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Le blog politique de Thomas JOLY

Le nouveau numéro du magazine de réinformation du Parti de la France

30 Mai 2016, 17:29pm

Publié par Thomas Joly

Au sommaire :

Gardons notre calme. Les désordres actuels organisés par la CGT ne peuvent pas occulter son passé qui est une longue liste de connivence et de compromission avec le gouvernement. Ils cachent, en réalité, une campagne lancée pour reconquérir des voix aux prochaines élections prud'homales. D’ailleurs pour l’État, l’ennemi public numéro 1, c’est la droite nationale.

Les chiffres du chômage. Deux mois de baisse consécutive, un mirage qui quand on y regarde de plus près, trouve son explication dans l’organisation de pôle emplois, de ses catégories et autres vases communiquant.

Calais abandonné par les pouvoirs publics. La jungle de Calais devait être démontée et l’état de droit devait aussi être restauré. Après une dispersion à la hâte dans toute la France de ses migrants, et avec 4 200 migrants par jour qui arrivent en Europe, elle est à nouveau remplie et faire toujours autant parler d’elle.

Le Monténégro entre dans l’OTAN. Petite provocation à destination des Russes qui entretiennent des relations étroites avec ce pays où ils ont investi beaucoup de capitaux. Mais c’est surtout la situation en Serbie et sa partie du Kosovo qui inquiète vraiment. Une colonisation rampante s’est en effet, mise en place dans le sud de la Serbie.

Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement.

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Centenaire de Verdun : au-delà de l’indécence, l’affront

30 Mai 2016, 06:51am

Publié par Thomas Joly

Communiqué de la Dissidence Française

La déprogrammation du rappeur anti-kouffars « Black M » pour les cérémonies du centenaire de Verdun, obtenue après une mobilisation massive et sans précédent des patriotes, nous laissait espérer un semblant de solennité et de sévérité à la hauteur de la gravité de cette journée.

C’était sans compter l’imagination des communicants et des metteurs en scène contemporains qui, stipendiés par le Régime, rivalisèrent d’inventivité pour dépasser les limites de l’indécence et conquérir les sommets de l’affront à notre mémoire commune.

C’est ainsi qu’en lieu et place d’un hommage grave et solennel aux quelques 700.000 victimes de la Bataille de Verdun, il nous fut offert un « flash-mob » de jeunes, courant sur les tombes de nos poilus, parodiant l’un des affrontements les plus considérables du XXème siècle, le tout au son des « Tambours du Bronx » dans une chorégraphie sidérante et grotesque.

Cet affront à notre mémoire nationale n’est pas le premier. Mais il a revêtu dimanche une dimension particulière, et inédite. Car Verdun, ce n’est pas le Téléthon. Verdun, c’est  un symbole auquel nul Français ne peut rester insensible. En s’attaquant à ce symbole, c’est notre mémoire qu’ils ont voulu humilier et, à travers elle, notre Nation.

Aujourd’hui à Verdun, c’est un nouveau front qui s’est ouvert. Il n’oppose plus comme hier français et allemands. Il oppose désormais deux visions du monde, deux races d’hommes aux vues inconciliables et diamétralement opposées : d’un côté ceux fidèles à leur Histoire, à leur terre et à leurs morts, à une certaine conception de l’honneur et de la vie, et de l’autre ceux qui ont délibérément fait le choix de sortir de l’Histoire, pour qui nul rassemblement ne peut être conçu autrement que comme « festif », « pluriel », comme une occasion supplémentaire d’exalter les dogmes totalitaires de l’idéologie dominante, libérale, et fondamentalement apatride.

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Compte-rendu des « Rendez-vous de Béziers » par David Martin

30 Mai 2016, 06:47am

Publié par Thomas Joly

A la demande du Président du Parti de la France, Carl Lang, j'ai participé aux « Rendez-vous de Béziers » de Robert Ménard.

Tout d'abord, il faut louer le travail réalisé par Robert Ménard dans sa ville. Les anciens que j'ai pu rencontrer sont unanimes, la sécurité est retrouvée et la ville redevient agréable à vivre sauf bien évidemment que dans certains quartiers, l'accent chantant de cette région a été remplacé par un autre moins agréable à l'oreille.

