Un jeune homme de 19 ans en Suède est accusé d’agression après avoir battu sa sœur de 14 ans avec une batte de baseball parce qu’elle refusait de porter un voile islamique.
Le jeune homme, qui vit dans la municipalité de Karlskrona, a été déféré devant le tribunal du district de Blekinge la semaine dernière pour abus et voies de fait. Il aurait frappé plusieurs fois sa sœur cadette avec une batte de baseball tout en lui criant de «porter un voile».
Quand il lui a demandé pourquoi elle ne portait pas de voile, la fille a refusé de répondre. Le frère a ensuite marché jusqu’à sa chambre, a pris une batte de baseball qu’il a utilisé pour lyncher l’adolescente de 14 ans au niveau de la tête, des jambes et des bras.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a souhaité la constitution d’une grande alliance de pays contre l’immigration, dimanche à l’occasion du lancement par son parti, le Fidesz, de la campagne en vue des élections législatives du 8 avril. Il a estimé qu’une divergence fondamentale séparait les pays d’Europe centrale et l’ouest de l’Europe, devenu une « zone immigrée, un monde à la population mixte qui prend une direction différente de la nôtre ».
Les pays de l’ouest de l’Europe cherchent à imposer leurs vues. « Aussi absurde que cela puisse paraître, le danger que nous affrontons vient de l’Ouest, de politiciens à Bruxelles, Berlin et Paris ».
« Le V4 (les pays de Visegrad: Hongrie, Slovaquie, Pologne, République tchèque) est ferme, la Croatie se laisse convaincre, l’Autriche a pris une direction patriotique et en Bavière, la CSU (Union chrétienne-sociale) a créé une résistance. »
Jamais en reste de sorties qu’il est sans doute le seul à priser, Yann Moix – intellectuel autoproclamé se gargarisant de lui-même au risque de l’étouffement – a encore sévi dans la regrettable émission du service public « On n’est pas couché », financée par ceux sur qui elle vomit à longueur d’antenne, c’est-à-dire la France moisie. Cette fois-ci, il a franchi un cap en déclarant qu’« on vit dans un pays qui évalue les mineurs comme faisaient les nazis. Voilà comment sont triés, en France, les mineurs et les majeurs. »
Ce chantre de Charles Péguy – dont on lui rappellera le patriotisme viscéral ainsi que la fervente foi chrétienne, sublimement illustrée dans Le Porche du mystère de la deuxième vertu – avait, ce soir-là, un invité pour lui donner la réplique en la personne d’Hugo Clément, sorte de yuppie 2.0 qui s’indigne et s’aime beaucoup au point d’avoir essuyé, en janvier dernier, un portrait peu flatteur dans les colonnes de Libération – c’est dire ! – où il était question de « sa propension à croire qu’il réinvente le journalisme, à s’indigner tous les quatre matins en ligne et à donner des leçons en tartuffe moraliste ».
Hugo Clément a réalisé un reportage sur les mineurs étrangers – ou supposés, au moins pour certains qui ont l’air d’avoir un peu plus de 18 ans, cela dit sans aucune sympathie pour le IIIe Reich ! – écumant les rues de la capitale. Pour faire bonne mesure, il aurait pu filmer à Rennes « les mineurs étrangers délinquants [qui] “rejettent toute main tendue”, selon le procureur de Rennes, Nicolas Jacquet » (Ouest-France).
Mais, samedi soir, sur le plateau de Laurent Ruquier, c’est Yann Moix qui a sans conteste remporté la palme de l’obscénité en convoquant le nazisme dans une affaire où il n’a pas sa place. Il faut dire que cette référence est une obsession pour l’intéressé, étant donné le nombre de fois qu’elle sort de sa bouche.
J’ai eu, jadis, l’occasion d’assister à la conférence d’un rescapé d’Auschwitz et je ne me souviens pas qu’il ait parlé de reconduites à la frontière en avion ni de centres d’accueil où l’on dormait au chaud et mangeait à sa faim. Pas plus que Primo Levi, dans le récit de son expérience concentrationnaire, Si c’est un homme.
