En 1968, alors que les gauchistes venaient de tenir la rue, le pouvoir répondait par la dissolution d'Occident. En 1973, face aux exactions de la LCR, par celle d'Ordre Nouveau. En 2021, rien de plus urgent que de casser #GenerationIdentitaire#Darmanin rime bien avec Marcellin.
Le meilleur traitement pour nos compatriotes paniquards atteints de Covidofolie hypocondriaque serait de leur inoculer le virus. Ainsi, après un rhume ou une grippette, ils pourraient reprendre une vie normale et cesser d'emmerder leur entourage avec leur névrose sanitaire
Le Parisien, quotidien qui n’est plus « libéré », a beau titrer sur le « sulfureux » Ventura qui vient d’obtenir 11,9 % des suffrages à l’élection présidentielle du dimanche 24 janvier, l’adjectif ne convient plus pour l’électeur portugais. La droite nationale portugaise, après un demi-siècle d’effacement, sort des catacombes.
André Ventura, le jeune leader du mouvement CHEGA - ça suffit ! en bon Français - a créé la surprise en prenant la troisième place derrière la socialiste Anna Gomes 12,97 % , devancée par le président sortant, Marcelo Rebelo de Souza 60,7 %, figure d’une droite modérée, vivant en cohabitation avec le premier ministre socialiste Antonio Costa. Il s’est encore trouvé 180.432 électeurs communistes pour voter pour leur candidat marxiste, un certain Jôaô Ferreira, qui s’est retrouvé loin derrière Ventura.
Ventura, la petite bête qui monte, qui monte…
Le score de Ventura, né à Sintra en 1985, universitaire, commentateur sur la chaine de télé privée CMTV et accessoirement chroniqueur dans le grand quotidien lisboète, Correio da Manha, a gagné son pari : installer durablement désormais, son mouvement, CHEGA, dans le paysage politique portugais, après son irruption en octobre 2019 au parlement, avec seulement 1,29 % des voix. Spectaculaire progression que les caciques des partis traditionnels ont du mal à encaisser. Comme VOX en Espagne, CHEGA est sorti du quasi néant d’une droite nationaliste longtemps marquée du signe de la bête, « le Salazarisme »(1).
« ÇA SUFFIT ! » a un programme radical qui tranche nettement avec la droite classique, incarnée ici par un parti social-démocrate qui n’ose même pas afficher dans son nom et par son sigle, ses réelles inclinations idéologiques : le libéralisme. CHEGA annonce la couleur : il est contre l’euthanasie, contre l’avortement, contre l’oligarchie, hostile au communautarisme, hostile au marxisme culturel, il est en faveur de la culture portugaise, pour un État fort recentrant ses fonctions sur le régalien, pour la castration chimique des pédophiles - OlivierDuhamel, n’allez pas à Lisbonne si, d’aventure CHEGA prenait le pouvoir ! -, pour une surveillance accrue des Gitans nomades, etc… Bref, un programme en rupture avec ce que vivent les Portugais, une cuisine en quelque sorte qui a un bon fumet pour tous les patriotes européens. D’ailleurs, La Ligue de Salvini comme le Rassemblement National - ce dernier toujours à la recherche d’une bonne opportunité pour redorer son blason qui en aurait bien besoin ! - courtisent quelque peu Ventura qui, paradoxalement, semble en froid avec l’espagnol VOX. La vieille rivalité entre les deux patries de la péninsule ibérique ?
Provocateur ou réaliste ?
Ventura n’a pas sa langue dans sa poche, et il a mouché comme il le fallait l’homologue portugaise d’une Obono ou d’une Avia , toutes deux siégeant à notre palais Bourbon. À une députée originaire de la Guinée-Bissau, ex-province d’outre-mer, qui demandait la restitution du « patrimoine africain » à leurs pays d’origine, le seul parlementaire de CHEGA - mais ça changera ! - répondit à cette dame de couleur « qu’elle aussi pouvait être rendue à son pays d’origine » ! Tollé général…
Ces plus de 10 % et surtout cette fantastique multiplication par 10 du score de 2019, augure d’un avenir politique certain, et pour Ventura, et pour CHEGA, pour peu que les dissensions internes qui ont présidé à sa création après l’échec aux européennes de la liste Basta, « Assez ! », cessent.
C’est tout le mal que nous souhaitons à nos camarades de la patrie d’Oliveira Salazar. Un Portugal gouverné à gauche ? « ÇA SUFFIT ! ».
Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France
(1) « Salazar le regretté », éditions Synthèse Nationale.
Le vieux médecin fou #Delfraissy, la tronche d'épagneul contrarié #Véran et le cantonnier benêt de #Matignon ont chauffé la salle. #Macron va pouvoir annoncer mercredi, au cours d'un laïus interminable, le #Confinement3, en prenant son air grave de comédien de boulevard
Chaque jour de cette semaine, avant l'hommage qui lui sera rendu par le Parti de la France à Vaucresson samedi 30 janvier, sera publié un article consacré à cet immense combattant de la cause nationale qu'était Roger Holeindre. Aujourd'hui, il s'agit d'un texte d'hommage écrit par l'un de ses plus fervents admirateurs.
Une année après avoir appris, avec tristesse, le rappel à Dieu de Roger Holeindre dans la nuit du 29 au 30 janvier. Je faisais ce texte pour lui rendre un petit, mais sincère, hommage.
Faisant partie de la jeune génération, j'ai découvert cette grande figure du patriotisme par le Front National dont il fut membre-fondateur auprès de Jean-Marie Le Pen, avant de quitter le parti, en choisissant l'honneur, en 2011, à la suite de l'élection de Marine Le Pen à la présidence du FN. Car, il pensait que la "dédiabolisation" du Front est un reniement de ses années passées auprès de Jean-Marie Le Pen. A la suite de quoi Il rejoindra le Parti de la France. Mais c'est surtout à travers les nombreux livres qu'il a écrits que je l'ai découvert, près de 40 ! Il est pour moi un exemple et un modèle, dans sa vision de la politique, de la société et de réhabilitation de l'Histoire. Roger Holeindre parlait souvent aux jeunes, avenir de la nation, notamment dans son livre "Honneur ou Décadence". La jeunesse était un thème cher à ses yeux. En effet, déjà à Tébessa, en Algérie (alors encore française), il s'occupait de jeunes à majorité musulmane, mêlés à des Juifs et à des Chrétiens, pour lesquels il avait fondé un mouvement scout. Puis il a continué ce travail auprès des jeunes en France avec les Cadets de France. Les Cadets de France sont la "section jeune" du Cercle National des Combattants, qu'il avait fondé en 1985 et voulant regrouper "les Anciens Combattants mais aussi les amis prêts à œuvrer pour la Patrie, contre la décadence".
Outre le député frontiste qu'il fut, (avec son franc-parler légendaire lors de ses prises de parole à la tribune de l'assemblée dont l’inoubliable " A part les balles de tennis, qu'est-ce que vous avez entendu siffler d'autres ?"), l'antigaulliste convaincu, le parachutiste colonial ayant défendu l'Indochine contre la lèpre communiste, et l'Algérie française contre les égorgeurs islamistes du FLN, et ce, jusqu'au bout en devenant membre de l'OAS ( qui lui vaudra de la prison), il y aussi l'auteur, et ses livres devraient figurer dans toute bonne bibliothèque digne de ce nom.
Pour toutes ces raisons, je n'oublierai jamais Roger Holeindre, qui repose maintenant auprès du Père. Puisse sa mémoire traverser les âges.
Pour rendre un modeste hommage à la plume de Roger Holeindre, je me permets de détailler ci-dessous quelques-uns de ses écrits -pas tous, la liste est trop longue- qu'il me semble bon de ne pas oublier, et qui donnent à la jeune génération une base solide pour se construire en tant que patriote, et des repères historiques à travers un enseignement bienveillant.
Honneur et fidélité définissent très bien ce que fut Roger Holeindre. Il a combattu jusqu'au bout, il disait d'ailleurs : "le jour où on ne m'entendra plus, c'est que je serai mort."
Reposez en paix, Monsieur Holeindre, vous l'avez mérité.
Honneur ou décadence, sorti en 1965 aux éditions du fuseau :
A mes yeux, le meilleur livre de Roger Holeindre. Sorti en 1965, et pourtant tellement d'actualité, hélas !... Holeindre y présente la jeunesse comme livrée à elle-même. Et les camps qu'il proposait étaient d'excellents remèdes à ce mal. En effet, il pensait qu'il fallait encadrer la jeunesse. Aussi dit-il qu'il faut que les jeunes apprennent à nouveau à travailler, à suer, à abîmer leurs mains. Il écrit également : "dans un état digne de ce nom, un salaire par foyer devrait suffire." Voyez où nous en sommes aujourd'hui... Il n'oublie pas non plus de dénoncer l'Eglise gauchiste, soutien du FLN pendant la guerre d'Algérie. L'auteur dénonce une fois de plus le communisme, le gaullisme ainsi que l'abandon de la morale et des valeurs d'autrefois, qui sont pourtant éternelles.