Samedi, dans le vieillot Palais des Congrès, plus de 2.000 personnes se sont retrouvées pour assister à des tables rondes ou après chaque exposé, le public pouvait poser des questions aux intervenants. De ces échanges, allant du courtois au viril mais toujours corrects, sont sortis 51 propositions pour enfin « oser être de droite. »

Je ne reviendrai pas sur la tragi-comédie de l'histoire du marche-pied qui a fait fuir Marion Maréchal- Le Pen et le frère Collard puisque les médias d'en sont chargés.

Je m'attarderai plutôt sur les nombreux échanges que j'ai pu avoir avoir avec des dizaines de militants, cadres locaux ou élus du Front National ou du Rassemblement Bleu Marine. 

Ceux qui étaient présents et qui n'ont pas cédé aux injonctions du Carré de quitter les lieux m'ont tous fait part de leur écoeurement face au Grand Remplacement... que subit le Front National. Dans certaines régions, des jeunes inconnus remplacent les cadres historiques, dans d'autres ce sont des transfuges de la droite mondialiste qui sont recrutés et ce, vraisemblablement, après avoir fait quelques travaux en loge.

Mais ce Grand Remplacement n'est pas uniquement un remplacement d'hommes et de femmes, c'est aussi un Grand Remplacement d'idées et la présence nombreuse de ces frontistes au sens historique du terme semblait vouloir dire qu'« Oz Ta Droite » était un dernier espoir de faire l'unité et de faire infléchir la ligne décadente du néo-FN.

A droite justement, j'ai pu me rendre compte que le SIEL, petit parti du RBM, était plus en phase avec le programme de Carl Lang qu'avec celui de Marine Le Pen. Il est à noter que les représentants du SIEL n'ont pas déserté Béziers et son Président clamait haut et fort dimanche soir sa fierté de contribuer à l'unité des droites.

En conclusion de ce week-end, Robert Menard a fait voter le public 51 propositions où l'on retrouve par exemple la retraite à 65 ans, l'interdiction totale du voile dans la sphère publique et surtout une libéralisation de l'économie pour qu'enfin la France puisse retrouver son rang sur l'échiquier mondial.

Ces propositions pleines de bon sens ont été immédiatement raillés par le chevènementiste Philippot et ses amis du néo-FN qui craignent bien évidemment de déplaire au bouffon de la madone.

Alors avant de reprendre mon train pour retrouver ma Picardie natale, j'ai fait un dernier tour pour retrouver ces sympathisants, cadres ou élus du Front National. Ils étaient toutes et tous emballés par les propositions de Ménard mais déçus une nouvelle fois par le sectarisme des leurs.

Dans le train et grâce aux réseaux sociaux, beaucoup m'ont contacté pour me dire que si rien de concret ne sortait de ce rendez-vous de Béziers, ils ne seraient plus en mesure de défendre les couleurs du Front National Rose Bonbon.

A l'heure ou j'écris ces lignes, il semblerait que Robert Ménard (qui samedi soir m'a demandé de transmettre ses amitiés à Carl Lang) soit déjà en train de battre le rappel pour faire voter Marine Le Pen malgré que ses 51 propositions soient quasiment toutes en inadéquation avec le programme du néo-FN...

2017 approche. Marine Le Pen ne sera pas à l'Elysée. Tout le monde le sait.

Mais 2017, c'est aussi et surtout les législatives. Alors pourquoi ne pas nous regrouper sous une alliance de droite nationale pour être présent dans les 577 circonscriptions et faire enfin entendre la voix de la vraie droite nationale ?

Alliance de droite nationale ça fait ADN. Pour défendre les valeurs, la culture et l'identité française, quoi de mieux que notre ADN ?

David Martin

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Djafar Khenane (indépendantiste kabyle) : « la Kabylie est oppressée par l’Algérie »

30 Mai 2016, 06:28am

Publié par Thomas Joly

Djafar Khenane a 26 ans. C’est un militant indépendantiste kabyle, militant du MAK, le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie. Un militant traqué par le pouvoir algérien qui refuse à la Kabylie toute reconnaissance, toute liberté. Il évoque ci-dessous, avec Breizh-info, la lutte pour l’autodétermination de son peuple, et revient avec nous sur l’actualité récente.