Yann Moix appartient, cependant, au sérail et tout au plus lui fera-t-on promettre de ne pas réitérer de tels propos – ce dont il n’aura cure. Ça s’appelle de l’impunité sélective. Pour moins que ça, en effet, Éric Zemmour a été débarqué d’i>Télé – aujourd’hui CNews – et l’on ne compte plus les fortes têtes de son acabit qui ont été priées de faire une petite visite de courtoisie à la 17e chambre correctionnelle du tribunal de Paris.
Enfin, je trouve Yann Moix particulièrement ingrat avec un pouvoir qui se propose de traquer les « mauvaises » informations sur Internet afin que plus un cheveu ne dépasse de la limite autorisée – que le chroniqueur de France 2 contribue activement à tracer, soit dit en passant.
Carl Lang, Président du Parti de la France, nous apprend sur Twitter que Florian Philippot s'est déballonné et à refuser de débattre avec lui sur le plateau de LCP ce soir-même.
Florian Philippot invité de LCP ce soir dans l’émission "Ça vous regarde" a mis son veto à ma présence sur le plateau. L'enfant chéri des médias ferait-il des caprices de star ou craint-il un débat de fond avec un représentant de la vraie droite nationale?
Clients du Casino importunés par les Soudanais qui déambulent et qui squattent aux alentours, riverains qui voient les clandestins casser les fenêtres des résidences secondaires pour essayer de s'y installer, touristes qui annoncent qu'ils ne reviendront plus à Ouistreham malgré "l'accueil et la gentillesse des habitants", présence quasi-hebdomadaire d'agitateurs d'extrême gauche qui se servent des pseudo-migrants pour fantasmer sur une révolution, etc, Ouistreham a-t-elle définitivement vocation à devenir un repoussoir invivable ?
Lorsque nous avons manifesté contre l'implantation des clandestins en 2016, les autorités et les médias nous accusaient de dénoncer un problème imaginaire, sous-entendant largement que nous exagérions, voire que nous mentions.
Deux ans plus tard, quand nous avons de nouveau manifesté le 3 février dernier, les médias ne pouvant plus nier la problématique migratoire, nous avons été accusés de ne voir que le mauvais côté des choses.
Pourtant, la vérité c'est qu'il n'y a aucun bon côté, et les exemples que nous avons cités en début d'article, ne sont que quelques-unes des problématiques que les Ouistrehamais et les amoureux de Ouistreham nous remontent quasi-quotidiennement.
Si, à l'appel de l'Association pour le Retour au Pays des Expatriés (ARPE), nous avons manifesté pour demander l'expulsion de tous les clandestins, c'est notamment pour que cette charmante station balnéaire ne perde pas sa belle réputation qui attire tant de touristes vitaux pour le commerce local.
Le Parti de la France s'associe une fois de plus à l'ARPE et à tous les Ouistrehamais mobilisés contre la colonisation migratoire, pour demander la libération totale et immédiate de la ville !
Rejoignez nos équipes militantes en écrivant à calvadospdf@gmail.com et n'hésitez pas à contacter l'ARPE à cette adresse : arpecourriel@gmail.com
Trois Capverdiens, ont été interpellés, dimanche soir à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) pour violences volontaires, acte de barbarie et anthropophagie ayant entraîné une mutilation permanente.
Vers 18h, allée Hector-Berlioz, quatre hommes se disputent pour une histoire d’argent. Trois hommes se liguent pour en frapper un quatrième. Ils l’ont violemment mordu à la lèvre inférieure et à l’oreille gauche avant d’ingérer les morceaux de chair arrachés.
Patrick Jardin, dont la fille a été tuée le 13 novembre 2015, a accepté d’accorder une interview sans langue de bois à Résistance républicaine. Il partage ces douloureux souvenirs, évoque ses incompréhensions, ses colères, ses peurs, ses révoltes…
Christine Tasin : Monsieur Jardin, vous avez eu la douleur de perdre Nathalie, votre fille âgée de 31 ans, au Bataclan en 2015, pouvez-vous nous parler d’elle et nous dire ce qu’elle faisait là la terrible nuit du 13 novembre ?