Le rire du cosaque, sorti en 1981 aux éditions Robert Laffont :
Si vous cherchez un livre contre le communisme, le voici. Holeindre décrit dans ce livre toute l’horreur et l'aberration de ce régime sanglant qui continue de sévir. Tout y passe, Staline, adoubé par les Alliés à la mémoire courte, et sa boucherie passée sous silence, la guerre d'Indochine, la crise de Suez, la guerre d'Algérie, évidemment l'Union soviétique et toutes ses contres-vérités, la "conquête" de l’Afrique noire, les actes immondes du Parti Communiste Français envers leurs propres concitoyens au fil de l'Histoire et surtout un chapitre qu'il intitule "le terrorisme intellectuel" qui en dit long sur l’état de la France aujourd'hui.
Trahison sur commande, histoire du parti communiste français, sorti en 2007 aux éditions d'Héligoland :
Livre qui traite du communisme mais plus spécifiquement de la branche française, à savoir le Parti Communiste Français. Ce livre est un véritable historique du PCF, en cette année du très triste centenaire du parti, c'est une bonne occasion de s'y plonger. Tout y passe, de la création du parti en passant par la collaboration avec les nazis suite au pacte germano-soviétique, puis la "résistance", l'affaire Guy Môquet, les nombreux mensonges, l'étroite liaison entre les communistes et le "général" de Gaulle, n'oublions pas que c'est le sinistre de Gaulle qui a donné autant de pouvoir au PCF après la guerre... Bien-sûr il parle également des guerres coloniales et des nombreuses trahisons du PCF.
Les sanglots de l'homme blanc commencent à me fatiguer, sorti en 2010 à l'Atelier Fol'fer :
Magnifique "Pamphlet", pour reprendre Alain Sanders qui préface ce livre ! Roger Holeindre n'y va pas de main morte - comme à son habitude- pour vilipender la décadence de la société occidentale. Il n'oublie rien, notamment l'odieuse contre-campagne effectuée contre Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle de 2002. Il revient à nouveau sur "le pourrissement des esprits" en dénonçant l'abandon à la gauche de l'"Education" nationale, avec des professeurs qui enseignent leurs idéologies gauchistes, du fait que "les parents eux-mêmes ont abdiqué toute fierté nationale, tout amour de la vérité". Il y a un chapitre, qu'il est de bon ton de relire aujourd'hui, intitulé "les Khmers verts... écologie... idéologie... pornographie et débauche assurées" tout à fait dans l'air du temps, avec 10 d'avance.
C'était des Hommes... Histoire vraie de la guerre d'Indochine, sorti en 2012 aux éditions Héligoland :
Il s'agit là peut-être d'un des meilleurs livres que j'ai lus sur la guerre d'Indochine. Roger Holeindre s'est engagé pour l'Indochine à l'âge de 17 ans chez les fusiliers marins, puis chez les parachutistes coloniaux, le tout en ayant menti sur son âge pour pouvoir s'engager. L'auteur a, pendant toute sa vie, eu le désir de "réhabiliter" les combattants des guerres d'Indochine et d'Algérie. C'est ce qu'il fait une fois de plus dans ce livre.
A noter également, un cd du Chœur Montjoie Saint-Denis où Roger Holeindre récite des poèmes en l'honneur de ses camarades morts aux combats, poèmes qu'il avait écrit en Indochine, en Algérie et en métropole... en prison.
Saviez-vous que des troupes d'élite chinoises s'entraînaient au Canada pour envahir les États-Unis en cas de victoire de Donald Trump, que l’armée américaine s’apprêtait à mettre Joe Biden en prison ou que le pape avait été arrêté suite à son implication dans un réseau pédo-sataniste ? Ne riez pas, je vous prie, en lisant ces assertions ! Elles sont très sérieuses, confirmées par des « documents secrets » (mais connus de tous), des « informateurs bien placés » (le beau-frère de la cousine dont le mari travaille comme cuisinier au ministère des Affaires étrangères) et des « sites de référence » (à faire pâlir le Gorafi).
