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Le blog politique de Thomas JOLY

Lilian Thuram totalement obsédé par sa haine des Blancs

2 Décembre 2020, 07:38am

Publié par Thomas Joly

La pensée blanche a-t-elle participé à créer des catégories sociales ? Parle-t-on plus facilement des Noirs que des Blancs ? Autant de questions soulevées par Lilian Thuram dans son ouvrage « La pensée blanche » sorti en octobre dernier. Dans une interview aux frontières du racisme accordée au Monde, l’ancien footballeur précise sa pensée et continue de pointer du doigt une prétendue dominance blanche. « Pour ne pas avoir conscience qu’il y a un privilège blanc, il faut être blanc et ne s’être jamais posé la question », lance-t-il. Et d’estimer que lorsqu’on est discriminé pour sa couleur de peau, « ne pas l’être relève du privilège ». Il ajoute : « le privilège blanc est un privilège existentiel ».

Lilian Thuram se permet même d’aller plus loin en remettant en cause la différence entre le fait d’être blanc et celui d’être noir. « Être noir, ce n’est pas une réalité, c’est une perception ». Selon lui, « c’est une construction idéologique qui invente le Blanc et les non-Blancs. La pensée blanche est née d’une volonté politique et économique. »

Source : http://valeursactuelles.com

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Hallucinant : Castex veut faire enfermer les Français qui voudraient aller skier en Suisse

2 Décembre 2020, 07:30am

Publié par Thomas Joly

Alors qu'ils sont incapables d'intercepter le moindre migrant aux frontières, nos gouvernants veulent « isoler » pendant 7 jours les Français qui souhaiteraient aller faire du ski à l'étranger.

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Vaccination contre le Covid : des médecins pas très pressés…

2 Décembre 2020, 07:14am

Publié par Thomas Joly

« Au fait, toi, tu es pressé de te faire vacciner ? »

C’est, aujourd’hui, la phrase à la mode dans les conversations entre médecins et, dans mon expérience personnelle, les réponses révèlent un empressement, disons… mesuré.

Parce que la mienne est plutôt proche de la retraite, j’ai d’abord cru que c’était une question de générations. Mais connaissance prise du taux de vaccination contre la grippe chez les soignants en 2019, révélé par une étude CovaPred de Santé publique France – 70 % pour les médecins, 40 % pour les infirmiers et 20 % pour les aides-soignants -, on conclut que la méfiance est très partagée. Moins, certes, que dans le reste de la population, mais dénotant quand même un enthousiasme modéré qui augure mal, dans ce milieu, de la très attendue vaccination anti-Covid.

D’autant plus qu’urgence obligeant, le révolutionnaire vaccin Moderna, à base d’ARN messager et expérimenté en quelques mois, semble avoir été gracié de beaucoup de contrôles et de précautions d’usage. La biotech américaine vient de déposer sa demande d’autorisation auprès de la FDA (Food and Drug Administration) et le fera incessamment pour l’instance équivalente de l’Union européenne.

Mais les médecins sont bien placés pour savoir qu’en matière de thérapeutiques nouvelles, l’empressement est souvent une imprudence. Sans parler du Mediator, on peut se souvenir du vaccin contre la dengue (arrêté, car majorant les risques de formes graves chez les primo-infectés) ou du Vioxx, espoir déçu d’un anti-inflammatoire sans effets secondaires… jusqu’à la découverte différée d’atteintes cardiaques !

Quant à la litanie des morts égrainée des semaines durant par le Dr Salomon, elle ne leur a pas fait oublier que le Covid-19 a un très faible taux de mortalité et que le nombre total de décès en France, en 2020, ne sera sans doute pas très différent de la moyenne des années précédentes. Beaucoup estimeront donc probablement que le rapport bénéfice/risque n’est pas si élevé.

Notons que, pour leur protection personnelle, les médecins sont assez peu anxieux, car la plupart ont côtoyé tous les jours des contagieux sans en être affectés, et ils savent appliquer « en professionnels » les précautions d’asepsie apprises en salle d’opération ; certains feront le choix de la vaccination avant tout pour la protection de leurs patients.

Enfin, en application de l’adage selon lequel c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes, d’autres praticiens préféreront patienter jusqu’à la mise sur le marché des vaccins sur lesquels travaille l’Institut Pasteur avec divers autres laboratoires, peut-être moins efficaces, mais basés sur des techniques plus éprouvées.

