La grippe porcine se propage à travers le monde

Président du Parti de la France
Depuis quelques mois, à Toul, des événements graves se succèdent. Une paroisse de la ville, celle de la Croix de Metz, est régulièrement la cible d’attaques (jets de pierres, dégradations, insultes, menaces de mort…) de la part d’extrémistes musulmans, très nombreux dans les environs, qui ne supportent plus la présence d’une église catholique près de chez eux. A tel point que le prêtre de cette paroisse, l’abbé Roland Noël, vient de décider de renoncer à son ministère et de quitter le quartier, sa sécurité n’étant plus assurée. Rappelons quand même que Toul est une sous-préfecture du département de la Meurthe-et-Moselle, département situé en Lorraine, et que, jusqu’à nouvel ordre, la Lorraine est une région française et la France une nation européenne… L’attitude de ces musulmans toulois est donc assimilable à un acte d’occupation de notre sol. Or, lorsqu’il y a une occupation, il doit y avoir une résistance…
Ainsi, dimanche dernier, les jeunes patriotes de Toul ont décidé de réagir. En ce début du mois d’août, alors que l’insouciance de nos concitoyens atteint son comble, 80 personnes ont répondu à l’appel du Comité pour la défense de l’Identité Chrétienne en France pour manifester leur soutien à l’abbé Noël et leur refus de voir l’occupation de notre pays s’accentuer. Parmi les manifestants, on reconnaissait la présence de François Ferrier, Conseiller régional (Nouvelle Droite Populaire) de Lorraine, et celle de Jean-Marie Cuny, bien connu des milieux nationaux et catholiques locaux.
A l’issue de la manifestation silencieuse à travers la ville, une jeune fille a lu une motion sur le parvis de la Cathédrale. Cet acte courageux et spontané de la jeunesse touloise est exemplaire. Il montre que là où notre identité nationale et européenne est menacée par ceux qui veulent, avec la complicité des collabos de la classe politico-médiatique, imposer l’islamisation de l’Europe, la résistance prend forme et qu’il faudra vite en tenir compte. Honneur aux combattants lorrains.
« Je suis resté deux mois avec une quarantaine de rappeurs. C’est édifiant sur le niveau et la mentalité… Le rap a fait énormément de mal à la scène musicale française. C’est une véritable catastrophe, un gouffre culturel. La pauvreté de l’idéologie que ça véhicule : la violence, le racisme anti-Blancs, anti-occidental, anti-femmes… C’est affreux. »
Fred Chichin (Rita Mitsouko) dans Télérama en février 2007
Il est stupéfiant de constater que les libres penseurs et les laïcistes se
taisent, alors même qu’avec le renfort des socialo-marxistes, durant des décennies, ils ont vidé les églises pour remplir les mosquées. On peut les accuser d’être complices d’une réelle «
colonisation ».
Or, la politique du multiculturel et du pluriethnique avait déjà suscité l’analyse suivante d’Aristote, philosophe grec et disciple de Platon, né quatre siècles avant notre ère :
« L’absence de communauté nationale est un facteur de guerre civile, tant que les citoyens ne partagent pas les mêmes valeurs de civilisation. Une cité ne se forme pas à partir de gens pris au hasard et elle a besoin de temps pour se coaguler. C’est pourquoi, parmi ceux qui ont accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux, et pour les intégrer à la cité, la plupart ont connu des guerres civiles. Par exemple, les tyrans de Syracuse, en ayant naturalisé les immigrés, ont dû subir des révoltes. Citoyens et étrangers en sont venus à se combattre. »
Ce constat, d’une
clairvoyance limpide, n’a pas pris une ride 24 siècles plus tard !
Les euro-mondialistes, adeptes des dogmes sectaires imposant une « société plurielle » au service d’un métissage généralisé, imaginé, planifié et imposé aux peuples d’Europe, nous conduisent vers un affrontement et un choc de civilisations.