Breizh-info.com : Qu’est ce que la résistance kabyle ?

Djafar Khenane : La question Kabyle se résume à cette volonté de notre peuple à être libre parce qu’il se sent en possession d’un génie propre qui se manifeste sous forme d’une société et d’une civilisation. Nous possédons notre propre langue, notre propre culture, nos propres sciences et des arts distincts de cette Algérie qui nous martyrise. La résistance kabyle peut se traduire en cette lutte pacifique que mène aujourd’hui le peuple kabyle pour son indépendance.

Breizh-info.com : La Kabylie est-elle opprimée aujourd’hui par l’Algérie ?

Djafar Khenane : Oui, la Kabylie est opprimée par l’Algérie. Les militants kabyles sont persécutés, harcelés, intimidés par les autorités algériennes. Les forces d’occupations sont allées jusqu’à fermer les commerces de certains activistes, les privant ainsi de leur gagne-pain. Le 26 février dernier, lors de la tenue du 3ème congrès du mouvement souverainiste Kabylie, environ, 200 militants du MAK (le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie) furent arrêtés par les autorités coloniales algériennes.

Breizh-info.com : En Europe, beaucoup craignent que la mort prochaine de M. Bouteflika ne provoque un exode massif vers la France et une nouvelle immigration. Qu’en dites-vous ?

Djafar Khenane : Le scénario redouté par les Algériens et par certains Kabyles est celui de l’effondrement de l’Algérie suite à une éventuelle mort de Bouteflika. D’après plusieurs sources, une lutte implacable se mène actuellement entre différents clans du gouvernement algériens. Certains parlent même de l’imminence d’un coup d’État.

Si ce scénario se produit, ils très envisageable que, avec toutes les facilités qu’ils ont, des milliers d’Algériens prennent d’assaut « l’Eldorado » français.

Breizh-info.com : Comprenez-vous l’inquiétude des Européens face aux vagues migratoires ? Que prônez vous, de l’autre côté de la méditerranée ?

Djafar Khenane : Je comprends parfaitement cette inquiétude, je trouve que c’est tout à fait normal et logique de s’inquiéter quand on assiste à la disparition de tout ce qui fait l’Europe. Avec ces gigantesques vagues migratoires, l’Europe est en train de changer carrément de peuple. Et ce changement de peuple va induire automatiquement un changement de civilisation et d’identité, un drame pour ceux qui sont très attachés à la culture et aux valeurs européennes et à celles de la France d’autrefois particulièrement.

Lire l'interview complète : http://www.breizh-info.com/2016/05/27/43924/algerie-djafar-khenane-mouvement-autonomie-kabylie-mak

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Les féminines du Paris FC célèbrent leur victoire

30 Mai 2016, 06:19am

Publié par Thomas Joly

Le 28 mai 2016, les féminines du Paris FC remportent 4 à 1 le dernier match de la saison contre l’équipe du Vexin AS. Ambiance black-black-beur assurée...

Source : http://www.fdesouche.com

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Béziers : un week-end réussi, mais pour quoi faire ?

30 Mai 2016, 06:07am

Publié par Thomas Joly

Aussitôt sortie du train, les nuées de personnalités et de journalistes envahissaient les trottoirs biterrois. L’événement du jour, hormis le lancement du parti « Oz ta droite ! » de Robert Ménard, dont le nom en a laissé dubitatifs plus d’un, était le retard du train, tout le gratin réac et mal pensant s’en trouvant affecté, ce qui n’empêchait nullement sous un soleil radieux une bonne humeur palpable et une jovialité sincère de se retrouver entre gens de bonne compagnie. Jean-Paul Gourévitch me tendit sa main presque machinalement alors qu’on ne se connaît pas, tandis que j’armais mon portable pour immortaliser la scène.

Intriguée, une femme me demanda ce qui se passait tandis que je cherchais mon chemin. Il me fallait arriver au Palais des Congrès sans tarder. Aussitôt traversée la rue, je me suis retrouvée nez à nez avec une mosquée, des voilées, des kamis. Boutiques de caftans, kebabs et autres boucheries halal me laissèrent bouche bée : même mon coin de Seine-St-Denis ne m’offre pas autant d’exotisme au m2.

