout supplémentaire pour élargir son électorat auprès du lobby gay que l’homme soutient ouvertement, notamment en prenant position contre l’homophobie. La situation de l’Hôtel de Ville de Paris, au cœur du Gay Paris, serait-il un atout pour le conquérir ? Rien n’est moins sûr, car l’élection du maire de Paris se fait au suffrage indirect, les maires d’arrondissement votant pour lui. Il faudrait donc que l’électorat parisien élise des maires gay friendly. Actuellement, la majorité des maires de Paris sont socialistes ; combien d’entre eux se rallieront-ils à LREM ? Si les maires socialistes étaient réélus et votaient pour Ségolène Royal, toujours socialiste, la situation serait assez cocasse, Mounir ayant été l’une des chevilles ouvrières de la campagne électorale de Ségolène pour la présidence de la République (« Ségosphère », c’est lui). Heureusement ou malheureusement, étant donné la déconfiture actuelle d’Anne Hidalgo et celle du PS, Ségolène a peu de chance de remplacer Hidalgo.

Mounir Mahjoubi est particulièrement bien placé et parti pour remporter l’Hôtel de ville de Paris. Son sourire permanent, découvrant des dents blanches bien tranchantes, est un signe indiscutable de sa détermination à devenir le premier maire musulman de Paris, à l’image du travailliste Sadiq Khan, premier maire musulman de Londres depuis 2016. Et je ne vois personne susceptible d’offrir une alternative sérieuse aux Parisiens.

Alice Braitberg

Source : http://ripostelaique.com

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Quand le délégué à la Sécurité routière affirme qu’une route dégradée est une solution contre les accidents

21 Août 2018, 09:08am

Publié par Thomas Joly

Les masques tombent parmi les caciques d’une Sécurité routière qui semble avoir perdu le cap. La dernière intervention de son délégué est un grand excès de vitesse dans une succession dramatique de mots qui avoue une pensée qui ne l’est pas moins. Sachez chers motards et scootéristes, qu’un nid-de-poule qui se découvre sous vos deux roues n’est pas un mal. C’est même un bien que ce genre de chaussée dégradée permet d’éviter les accidents…

Le délégué à la Sécurité routière Emmanuel Barbe marche sur la tête. Et sans casque qui plus est. Les routes non entretenues ne sont pas une mise en danger de ses usagers victimes d’une mission de service public non faite. En revanche, c’est une aubaine pour éviter les accidents. Voici les propos de l’intéressé au micro de de BFMTV : "C’est un problème relatif en matière de sécurité routière. Le paradoxe, c’est que les routes les plus belles routes de France sont 3,5 fois plus mortelles que les autres. Parce que comme elles sont belles, on y roule plus vite. Le vrai facteur de dangerosité en sécurité routière c’est la vitesse. Quand les routes sont en mauvais état les gens roulent doucement".

Emmanuel Barbe vient d’entrer dans l’Histoire. On rappellera qu'un rapport commandé par le gouvernement sur l'état des routes françaises estime que si la gestion des chaussées ne change pas, 60 % du réseau français sera dégradé d'ici 2037. Actuellement, 17 % du réseau est dégradé et un tiers des ponts nécessite des réparations, 7 % d'entre eux risquant de s'effondrer. Pour Monsieur Barbe, c’est une perspective réjouissante qui fera baisser la mortalité routière.

Celle-ci a baissé en juillet, mais moins vite que lors des deux derniers mois, malgré un rythme imposé à 80 km/h sur les routes secondaires au lieu de 90. Certes, mais cette baisse ralentie de la mortalité routière s'accompagne toutefois de « mauvais résultats » concernant les cyclistes et les motos, parmi les pires « depuis cinq ans » avec 97 motocyclistes et 29 cyclistes tués, souligne la Sécurité routière.

Source : http://caradisiac.com

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Aïd-el-kébir 2018 : le halal ou la conquête soft

21 Août 2018, 08:52am

Publié par Thomas Joly

Peu à peu, la charia prend pied chez la « fille aînée de l’Église ». Les lecteurs de nos blogs connaissent bien la longue litanie des faits qui pourrissent notre vie quotidienne : Grand Remplacement, insécurité, intimidations, coutumes exotiques contraires à notre mode de vie, actes terroristes. Le tout accompagné d’une propagande massive alliant culpabilisation, victimisation, explications sociologiques foireuses, recours éhonté à l’émotionnel. Il y a plus de trente ans, Louis Pauwels parlait à juste titre de « SIDA mental », ce qui lui valut une mise à mort sociale immédiate. Les choses n’ont pas changé mais on sent bien une montée en puissance du taux d’anticorps dans la société, à tous les niveaux, et ceci est un gage d’espoir immense.