Le mot « complotisme » est devenu un terme dépréciatif fourre-tout visant à décrédibiliser toute pensée non-conforme, toute critique du discours officiel et institutionnel et toute remise en cause des injonctions gouvernementales. Vidé de sons sens, élargi à l’extrême, le « complotisme » a rejoint le « fascisme » au palmarès des qualificatifs disqualifiants et infamants censés mettre un terme à tout débat lorsque l’on est à court d’arguments. C’est évidemment là une pratique détestable et condamnable, mais malheureusement courante dans notre chère démocratie totalitaire qui n’accepte le dialogue et la contestation que dans un cadre strictement déterminé par elle.
Cet état de faits, si regrettable soit-il, ne doit pas – ne peut pas – masquer le développement dans une frange de la population et massivement sur les réseaux sociaux d’un phénomène inquiétant, celui de la multiplication des discours délirants et des « informations » paranoïaques, faisant fi de toute rationalité, de toute crédibilité, de tout bon sens, et qui, au final, ridiculisent les causes que ceux qui les diffusent prétendent défendre, pour le plus grand profit du système qu’ils affirment combattre.
Nous avons donné quelques exemples en guise de chapeau de présentation, mais il y en a bien d’autres : le remplacement du président Macron, prétendument légèrement touché par la Covid mais en réalité subclaquant, par un sosie ; l’annonce de putschs militaires toujours imminents mais sans cesse repoussés ; le déclenchement d’arrestations massives, par la CIA, de tous les « complices » de Biden à travers le monde, etc.
Si ce genre de « bobards » a sans doute toujours existé, le psychodrame de l’élection et de la post-élection américaine leur a fait prendre une ampleur jusqu’alors inédite. À tel point qu’il est désormais impossible de se contenter d’en sourire en haussant les épaules et en plaignant l’état mental de ceux qui s’y adonnent, y croient et les relaient. Car le phénomène touche incontestablement de plus en plus de monde, dans toutes les catégories sociales, tous les milieux, et notamment de façon très sensible dans ce que l’on peut appeler la « dissidence » ou l’opposition radicale. Et ce sont ainsi aujourd’hui des dizaines, voire des centaines de milliers de personnes qui suivent, par exemple, des chaînes YouTube plus ubuesques les unes que les autres où prospèrent (y compris financièrement) des gourous souvent habiles, parfois même brillants, distillant des énormités et des sottises sans nom avec la farouche assurance des « sachant », des voyants au milieu des aveugles. C’est ensuite une véritable armée de néo-croyants qui se répand sur les divers réseaux sociaux pour diffuser la bonne parole, révéler l’invérifiable, affirmer le n’importe quoi, insensibles à toute réfutation et à toute remise en cause comme tout porteur de vérité qui se respecte. Pour eux, le réel ne compte pas puisque celui-ci est une simple construction du système et de ses maîtres secrets. Vindicatifs, parfois menaçants, ils qualifient donc tous ceux qui n’adhèrent pas à leurs gigantesques inepties de crédules, d’imbéciles, de complices ou de traîtres…
Cette tendance est profondément désolante à plusieurs niveaux. Tout d’abord parce qu’elle révèle l’extrême fragilité, voire la désespérance, d’une part non négligeable de la population qui, privée de repères, de cadres et de référents, est désormais prête à se rattacher à « n’importe quoi » pour continuer à croire à un possible changement, pour encore « espérer » en un avenir meilleur. Ensuite parce qu’elle détourne un grand nombre de gens de bonne volonté, légitimement écœurés par le monde tel qu’il ne va pas, du véritable travail d’analyse, de réfutation, de déconstruction nécessaire à une efficace et concrète opposition au rouleau compresseur du mondialisme libéral-libertaire.
C’est pourquoi, s’il faut bien sûr continuer à s’élever vigoureusement contre l’utilisation extensive et fallacieuse du terme « complotisme » et défendre le droit à la libre expression la plus large qui soit, il est également nécessaire et même impérieux de dénoncer les faussaires et les manipulateurs qui profitent du désarroi ambiant pour nourrir leurs névroses, leur besoin de reconnaissance et leurs appétits financiers. Et de rappeler, avec Jean Thiriart, que « la théorie du complot est un mythe incapacitant, incompatible avec un engagement révolutionnaire ».
