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Le blog politique de Thomas JOLY

Un journal israélien annonce la création d'une alliance judéo-musulmane contre Trump

18 Novembre 2016, 07:20am

Publié par Thomas Joly

Le journal israélien Haaretz signale avec délectation qu’un nouvel organisme judéo-musulman, le Muslim-Jewish Advisory Council, est né pour former une alliance judéo-musulmane contre Donald Trump.

Source : http://www.medias-presse.info

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Élection de Trump : la faute aux algorithmes frappeurs

18 Novembre 2016, 07:04am

Publié par Thomas Joly

La médiasphère oligarchique a, décidément, beaucoup de mal à se remettre de l’élection de Donald Trump, ou plutôt – sauf notables exceptions telles que le New York Times – s’obstine-t-elle à ne pas vouloir reconnaître qu’elle s’est totalement fourvoyée dans les mirages, alors pléthoriques et anesthésiants, de sondages plaçant leur championne Hillary Clinton en tête de toutes leurs espérances.

Dans un articulet paru dans Libération (16 novembre), Guillaume Chevillon, professeur en économétrie et statistiques (ESSEC Business School), illustre inconnu – excepté de quelques sous-rédac chefs de cette gazette sous perfusion capitalistique – mais « expert » autoproclamé ès médiologie (domaine auquel il n’entend manifestement rien, comme on va le voir), s’en prend, cette fois, aux « algorithmes de recommandation des médias sociaux ». Comprendre : « Si on s’est planté dans nos pronostics, c’est à l’insu de notre plein gré, par la faute des ordinateurs… »

Et notre chercheur-trouveur, après avoir affirmé – ce que personne, du reste, ne contestera – qu’à l’instar d’Amazon, « qui nous suggère des produits en fonction de notre historique de recherche et d’achat (“les clients ayant acheté cet article ont également acheté…”), les algorithmes des médias sociaux cherchent à nous catégoriser, nous classer dans un groupe d’individus aux goûts similaires », en conclut que « c’est le phénomène de polarisation qui nous amène à ne recevoir que ce qui nous renforce dans nos opinions ».

Dont acte.

Réinventer l’eau chaude peut parfois avoir des vertus pédagogiques. Et de poursuivre en disant que « les articles écrits par les journalistes les mieux informés sont souvent au même niveau que ceux des blogueurs les moins crédibles ». En d’autres termes, les chroniqueurs de Boulevard Voltaire ainsi que tous les artisans de la réinformation sont de complets abrutis, complotistes et paranoïaques de surcroît, incapables de faire – souvent mieux – que les chiens de garde médiatiques de l’oligarchie mondialisée.

Perché au faîtage prétentieux d’une assurance naïve et péremptoire propre à ce petit milieu endogamique qu’est le parisianisme éditorial et intellectuel de la rive gauche, notre clerc suggère donc de « pallier le nivellement de l’information [en] réintrodui[sant] la qualité des sources dans les algorithmes ». Dans un même élan, faisant preuve d’une ingénuité confinant – eu égard à son statut revendiqué d’enseignant – à la faute professionnelle, sinon à la bêtise crasse, préconise-t-il que « les dépêches de l’AFP pourraient ainsi être jugées de haute qualité car nombreux sont les médias qui les reprennent. Un média qui n’est cité par aucun autre est sans doute moins bien informé. »

L’AFP, gage d’honnêteté et d’impartialité journalistique ? On rit ou on pleure, selon son humeur du jour quand nul n’ignore, désormais, que cette agence de presse quasi monopolistique (en 2011, son taux d’abonnement public était encore de 40 %) est passée maître dans l’art de la manipulation et du bidonnage.

Bref, on aura compris que, par de tels propos, ce genre de plumitif est surtout convoqué pour jouer les idiots utiles d’une presse cherchant tous les moyens, mêmes légaux, pour échapper à un commencement de balbutiement de repentir. Dans une lettre ouverte à Patrick Cohen, l’insupportable preneur d’otage idéologique de la matinale de France Inter, Henri Charpentier, ancien rédacteur en chef de la station, fustigeait « le journalisme de salon », les « fautes et erreurs professionnelles répétées », l’ignorance volontaire des faits au profit de leur contrefaçon, conformément à la doxa dominante de ces « intouchables » formatés.