Le halal et ses ramifications sont un instrument fabuleux de conquête soft. Il complète parfaitement le djihad guerrier en accoutumant en douceur la société qui devient peu à peu « charia-compatible ». Car le halal, c’est la charia ! C’est le carcan du permis et de l’interdit, du pur et de l’impur, conformément à la sourate 3 verset 110 (« Vous êtes la meilleure des communautés, vous ordonnez le bien, vous interdisez le mal »), et le bien se dit halal.

C’est dans ce contexte que, chaque année, l’aïd-el-kébir a lieu, à une date variable selon le calendrier lunaire (cette année, le 21 août) : là aussi, l’islam se distingue par un apartheid volontaire.

Un des plus gros scandales de cette « fête » barbare est l’autorisation bienveillante d’ouverture d’abattoirs temporaires. Nous alertons l’opinion et les ministères compétents chaque année. Ces abattoirs ne peuvent en aucun cas répondre aux normes sanitaires qui ont entraîné la fermeture de très nombreux abattoirs de proximité. Et les abattoirs pérennes pourraient parfaitement assumer cette charge, du moins si le chiffre officiel de 100.000 moutons est exact : nous l’estimons aux alentours de 250.000 au moins…

Face à la complicité des gouvernements successifs, un arrêt du 29 mai de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a confirmé notre point de vue : sur une question préjudicielle concernant l’interdiction, en Flandre, des abattoirs temporaires pour des raisons sanitaires, la CJUE a donné raison aux autorités contre les associations musulmanes. Cet arrêt devenait ainsi un règlement applicable aussitôt dans toute l’Union européenne. Le délai extrêmement court pour intenter des recours juridiques, surtout au moment des vacances judiciaires, ne nous a permis d’agir que sur l’abattoir temporaire de Montpellier devant le tribunal administratif pour une procédure de référé-suspension : recours rejeté au motif que toutes les autorisations administratives sont en règle ! Nous allons poursuivre au fond mais le temps judiciaire est incertain….

Le combat judiciaire est aride et demande de la persévérance… et des moyens financiers. Nous avons la chance d’avoir un socle de donateurs qui nous permet de faire de nombreuses actions, même s’il faut, malgré tout, limiter nos ambitions.

En complément, nous vous engageons à photographier, filmer, visiter ces abattoirs temporaires. Quelques anomalies : absence de boucles d’oreille, transport dans les coffres de voitures, mauvais traitements divers. On trouvera la liste exhaustive sur la page Facebook de Laurent Brunot, ainsi que la liste de ces abattoirs temporaires : https://www.facebook.com/id1000105854895/posts/1655285044599757.

Nous centraliserons toutes les données récoltées, sur contact@vigilancehallal.com. Elles serviront de base à une action judiciaire de grande envergure pour bloquer les abattoirs temporaires de l’aïd l’an prochain.

Aux armes, citoyens ! Vos armes pacifiques seront vos smartphones ou appareils photo. Soyez nombreux à vous mobiliser pour la réussite de l’opération.

Alain de Peretti

Source : http://bvoltaire.fr

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Asia Argento, l’égérie de #MeToo, achète le silence d’un jeune homme qu’elle aurait agressé

21 Août 2018, 08:42am

Publié par Thomas Joly

Dans nos pays latins de forte tradition chrétienne où la mère est « culturellement » associée à la Vierge Marie, la pédophilie féminine est un tabou majeur. C’est tout juste si l’on admet que les femmes puissent être criminelles, alors, la pédophilie, pensez…

Les femmes, chez nous, sont toujours d’innocentes victimes, même lorsqu’elles sont coupables. Démonstration par l’affaire sordide de la petite Fiona, dont le corps n’a jamais été retrouvé : la mère condamnée à cinq ans de prison, le beau-père à vingt ans sans que rien ne puisse établir qu’il était plus coupable des tortures et de la mort de l’enfant que sa propre mère !