Le politiquement correct, la police de la pensée et les lois liberticides mises en place depuis 30 ans interdisent toute prise de conscience populaire face à ce défi du XXIème siècle :
La grande majorité des individus, homo-consuméris, se préoccupe bien plus de ses biens matériels quotidiens que du devenir et du futur de ses enfants. Matraquée à longueur de journée par la propagande soporifique du Système, cette majorité ne se soucie plus de l’intérêt des nations ni des fondements historiques de l’Europe, pour lesquels nos parents et nos aïeux ont combattu.
C’est bien grâce aux sacrifices de nos ancêtres que nous connaissons
aujourd’hui un niveau de vie incomparable à de nombreux pays dits « émergents » et autrefois sous-développés. Notre devoir de mémoire impose aussi cette réalité, face au déferlement des
informations étatiques basées seulement sur l’émotionnel et privilégiant le principe de « précaution ». Fuir la réalité et dénier la liberté d’expression aux opposants du Nouvel Ordre
Mondial et du prétendu « réchauffement climatique » relève de la dictature pure et simple et peut se comparer à une Nouvelle Inquisition !
Il est l’heure de battre le rappel des bonnes volontés, des individus déterminés et des élites indispensables qui, avec efficacité et abnégation, pourront rendre l’Europe aux Européens, enfin débarrassée des prédateurs de nos peuples.
« ILS SONT VENUS MALGRE NOUS. ILS PARTIRONT GRACE À VOUS ! »
Autrefois, Clint Eastwood était violemment décrié par l’intelligentsia et
la critique de gauche, pour d’évidentes raisons politiques. On pouvait penser que l’animosité à son encontre avait disparu avec les années. Ce n’est peut-être pas encore tout à fait le cas, si
l’on se réfère à un article récent du Monde Diplomatique.
Saluant rapidement dans les premières lignes le « savoir-faire du metteur en scène » et le « charisme inusable de son personnage », qu’il lui serait évidemment difficile de nier, le Monde Diplomatique va s’appliquer ensuite à faire le procès de Clint Eastwood au fil des paragraphes.
Selon le mensuel, le cinéma d’Eastwood, limité et répétitif, n’a jamais changé en quarante ans, propageant toujours la même vision « passéiste et réactionnaire de l’Amérique » . Une vision que la critique aurait même fini par « accepter », dénonce le Monde Diplomatique.
Rappelant avec un malin plaisir l’époque où Eastwood était perçu comme
un « raciste » et un « fasciste » , le Monde Diplomatique veut pousser plus loin l’analyse, et dénonce un homme qui n’a « aucun sens de la communauté et ne se
réclame d’aucune ». « On ne peut même pas lui reprocher un quelconque populisme : pour lui, le peuple n’existe pas », tranche le magazine.
Les motivations politiques apparaissent très lisiblement derrière les autres critiques formulées : l’auteur de l’article reproche par exemple à Eastwood sa « vision restrictive de la citoyenneté » ( « on ne naît pas américain, on le devient, seul, par les efforts que l’on fournit ou les gages que l’on donne » ), et dénonce un homme « élitaire et antipopulaire, qui n’a vanté que les extrêmes ». Enfin, le mensuel rejette le message traditionnel – et fort peu marxiste – de responsabilité individuelle promu par Eastwood : « Dans tout le cinéma d’Eastwood, l’individu étant responsable de tous ses actes, il n’a jamais l’once d’une excuse sociale quand il s’écarte du droit chemin » . Le Monde Diplomatique a beau se présenter comme le « pourfendeur de la pensée unique », il reste l’un des ténors de l’idéologie dominante. Mais est-ce vraiment une surprise ?
Il y a des départs à la retraite tonitruants, avec pince-fesses et
flonflons… et il y en a d’autres plus discrets, les fesses très pincées et étouffée par la lourdeur de la chaleur estivale. L’avis de décès des ambitions nationales du vicomte Philippe Le Jolis
de Villiers de Saintignon est de ceux-là.