Aristide Leucate

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Jean-Marie Le Pen confirmé Président d'honneur du FN par la justice

17 Novembre 2016, 18:37pm

Publié par Thomas Joly

Bien qu'exclu sans ménagement par les nouveaux arrivants (avec la complicité de sa fille qu'il avait lui-même contribué à mettre en place), Jean-Marie Le Pen vient d'être confirmé par le TGI de Nanterre, ce jeudi après-midi, au poste de Président d'honneur du Front national.

D'ores et déjà le co-fondateur du FN a annoncé qu'il participerait aux réunions des instances dirigeantes du mouvement comme sa fonction l'autorise. Cette décision du tribunal met en lumière les faiblesses de l'équipe qui entoure actuellement la candidate Marine Le Pen. Celle-ci prétendait avoir un dossier en béton mais, visiblement, cela n'a pas suffit.

Après le flop de la rose bleue d'hier, la semaine s'avère être rude pour le parti néo-frontiste. La perspective de voir le Président Le Pen assister aux réunions n'enchante guère, dit-on, les amis de Marine Le Pen. Ça promet...

Cela étant dit, on peut s'interroger : Jean-Marie Le Pen, homme de conviction attaché aux valeurs et aux idées, a-t-il vraiment sa place au milieu de ceux qui ont participé au parricide ? N'a-t-il pas beaucoup mieux à faire ? Il y a bien longtemps que ses vrais amis ne sont plus au FN et il le sait bien.

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com

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Hillary Clinton réapparait en public : un cadavre ambulant

17 Novembre 2016, 07:58am

Publié par Thomas Joly

Hillary Clinton a fait sa première réapparition publique mercredi 16 novembre depuis sa monumentale déculottée du 9 novembre. Ressemblant plus à un zombie qu'autre chose, on se demande par quel stratagème artificiel elle a pu paraître plus pimpante lors de la campagne présidentielle, au cours de laquelle son état de santé a suscité bien des interrogations.

A moins que la claque électorale spectaculaire que lui a infligé Donald Trump ait fait prendre 20 ans d'un coup à la candidate mondialiste et cosmopolite.

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Azouz Begag : « Il y a 15 à 20 millions de musulmans en France »

17 Novembre 2016, 07:47am

Publié par Thomas Joly

Les vrais chiffres sortent parfois de la bouche de nos ennemis.

Nous appelons ça une vidéo argument. Dès qu’un malhonnête gauchiste vous dit qu’il n’y a que 5 % de musulmans en France, montrez-lui cette vidéo.

Si c’est Azouz Begag qui le dit, c’est que ce doit être vrai, non ?

Source : http://suavelos.eu

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Quand les gendarmes forment les professeurs contre les agressions

17 Novembre 2016, 07:31am

Publié par Thomas Joly

Des formations de cinq jours sont dispensées dans des centres de la gendarmerie nationale. Au programme : savoir réagir face à une agression d’élève ou de parent et anticiper la violence.

D’une durée de cinq jours, ces formations sont dispensées dans des centres de formation de la gendarmerie nationale. Europe 1 a suivi l’une d’entre elles au centre d’entrainement de la gendarmerie de Saint-Astier (voir ici).

Imaginez une salle de classe reconstituée dans un bâtiment militaire et des proviseurs, directeur, CPE, qui enchaînent des ateliers pratiques. Exemple : une bagarre au couteau éclate en plein cours. Une scène réaliste est jouée par des comédiens. Cette fois-là, les stagiaires ont mis du temps à désarmer l’agresseur, comme l’explique le comédien qui jouait la victime : « J’ai reçu au moins 15 coups de couteau. J’avais vraiment ce stress d’avoir mon agresseur qui restait à côté ».

Ces responsable d’établissements venus de Créteil et de Nice ont retenu la leçon. « Il faut utiliser le matériel, une table, une chaise, de façon à séparer l’agresseur et la victime. Et mettre en sécurité les autres élèves », témoigne l’un d’entre eux.

Après avoir enseigné aux écoliers comment se comporter en cas d'attaque terroriste islamique, voilà que nos gouvernants apprennent aux professeurs à ne pas se faire massacrer par leurs élèves. N'est-ce pas grandiose ?

Source : http://www.fdesouche.com

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Saint Nicolas aux Pays-Bas : des racialistes noirs perturbent des défilés pour enfants

17 Novembre 2016, 07:25am

Publié par Thomas Joly

Aux Pays-Bas, des organisations racialistes noires organisent à nouveau des incidents lors des défilés de Saint-Nicolas organisés pour les enfants. L’objet de la controverse : la présence traditionnelle de Zwarte Piet – le père fouettard en charge de punir les enfants qui n’ont pas été sages – à proximité de Saint-Nicolas. Cette tradition présente dans différents pays d’Europe dérange les adeptes d’un multiculturalisme mondialiste. Des manifestants n’hésitent pas à perturber ces fêtes pour enfants. Des arrestations ont eu lieu ce week-end à Rotterdam et dans d’autres communes.