Chez les Anglo-Saxons, et plus généralement les populations protestantes, on se cache moins la vue. On enquête et on publie. Constat des chercheurs de l’université de Montréal : « D’après les données que nous avons recueillies dans plusieurs pays, les femmes constituent 5 % de la population des délinquants sexuels. Ce chiffre est probablement sous-estimé. Les victimes d’abus féminins parlent encore moins que les victimes des hommes. Les services judiciaires et médico-psychologiques ne sont pas entraînés à repérer les agresseuses. » À cela, surtout, une raison majeure : « 92 % des victimes des femmes sont des enfants de moins de 9 ans, et le plus souvent, leurs propres enfants. »

Et puis, il y a les femmes qui aiment les très jeunes hommes, et de celles-là, on parle encore moins. On évoque toujours le tourisme sexuel des Européens vieillissants et bedonnants, mais celui des femmes tout aussi vieillissantes et adipeuses qui viennent à Cuba ou sur les côtes africaines s’offrir de très jeune hommes n’est pas moins scandaleux. Simplement, on feint de ne pas le voir.

Enfin, il y a ces comportements qui font les photos glamour des magazines parce que les protagonistes sont au plus haut étage de l’ascenseur social. Et là, c’est de l’amour, forcément…

Aujourd’hui, c’est l’actrice italienne Asia Argento qui est dans le collimateur. L’égérie du mouvement #MeToo, celle qui a dénoncé Harvey Weinstein et dressé la liste des 82 femmes « qui ont été agressées sexuellement/violées/molestées » par le producteur ; celle qui, lors de la cérémonie de clôture du dernier Festival de Cannes, brandissait la menace : « Parmi vous, dans le public il y a ceux que l’on devrait pointer du doigt à cause de leur comportement envers les femmes, un comportement indigne de cette industrie, de n’importe quelle industrie. Vous savez qui vous êtes. Plus important encore, nous, nous savons qui vous êtes. » Et d’assurer : « Les choses ont changé. On ne va plus vous permettre de vous en tirer sans être inquiété. » Eh bien, cette femme-là se retrouve aujourd’hui mise en cause pour avoir acheté le silence d’un garçon de 17 ans qu’elle aurait, elle aussi, agressé sexuellement.

La scène, dont le New York Times dit détenir les preuves, se serait déroulée dans un hôtel de Californie en 2013. L’actrice, célèbre, était alors âgée de 37 ans.

Le jeune homme a porté l’affaire devant la Justice, réclamant 3,5 millions de dollars de dommages et intérêts pour « détresse émotionnelle et des pertes de salaire suite à une agression sexuelle ». Au terme des négociations conclues par leurs avocats, il a touché 380.000 dollars selon un paiement échelonné, le dernier versement étant intervenu en avril dernier. En pleine campagne d’Asia Argento contre les agresseurs sexuels, juste avant le Festival de Cannes…

L’avocat de l’actrice a expliqué au journal qu’il s’agissait d’une « aide » pour le plaignant, Jimmy Bennet. Tout comme DSK, par bonté d’âme sans doute, a tenu à « aider » une femme de chambre du Sofitel de New York.

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Rapport « Cap 22 » : persécution des Français et renforcement du contrôle d’État

21 Août 2018, 08:33am

Publié par Thomas Joly

Commandé par le Premier ministre qui devrait en préciser les contours à l’automne, le rapport dit Cap 22 (Comité d’action Publique 2022) sur la réforme de l’État est déjà connu dans ses grandes lignes puisque l’essentiel en a été dévoilé fin juillet dans le Figaro.

Outre les vœux pieux nécessairement consensuels dans leurs intitulés « Refonder l'administration dans la confiance », « Investir dans le numérique » ou « Retarder l’entrée dans la dépendance » qui n’est pas sans rappeler la fameuse « extinction du paupérisme », comme dans leurs intentions « faire la chasse aux doublons administratifs », ce rapport consultatif auquel ont participé une trentaine de parlementaires et membres de la désormais inévitable « société civile » – terme poli pour « idiots utiles du Système » –, ouvre un certain nombre de pistes qui, si elles devaient être suivies par le gouvernement d’Édouard Philippe, conduiraient à la fois à un bouleversement de la vie quotidienne des Français et à un accroissement de la persécution fiscale et bureaucratique (instauration de péages urbains dans les grandes villes, mise sous conditions des allocations familiales, empreinte de la carte de crédit lors d'une hospitalisation, regroupement des minima sociaux en une allocation sociale unique – y compris, bien sûr pour les étrangers – paiement direct par les usagers de certains services publics…).