C’est le quotidien Libération qui l’a poussé à l’aveu, au détour d’un entretien auquel sinon personne n’aurait sans doute guère prêté d’attention. Le Figaro et Le Monde ont relayé “l’affaire”, faute d’événements plus excitants et quelques sites internet d’une droite plus radicale que celle de l’intéressé s’en sont à peine gaussés : « Même pas drôle ! »
En reconnaissant songer à « entrer au comité de liaison de la majorité présidentielle présidé par Jean-Claude Gaudin », Philippe de Villiers rentre donc à son bercail politique, comme un fils retourne dans sa famille après s’être couvert de dettes et aphone d’avoir trop plastronné qu’on allait voir ce qu’on allait voir…
Fredonne-t-on du côté du Puy-du-fou : « Il est tombé dans la peine, c’est la faute à Le Pen ; le nez dans le ruisseau, c’est la faute à Sarko » ?
La faute à Le Pen ?
Il comptait bien prendre sa place, encore aurait-il fallût que le président du FN la lui laissa… et le menhir breton ne semble toujours pas décidé à passer la main, pas même à ses plus proches,
alors à lui, à quel titre, vraiment ! Bien fous ceux qui y ont crû !
La faute à Sarko ? Sans doute, si toute son aventure politique n’a jamais eu d’autre sens, comme beaucoup le pensent, que de freiner l’ascension du Front national. L’actuel hôte de l’Élysée a fait le travail à sa place.
Son échec est tel qu’il lui serait sans doute plus grotesque encore de s’acharner que d’abandonner.
Laisser tomber, oui, mais il aurait pu le faire avec panache. En se retirant définitivement de l’arène politique, il gardait la tête haute et l’estime que méritent ceux qui se sont battus sincèrement en mettant leurs convictions au bout de leur engagement.
Philippe de Villiers préfère se défiler par la petite porte de service de la domesticité pour rappeler à ses maîtres quelques gages non perçus – un éventuel maroquin au gouvernement – ou pour conserver coûte que coûte ceux déjà reçus : la présidence du Conseil général de Vendée.
Car tel est désormais la piètre ambition du Président du bien pompeusement nommé Mouvement pour la France (MPF) au sein de ce « comité Théodule » qui réunit à la solde de l’UMP Hervé Morin (Nouveau Centre), Jean-Marie Bockel (Gauche moderne) et Éric Besson (ancien socialiste), tous riches des trente deniers de Judas !
Philippe de Villiers n’aura trahi que ses troupes, lui ! Encore heureux qu’elles ne furent jamais très importantes...
Les partisans du bio vont donc broyer du noir. Alors qu'ils paient plus cher les produits bio (environs 25%) parce qu'ils pensent qu'ils sont meilleurs pour la santé, un examen systématique de 162 études scientifiques publiées au cours des 50 dernières années n'a fait apparaître aucune différence significative.
"Un petit nombre de différences dans le contenu nutritif a été relevé entre les produits alimentaires bio et ceux de l'agriculture ordinaire, mais il est improbable qu'elles soient d'une importance quelconque pour la santé publique", a dit Alan Dangour, l'un des auteurs du rapport commandé par l'Agence britannique des normes alimentaires (Food Standards Agency).
"Notre examen conclut que, sur une base nutritionnelle, il n'y a actuellement aucun élément en faveur du choix de produits alimentaires bio plutôt que d'aliments produits de manière conventionnelle".
Les ventes de produits bio ont baissé sur certains marchés, notamment en Grande-Bretagne, en raison de la récession qui a contraint les consommateurs à réduire leurs dépenses. Le marché du bio était estimé à 48 milliards de dollars en 2007, notent des chercheurs de la London School of Hygiene & Tropical Medicine.
Elles ne seraient que 367 en France à le porter. Elles, se sont les femmes
porteuses du voile intégral, burqa ou niqab. Tout au moins, c’est le chiffre précis que donne la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) qui s’est penché sur le sujet. La DCRI issue
de la fusion d’une partie des RG et et de la DST, a pour mission, la lutte antiterrorisme et notamment la surveillance de l’islam radical.
Selon la note de la DCRI : une majorité de ces femmes identifiées portent le voile intégral volontairement ; la plupart d’entre elles ont moins de 30 ans ; 26 % sont des Françaises converties à la religion musulmane. Et presque toutes vivent dans des grosses agglomérations urbaines, en région parisienne, en Provence-Alpes-Côte d’Azur, dans le Nord ou en Rhône-Alpes.