Et pour leurs patients, les médecins feront leur devoir de toujours : donner une information loyale, la plus claire possible, en fonction de ce qu’ils auront compris des « données actuelles de la science » et retenu de leur expérience…

Richard Hanlet

Source : http://bvoltaire.fr

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Le vrai scandale de la loi « Sécurité globale »

1 Décembre 2020, 19:23pm

Publié par Thomas Joly

L'article 24 de la loi sur la sécurité globale est sans doute l'arbre mineur mis en avant pour cacher une forêt d'épines autrement plus redoutable.

La focalisation du débat sur les conditions de diffusion d'images de policiers ou gendarmes en opération — comme si la question du floutage de leur visage était la condition première de leur sécurité — si elle cause quelques désagréments au gouvernement de buses conduit momentanément par Jean Castex, présente en revanche l'immense avantage de dissimuler à l'opinion publique le vrai scandale de ce projet : la privatisation de la sécurité des Français.

Dans ses articles 7 à 19, la loi prévoit en effet de transférer en certaines circonstances toute une partie des prérogatives attribuées jusqu'à maintenant aux seules forces nationales de police et de gendarmerie.

C'est ainsi qu'un préfet pourra confier à des agents privés des missions de surveillance des personnes contre les actes de terrorisme, que le gouvernement sera habilité à prendre des ordonnances dans le domaine de la sécurité privée — autrement dit le droit de décider à sa guise de son emploi — et que les personnels privés pourront être armés. Personnels français ou pas puisqu'il suffira à un ressortissant européen non connu des services de police de pratiquer sans trop de difficultés la langue française pour être homologué, et que ceux venus d'ailleurs devront disposer d'un permis de séjour d'au moins cinq ans. Voilà qui est rassurant...

Cette loi renforcera également les pouvoirs des polices municipales sous le commandement des maires et de leurs adjoints. On se réjouit à l'avance de l'usage que pourront en faire les édiles rouges-verts et ceux sous influence islamo-gauchiste élus aux dernières Municipales.

La France avait jadis une police nationale et une gendarmerie habitées de tradition et de fidélité à l'État. Elle aura bientôt des officines de soudards et des agences de mercenaires.

Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France

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Gérard Jugnot compare Bigard à Hitler chez Hanouna

1 Décembre 2020, 07:22am

Publié par Thomas Joly

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« Le maintien des contraintes sanitaires n'a aucune justification valable »

1 Décembre 2020, 07:21am

Publié par Thomas Joly

 

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Des énergies pas si vertes que ça…

1 Décembre 2020, 07:11am

Publié par Thomas Joly

Il faut regarder et faire connaître autour de vous ce remarquable documentaire La face cachée des énergies vertes diffusé par Arte (à revoir jusqu’au 22 janvier), signé de deux journalistes, Jean-Louis Perez et Guillaume Pitron. Les personnes qui s’expriment dans ce film sont toutes, à un degré ou à un autre, des spécialistes dans leur domaine. Pour mettre en doute leurs assertions, il faut être d’un niveau comparable : je ne m’y risque pas et préfère les citer.

La prise de conscience

Au hasard, on entend : « On a convaincu les gens que, s’ils roulaient tous en voiture électrique, et qu’on installait partout des éoliennes et des panneaux solaires, alors on aurait résolu tous les problèmes. » Un autre : « La transition énergétique est une immense mystification : on fait semblant d’être propres et, en réalité, on a juste délocalisé la pollution. » « La transition écologique est avant tout une transition économique » dont le grand public n’a aucune conscience. « 225 milliards d’euros vont être investis dans les voitures propres d’ici 2023 et, demain, des centaines de millions de voitures électriques rouleront sur la planète. » Idem pour les panneaux solaires. Idem pour les éoliennes.

La démonstration

Pour fabriquer des produits « propres », batteries de voitures, rotors d’éoliennes, cellules de panneaux solaires, il faut des métaux rares. Ainsi, il en faut une tonne pour une seule éolienne offshore. D’où viennent ces métaux ? Principalement de Chine, premier producteur mondial. Leur extraction se fait au prix d’une violence inouïe contre la Terre et les gens qui y travaillent ; les rejets sauvages des eaux usées provenant des usines de raffinement des terres rares contaminent des milliers de km² et font mourir des dizaines de milliers de gens. Un interlocuteur européen résume : « C’est au prix de ces nouvelles pollutions, à l’autre bout du monde, que nos éoliennes, nos panneaux solaires et nos voitures propres purifient l’air en Europe. » Un universitaire chinois confirme : « Ces zones d’extraction sacrifient leur histoire, leur géographie, la santé de leur population, et tout cela se fait au bénéfice d’autres zones qui, elles, peuvent s’offrir le luxe de promouvoir les énergies propres. » Amer constat. « La voiture électrique devient l’étendard d’un monde vertueux, mais cela tourne parfois à l’absurde. » Là-bas, on tue pour l’énergie verte.