Patrick Jardin : Ma fille était éclairagiste de spectacle et travaillait ce soir là au Bataclan bien que suite aux attentats la direction m’ait fait savoir que ce soir là elle ne travaillait pas…
Christine Tasin : Pensez-vous que, ce soir-là, tout a été fait pour sauver ceux qui étaient enfermés avec les terroristes au Bataclan ?
Patrick Jardin : Non, tout n’a pas été fait ce soir-là pour minimiser cet attentat. D’une part des gens du RAID, présents en spectateurs au match France/Allemagne ont immédiatement joint leur unité et bien que pas en service se sont TOUS portés volontaires. En 30 minutes le Raid était sur place, prêt à intervenir mais c’est la BRI qui était au stade de France qui a été désignée pour intervenir et bizarrement les 5 juges d instructions ont réussi à retracer seconde par seconde le parcours des djihadistes mais sur les nombreuses caméras qui sont positionnées sur le parcours entre le stade de France et le Bataclan il n y a AUCUNE trace des camions de la BRI ! Heureusement, depuis, notre valeureux ministre de l’Intérieur Cazevide a pris une décision, c’est désormais les premiers arrivés sur les lieux qui interviennent… Il faut avoir fait l’ENA pour prendre de telles décisions de simple bon sens ! Enfin il faut savoir que 6 militaires armés étaient postés devant le bataclan ils ont reçu l’ordre de ne pas engager le feu (impossible de savoir qui a donné cet ordre Le Drian se réfugiant derrière la sécurité défense ! 130 morts auraient pu être évités ! PIRE, les gens de la BAC leur ont demandé de leur prêter leurs armes, cela leur a été également refusé alors oui je SUIS CERTAIN QUE TOUT N'A PAS ÉTÉ FAIT pour les gens prisonniers dans le Bataclan.
Christine Tasin : Qu’avez-vous pensé des discours qui ont suivi et des décisions – ou non décisions – qui ont été prises depuis par les dirigeants de la France pour soi-disant prévenir les futurs attentats ?
Patrick Jardin : A ce jour les décisions prises ne sont certainement pas de nature à empêcher et à minimiser les attentats bien au contraire : les 5 juges d’instruction ont réuni les victimes des attentats en Mai 2016 ils nous ont bien dit que les djihadistes pénétraient sur notre sol avec les migrants et notre gouvernement dans sa folie meurtrière veut en accueillir encore plus…..de même tout le monde sait que dans les mosquées se perpétuent les plus grands trafics de drogue et d’armes et en France non seulement on n’en ferme pas ou très peu alors que beaucoup prêchent en français et préconisent de tuer les mécréants français c’est simplement scandaleux.
Christine Tasin : qu’avez-vous pensé du procès d’Abdeslam et du verdict qui a été prononcé en Belgique ? Avez-vous assisté au procès ?
Patrick Jardin : Concernant le procès d’Abdeslam je n’y ai pas participé vu que j’étais au procès de Bendaoud, cela ne m’a pas empêché de suivre ce procès ou ce simulacre de procès. Déjà on devrait l’obliger à assister à son procès et à se lever lorsque c’est nécessaire. Concernant la peine demandée, je trouve que le quantum de la peine est ridicule en regard des faits reprochés. Aux USA il aurait eu la peine capitale ou 150 ans de prison…
Christine Tasin : Vous avez vécu ces dernières semaines des moments très difficiles, avec le procès du « logeur des terroristes », Jawad Bendadoud et de ses complices. Avez-vous appris des choses que vous ignoriez ? Qu’est-ce qui vous a le plus choqué pendant ce procès ? Que pensez-vous de la réquisition de 4 ans de prison pour Bendaoud ?