Une analyse qui ressemble beaucoup aux
reportages que les Français ont pu voir sur les chaînes de télévisions. Les femmes interviewées étant toujours des Françaises converties de fraîches dates, accréditant ainsi le côté
"franco-français" du phénomène d’islamisation.
Quant au nombre ridiculement bas de femmes ayant opté pour le "costume intégral" et observé par la DCRI, il n’est pas sûr, qu’il convainque réellement les Français, qui eux, ont bien l’impression visuel en fréquentant certains marchés ou quartiers d’être à mille lieux de Versailles ou du Mont Saint-Michel.
Un rapport qui tombe donc à pic, pour refermer à peine entrouvert le dossier de plus en plus visible de l’islamisation de la société française sous le poids de l’immigration extra européenne.
D’abord, ils ont commencé par
aller chercher cette vieille raclure de Rocard dont le PS ne veut plus entendre parler depuis belle lurette. Ça fait ouverture. Alors, on a commencé par l’affubler du titre d’ambassadeur des
pingouins dans un pôle quelconque. On s’est dit qu’on pourrait mieux employer le mec qu’a imaginé la CSG. Un inventeur d‘impôt ou de taxe dans une république bananière est toujours le bienvenu.
D’autant qu’il y avait un champ ésotérique à explorer : l’écologie. Au départ, il s’agissait de casser les burnes aux Verts de gris à la Mamère. Puis, on s’est dit qu’on pourrait peut-être
récupérer le bazar, ça ferait bien dans le paysage. Alors, on a inventé le réchauffement climatique, le trou dans la couche d’ozone, l’effet de serre. Et, là, tout s’est mis à pédaler dans la
semoule et Borloo, qui est passé de la ville au ciel, a noyé son Ricard dans du CO2.
Les pays en voie de développement, peu ou prou encore sous-développés,
s’en donnent à cœur joie dans la consommation de richesses naturelles et tirent un bras d’honneur à l’environnement, Chine en tête, l’Inde, le Brésil, l’Asie tout entière. Les Ricains sont
réticents sur tout ce qui pourrait ralentir leur croissance, vu la grande claque qu’ils viennent de se prendre. Mais les Européens, non. On a décidé d‘être écolos. Tout en restant balaise sur
deux choses : le racket du citoyen et le train de vie de l’Etat. Ca, Rocard, il connaît. Il a une longue pratique. Et avec son nouveau hochet, il est déjà en train de nous concocter une taxe
carbone dont les ménages vont garder le souvenir. Car, en matière de connerie, on baigne dans l’état pur.
Rocard laissera son nom dans l’histoire au titre de ses taxes et ses impôts. Un nom ? Tout juste une étiquette. Quel destin pour ce zigue qui se voyait vizir !
La Fédération Française de Football avait lancé, la semaine dernière, un appel d'offres
auprès des diffuseurs télé pour la période 2010-2014. Echec retentissant : les propositions financières de TF1, M6 et Direct 8 positionnés sur les trois lots mis aux enchères n'ont pas atteint le
prix de réserve fixé par la Fédération.
TF1, qui payait 45 millions d'euros par an pour l'exclusivité des matches, estime aujourd'hui que l'Equipe de France vaut beaucoup moins que cela. Et France Télévision n'a même pas jugé
nécessaire de faire une offre.
Outre des éliminatoires mal engagés, il y a la pauvreté du jeu : les Bleus ne font plus rêver. Que ce soit en matchs qualificatifs ou bien en matchs amicaux. Habituellement sifflés qu'au Stade de
France, les Bleus sont désormais aussi sifflés en Province : bronca conte l'Argentine (0-2) au Vélodrome ou bien sifflets contre le Nigéria (0-1) à Geoffroy Guichard.
Et puis il y a un réel désamour pour les joueurs eux-mêmes (des mercenaires africains pour la plupart), distants, hautains, limite "méprisants" pour leur public. L'agence de com' Hémisphère
Droit, chèrement payée par la Fédé pour améliorer l'image des Bleus auprès des supporters, a pour l'instant échoué. Outre le constat évident du désamour pour les Bleus et les résultats médiocres,
il faut rappeler que les audiences TV récentes sur TF1 étaient tout juste correctes et que, crise oblige, le marché français des droits TV entre en récession...
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