L’avenir probable

On dit, dans ce documentaire, que la nouvelle révolution industrielle créera 25 millions d’emplois dans le monde, dans les dix prochaines années. La Chine a fait main basse sur ces nouveaux métiers. Elle a déjà asséché le marché européen de fabrication des panneaux solaires. Elle ne se contente pas de fabriquer la moitié des batteries installées dans les voitures du monde, elle produit ses propres voitures – notamment le groupe BWD – et, dans un avenir proche, va déverser sur l’Europe des millions de voitures aussi performantes que les nôtres, mais beaucoup moins chères. D’autres pays – Chili, Bolivie – sont sur les rangs pour l’exploitation de matériaux de base indispensables, tels que le lithium et le graphite. Il s’agit d’une question hautement politique mais, par malheur, les gouvernants, quels qu’ils soient, « regardent ailleurs », comme disait Chirac. Un intervenant conclut : « C’est le monde du commerce qui mène la transition écologique, pas les bénévoles ! »

Ce reportage expose les enjeux de la vraie écologie, à mille lieues des frétillements infantiles de nos petits hommes verts.

Yannik Chauvin

Source : http://bvoltaire.fr

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L'Azerbaïdjan ? Quatre motifs de satisfaction pour Israël

30 Novembre 2020, 07:14am

Publié par Thomas Joly

On sait que les États sont des monstres froids, et qu’en général ils n’ont pas « d’amis », mais seulement  des intérêts. Toutefois, il peut y avoir de rares exceptions. Mais ce que l’on appelle la « realpolitik », c’est-à-dire la défense d’intérêts égoïstes, reprend toujours le dessus. C’est ce que nous pouvons constater dans l’affaire de l’agression du Haut-Karabakh arménien par l’Azerbaïdjan chiite. Quatre bonnes raisons ont incité l’État hébreu à ne penser qu’à ses intérêts. Notons, avec amertume, qu’il n’est pas le seul dans le concert des nations, dont certaines, l’Allemagne fédérale pour ne pas la nommer, ont carrément tourné la tête pour ne pas déplaire au satrape d’Ankara.

1°) L’Azerbaïdjan du clan Aliev, est un pays musulman qui entretient des relations diplomatiques avec Israël. Notons que l’État juif n’en a pas tant qui aient ouvert des ambassades chez lui. Au Moyen-Orient, on les compte sur les doigts d’une main : l’Égypte, la Jordanie, bientôt Bahreïn et les Émirats arabes unis. En retour, l’ouverture  d’une légation à Bakou était la bienvenue, tant la reconnaissance internationale de leur pays est une obsession des dirigeants israéliens.

2°) Les affaires ! Si les « petits cadeaux entretiennent l’amitié », le business est un excellent moyen d’influencer un partenaire, sans compter que vendre des marchandises ou du matériel de guerre notamment, rapporte des devises. D’autant qu’Israël excelle dans la production d’électronique militaire et la fabrication de drones.

3°) Les peuples arméniens et juifs, ont été tous deux victimes de génocides au cour du XXe siècle, le siècle le plus meurtrier dans l’histoire de humanité. Israël, au lendemain de la seconde Guerre mondiale, dont une bonne partie de la population était composée de rescapés de la Shoah - mais pas que- ,a-t-il voulu conserver une sorte d’exclusivité du mémoriel, l’holocauste dans son exceptionnelle monstruosité, ne pouvant supporter aucune concurrence ? Dès lors, il semblait inconvenant pour lui, de venir au secours d’un peuple ayant, lui aussi, terriblement souffert.