Passés le traumatisme de me trouver en plein Maghreb avec ses effluves de makrouts, j’arrivai à bon port. Robert Ménard, Ivan Rioufol, Charles Beigbeder, Bruno Mégret, Béatrice Bourges, Guy Millière, Xavier Lemoine, Marion Maréchal-Le Pen et Oskar Freysinger étaient là, entre autres. C’était comme le festival de Cannes mais en moins toc et avec plus de neurones.

Robert Ménard est arrivé sur scène accompagné de Denis Tillinac pour l’ouverture de ce week-end particulier. Si le personnage Tillinac était sympathique, ses proximités politiques ont fait quelque peu tiquer dans les rangs : comment faire pleinement confiance à un proche de Chirac, de Sarkozy, de ces gens qui ont vendu la France, l’ont immigrée, rêvent de la métisser ?

La journée du samedi était consacrée à différents thèmes au choix : économie, médias, famille, sécurité et justice, armée. N’ayant pas le don d’ubiquité, j’ai assisté à la session sécurité et justice, où intervenaient Xavier Raufer, Thibault de Montbrial, Guillaume Jeanson de l’Institut pour la Justice, ainsi que Cédric Michel du Syndicat de Défense des policiers municipaux. La Justice en a pris pour son grade, le Syndicat de la Magistrature principalement, tandis que Thibault de Montbrial a encouragé les Français à prendre des cours de tirs, le domicile de chacun devant avoir le droit d’être sanctuarisé et sa peau protégée.

L’Uclat (Unité de Coordination de la Lutte Antiterroriste) révèle qu’il y a entre 5 et 15 000 personnes radicalisées en France. Selon Alain Juppé, il s’agirait de ne pas dramatiser la situation, or, toujours selon l’Uclat, dans ce domaine Bordeaux est au degré de radicalisation le plus élevé de France.

L’ambiance, bienveillante durant les interventions des orateurs, est devenue plus tendue lors des questions du public : trop de Daesh et pas assez de « chez nous », trop de rappels historiques et pas assez de « maintenant » et de « demain », trop de « ton Valeurs Actuelles », trop de mentions à l’islam qui n’aurait quand même pas toujours à voir avec l’insécurité selon quelques personnes du public ou qui a au contraire tout à voir pour d’autres.

Le public était en attente de solutions concrètes, tangibles, immédiates. Il n’a eu que des constats connus et des désirs de faire sans grand espoir d’application. Il s’en est parfois agacé.

Un hommage a été rendu à notre ami policier Sébastien Jallamion qui a été chaleureusement applaudi. Sébastien a été d’ailleurs très sollicité par ceux qui le reconnaissaient et saluaient son courage.

Les sessions se tenaient à différents endroits du quartier. Je me suis donc rendue au théâtre l’après-midi pour suivre le thème de l’Europe, tandis que d’autres se précipitaient à celui de l’immigration qui, paraît-il, a été des plus agités.

Derrière le théâtre passait un défilé d'« antifascistes » armés de drapeaux ornés de la faucille et du marteau (100 millions de morts, plus que le nazisme donc), de drapeaux LGBT et de jolies pancartes anti Ménard, criant au fascisme de ceux qui se rendaient à l’invitation du maire.

François Billot de Lochner, Hervé Juvin, l’ancien ministre François Guillaume et Guy Millière évoquèrent tour à tour la coquille vide qu’est l’UE, sa nocivité, la nécessité de sortir de l’Otan, de rejeter le Tafta, Schengen, le poids écrasant de la toute puissante Amérique.

Oskar Freysinger représentait sa Suisse, pays d’Europe encore préservé du « grand machin » européen, bien que subissant tout de même ses nuisances avec les assauts d’individus venus de France, parfois de Marseille, pour tromper leur désoeuvrement en volant ou en braquant des commerces.