Source : http://www.medias-presse.info

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Emmanuel Macron, l’uber candidat ?

17 Novembre 2016, 07:13am

Publié par Thomas Joly

Voilà qui devait arriver et voilà qui arriva. La tête à claques qui sort du cloaque : Emmanuel Macron. Et qui se déclare à l’élection présidentielle tout en sautant la case de la primaire de la gauche et du centre : « Je suis candidat à la présidence de la République, parce que je crois plus que tout que nous pouvons réussir, que la France peut réussir. »

Chez les candidats de la primaire de la droite et du centre, on fait évidemment grise mine. Mauvaise nouvelle pour Alain Juppé, sorte d’Emmanuel Macron en moins jeune. Idem pour Nicolas Sarkozy et François Fillon, qui se voulaient figures du renouveau.

Alors que bruissent les rumeurs parisiennes sur une possible double vie du jeune impétrant – il est vrai que le couple qu’il forme avec Brigitte Trogneux, c’est un peu comme si M. Pokora frayait avec Jeanne Moreau –, le très jeune Emmanuel demeure droit dans ses bottes. Citée par Closer, la même Brigitte, son ancien professeur, affirme ainsi : « Il faut qu’il y aille en 2017, parce qu’en 2022, son problème sera ma gueule. » Quoique la sienne soit un brin amortie, qu’en termes élégants ces choses sont dites…

Plus sérieusement, le meilleur d’entre eux annonce : « Après la gauche, la droite, et ainsi de suite, parce qu’on a toujours fait de la sorte avec les même visages, les mêmes hommes depuis des années. Je suis convaincu que les uns et les autres ont tort. Ce sont leurs modèles et leurs recettes qui ont échoué. » Au-delà du verbiage de circonstance, il ne serait pas saugrenu d’ajouter que tout cela ne veut pas dire grand-chose.

Macron comme Rocard ? Un Emmanuel comme un Michel, dont le seul argument politique demeure celui de l’âge ? Nous y sommes. Sauf que l’époque n’y est plus. Cette fameuse « deuxième gauche » pouvait encore « faire sens » au siècle dernier, celui de Jean Lecanuet et de Joe Dassin, alors qu’aujourd’hui…

Celui qui ne s’y trompe pas, c’est Alain Juppé qui invite les Français « à ne pas être naïfs face à un candidat qui se présente en chevalier blanc alors qu’il a totalement cautionné la politique économique menée depuis 2012 ». Regardant passer la vie politique comme les vaches le faisaient naguère des trains, François Hollande déplore : « L’enjeu de 2017, c’est le rassemblement, c’est la cohésion, la gauche ne pouvant être au rendez-vous de la présidentielle si elle n’est pas rassemblée… » Certes. Les uns comme les autres sont loin des enjeux plus haut évoqués, même si certains verraient d’un assez bon œil ce qui fut de longue date annoncé en ces colonnes, soit un ticket Juppé/Macron, le premier à l’Élysée et l’autre à Matignon.

Juppé/Macron ou Macron/Juppé, la fin d’un monde ? La réponse est oui. Emmanuel Macron se veut jeune ? Pourquoi pas. Qu’il nous soit au moins permis de lui présenter nos meilleurs vieux.

Et après, advienne que pourra.

Nicolas Gauthier

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Acquaformosa : une petite ville italienne à l'heure du grand remplacement

17 Novembre 2016, 07:09am

Publié par Thomas Joly

Le quotidien britannique, le Daily Telegraph, prend l’exemple d’une petite ville de l’Italie du Sud, Acquaformosa en Calabre, qui se vidait lentement et qui aujourd’hui « revit » grâce à l’arrivée des immigrés : on a bien à faire à une immigration de peuplement, l’Italie en apporte la preuve. La petite ville de montagne ne compte guère plus de 1.000 habitants. Les jeunes sont partis ailleurs, pour trouver du travail. « Les vieux meurent un par un »… Dans cette Italie qui n’a pas de politique familiale, ni par le biais des allocations, ni par l’allègement fiscal, leurs familles ne sont pas nombreuses.