4°) Le fait que l’Azerbaïdjan, frontalier de l’Iran chiite, n’entretienne pas spécialement de bonnes relations de voisinage avec le pays des Ayatollahs, est un autre motif de satisfaction pour Jérusalem qui, on le sait, mène une guerre larvée contre Téhéran. Le récent assassinat du scientifique Mohsen Fakhirzade, spécialisé dans le nucléaire, imputé à Israël par le ministre des affaires étrangères iranien Mahammad Javad Zarif, s’ajoutant à une déjà  longue liste d’exécutions non élucidées mais attribuées au Mossad, - on ne prête qu’aux riches !-, n’arrange rien. Et c’est dans ce contexte que les velléités séparatistes des Azéris de la province de Tabriz, qui voudraient bien être rattachés à Bakou, s’inscrivent dans une vaste perspective géopolitique pouvant redessiner, un jour, les frontières de l’Iran. N’oublions pas que de novembre 1945 à mai 1946, fut proclamée une « République démocratique de l’Azerbaïdjan » sous la férule de Moscou. D’autant qu’à l’extrémité orientale du pays, plus de deux millions de Baloutches pourraient bien, eux aussi, revendiquer de s’unir à leurs frères du Pakistan qui avaient déjà proclamé leur « État » en 1947, faisant sécession du « pays des purs », sous l’égide du Khan de Kalat (1).

On le voit, les raisons ne manquent pas à Tel-Aviv de ne pas avoir les « yeux de Chimène » en faveur de l’enclave arménienne du Nagorny-Karabakh, renommée « République de l’Artsakh » par les nationalistes arméniens. Il est vrai que, comme pour les pays occidentaux, l’Arménie en général, le Haut-Karabakh en particulier, n’ont ni gaz , ni pétrole, simplement des églises chrétiennes pluri-centenaires !

Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France

(1) Pour en savoir plus, lire  le « Dictionnaire des États éphémères ou disparus de 1900 à nos jours », éditions Dualpha.

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Bruno Hirout, Secrétaire général du Parti de la France, invité de « Vive l'Europe ! »

30 Novembre 2020, 07:01am

Publié par Thomas Joly

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« Le seul confinement utile serait celui de toutes les banlieues islamo-mafieuses »

29 Novembre 2020, 20:10pm

Publié par Thomas Joly

 

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Catholiques comme nationalistes : n’abdiquez sur rien, refusez les compromissions mortifères

29 Novembre 2020, 17:25pm

Publié par Thomas Joly

C’est aujourd’hui le premier dimanche de l’Avent. Puisse chaque catholique profiter de cette préparation à l’arrivée du Christ pour se rapprocher de l’essentiel : la bonne santé de nos âmes de chrétiens.

Mais ce premier dimanche de l’Avent, qui marque le début de l’année liturgique, est également l’occasion de se rappeler que si nous pouvons bénéficier de la vraie sainte messe, c’est parce que des catholiques qui refusaient légitimement de tourner le dos au Christ et à la tradition de toujours, se sont mobilisés pour protéger la liturgie du poison moderniste.

On en voit le résultat aujourd’hui, cinquante-cinq ans après le concile Vatican II : il y a d’un côté la messe traditionnelle, la vraie messe catholique, celle qui honore le Christ et les saints évangiles, celle qui fortifie les âmes, et de l’autre côté une messe qui ne ressemble plus à rien et qui, selon la sensibilité personnelle du prêtre, va de près ou de loin avoir l’air d’être une messe traditionnelle en apparence, ou alors être un ersatz de carnaval.

Ce qu’on déduit de cette situation, c’est qu’il n’y aurait peut-être plus de vraies messes catholiques si des hommes de la trempe d’un Monseigneur Lefebvre n’avaient pas résisté de toutes leurs forces de catholiques aux nouveautés destructrices issues du concile Vatican II. Et cette résistance, elle s’est faite sans haine et sans amertume, mais animée par la volonté radicale de rester fidèles au Christ, à son Église et à la sainte messe.

Rester fidèles à ce que nous sommes, résister à la subversion et à la décadence, voilà ce à quoi nous encourage le combat liturgique. Ce sont des valeurs que nous pouvons aisément transposer au combat politique : n’abdiquer sur rien, refuser les compromissions mortifères.

Bonne et sainte période de l’Avent à tous !

Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France

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Retrouvez le Parti de la France sur Odysee

29 Novembre 2020, 15:10pm

Publié par Thomas Joly

Une bonne alternative à Youtube où règne la censure cosmopolite, retrouvez la chaîne du Parti de la France ici : https://odysee.com/@partidelafrance:5

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Un demi-milliard d’euros : le projet pharaonique du Parlement européen !