Particulièrement emblématique du mépris profond dans lequel la classe politicienne et ses acolytes tiennent le peuple français, l'une des recommandations retenues par le comité parmi les 22 chapitres de mesures qu’il prône induit un changement d'habitude pour des millions de nos compatriotes : la suppression progressive puis totale de l'argent liquide et des chèques au profit de la seule carte de crédit.

Pour un grand nombre de Français, et d’abord pour les personnes âgées qui souvent ne disposent pas de cartes ou répugnent à s'en servir, pour ceux qui sont soumis aux limites d'un plafond hebdomadaire de dépenses bas et pour les plus démunis, il s’agit là d’un bouleversement majeur.

Au vrai, sous prétexte d’économies d’échelle réalisées par la disparition du « cash », c'est tout un système de suivi, de surveillance, de fichage d’État qui serait ainsi mis en place, dont la lutte contre la fraude fiscale ne serait qu’une infime partie. Grâce au suivi de nos cartes de crédit obligatoires et quasiment institutionnelles, l’État aura, en effet, accès à toutes nos données, saura qui nous voyons, où nous nous trouvons, ce que nous faisons, ce que nous dépensons, à quel parti nous adhérons, etc. Le totalitarisme démocratique n'a, on le sait, aucune limite si ce n'est celles que lui fixent la prudence et l'opportunité.

L’objectif affiché de ce rapport est de permettre à l’état d’économiser 30 milliards d'euros sur les 60 milliards de réduction de ses dépenses que promettait le candidat Macron lors de sa campagne. Objectif évidemment inatteignable sans mettre en cause le coût anapurnesque de l'immigration, tabou suprême que le pouvoir n'envisage bien sûr à aucun moment d'aborder, ni décider de la suppression pure et simple d’un des échelons du mille-feuilles des collectivités territoriales, ce que le rapport se garde bien de faire si ce n'est en prônant le regroupement maximal des communes, faisant disparaître ainsi des milliers de villages et de municipalités auxquels nos compatriotes sont particulièrement attachés.

« Arrêtez d'embêter les Français », disait, en 1966, Georges Pompidou alors Premier ministre. Plus de cinquante ans plus tard, son lointain successeur ne semble pas avoir entendu le message.

Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaires

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Immigration-colonisation : Aquarius, l’éternel retour

20 Août 2018, 11:53am

Publié par Thomas Joly

Comme des dizaines d'autres bâtiments néo-négriers affrétés par les organisations complices des passeurs comme SOS Méditerranée (label « grande cause » décerné par le Premier ministre en 2017 permettant de bénéficier de campagnes publicitaires gratuites dans les médias), agissant sous pavillon de complaisance humanitaire et en partie subventionnées sur fonds publics ou régionaux (Occitanie par exemple), l’Aquarius, jouant de sa proximité phonétique avec l'Exodus à fin de production lacrymale optimum, poursuit ses allées-venues, véritable navette de l’ingression migratoire en Méditerranée.

Qu'au final le gouvernement français n'ait cédé ni aux demandes pressantes du communiste Gayssot (ex-ministre des transports de Mitterrand et auteur de la loi que l’on sait interdisant l’expression non conforme), d’accueillir le vaisseau pirate dans le port de Sète qu'il préside et d'en faire une plate-forme de débarquement pour les nouveaux colons, ni aux mises en demeure du chœur immigrationniste des vierges internationalistes, ne change rien à l'affaire.

Qu'ils débarquent à Malte, en Espagne, au Portugal ou en France comme hier – et peut-être hélas à nouveau demain - en Italie, c'est vers le continent tout entier, à l'exception des pays ayant su retrouver leur dignité nationale comme la Hongrie de Victor Orban, que, par la grâce de Schengen et des quotas de répartition imposée par la Commission européenne, en vagues successives et incessantes, déferle l’écume invasive. Un flux à long terme destructeur de notre civilisation, et à court terme porteur des futurs acteurs de « faits divers » comme ceux – meurtres, viols ou agressions, qui se sont multipliés cet été en France, en Allemagne et ailleurs, sans même parler de la menace islamiste. On notera à ce propos que les demandes d'asile connaissent en France une très forte hausse (+ 17,8 % depuis le 1er janvier) et sont en passe de devenir une des formes les plus usitées d'immigration économique. Nul besoin, on le voit, d'accoster à Sète puisque, de toute façon, ils finissent toujours par échouer chez nous.