Acquaformosa fait partie des bourgades mourantes qui ont décidé d’adhérer à un plan gouvernemental qui vise à établir les migrants au sein de communautés sous-peuplées, les paese d’accoglienza ou « pays d’accueil ». En l’espace de quelques années, 350 migrants sont arrivés sur place, et la plupart d’entre eux s’y sont établis, formant un ensemble disparate et bigarré. Syriens, Somaliens, pauvres de l’Afrique occidentale, Pakistanais et Soudanais s’y côtoient. Le journaliste ne prend pas la peine de souligner un fréquent dénominateur commun : l’islam, dont tout donne lieu à penser qu’il est largement partagé par cette population aux origines diverses mais bien identifiées.

Si les Italiens n’ont pas trouvé de travail à Acquaformosa au point de devoir quitter leur « pays » d’origine, les immigrés y ont intégré un système d’économie circulaire basée sur les besoins des réfugiés, alimentée par les deniers publics. On fait pour ces immigrés, et pour pourvoir à leurs besoins, ce qui n’a jamais été fait pour les Italiens de souche d’Acquaformosa, contraints d’aller chercher fortune ailleurs. On a laissé les villages historiques se vider, et aujourd’hui les Italiens supportent la charge de leur repeuplement par des étrangers.

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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Mépris absolu du préfet Carenco pour les Français opposés aux migrants : « Ils gueulent. Je m'en fous »

16 Novembre 2016, 07:53am

Publié par Thomas Joly

La semaine dernière, lors d’une conférence de presse, Jean-François Carenco, Préfet de la région Île-de-France, a fait dans la grande classe républicaine. « Je vais installer des centres. Beaucoup gueulent (sic) pour la forme. Je m’en fous (sic). Les gens ont peur de tout. On verra qui râlera vraiment lorsque ce sera fait et combien de temps. »

L’avertissement semble bien valoir pour « ceux qui disent n’importe quoi, groupes de pression et d’influence », comme pour les maires. « Ils sont minoritaires », estime-t-il.

Il existe ou existera 79 centres d’hébergement dans toute l’Ile-de-France. Le département des Yvelines devrait en compter cinq ou six. Plus globalement pour le département, le préfet de région se dit prêt à « passer outre l’avis des maires. Les réunions qu’ils ont eues avec le préfet des Yvelines n’ayant pas abouti. » Nul n’en saura plus. Hors de question de livrer la liste des sites choisis. « Je veux que cela se fasse dans la sérénité. Arrêtons d’attiser les haines. Je ne veux pas que tout le monde aille les photographier, les filmer. »

Dans la méthode, Jean-François Carenco veut avancer « le plus vite possible. Je peux utiliser des anciens hôtels, des anciennes casernes de gendarmerie, faire installer des structures modulaires ». Le champ des possibles est presque sans limite pour une raison. « L’Europe va très mal, mais elle attire. Et si d’autres migrants arrivent, nous les prendrons. Le flux risque d’augmenter ? Ce n’est pas un problème. Le monde est comme ça. »

« Il s’agit de jeunes hommes plutôt en bonne santé. Ils apprennent vite et sont motivés. Beaucoup ont travaillé dans le bâtiment. Peut-être pourront-ils servir la construction du Grand Paris ? » ose-t-il dire alors que des millions de Français sont au chômage.

A noter que Monsieur Carenco est un serviteur zélé de l'État socialiste et surtout un adversaire acharné des nationalistes français, voir ici, ici ou ici

Source : http://www.78actu.fr/migrants-le-prefet-de-region-ils-gueulent-je-m-en-fous_42751/

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Seulement 13,7 % des migrants déclarent venir en Europe pour fuir la guerre

16 Novembre 2016, 07:49am

Publié par Thomas Joly

Comme en 2013 et 2014, dans les pays européens, le rapport de l'ONG Médecins du Monde indique pour 2015 que les raisons ayant motivé la migration les plus fréquemment citées sont économiques (53,1 %) et politiques (20,5 %), ainsi que le fait de fuir la guerre (13,7 %). Depuis l’année passée, cette dernière raison a considérablement augmenté en Grèce (21,6 % en 2015 vs 14,4 % en 2014) et est fréquemment citée en Norvège (23,2 %).

Autrement dit, même les envahisseurs sont plus honnêtes dans leur démarche que les gouvernants qui forcent les Européens à les accueillir...