Il a expliqué la méthode suisse : le système mis en place doit être immuable et les hommes doivent s’y appliquer en mettant de côté leurs penchants naturels, leur désir de pouvoir personnel. La Suisse a mis en place à l’origine un mode de fonctionnement social à partir d’observations de la nature qu’ils ont transposées. Les individus restent libres mais aucun ne peut se rendre maître du système. Oskar a expliqué qu’avec un tel mode de fonctionnement, on pourrait remplacer les politiques suisses par des ânes, le système fonctionnerait quand même. « Vous prenez n’importe quel autre pays, vous mettez un âne… c’est arrivé dans certains pays (rires dans la salle)… ça a fait beaucoup de foin. Vous êtes dans la merde ! ». Il a vanté les bienfaits de la démocratie directe qui rend le peuple souverain. « Nous, nous sommes tous Louis XIV »… Tout le monde est participatif, tout le monde dirige le pays, le peuple est une opposition institutionnalisé avec les pleins pouvoirs, alors qu’en France nous subissons « une alternance des corruptions ».

Fustigeant l’UE, il a affirmé que sa construction était « le complexe allemand de la 2e guerre mondiale ».

« Créer l’homme nouveau c’est la pire agression qu’on puisse avoir envers les êtres humains », c’est ce qu’ont voulu faire le communisme et le nazisme. Une notion qui revient pourtant sans complexe au goût du jour…

En conclusion, Oskar a évoqué l’Europe des Nations, la vraie Europe, celle qui ne pourra se faire qu’avec la Russie, un souhait vivement applaudi dans le public. « Les Anglo-saxons n’ont qu’à bien se tenir, parce que eux prétendent être les policiers du monde mais les fouteurs de merde c’est eux », une vision que ne partageait pas Guy Millière qui, à plusieurs reprises, a défendu les Etats-Unis.

Le plaisir de chacun de se retrouver ou de faire de nouvelles connaissances était palpable et l’accessibilité cordiale des intervenants ont été pour beaucoup dans la réussite de cette rencontre. Pour autant des frustrations sont demeurées : comment rassembler des droites qui ont tout à gagner à jouer dans la même cour mais qui ne parviennent pas à se mettre d’accord sur la forme alors que le fond est bien là, qui restent trop policées alors qu’on en attend enfin de la fronde, qui anticipent la future couleur des murs alors que ce sont toutes les fondations qui s’effondrent ?

Comment encore passer de l’étape, certes enrichissante de connaissances, à l’action concrète, aux solutions tangibles, à l’abandon du « y’a qu’à, faut qu’on » dont on a senti, à plusieurs reprises durant les sessions qu’il ne pouvait plus suffire. La coupe est pleine et l’arbre à palabres perd ses feuilles. Au-delà de s’enrichir d’érudition, chacun se posait la seule question acceptable : « bon alors, on y va quand ? ».

Caroline Alamachère

Source : http://ripostelaique.com/beziers-beau-monde-reussite-quoi-faire.html

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Élection présidentielle en Autriche : enquête ouverte pour irrégularités

30 Mai 2016, 06:03am

Publié par Thomas Joly

Quelques jours après la victoire à l’élection présidentielle du candidat écologiste, Alexander van der Bellen, sur le candidat nationaliste Norbert Hofer, une enquête est ouverte. Dans cinq bureaux de vote, le dépouillement des votes par correspondance aurait commencé trop tôt et sans la présence d’une commission de contrôle.

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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Commémoration de Verdun : flash mob au rythme des tam-tam

29 Mai 2016, 17:56pm

Publié par Thomas Joly

Tam-tam et footing au milieu d'une nécropole sacrée. Voila comment des ordures méprisent et dégradent le sacrifice de nos ancêtres. Les organisateurs de cette mascarade grotesque devraient être condamnés et emprisonnés sur le champ.

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Aujourd'hui, nous honorons les mères de famille françaises

29 Mai 2016, 10:56am

Publié par Thomas Joly

Bonne fête à toutes les mamans !

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Synthèse Nationale fête ses 10 ans !

29 Mai 2016, 10:49am

Publié par Thomas Joly

Il y a dix ans que Synthèse natio­nale appa­raissait sur la toile. D'abord sous la forme d'un mo­deste blog qui, petit à petit, s'est trans­formé en un véritable site d'in­formation ali­menté au moins trois fois par jour et qui est maintenant quo­tidienne­ment consulté par au minimum 3.000 personnes. Parfois, il ar­rive que le nombre des connexions dépasse les 25.000.