La haine qu'ils déversent contre Thaïs s'explique en grande partie parce qu'elle est belle. Ils aimeraient pouvoir se moquer du physique de leurs adversaires mais avec Thaïs, avec Marion, c'est difficile. Ils sont condamnés à voir cette beauté leur échapper et échapper à la moulinette de leur agressivité gratuite. Ils sont les gentils qui pratiquent l'inclusivité et refusent le délit de faciès, mais si Thaïs avait un gros nez tordu et Marion un bec de lièvre ils s'en donneraient à cœur joie et passeraient leur temps à les résumer à ces infirmités.
De leur côté, ils ont Raquel Garrido, Danièle Obono, Delphine Ernotte ou Alice Coffin. C'est cela aussi qui les rend fous de rage. Ils voudraient que les nôtres aient la laideur des leurs, qu'elles aient la laideur des leurs à leur place. Ils reprochent sans doute intérieurement et inconsciemment aux leurs d'être moches, de n'être pas à la hauteur, de ne pas arriver à la cheville des nôtres. Ils en conçoivent une haine insolite qui germe de la laideur de Garrido pour exploser sur la beauté de Thaïs, qui n'en devient que plus belle d'ailleurs.
Ce sont véritablement des cas médicaux, des sujets d'études psychologiques et psychiatriques.
1) Que cela ne soit pas une fois de plus à sens unique… Or, les principales mesures préconisées par le Rapport Stora incombent à la partie française alors que du côté algérien ilest simplement demandé des vœux pieux…
2) Que la mémoire algérienne ne repose plus sur une artificielle construction idéologique car, comme l’a joliment écrit l’historien Mohammed Harbi, « L’histoire est l’enfer et le paradis des Algériens ».
Enfer parce que les dirigeants algériens savent bien qu’à la différence du Maroc millénaire, l’Algérie n’a jamais existé en tant qu’Etat et qu’elle est directement passée de la colonisation turque à la colonisation française. (Voir à ce sujet mon livre Algérie l’histoire à l’endroit).
Paradis parce que, pour oublier cet « enfer », arc-boutés sur un nationalisme pointilleux, les dirigeants algériens vivent dans une fausse histoire « authentifiée » par une certaine intelligentsia française…dont Benjamin Stora fait précisément partie….
Voilà donc pourquoi, dans l’état actuel des choses, la « réconciliation » des mémoires est impossible. Voilà aussi pourquoi toutes les concessions successives, toutes les déclarations de contrition que fera la France, seront sans effet tant que l’Algérie n’aura pas réglé son propre non-dit existentiel. Et cela, les « préconisations » du Rapport Stora sont incapables de l’obtenir, puisque, pour l’Algérie, la rente-alibi victimaire obtenue de la France, notamment par les visas, est un pilier, non seulement de sa propre histoire, mais de sa philosophie politique…
Un peu de culture historique permettant de comprendre pourquoi, il est donc singulier de devoir constater que l’historien Benjamin Stora a fait l’impasse sur cette question qui constitue pourtant le cœur du non-dit algérien. Au moment de l’indépendance, la priorité des nouveaux maîtres de l’Algérie fut en effet d’éviter la dislocation. Pour cela, ils plaquèrent une cohérence historique artificielle sur les différents ensembles composant le pays. Ce volontarisme unitaire se fit à travers deux axes principaux :
1) Un nationalisme arabo-musulman niant la composante berbère du pays. Résultat, les Berbères furent certes « libérés » de la colonisation française qui avait duré 132 ans, mais pour retomber aussitôt dans une « colonisation arabo-musulmane » qu’ils subissaient depuis plus de dix siècles…
2) Le mythe de l’unité de la population levée comme un bloc contre le colonisateur français, à l’exception d’une petite minorité de « collaborateurs », les Harkis. Or, la réalité est très différente puisqu’en 1961, 250.000 Algériens servaient dans l’armée française, alors qu’à la même date, environ 60.000 avaient rejoint les rangs des indépendantistes.
Or, cette fausse histoire constitue le socle du « Système » algérien, lequel se maintient contre le peuple, appuyé sur une clientèle régimiste achetée par les subventions et les passe-droits. Ce même « Système » qui, à chaque fois qu’il est en difficulté intérieure, lance des attaques contre la France.
N’en déplaise à Benjamin Stora, voilà qui n’autorise pas à croire à sa volonté d’apaisement mémoriel.