Patrick Jardin : Concernant le procès de Youssef Aït Boulahcen, Mohamed Soumah et Jawad Bendaoud, là c’est guignol. J’ai été outré lorsque dans la salle les gens rigolaient… Moi cela ne m’a pas fait rire du tout ma fille est décédée et cela ne me fait pas rire du tout. On a affaire à 3 saloperies, 2 ont un palmarès impressionnant, 17 condamnations pour un dont une condamnation aux assises et 9 condamnations pour l’autre dont une aux assises pour meurtre ! Voilà des étrons rompus aux tribunaux et capables de mener eux-mêmes les débats et de ne pas répondre lorsque les questions sont embarrassantes. On a retrouvé l’ADN de BENDAOUD sur le scotch ayant servi à fabriquer la ceinture explosive d’Abaoud mais apparemment cela n’a pas suffi à convaincre le procureur que BENDAOUD savait à qui il louait l’appartement dont il avait pris possession illégalement. Ce qui m’a le plus choqué ce sont les réquisitions du procureur qui est complètement passé à côté de son sujet et qui s’est mué en avocat de la défense plutôt qu’en procureur et ce qui m’a aussi énormément choqué ce sont les paroles des avocats de la défense qui nous ont dit que c'était un honneur de défendre ces accusés et surtout celui Aït Boulahcen qui, lui, est complètement radicalisé.
En ce qui concerne Soumah et BENDAOUD si le tribunal suit les réquisitions du parquet ces deux tristes merdes seront dehors dans 2 à 3 mois c’est écœurant quand on sait qu’ils sont les complices de l’attentat le plus meurtrier en France depuis la seconde guerre mondiale. Quant à Ait Boulahcen qui s exprime très bien c’est sûrement le plus dangereux car le plus radicalisé. Si il n’est pas condamné la justice devra répondre de ses actes car il est fort à parier qu’il n’en restera pas là.
Selon le jury choisissant les capitales européennes de la culture, ce clip serait « de la propagande pour une Europe blanche et chrétienne. Tout le monde est heureux, blanc et danse dans les rues. » Et en conséquence, la ville de Székesfehérvár a été éliminée.
La capitale européenne de la culture est une ville désignée par l’Union européenne pour une période d’une année civile durant laquelle un programme de manifestations culturelles est organisé.
L’idée de désigner une capitale européenne de la culture a été émise en 1985 par l’actrice devenue ministre de la Culture de la Grèce Melina Mercouri et Jack Lang, ministre de la Culture français afin de rapprocher les Européens en mettant en avant la richesse et la diversité des cultures du continent. Le programme est géré par la Commission européenne et le titre attribué chaque année par le Conseil de l’Union européenne avec l’appui d’un groupe d’experts culturels chargés d’évaluer les propositions des villes candidates. Plus de 50 villes ont été ainsi désignées depuis le début du programme.
La préparation d’une capitale européenne de la culture est souvent l’occasion pour les villes désignées de mettre en place des programmes de renouvellement urbain, de mettre en avant ou changer l’image de la ville et de lui faire gagner un profil international.
Depuis longtemps, les films – notamment hollywoodiens mais pas seulement – observent un code de bonne conduite politiquement correcte : les méchants ne doivent jamais être des personnes « perçues comme non blanches », comme on dit en novlangue. Mais aujourd’hui, le pouvoir médiatique semble en passe de franchir une nouvelle étape : remplacer tout simplement les albo-européens par des afro-américains.
Les méchants sont blancs
Depuis longtemps les films hollywoodiens nous montrent que les méchants sont des albo-européens, même si leur nationalité peut varier selon le scénario. Des méchants mafieux siciliens, des méchants albanais [1] qui organisent des réseaux de prostitution et surtout des méchants russes… Tous fachos et suppôts de Poutine ! Comme lorsqu’à la télévision, on nous présente des policiers procédant à une interpellation : le prévenu est toujours de la bonne couleur ! Car les codes hollywoodiens se sont imposés partout en Occident. Les asiatiques ont certes eu leur heure de gloire dans le registre du mal cinématographique : du Docteur No [2] au méchant Thao qui veut voler la belle voiture de Clint Eastwood [3] puisqu’il est bien connu que les gangs hmongs sont très puissants outre-atlantique…. Il y a encore périodiquement aussi des méchants terroristes islamistes au cinéma, mais ils sont heureusement souvent mis hors d’état de nuire par de gentils policiers musulmans [4] ou noirs [5]. Mais aujourd’hui, sur nos écrans, chacun peut constater que les méchants sont pour l’essentiel des « personnes perçues comme blanches ».