En dix ans, nous avons donné la parole à plus de 200 personnali­tés, responsables politiques as­sociatifs ou économiques, écri­vains, élus et acteurs se récla­mant de notre famille politique. Nous avons lancé deux revues, Synthèse na­tionale et les Cahiers d'Histoire du nationa­lisme, créé une mai­son d'édition, Les Bouquins de Synthèse na­tionale, et un service de diffu­sion en ligne. Nous avons mené plusieurs campagnes mili­tantes, contre l'islamisation, contre le Traité transatlantique, contre SOS-Racisme pour ne ci­ter que celles-ci. Nous avons aussi orga­nisé des dizaines de réunions, colloques et séances de dédica­ces tant à Paris qu'en Province, ce à quoi il faut ajou­ter nos journées nationalistes et identi­taires qui rassemblent de plus en plus de monde chaque année, à Lille en avril et à Rungis, près de Paris, en octobre.

Tout cela a été possible grâce à l'engagement d'une poignée de volontaires et au dévouement de l'équipe de contributeurs qui scrutent en permanence l'actualité afin de sélectionner l'essentiel à l'attention des militants et sym­pathisants de la cause nationale et identitaire. 

La seconde raison de la longé­vité et du développement de Synthèse nationale est la fidélité et la générosité de ses lecteurs. Beaucoup nous aident en s'abonnant à la revue éponyme ou aux Cahiers d'Histoire du na­tionalisme, certains en adhérant à l'association des Amis de Syn­thèse nationale, d'autres enfin en achetant régulièrement les livres que nous éditons ou pro­posons. Quoi qu'il en soit, nous tenons à tous vous remercier pour votre fidèle amitié. Sans vous, rien n'aurait été possible.

Synthèse nationale fait partie de ces pôles de résistance qui gê­nent le Système. Pour s'en convaincre, il suffit de constater la quantité d'endroits, qu'il s'agisse des services de l'Educa­tion dite nationale, des chaines d'hôtels internationaux, des en­treprises mondialisées, où l'accès à notre site est interdit. Cela ne nous décourage pas. Bien au contraire, cela nous incite à am­plifier notre action.

Le dimanche 2 octobre pro­chain à Rungis (94), ce sera la dixième jour­née nationaliste et identitaire annuelle, ce sera l'occasion de nous retrouver encore plus nombreux pour fêter ce dixième anniversaire. Le monde est en train de changer, l'heure du re­tour des peuples, des nations, des identités et des traditions européennes approche. Soyons tous mobilisés, rien n'est perdu, continuons le combat.

Pour marquer le 10e anniversaire de Synthèse nationale, une plaquette de 12 pages a été envoyée cette semaine aux 10 000 personnes qui, en dix ans, ont contacté Synthèse nationale.

Roland Hélie

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Quand les cathos de gauche entendent lutter contre « l'extrême droite »

28 Mai 2016, 18:17pm

Publié par Thomas Joly

Le CERAS (Centre de recherche et d’action sociales) est une association de loi 1901, genre comité Théodule dont « la finalité principale est de promouvoir et de développer une réflexion sur les questions politiques, économiques et sociales en veillant au respect de justice sociale ». Bref, un bidule vaguement catholique, à la sauce cureton à Solex, avec sandales, chaussettes et carte du PSU dans la poche du blouson en skaï.

Le CERAS, qui ne sait manifestement pas comment occuper ses journées, s’apprête donc à publier un numéro spécial, consacré à « la progression des idées d’extrême droite dans le champ politique et social français ».

Mais comme l’antifascisme alimentaire en peau de lapin, « ça eut payé » (comme l’assurait l’irremplaçable Fernand Raynaud), le CERAS n’a d’autre recours que celui de la quête ; pardon, du « crowdfunding », « financement participatif » in French, les réseaux sociaux faisant désormais office de troncs d’église.