  • Rien pourtant qui ne pourrait être stoppé si existait une volonté politique.
  • Rien que ne pourraient bloquer en quelques heures quatre ou cinq frégates des marines nationales européennes par coups de semonce voire plus si nécessaire, et opérations d’arraisonnements avant retour vers la Libye ou la Tunisie.
  • Rien qui ne pourrait être traité par la liquidation physique des réseaux de passeurs et l’arrestation de leurs complices.
  • Rien qui ne pourrait être inversé par une politique de contrôle drastique des frontières maritimes comme terrestres, d'immigration zéro et de rémigration.

Cela, nous l'avons dit, exigerait une volonté sans faille et une détermination radicale.

Cette volonté et cette détermination que possède le Parti de la France.

Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaire

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90 % du plastique déversé dans les océans proviennent d'Asie et d'Afrique

20 Août 2018, 11:34am

Publié par Thomas Joly

La gigantesque montagne de plastique qui pollue les océans est alimentée à 90% par à peine 10 cours d’eau, indique un rapport du Helmholtz Centre for Environnemental Research en Allemagne.

Les dix fleuves ou rivières concernés se trouvent en Asie et en Afrique. En Asie, il s’agit du Yang-Tsé, du Fleuve Jaune, du Hai He, de la Rivière des Perles, du Mekong, de l’Amour, du Gange et de l’Indus. Les deux autres fleuves, le Nil et le Niger, se trouvent en Afrique. Selon les chercheurs, ces fleuves sont responsables d’une partie importante de la pollution plastique des océans car des populations importantes vivent sur leurs rives. Par ailleurs, les pays dans lesquels ils se trouvent ont un mauvais contrôle des déchets.

« S’attaquer aux sources de la pollution le long de ces rivières serait le moyen le plus efficace de réduire le problème global du plastique dans les océans », suggère l’étude publiée dans la revue Environmental Science & Technology.

Champions de la pollution en plastique des océans : les Chinois avec le Yang-Tsé

Le plus grand pollueur est le fleuve Yang-Tsé, en Chine, qui chaque année amène jusqu’à 1,5 million de tonnes de plastique dans l’océan. Par comparaison, la Tamise en Angleterre transporte chaque année 18 tonnes de plastique dans la mer.  Selon le rapport, les grandes fleuves contiennent de plus grandes quantités de plastique par mètre cube que les petites rivières.

« Réduire de moitié l’apport en plastique des bassins versants de ces cours d’eau serait une solution. Pour y parvenir, il serait nécessaire d’améliorer la gestion des déchets et de sensibiliser le public à la question », a expliqué Christian Schmidt, le responsable de l’étude.

Le défi : recueillir et éliminer le plastique rejeté par les Africains et les Asiatiques

Les scientifiques prévoient également d’examiner le temps nécessaire aux débris de plastique pour atteindre l’océan après avoir été jetés dans un cours d’eau.

« Il s’agit d’un point crucial pour développer diverses méthodes permettant de recueillir le plastique et de l’éliminer », a ajouté Schmidt.

Selon les observateurs, les résultats de cette étude ne doivent pas faire en sorte que l’on traite le problème des déchets de manière plus souple dans d’autres endroits. Il faut en effet toujours tenir compte des conséquences locales.

La meilleure façon de s’attaquer à ce problème consiste, selon les scientifiques, à développer des initiatives qui puissent empêcher que les déchets de plastique atteignent les océans.

Source : http://suavelos.eu

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Scandale : Karin Kneissl, cette Autrichienne de ministre, danse avec ce diable de Poutine !

20 Août 2018, 11:19am

Publié par Thomas Joly

C’est pire que la fameuse poignée de main du maréchal Pétain et d’Adolf Hitler, dans la petite gare de Montoire : Karin Kneissl, ministre des Affaires étrangères d’Autriche, apparentée au FPÖ, ce parti populiste et nationaliste, a dansé, lors de son mariage, avec Vladimir Poutine ! « C’est un scandale ! », comme dirait feu Georges Marchais : cette danse indécente scellerait l’alliance du conservateur Sebastian Kurz, qui assure la présidence tournante de l’Union européenne, avec le pire dictateur ! C’est, du moins, ce que pense l’opposition autrichienne, qui dénonce une atteinte à la neutralité du pays : rien que ça !