Les gentils sont afro-américains
Les afro-américains, par contre, entrent rarement dans la catégorie des méchants. Ils jouent en général des rôles de policiers, de militaires, de savants [6], de prêtres (non pédophiles) ou d’informaticiens dans les productions hollywoodiennes. S’ils commettent des hold-up c’est en général pour se venger des méchants blancs [7], car ce sont toujours de gentils bandits. Ils sont aussi Président des Etats-Unis ce qui, vous en conviendrez, est un gage de gentillesse [8]. Ce stéréotype apparaît désormais comme la marque de fabrique des productions hollywoodiennes et déteint partout.
Le rôle des lobbies communautaires
Cette situation ne résulte pas du hasard. Elle traduit d’abord la volonté de l’industrie médiatique de séduire aux Etats-Unis le public afro-américain et, sur un plan plus général, de s’adapter à un monde où, demain, 40% de la population mondiale, sera, d’après les prévisions de l’ONU [9], issue du continent africain. Et de s’adapter aussi à une Amérique de moins en moins WASP et de plus en plus multiculturelle. Un phénomène qui se retrouve d’ailleurs dans la propagande publicitaire, qui met désormais systématiquement en scène des couples mixtes ou des métis voire qui vise des créneaux carrément ethniques, mot novlangue pour désigner un segment de cette clientèle « perçue comme non-blanche ». Le stéréotype « méchant blanc/gentil noir » traduit aussi la vigilance des associations de défense communautaires qui veillent au respect de la bonne image cinématographique et télévisuelle des « minorités » et qui n’hésitent pas à engager des procès et des boycotts pour se faire entendre.
Les remakes, expressions de la nouvelle norme politiquement correcte
D’où aussi la propension du cinéma à augmenter la proportion de personnages de couleur incarnant un rôle positif dans le scénario, comme on peut le voir lorsqu’on examine des remakes. Car les remakes correspondent le plus souvent à une réécriture politiquement correcte de l’œuvre initiale. Ainsi par exemple le film américain de fiction apocalyptique Je suis une légende de Françis Lawrence (2007) est un remake du film Le Survivant de Boris Sagal (1971). Mais dans ce remake, le héros est noir (incarné par l’acteur Will Smith) alors que, dans le film original, il est blanc (incarné par l’acteur Charlton Heston). Dans le remake le héros rencontre aussi une femme blanche ; dans le film initial il rencontre une métisse. Dans le remake enfin, les méchants mutants ont la peau blanchâtre alors que dans la version originale ils avaient la peau sombre ! En d’autres termes le starring du film a été systématiquement inversé.
Salauds de blancs !
Cette comparaison permet de mesurer la progression du stéréotype consistant désormais à associer aux albo-européens des caractères systématiquement négatifs. Un stéréotype que bien sûr les bonnes âmes se gardent de dénoncer. Ainsi, par exemple, dans le film de fiction Prometheus de Ridley Scott (2012), les méchants humanoïdes albinos qui veulent détruire la terre, semblent sortis de la statuaire d’Arno Brecker ! Et dans le même film le capitaine du vaisseau spatial qui se sacrifie courageusement pour sauver la terre est… un afro-américain, comme il se doit. Il serait fastidieux de citer les innombrables scénarios, que ce soit sur grand ou petit écran, qui reposent sur ce stéréotype de nature raciste : salauds de blancs, gentils noirs ! Mais ce racisme ne choque évidemment pas les ligues de vertu puisque, par construction, le racisme anti-blanc n’existe pas. Et qu’il véhicule une haine de soi à destination du seul public albo-européen, sommé de gober sans broncher ces stéréotypes masochistes. Les blancs sont méchants et les gentils sont de couleur : une autre façon, finalement, d’affirmer que « l’immigration est une chance pour nous » !
Le Grand Remplacement, c’est aussi dans nos têtes
Mais cela ne suffisait pas ! Car aujourd’hui Hollywood et ses suiveurs sont en passe de franchir une nouvelle étape : remplacer tout simplement les albo-européens par des afro-américains dans les films à prétention historique. Par exemple dans le film King Arthur de Guy Ritchi (2016), l’acteur noir Djiman Hoansou incarne un chevalier de la Table Ronde, sir Bevedere. Dans la série télévisée Once Upon a Time, c’est Sinqua Walls, un autre acteur noir, qui joue le rôle de Lancelot. Dans le film Robin Hood Origin d’Otto Bathurst, le personnage de Petit Jean sera joué par un acteur afro-américain Jamie Fox. Au théâtre, l’actrice afro-américaine Condola Rashad incarnera Joan Of Arc. Et dans la série de la BBC The Hollow crown, la reine Marguerite d’Anjou est jouée par l’actrice métisse Sophie Okonedo.