Sujets abordés : l'hystérie sanitaire, la vaccination, la mobilisation des restaurateurs et cafetiers, sa clairvoyance politique, les nationaux qui ne se retrouvent plus dans le RN, Marion Maréchal, l'Islam républicain et la remigration, dénatalité et démographie, les lois liberticides, ses pires et meilleurs adversaires, la dévirilisation des jeunes Français, ses loisirs, diverses questions personnelles.
Le principe de précaution qui est poussé à l’extrême en matière de Covid-19, n’existe absolument pas en matière d’immigration et cela doit changer.
Les vidéos montrant des hordes d’afro-maghrébins martyrisant des honnêtes gens sont monnaie courante sur internet, sans que cela n’émeuve la fange médiatico-politique, contrairement au premier hashtag #OuinOuinLeMéchantPatriarcat posté par la première petite-bourgeoise parisienne venue.
Pour remédier à l’insécurité afro-maghrébine, la seule politique acceptable c’est la désafricanisation de notre pays, la mise en place sans délai d’une nécessaire inversion des flux migratoires et l’instauration du regroupement familial dans le pays d’origine.
Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France
Le gouvernement et ses sbires nous annoncent le même genre de prophéties apocalyptiques que l'année dernière. Les courbes remontent, les hôpitaux vont saturer, les contaminations augmentent, « le mois de mars sera extrêmement difficile » dit ici le président, « les semaines qui viennent vont être compliquées » confirme là une infectiologue au service de la tyrannie sanitaire, etc.
Nous sommes dans la situation de l'année dernière à la même période. Sauf que nous n'avions pas de tests donc nous n'avons pas le chiffre des contaminations quotidiennes pour janvier, février, mars 2020. Peut-être que l'année dernière nous avions les mêmes taux, sans doute même. Mais comment est-ce possible ? En ce moment nous voyons se mettre en place une dynamique épidémique similaire à celle de l'année dernière à la même période, alors qu'à la différence de l'année dernière à la même période :
- les gens se lavent les mains plus souvent,
- nous avons du gel,
- ils nous font porter les masques,
- il y a les gestes barrières,
- les restaurants, bars, salles de sport, etc. sont fermés,
- nous sortons d'un deuxième confinement,
- nous sommes sous couvre-feu.
Comment, avec tout ça, le virus peut-il reproduire le même schéma que l'année dernière à la même période ? Comment est-il possible que toutes ces mesures lorsqu'elles sont appliquées n'empêchent pas que le virus reproduise exactement le même schéma que l'année dernière à la même période ? Nous sommes obligés de repenser à ces mots du professeur Toubiana qui disait qu'une épidémie est un phénomène naturel qui a, qui aura toujours son histoire naturelle, elle arrivera, connaîtra un pic et disparaîtra, point. Tout ce que nous faisons qui nous donne l'illusion de déplacer des montages ou d'arrêter des épidémies paraît n'avoir que très peu d'incidence sur le déroulement naturel et obligatoire de l'épidémie.
Or, si ce que nous faisons n'arrête pas la progression épidémique, comment continuer de croire que c'est ce que nous faisons (couvre-feu, confinement, etc.) qui provoque le reflux et la fin de l'épidémie ? Manifestement nos gesticulations n'ont pas beaucoup d'effets sur ce que le virus a décidé qu'il ferait quoi qu'il en soit. Après tout, corrélation n'est pas causalité, et peut-être en effet que le confinement n'est pas ce qui a arrêté l'épidémie l'année dernière. Peut-être que sa dynamique aurait été la même sans confinement.
Se pourrait-il alors qu'ils aient mis le pays à genoux et persécuté les Français depuis un an pour des résultats marginaux ? (question rhétorique).
Hélène Legastellois, une grosse blogueuse (elle fait du 46 et il ne s'agit pas de sa pointure), se plaint de « ne voir partout que des filles dans leurs glorious 30's : 30 ans, taille 36 ». Le phacochère ajoute « j'aimerais avoir l'impression que j'ai un peu le droit d'exister aussi au-dessous de mon décolleté ». Cette saillie de la baleine blanche ne révèle que trois choses et ne permet qu'une conclusion.
Première chose : tu n'en as pas marre de voir des jolies femmes, tu es dégoûtée de ne pas en faire partie, cesse de voiler ta grosse face avec une toile de parachute.