Et le parti Vert d’exiger la « démission immédiate » de ce ministre, soulignant que « Vladimir Poutine est l’adversaire le plus agressif de l’UE en matière de politique étrangère », tandis qu’un responsable social-démocrate s’interroge : « Comment la présidence autrichienne de l’UE peut-elle jouer, comme elle le prétend, un rôle d’intermédiaire honnête [entre les Vingt-Huit et Moscou] si la ministre des affaires étrangères et le chancelier se placent aussi clairement d’un côté ? » Bref, l’opposition dénonce un pacte avec le diable en personne.

Les opposants politiques au gouvernement ont également critiqué le coût du dispositif policier pour assurer la sécurité du président russe. Le vice-chancelier Heinz-Christian Strache les a mouchés en soulignant que « chaque manifestation gauche-Verts, avec ses possibles émeutes, embouteillages, coûts en matière de sécurité, coûte au contribuable autrichien beaucoup plus que la visite respectueuse du président russe en l’honneur de notre ministre des Affaires étrangères et de notre pays ».

Cette anecdote ne mériterait pas d’être relevée si elle ne révélait pas, une fois de plus, les méthodes de ces prétendus démocrates : quand un gouvernement, arrivé démocratiquement au pouvoir, respecte les aspirations du peuple et fait passer les intérêts de son pays avant ceux de l’Europe, il est mis au ban des nations. Voyez ce qui se passe en Italie, avec l’alliance entre la Ligue de Matteo Salvini et le Mouvement Cinq étoiles de Luigi Di Maio. La même diabolisation se produit partout en Europe dès qu’on commet l’incongruité de s’opposer aux diktats de Bruxelles, notamment en matière d’immigration.

Ces culs bénis de la bien-pensance n’hésitent pas à utiliser le procédé totalitaire de l’amalgame, qui leur permet de rejeter ceux qui leur résistent dans le camp du mal. En l’occurrence, ils s’indignent que des dirigeants honnis de l’Autriche puissent inviter à un mariage Vladimir Poutine et, pire, danser avec lui. Car Poutine est, en ce moment, la tête de Turc, si l’on peut dire, de l’Union européenne, qui préfère avoir des liens avec la Chine, ce modèle de démocratie, ou des pays du Proche-Orient qui entretiennent des relations ambiguës avec le terrorisme islamique.

En faisant de Vladimir Poutine un diable à ressort censé effrayer les honnêtes gens, en jetant l’opprobre sur cette danse bien innocente, au demeurant séante dans un mariage, l’opposition non seulement sombre dans le ridicule, mais incite le gouvernement autrichien et les États européens soucieux de conserver quelque liberté à se tourner davantage vers la Russie. Car la Russie de Poutine, sortie de l’URSS et de ses dérives staliniennes – que la gauche française encensait encore, il n’y a pas si longtemps –, pourrait bien donner aux nouveaux adeptes de la pensée unique et de la normalisation des leçons d’indépendance, de souveraineté et même de tolérance.

Philippe Kerlouan

Source : http://bvoltaire.fr

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Je préfère la fête de la Rosière à la fête de la musique à l’Élysée

18 Août 2018, 12:35pm

Publié par Thomas Joly

La fête de la Rosière, vous connaissez ? Instituée au Ve siècle par saint Médard, elle consistait à remettre une couronne de roses à la jeune fille la plus vertueuse du village. La tradition a été abandonnée en 1987 par Salency, dans l’Oise, où naquit le saint, mais la petite commune envisage de la remettre au goût du jour l’an prochain. Pas très tendance, par les temps qui courent. Alors, tollé sur les réseaux sociaux, mails insultants et même pétition : Hervé Deplanque, le maire, qui n’était pas contre, maintenant tergiverse. Pourtant, souligne Bertrand Tribout, le président de la Confrérie Saint-Médard, il ne s’agit que d’élire « quelqu’un de sympathique, au final » !

Car contrairement à ce que répète Laélia Véron, l’initiatrice de cette pétition, il ne sera pas exigé de la Rosière « pureté et virginité ». Alors, puisque Bertrand Tribout n’ira sonder ni les reins ni les culottes des candidates, que peut-il bien lui demander, à sa future Rosière, pour déclencher leur haine, à ces signataires ? Elle devra être réputée pour son « dévouement à sa famille, à [sa] disposition à faire le bien et à éviter le mal, être toujours de bonne humeur et souriante » et avoir une « propension à aider les autres ». C’est vieux jeu ? Des qualités pourtant fort appréciées d’un certain type d’associations. Passons.