On entend déjà les bonnes âmes s’écrier : pourquoi une personne « perçue comme non blanche » n’aurait-elle pas le droit de jouer Lancelot ou Marguerite de Valois ? D’autant que les races humaines n’existent que dans l’esprit tordu des racistes. Mais, curieusement, les mêmes ne supporteraient sans doute pas qu’un acteur albo-européen joue, par exemple, le personnage de Martin Luther King…Comme le footballeur Antoine Griezmann l’a appris à ses dépens, quand il s’est déguisé en basketteur afro-américain ! Car pour le Système médiatique, il ne peut y avoir de réciprocité : le Remplacement n’est autorisé que dans un seul sens. Sinon c’est du racisme, du colonialisme ou de l’appropriation culturelle. Bref, c’est toujours mal quand c’est blanc.
Un casting ridicule ? Non un projet chaotique
A l’évidence ces castings placés sous le signe de la « diversité », comme ces scénarios où les méchants sont invariablement des albo-européens, ne sont pas neutres : ils jettent les bases d’une nouvelle guerre cognitive menée contre les Européens. Une guerre destinée à leur faire croire qu’ils n’existent pas, sinon pour nuire au reste de l’humanité. Une guerre qui s’attaque aux représentations de leur passé donc à leur identité et à leur être. Une guerre qui s’intègre dans le projet chaotique de la Super Classe Mondiale consistant à transformer les Européens en monades, pour mieux les mettre en servitude. Ces castings font certes sourire ceux qui ont encore un peu de culture, car il est douteux qu’on ait désormais le droit d’en rire en Europe de l’Ouest. Mais qu’en sera-t-il demain des petits européens qui auront été essorés par la machine à « éducation inclusive », sevrés de théorie du genre et d’antiracisme obligatoires et lobotomisés à la sous-culture du portable ? Croiront-ils que le roi Arthur était un migrant Erythréen et que Jeanne d’Arc entendait des Negro Spirituals avant d’aller bouter les Russes hors d’Ukraine ? Si c’est le cas, la Super Classe Mondiale qui pilote les écrans aura gagné : ils ne seront plus Européens car ils auront aussi été remplacés dans leur tête.
Michel Geoffroy
[1] Voir notamment Taken de Pierre Morel (2008) [2] James Bond 007 contre Dr No de Terence Young (1962) [3] Gran Torino (2008) de Clint Eastwood [4] Voir par exemple l’Union Sacrée d’Alexandre Arcady (1989) où les méchants iraniens sont mis hors d’état de nuire par un policier maghrébin et un policier juif [5] Par exemple Couvre Feu d’Edward Zwick (1998) [6] Par exemple, dans 2012 de Roland Emmerich, le gentil physicien est incarné par l’acteur noir Chiwetel Ejiofor [7] Voir par exemple Ocean Eleven de Steven Soderbergh( 2001) [8] Dans 2012 de Roland Emmerich, le Président des Etats-Unis est incarné par l’acteur noir Danny Glover [9] En 2100
Un homme a tué dimanche cinq femmes lors d’une fusillade à la sortie d’une église orthodoxe à Kizliar, dans le nord du Daguestan, république musulmane instable du Caucase russe. L’assaillant, Khalil Khalilov, qui a également blessé deux membres des forces de l’ordre, a été tué.
Il s’agit d’un habitant de Kizliar né en 1995. Le quotidien russe RBK a publié le récit d’un prêtre affirmant que l’homme a visé ses fidèles sortant tout juste de la messe qu’il venait de donner à l’occasion du Dimanche gras marquant la veille du début du Carême orthodoxe.