29 Novembre 2020, 12:20pm

Publié par Thomas Joly

Depuis 1958, Strasbourg est le siège du Parlement européen parce qu’il symbolise la réconciliation franco-allemande et la paix en Europe. Pour Strasbourg et sa région, le Parlement, c’est 11.000 emplois indirects et 637 millions d’euros par an.

Pourtant, en 1993, un deuxième Parlement a été (mal) construit à Bruxelles. Les cathédrales durent 1.000 ans, mais ce bâtiment sera prochainement détruit. La démolition a été repoussée après les élections européennes pour éviter tout scandale. La reconstruction coûtera au moins 500 millions d’euros. Le projet prévoit 900 places de députés dans l’hémicycle, soit 200 en trop (est-ce pour les 96 députés turcs ?) et 940 places de bar pour les députés et leurs collaborateurs, contre 1.260 places en salles de réunions. Reçues le 7 janvier 2020, les propositions sont étudiées, en ce moment même, par l’administration du Parlement européen.

Tous les anti-Strasbourg cachent ces dépenses pharaoniques à venir, promettent moins de CO2 (gaz carbonique) et 616 millions d’euros en vendant le Parlement de Strasbourg et en licenciant son personnel. La stratégie inverse de concentrer les activités à Strasbourg n’a jamais été étudiée.

Des économies, on peut en trouver ailleurs : la Cour européenne des comptes a révélé que l’Agence européenne du médicament a un bail de location à hauteur de 465 millions d’euros de loyer à Londres jusqu’en 2039, alors que son siège est désormais à Amsterdam depuis le 1er mars 2019. Rien que pour le Covid-19, la Commission a engagé 775 millions au Maghreb alors qu’il était moins touché que la France.

Ce jeudi, un eurodéputé tchèque a appelé à fermer le Parlement de Strasbourg pour « économiser 114 millions d’euros par an et du CO2 ». Qui va lui rappeler que l’Union européenne est financée par les impôts des Allemands, des Français et des Italiens : 83 milliards d’impôts français depuis 2004 ? Son indécence nous oblige à révéler que la facture de la participation des Tchèques, depuis 2004, au grand cirque de Bruxelles, c’est 31 milliards. Pendant qu’on arrache 23.000 hectares de vignes en France, Bruxelles donne 5 millions chaque année pour améliorer la compétitivité des vins tchèques. La France était à l’équilibre en 1999, nous sommes désormais contributeurs nets de l’Union européenne entre 6 et 9 milliards d’euros. Chaque année et pour l’éternité !

La France paye les violons de Maastricht. C’est pourquoi la France a droit au respect. Elle gardera le Parlement européen à Strasbourg. Éternellement si elle le souhaite.

Virginie Joron - Député européen

Source : http://bvoltaire.fr

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Avec le PdF au pouvoir, la racaille d'extrême-gauche serait mise au pas

29 Novembre 2020, 12:19pm

Publié par Thomas Joly

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Priorité de Matignon pendant la crise : la « politique de la ville »

28 Novembre 2020, 18:00pm

Publié par Thomas Joly

Jean Castex, en visite dans le Val-d'Oise, a annoncé la mise en œuvre d'un plan d'action « ambitieux » pour ce département sur le modèle de celui lancé pour la Seine-Saint-Denis par son prédécesseur, Édouard Philippe, le 31 octobre 2019.

Plan d'action pour la mise en valeur du patrimoine culturel, religieux et naturel du Val-d'Oise, berceau historique de la France mérovingienne puis capétienne ? Pour l'entretien de l'abbaye de Royaumont, la restauration de la multitude d'églises romanes ou de châteaux du Moyen-âge et de la Renaissance ? Plan de sauvegarde de l'agriculture, des commerces et des services publics dans les zones rurales du 95 ? Plan d'aides aux petites et moyennes entreprises ? Plan d'action pour la sécurité et la tranquillité des braves gens menacés par l'ensauvagement?

Non bien sûr ! Plan d'action globale pour la « rénovation » urbaine, l'aménagement des territoires séparés de la France et l'investissement en faveur des populations venues d'ailleurs. Plan d'action en faveur de « cette belle jeunesse pleine d'avenir » selon les termes employés par la Présidente LR du Conseil départemental saluant l'annonce de Jean Castex.

Rappelons qu'il y a moins d'une semaine, le Premier ministre annonçait par ailleurs un crédit de un milliard supplémentaire pour les banlieues et souvenons-nous qu'en 30 ans la politique de la ville — autrement dit la politique de préférence immigrée — a coûté plus de 100 milliards d'euros aux contribuables.

Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France

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