Deuxième chose : si « avoir le droit d'exister » se limite à être mise en avant sur les réseaux sociaux, alors l'existence est une chose bien superficielle et la tristesse du truc c'est qu'on n'existe alors que parce que des gens qu'on ne connaît pas ont daigné cliquer sur le bouton « follow » accolé à notre photo de profil recadrée et retouchée. C'est le niveau zéro et ça en dit long sur l'état intellectuel et psychologique de cette pintade.
Troisième chose : il va falloir que les grosses arrêtent de parler de leur décolleté. Vos seins ne sont pas gros, ils sont juste gonflés par les chips et le coca comme le reste de ce qui vous sert de corps.
Conclusion : l'instagrameuse obèse ne pousse pas un coup de gueule, elle gémit contre le fait que la plupart des femmes sont plus attirantes qu'elle et que les hommes la voient pour ce qu'elle est, un tas de graisse.
Après le vaccin, 13 morts en Norvège, 5 en France, 1 au Portugal, 1 en Suède, 1 en Suisse et les compteurs s’affolent en Angleterre, en Israël et aux États-Unis.
Tous naturellement, très vieux, très malades, cacochymes voire grabataires. De qui se moque-t-on et y a-t-il encore des médecins pour poser les bonnes questions ?
Pour la presse aux ordres, pas de problème ! La mort est un effet indésirable et ceux qui disent le contraire sont de vilains complotistes. Rien, on vous dit, absolument RIEN, ne prouve le lien entre le vaccin et la mort alors que tout prouvait le lien entre le Covid et la mort. Les journaleux de la « corporate press » ne sont plus à une contradiction près lorsqu’il s’agit de servir la soupe à l’oligarchie.
Planquez vos vieux, enlevez-les des Ehpad et sauvez-les avant que les Diafoirus de tous poils ne viennent vous les piquer !
Ça pourrait être dramatique, ça en deviendrait presque drolatique. Ainsi, après la brève embellie consécutive à une future et éventuelle Charte de l’islam français, conclue de haute lutte entre gouvernement et cinquante nuances de vert islamique, patatras ! En effet, trois fédérations du Conseil français du culte musulman viennent, au dernier moment, de priver le déjà branlant édifice de leurs paraphes respectifs.
En 2000, le défunt – et génial – dessinateur René Pétillon faisait un tabac avec L’Enquête corse, BD qui nous entraînait dans les méandres de l’île de Beauté, entre nationalistes et autonomistes, indépendantistes et séparatistes. Dans ce maquis, même un cochon sauvage n’y aurait pas retrouvé ses petits.
Six ans plus tard, avec L’Affaire du voile, le même Pétillon envoyait son détective fétiche, Jack Palmer, sorte de vrai con maltais, à l’assaut des mosquées. Ou l’art de tenter de démêler, en vain il va de soi, des querelles plus byzantines encore opposant salafistes et fréristes, piétistes et laïcistes, sous le regard hébété de technocrates de la Place Beauvau, totalement largués devant un microcosme dont les mille et une subtilités n’étaient pas au programme de ces grandes écoles censées leur apprendre la vie. Au ministère de l’Intérieur, Gérald Darmanin n’a probablement pas dû vivre autre chose.
Car aujourd’hui, voilà où nous en sommes. Des trois fédérations ayant refusé de se soumettre, après avoir accepté de le faire : Foi et Pratique, association issue du Tabligh indo-pakistanais. Dans le cocktail proposé, il y avait sûrement un peu trop de république et pas assez d’islam. Logique, pour un mouvement piétiste, estimant que tout musulman digne de ce nom devrait se comporter, au XXIe siècle et en France, tel qu’on imaginait qu’il ait pu vivre quelque quatorze siècles auparavant, dans une société de bédouins.
Plus intéressante, en revanche, est la position de ses deux homologues récalcitrants ayant décidé de faire de la résistance, le CCMTF (Comité de coordination des musulmans turcs de France) et le CIMG (Millî Görüş) ; pas forcément pour des motifs de rigorisme religieux, mais pour des raisons autrement plus politiques, sachant que ces deux fraternités sont d’obédience turque et, de fait, chaudes partisanes du régime islamo-conservateur d’Ankara.
Comme si tout cela était trop simple, il y a encore un autre os, sachant qu’à elles deux, ces associations sous influence stambouliote sont majoritaires au CFCM, devant l’Union des mosquées de France (grande mosquée de Paris) et les Musulmans de France, ex-UOIF, épigone des Frères musulmans. C’est-à-dire que le « traditionnel » islam maghrébin se trouve minoritaire en son « propre pays », la France. Comme quoi tout fout le camp de partout ! D’un point de vue doctrinal, remarquons que CCMTF et CIMG sont à religiosité variable : un peu laïque, un peu traditionnelle, à condition toutefois que tout cela demeure turc.