« Aujourd’hui, vers 16 heures, nous avions terminé la messe, les gens commençaient à sortir. Un homme avec une barbe a couru vers l’église en criant “Allahu Akbar” et a blessé mortellement quatre personnes » [une cinquième a succombé à ses blessures]. « Il avait un fusil et un couteau ». « Quand nous avons entendu les tirs, nous avons vite fermé les portes pour qu’il n’entre pas ».
L’organisation État Islamique a revendiqué cet attentat antichrétien. L’État Islamique est implanté au Daghestan depuis 2013, et c’est cette petite république musulmane, membre de la Fédération de Russie, qui lui a fourni le plus grand nombre de combattants russophones.
Dans le JDD,Jean-Marie Le Pen réagit à la décision de la cour d’appel de Versailles qui, le 9 février, l'a confirmé dans ses fonctions de président d’honneur du Front national et au fait qu'il ne soit pas le bienvenu au congrès du Front national à Lille, en mars. Ira-t-il quand-même? "Une chose est claire, dit-il : Marine Le Pen ne tient aucun compte des décisions de justice, ce qui est assez incompatible avec la prétention d’être un jour chef de l’État. Je ne sais pas encore quelle forme prendra mon intervention, mais oui : je serai à Lille ce jour-là." A sa fille qui l'accuse de "chercher à exister" par ses "provocations", il répond : "J’ai existé avant elle et elle existe grâce à moi. Elle est sortie de moi, après tout. Si j’ai quelque chose à dire, je le dis." Et précise : "Le nom de Le Pen lui-même implique d’ailleurs des responsabilités. Si Mme Le Pen veut en changer, qu’elle se marie, avec M. Briois par exemple…"
Dans le JDD, il annonce regretter d'avoir soutenu sa fille pour la présidence du Front national en 2011, conteste la stratégie du FN à la présidentielle de 2017 et confie n'avoir aucune relation avec Marine Le Pen tout en espérant une réconciliation : "C’est le vœu de tous les pères à l’égard de leurs enfants."
Sur le projet de changement de nom du Front national défendu par Marine Le Pen, il invite "très fermement" les congressistes à le rejeter : "Objectivement, c’est totalement absurde. Subjectivement, c’est une trahison de l’histoire du mouvement et des sacrifices consentis par les cadres et militants depuis des dizaines d’années."
Après une querelle avec sa petite amie, un migrant afghan de 19 ans a voulu noyer la jeune fille dans la rivière Havel. La jeune fille de 17 ans a pu se sauver, l’assaillant a coulé dans l’eau glacée.
Le 19 décembre, selon les conclusions de la police, le demandeur d’asile originaire d’Afghanistan avait poussé sa copine allemande de 17 ans à Spandauer Bergwall dans la Havel. L’homme a sauté dedans et a essayé plusieurs fois de pousser la jeune femme sous l’eau – mais sans succès. Au lieu de cela, la jeune fille de 17 ans a réussi à nager et à atteindre la rive salvatrice. La racaille étrangère a eu moins de chance : il ne savait pas nager et il a coulé ! Justice immanente...
Après des années d’attente angoissante à la limite du supportable pour certains, l’Australie vient de faire un pas déterminant vers… l’asexualisation. Eh oui, la mention du sexe « masculin »-« féminin » a enfin été retirée des permis de conduire dans le Queensland. Quelle délivrance !
Ce permis est un document essentiel, s’il en est, dans la vie de tous les jours. On parle bien de l’équivalent de la carte d’identité en France.
Imaginez un instant le progrès réalisé : un vrai pas de géant pour l’humanité, même s’il était plutôt feutré et s’est déroulé en catimini. Où sont les fanfares, trompettes, les majorettes/majordomes ?
Le Queensland, véritable pionnier en la matière, en attendant que les USA ou le Canada ne renchérissent en abolissant enfin le choix cruel de « monsieur »-« madame » pour les toilettes. Faudra-t-il encore attendre avant de pouvoir se risquer à pousser la porte en cas de besoin ?
Eh oui, figurez-vous qu’il est grand temps de penser aux indécis et autres travestis, neutres, bi-sexes, a-sexes, multi, trans, fommes ou hemmes…
Heureusement, la France n’est pas en reste, avec une orthographe devenue inclusive. Elle semble pourtant déjà à la traîne puisqu’elle n’inclut pas ces fameux neutres, sans odeur ni couleur ni rien du tout.