Mais où va-t-on, je vous le demande, si les filles ne peuvent plus se montrer ingrates et égoïstes ? Et scandaleux, n’est-ce-pas, qu’en 2018, des jouvencelles se sentent bien dans leurs baskets, ne se lèvent que rarement mal lunées et n’éprouvent aucun dégoût à rendre service ! Mais, dites donc, elle ne va pas être facile à dénicher, cette Rosière salencienne ! Détrompez-vous ! Des garçons (de cortège) et des filles de bonne nature et bien élevés, « on en a déjà plus qu’il n’en faut », annonce Bertrand Tribout. Ah, ce n’est pas comme au bon vieux temps des films de Jean Boyer ! En 1950, au village ? Toutes des dévergondées ! Pas une seule fille, parmi les trente, digne de devenir la Rosière ! Mme Husson dut se rabattre sur… un Rosier ! Le benêt du village, délicieusement interprété par Bourvil, qui a raflé le prix, les lauriers et, pas si benêt… la Marie !

Affligeants et ignorants, ces pétitionnaires. Car, en fait, des fêtes catholiques de la Rosière, il en existe plein. L’année dernière, Moissac en a même élu deux : une « adorable et méritante » Moissagaise, mais aussi la Rosière de la France entière. Une fête bon enfant à laquelle se presse chaque année un public nombreux. Eh oui.

N’en déplaise aux mauvais coucheurs obsédés par la laïcité – c’est un prêtre, en plus, qui couronnera la lauréate ! -, en même temps que bouche cousue quant à une autre religion qui, de notoriété publique, érige la virginité en condition sine qua non ; n’en déplaise à ces gens de mauvaise foi, qui s’offusquent de la dépense d’argent public (on ne rit pas), célébrer le bien, le beau et l’esprit de service – des qualités nobles, pouah ! - à travers ces saines jeunes filles, c’est autrement plus rafraîchissant que de tomber sur des Madonna, des Miley Cirus ou des Lady Gaga qui exhibent leur intimité, ou de voir et d’entendre des rappeurs beugler des insanités, en se tortillant du c…, à l’Élysée !

Caroline Artus

Source : http://bvoltaire.fr

 

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Le terroriste de Westminster venait d’être naturalisé

18 Août 2018, 12:17pm

Publié par Thomas Joly

L’auteur de l’attentat de Westminster, Salih Khater, est un requérant d’asile soudanais qui venait d’être naturalisé.

Le 14 août, l'islamiste a foncé délibérément contre les barrières du Parlement britannique avec son véhicule, blessant plusieurs personnes.

L'attaque du 14 août survient après une vague d'attentats islamistes au Royaume-Uni durant l'année 2017, dont quatre revendiqués par le groupe Daesh, qui ont fait au total 36 morts et 200 blessés.

Source : http://lesobservateurs.ch

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Macron et son gouvernement veulent faire disparaître l’argent liquide d’ici 2022

17 Août 2018, 19:23pm

Publié par Thomas Joly

En octobre 2017, le Premier ministre Edouard Philippe, assisté du ministre de l’Action et des Comptes Gérald Darmanin, annonçaient la mise en place d’un Comité d’action publique 2022 constitué de soi-disant experts et chargé d’émettre un rapport proposant des réformes à mettre en œuvre d’ici à 2022.

Il s’agissait, selon le Premier ministre, de moderniser les « politiques publiques » et les « services publics » .

Mais le rapport publié s’avère beaucoup plus invasif qu’annoncé, envisageant des réformes aux conséquences catastrophiques pour l’ensemble des Français.

Dissimulée dans la partie 3, intitulée Transformer les services publics, la proposition 16 est une bombe dont rêvent depuis longtemps les grandes banques internationales : « Aller vers une société « zéro cash » pour simplifier les paiements tout en luttant mieux contre la fraude fiscale. »

Comme toujours, le mal se présente sous l’apparence d’un bien. Le rapport précise qu’il faut donc « réduire progressivement la circulation d’espèces vers une extinction complète. »

Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? La disparition de l’argent liquide (pièces et billets) est la façon la plus sûre pour le Nouvel Ordre Mondial de vous contrôler de A à Z. S’il n’existe plus aucun autre moyen de payement que la forme électronique, l’Etat et les organismes bancaires pourront vous suivre à la trace, savoir en temps réel où vous vous situez, savoir ce que vous mangez, savoir ce que vous lisez, savoir à quel mouvement vous cotisez, savoir à quelle conférence vous assistez,…

C’est aussi une terrible épée de Damoclès suspendue au-dessus de votre tête : toute personne un peu trop gênante pourra voir son compte en banque vidé en un clic.