Source : http://www.fdesouche.com/789819-europe-seuls-13-7-des-migrants-ont-emigre-pour-fuir-la-guerre-dapres-medecins-du-monde

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Si le Parti de la France était au pouvoir, les meurtriers de Fiona seraient condamnés à mort

16 Novembre 2016, 07:36am

Publié par Thomas Joly

Devant les caméras de la France entière et, pendant de longs mois de l’année 2013, Cécile Bourgeon avait montré son visage éploré, appelant à l’aide pour retrouver sa fille Fiona, 5 ans. Avant de tout avouer, acculée, confondue par les enquêteurs en raison de ses multiples mensonges et des incohérences de son récit. Une spirale de mensonges que Cécile Bourgeon, 29 ans, avait entretenue pour protéger son concubin maghrébin Berkane Makhlouf, 35 ans, qui a tabassé à mort la fillette enterrée on-ne-sait où par ses bourreaux.

La culpabilité n'a pas coupé l'appétit de Cécile Bourgeon puisqu'elle a du prendre 50 kg depuis son incarcération. Elle est jugée avec son ex-compagnon jusqu’au 24 novembre. Le couple de drogués est accusé de violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner (!) sur mineure de moins de 15 ans, par ascendant ou personne ayant autorité et en réunion, de non-assistance à personne en danger et de recel ou dissimulation de cadavre. Ils encourent trente ans de réclusion criminelle.

Le Parti de la France est favorable au rétablissement de la peine de mort pour ce genre de criminels abjects qui s'en prennent aux plus vulnérables. Nul doute qu'un référendum populaire entraînerait un vote favorable écrasant de nos compatriotes pour l'application de la sentence capitale aux tueurs d'enfants.

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L’évolution de Donald Trump sur la défense de la Vie

16 Novembre 2016, 07:25am

Publié par Thomas Joly

Malgré un positionnement plus douteux sur les unions homosexuelles, mais dont on peut espérer la même évolution sous l'influence de la majorité républicaine,la victoire de Donald Trump est une excellente nouvelle pour les défenseurs de la vie et de la famille.

Trump a fait une série de promesses pro-vie qui contrastent fortement avec l’appui de l’avortement sur demande de la part de Clinton. Il a promis de signer l’Acte de Protection de l’Enfant à naître relatif à la Douleur; il a promis de ne plus financer Planned Parenthood et de nommer des juges de la Cour Suprême de la trempe du regretté juge conservateur Antonin Scalia. Il a aussi dit qu’il ferait de l’Amendement Hyde une loi permanente afin que les contribuables ne soient pas contraints de financer l’avortement.  Trump a également nommé au sein de sa campagne d’authentiques conservateurs animés de préoccupations sociales; il leur a donné des rôles de dirigeants comme Kellyanne Conway, une sondeuse pro-vie, devenue sa directrice de campagne. Son Comité Consultatif Catholique était présidé par Joseph Cella, le fondateur du National Catholic Prayer Breakfast. Des leaders tels que le Sénateur Rick Santorum, le Père Frank Pavone de Prêtres pour la Vie et Austin Ruse de C-FAM (Center for Family and Human Rights) en font partie.

À la fin des années 1990, Trump était en faveur des avortements tardifs. Il déclarait : “Je suis profondément pro-choix, j’ai horreur du concept de l’avortement. J’ai horreur de cela. Je déteste tout ce que cela représente. Suivre le débat sur ce sujet me donne la chair de poule. Néanmoins, je crois simplement au choix…Je suis pro-choix en tous points et je n’accepterais pas l’interdiction de l’avortement par naissance partielle.”

C’est pendant l’année 2000 que Trump est revenu sur ses commentaires initiaux supportant l’avortement par naissance partielle; il écrivit ceci : “Lorsque Tim Russert m’a demandé pendant l’émission Meet the Press si j’interdirais l’avortement par naissance partielle si j’étais président, mes instincts pro-choix m’ont poussé à dire non. Après le show, je me suis entretenu avec deux médecins que je respecte et après avoir appris davantage sur la procédure, je décidai que je défendrais en effet une interdiction.” 

Il a dit à Raymond Arroyo de EWTN (Eternal Word Television Network) le mois passé que sa rencontre avec un couple qui voulait avorter leur enfant et ne le fit finalement pas était l’un des facteurs qui l’ont amené à changer de pro-avortement à pro-vie. Cela s’est passé il y a longtemps, dit-il : “L’un voulait l’avortement et l’autre disait : nous ne pouvons pas faire cela, nous n’allons pas le faire. En tout cas ils ont gardé l’enfant et c’est une personne merveilleuse que je connais. Une personne magnifique.” 