C’est, d’ailleurs, le but de ce fameux permis de conduire austral : sexe ? Néant. Vide. Pas disponible…
On attend les prochaines avancées avec impatience : en raison de discriminations possibles, on pourrait tout aussi sérieusement considérer de retirer le nom qui pourrait trahir une appartenance quelconque avant d’enlever… la photo, bien entendu. Ceux qui auraient l’audace pernicieuse de penser à un cliché en noir et blanc seront, bien évidemment, poursuivis en justice mais aussi par le fisc, l’inspection sanitaire, la DDASS et l’incontournable Conseil d’État.
On peut, d’ores et déjà, se douter que les déclarations de police seront savoureuses : Qui vous a agressé ? Vous avez un signalement ? Oui, bien sûr. Eh bien, en fait… rien ! Nada, ou alors, pour les plus courageux : un(e) être vivant(e) malintentionné(e) !
Et l’officier de consulter un fichier… vide, bien sûr.
On n’arrête plus le progrès. La démocratie devient le droit d’un groupe infime de rebelles sans cause autre que la redoutable LGBTQIA+, pour n’oublier personne, à s’imposer à la majorité.
Et ceux qui étaient fiers d’être une fille ou garçon ou revendiqueraient leur appartenance à leur sexe bien défini que leur a donné Dame Nature ? Ils ont dû louper le coche : les vrais oubliés de la République.
Moins drôles, peut-être, seront les jeunes qui vont naître au sein de familles affranchies du joug du patriarche, mono ou franchement homoparentales. Ils pourront même être entourés de trans bienfaisants et les retrouver chanter à l’unisson à l’Eurovision en barbe et jupette.
Au moins, ils n’auront plus à choisir entre le rose et le bleu, la poupée ou le mécano. Leurs parents n’ont déjà plus de culture, ni d’identité.
Voici le genre de propagande pro-invasion que certains professeurs des écoles enseignent à vos enfants.
Les cours sont clairement orientés : ces enseignants apprennent notamment à nos enfants que les « migrants » sont des travailleurs hautement diplômés, et que les seuls inconvénients de leur présence en France sont les réactions racistes des Français !
En pareil cas, ne vous laissez pas faire, interpellez l'enseignant, faites part de votre mécontentement auprès de l'inspection d'Académie et du rectorat. Ces militants xénophiles doivent comprendre que les Français lucides refusent leur propagande putride.
Créée artificiellement par les médias d’État, « l’affaire Théo » est en train de se dégonfler à toute vitesse. Deux expertises indiquent que cet individu d’origine congolaise n’a jamais été « violé ».
Les deux dernières expertises étaient attendues dans l’affaire. La première expertise médicale révèle que le bâton utilisé par le policier d’Aulnay-sous-Bois n’a jamais pénétré l’anus du jeune africain.
Le coup porté a malgré tout déchiré le sphincter sur près de 10 centimètres, mais judiciairement, le fait qu’il n’y ait pas eu pénétration pourrait entraîner un changement de qualification dans ce dossier, où le policier concerné avait été mis en examen pour viol. Dans ses conclusions, l’expert affirme qu’il n’y a « pas de séquelles à prévoir ».
Cette fausse controverse regorge de zones d’ombre. Des liens de parenté avec un ministre congolais qu’a la famille Luhaka (source) aux quelques 600.000 euros qu’elle a détourné au détriment de l’État français (source) en passant par la visite inédite d’un président français en exercice à son chevet.
Tout aussi surprenant, l’empressement des grands médias d’État à reprendre la martyrologie antiraciste autour de ce « viol » jamais démontré.
Ainsi, LCI, la chaîne du patronat français, interrogeait Théo Luhaka à son domicile où il assurait être victime de séquelles définitives (lire ici).
Las, trois jours plus tard il était filmé en train de danser dans un concert de rap.
Enfin, la diffusion de la vidéo du fameux « viol » démontrait qu’aucun acte de cette nature n’avait jamais eu lieu.