Mais là où la corne de gazelle a du mal à passer, même accompagnée de thé à la menthe, c’est que nos musulmans turcs ne sont que 700.000 en France, contre deux millions de musulmans algériens et au moins autant de marocains et tunisiens (Le Figaro). Ainsi, les Maghrébins comprennent mal pourquoi ils devraient obéir à des Turcs qui, eux, imaginent mal pourquoi on leur interdirait de commander à des Maghrébins. Et encore, on vous épargne le sort des musulmans d’Afrique noire, minorité invisible du CFCM, et pas tout à fait d’humeur câline vis-à-vis de ses anciens maîtres en esclavagisme.
Bref, c’est la Septième Compagnie au croissant de Lune.
Cela faisait un moment et ça devait sans doute le démanger. Un moment, qu’Emmanuel Macron n’avait pas dit tout le bien qu’il pensait vraiment des Français. Cette fois-ci, nous serions devenus « une nation de 66 millions de procureurs ». À l’étranger, en 2018, devant un public très sélect, dont la reine de Danemark, le Président avait qualifié les Français de « Gaulois réfractaires ».
Le 21 janvier, c’est en France, à l’occasion de la présentation, sur le plateau de Saclay (Essonne), du plan d’investissement national dans les technologies quantiques (1,8 milliard d’euros), que le chef de l’État, devant, sans doute, un public très sélect aussi, s’est permis cette petite digression. « Ce qui va avec la défiance française, c’est aussi cette espèce de traque incessante de l’erreur. C’est-à-dire, nous sommes devenus une nation de 66 millions de procureurs. C’est pas comme ça qu’on fait face aux crises ou qu’on avance. » Notons tout de même un progrès depuis le coup du Danemark : il dit « nous », donc, il doit se compter dedans. C’est déjà ça.
Mais allons-y pour la « défiance française ». Alors que le gouvernement vient de se faire voter une resucée d’état d’urgence – sans doute y prend-il goût -, non pas jusqu’aux calendes grecques, mais au moins jusqu’aux marches de la campagne présidentielle, il faudrait, si l’on suit bien le raisonnement du président-philosophe éclairé, que nous fassions tout de même un petit effort pour faire confiance en ceux qui nous gouvernent. C’est, du moins, le sens du discours présidentiel faisant de la France une nation de procureurs. « Chacun fait des erreurs chaque jour », nous dit le Président. C’est donc qu’il y aurait des erreurs de commises. Comme inspiré, Emmanuel Macron lève alors les yeux au ciel d’où il pense, peut-être, tirer sa légitimité (allez savoir) et ajoute : « Celui qui ne fait pas d’erreurs ou celle qui ne fait pas d’erreurs, c’est celui qui ne cherche pas ou qui ne fait rien. Ou qui, mécaniquement, fait la même chose que la veille. »
C’est vrai : il faut beaucoup chercher avant de trouver un peu. Sauf que la conduite des affaires de l’État ne relève pas de la recherche fondamentale ou de la recherche appliquée. Sauf qu’Emmanuel Macron n’est pas Pasteur. Sauf que les Français ne sont pas des rats de laboratoire. On a tâtonné (on va dire comme ça) pour les masques, pour les tests et, aujourd’hui, pour la vaccination, mais c’est parce qu’on cherchait, que l’on cherche. On n’a pas tout fait tout bien, mais il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent jamais, comme aurait pu dire la grand-mère de Gérald Darmanin. Alors, s’il vous plaît (et même si cela ne vous plaît pas : confer la prorogation de l’état d’urgence sanitaire), faites-nous confiance et laissez-nous travailler, c’est pour votre bien, quoi !
Nous sommes peut-être 66 millions de procureurs mais, en même temps, 66 millions de suspects potentiels : quelles sont les lois, aujourd’hui, qui ne s’accompagnent du « sous peine de » ? Sommes-nous aussi 66 millions d’avocats ? La question reste pendante. Mais, en tout cas, la France compte, en gros, une cinquantaine de millions de juges. Je veux parler, évidemment, des Français en âge de voter. Emmanuel Macron est le prévenu !