En janvier, avant qu’il ne devienne le candidat du Parti Républicain, Trump écrivit : “Le financement public des structures d’avortement est une insulte pour la conscience des peuples.” Au fur et à mesure que sa campagne en vue de l’élection générale montait en puissance, Trump devint plus incisif dans ses positions pro-vie et se mit à attaquer l’extrémisme de Clinton en matière d’avortement.

Source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/11/l%C3%A9volution-de-donald-trump-sur-la-cour-supr%C3%AAme-et-la-d%C3%A9fense-de-la-vie.html

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On ne lutte pas contre le narcotrafic en légalisant la drogue

16 Novembre 2016, 07:22am

Publié par Thomas Joly

En France, « le cannabis s’est tellement banalisé qu’il est aujourd’hui consommé comme le tabac et l’alcool ». Conclusion : « En organisant sa vente, l’État, par le biais des taxes et des impôts, s’assurera d’importantes rentrées d’argent qui lui échappent aujourd’hui. » Bon sang, mais c’est bien sûr ! Il fallait y penser. Après avoir aliéné ses instruments de souveraineté à Bruxelles, l’État français doit trouver à se reconvertir. Désormais, il taxera les automobilistes et les consommateurs d’herbes hallucinogènes. L’État dealer pourra ainsi financer ses radars.

Cette géniale idée vient de Pierre Bédier, président (Les Républicains) du conseil départemental des Yvelines, professionnel de l’impolitique dont on aura rapidement oublié le passage au secrétariat d’État aux prisons (de 2002 à 2004) mais pas sa condamnation, en 2006, à 18 mois de prison avec sursis, 50.000 euros d’amende et six ans d’inéligibilité pour corruption passive et recel d’abus de biens sociaux.

Mais tout de même ! Là où l’on mesure l’influence délétère de la gauche sur cette droite purement nominale est que cette proposition fait des émules : Bruno Le Maire, Nathalie Kosciusko-Morizet, voire Alain Juppé qui préconiserait la contraventionnalisation – sorte d’entre-deux hypocrite entre dépénalisation et légalisation.

Entendons-nous bien.

L’usage de substances psychoactives qu’un poète inspiré baptisait du doux euphémisme de « paradis artificiels » ne date pas d’hier et les conduites sociales à leur égard sont variables d’une culture à une autre. Ainsi, le peyotl fait-il l’objet d’un culte dans certaines sociétés amérindiennes quand sa consommation est strictement prohibée en France.

Or, les pouvoirs publics français et – sauf exception – européens ont toujours adopté une attitude des plus répressives vis-à-vis des stupéfiants au sens large. Ici, l’échelle des valeurs est moins directement appendue à une morale sociale qu’à une anthropologie particulière expliquant, par exemple, que sous nos contrées, n’importe quel nectar alcoolisé – jusqu’à l’absinthe, longtemps interdite en France – ou l’herbe à Nicot, en dépit de leurs effets addictifs médicalement constatés, fussent davantage considérés comme des marqueurs d’un art de vivre que comme purs objets de réprobation – encore que l’hygiénisme maternant ambiant soit de moins en moins tolérant en ce domaine.

Aussi, quand une certaine gauche libertaire réclame des « salles de shoot », antichambre d’une dépénalisation future, ouvre-t-elle dangereusement et inconséquemment la boîte de Pandore. La consommation, dans un cadre supposément « hygiénique », de crack, d’ecstasy ou d’héroïne n’est nullement commensurable à celle d’un saint-émilion, d’un havane et autres Gauloises.

Surtout minimise-t-elle le fait qu’en amont de l’usager, dans les recoins des halls d’immeubles ou les sanctuaires illégaux de certaines cités sensibles, une véritable industrie mafieuse, entre caïdat, islamisme et cartels colombiens, réalise de substantiels bénéfices – à lui seul, en 2010, le cannabis aurait généré pas moins de 1,1 milliard d’euros de chiffre d’affaires, selon le dernier rapport de l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice.

En l’occurrence, comme le souligne Jean-Paul Gourévitch, ce fructueux marché de la drogue nourrit-il le vivier du terrorisme, cet « islamo-business » voulant « mettre à genoux l’ennemi commun, c’est-à-dire le monde occidental capitaliste et mécréant », non en s’opposant « frontalement à la société de consommation, mais en s’y faisant une place en utilisant les niches existantes. Puis d’y répandre progressivement son venin en tirant parti des crises qu’il provoque. »

Aristide Leucate

Source : http://www.bvoltaire.fr

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