Big Brother s’occupe de vous !

Source : http://medias-presse.info

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Nouvelle-Zélande : les étrangers ne pourront plus acheter de l’immobilier

17 Août 2018, 19:11pm

Publié par Thomas Joly

La Nouvelle-Zélande, c’est le bout du monde. L’autre côté. Les antipodes. Compter de 22 à 25 heures de vol depuis la France, avec une escale, au choix : Hong Kong, Bangkok, Osaka ou Séoul. Bref, pour rejoindre ces lointaines terres australes et randonner dans les décors du Seigneur des anneaux, il faut s’armer de patience.

Qu’importe, il paraît que la Nouvelle-Zélande est devenue – après la Chine, les Émirats, l’Australie et Singapour – « the place to be ». Les reportages se multiplient sur ces Français qui fuient notre pays enkysté dans ses luttes sociales d’un autre âge pour aller trouver, ailleurs, le goût d’entreprendre et la possibilité de réussir. Auckland serait, dit-on, leur nouvel eldorado.

Mais pour ceux-là qui fuient notre vieux monde avec des rêves d’entreprise plein la tête, il en est d’autres – et plus nombreux à ce qu’il semble – qui choisissent la terre des Maori pour s’y faire un paradis loin du bruit et de leurs louches affaires. L’île du Nord et sa voisine l’île du Sud sont ainsi grignotées par de riches étrangers – Chinois, Singapouriens et autres nababs de la Silicon Valley – qui y installent leur villégiature loin de la fureur du monde. L’argent n’étant pas, pour eux, un problème, ils achètent à des prix que les locaux ne peuvent se permettre. Résultat : les prix de l’immobilier s’envolent et les biens échappent aux autochtones.

Ce qui touche la Nouvelle-Zélande n’est qu’une maladie de jeunesse. Voilà belle lurette que nous, vieille France, avons « vendu à crédit la corde pour nous pendre », comme disait le camarade Lénine. À qui appartient le Paris du « Triangle d’or » ? À qui, bientôt, les vignes du Bordelais ou des coteaux du Cher ? À qui, les villas de la Côte d’Azur et les cœurs historiques chèrement rénovés de nos métropoles régionales ?

Les Néo-Zélandais pourraient, comme tous nos gouvernants, s’en frotter les mains. Mais non. Ça ne leur va pas. Ce n’est pas le rêve qu’ils ont fait pour leur population, alors le gouvernement néo-zélandais a pris, ce mercredi 15 août, une mesure radicale : il sera désormais interdit aux étrangers d’acheter des biens immobiliers.

C’est le journal britannique The Telegraph, repris par Le Point, qui l’a révélé, signalant que des études récentes attestent que 3 % des biens immobiliers de Nouvelle-Zélande ont été vendus à des étrangers, ce chiffre grimpant « jusqu’à 22 % dans l’hypercentre d’Auckland, la capitale ». Cela, pour des ventes souvent bien au-delà des prix du marché local.

Le ministre du Logement a ainsi justifié la décision de son gouvernement : « Nous sommes ici aujourd’hui pour faire un pas vers la restauration du rêve néo-zélandais d’accès à la propriété. C’est le droit de naissance des Néo-Zélandais d’acheter des biens immobiliers à des prix convenables. »

La loi prévoit, toutefois, quelques exceptions et aménagements pour les étrangers ayant le statut de résident, comme les Australiens et les Singapouriens, cela « grâce à des accords de libre-échange ». Pas de rétroactivité non plus : « Les étrangers qui sont déjà propriétaires d’un bien immobilier ne seront pas touchés par cette loi et les acheteurs d’outre-mer auront toujours la possibilité de faire des investissements limités dans des immeubles et des hôtels. »

Il n’empêche, il paraît que cette loi ne plaît pas, mais alors pas du tout, au FMI. Entre nous, je pense que c’est un signe qui plaide, justement, en faveur du gouvernement néo-zélandais, mais bon…

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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