Vidéo à l’appui commence donc le sermon – ou la purge, c’est au choix. Où l’on apprend que lutter contre cette extrême droite est une « sacrée aventure » ; c’est vrai qu’à côté, Tarzan est un expert comptable. Au risque de leur vie, donc, nos aventuriers de l’impossible sonnent le tocsin sur le thème : on croyait les Français « vaccinés »… du vote lepéniste au tétanos, l’analogie paramédicale coule effectivement de source. Et, cauchemar apocalyptique, certains catholiques voteraient même pour le Front national. Sans blague ! Que fait la police ? Que fout l’armée ?

Pour demeurer dans le registre de l’humour drôle avec des morceaux de gags rigolos dedans, on notera que le diocèse de Saint-Denis – mausolée de nos chers rois de France, tout de même – vient de prêter main-forte à ce numéro d’illusionnistes digne du « Plus grand cabaret du monde », du tout aussi foutraque Patrick Sébastien. Il est vrai qu’à Saint-Denis, paisible bourgade, donnée au monde entier comme exemple d’assimilation républicaine et d’ordre du même tonneau, nos chers clercs, hésitant sûrement entre cueillette aux champignons et lutte contre la « bête immonde », ont illico rallié le Vercors. Parce qu’on y trouve aujourd’hui plus de champignons que de reîtres à casques à boulons ?

Au fait, dernière petite question à mille euros (ou trente deniers) pour demeurer dans le registre sémantique de ces foutus calotins ne portant même plus calotte, alors qu’ils en mériteraient des wagons, de calottes, dans leurs faces de Carême : c’est quoi, exactement, cette fameuse « extrême droite » ?

Un gigantesque fourre-tout dans lequel on trouverait des hommes tels que Bernard Antony et Alain de Benoist ? Un truc qui mêlerait des journaux tels que Monde et Vie et Rivarol ? Un machin où Nicolas Dupont-Aignan et Pierre Sidos seraient interchangeables ? Un improbable vistamboire où cohabiteraient harmonieusement une Chantal Delsol et un Henry de Lesquen ? Même un étudiant de première année à Sciences Po ne croit plus aujourd’hui à cette fable destinée à faire manger de force leur soupe aux enfants…

Alors, que faire, tel qu’écrivait Lénine ? Donner préférence nationale au boogie-woogie plutôt qu’aux prières du soir, tel que préconisé par le révérend père Eddy Mitchell ? Le concept paraît séduisant.

Nicolas Gauthier

Source : http://www.bvoltaire.fr

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28 mai 1794 : la République massacrait encore des Français

28 Mai 2016, 17:43pm

Publié par Thomas Joly

Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.

Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.

Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?

Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »

Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».

Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.

Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.

Thibaut de Chassey

Source : http://www.contre-info.com

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Les leçons de communautarisme de Sœur Vallaud-Belkacem

28 Mai 2016, 17:30pm

Publié par Thomas Joly

« Moi, j’estime que dans notre pays, s’il y a bien une chose à faire, c’est diversifier les langues que les élèves apprennent à l’école, car toutes les langues ont leur légitimité et leur intérêt. » Par cette réponse lénifiante faite à Annie Genevard, députée « Les Républicains » du Doubs, Sœur Vallaud-Belkacem, sur le ton horripilant de la nounou moralisatrice, assène sa leçon de communautarisme sirupeux pour les nuls.

Quel parent n’a jamais entendu parler de l’« ELCO », soit ces « enseignements de langue et de culture d’origine », pudiquement requalifiés, devant la bronca silencieuse des familles, en « cours de langues étrangères classiques », ce, dès l’école primaire ? Ou comment farcir la tête de nos enfants d’idiomes et dialectes exotiques achalandés sur le grand marché cosmopolite de l’inculture de masse ?

Froissée de n’avoir pas été entendue par le ministre de l’Éradication nationale, notre élue s’émeut sur Twitter de « l’introduction des langues de l’immigration dans les programmes scolaires », Grand Remplacement linguistique qui « encourage le communautarisme », au soleil crépusculaire du modèle assimilationniste français.

Si l’arabe est une langue tout à fait respectable qui a pu donner ses grands noms aux Lettres moyen-orientales, d’Ibn Khaldoun à Amin Maalouf, il n’est pas hérétique de trouver que son enseignement encouragé à ce si haut niveau de l’État n’a aucunement sa place dans un pays européen (à plus forte raison comme la France). Sauf à doses infinitésimales, comme l’apprentissage du russe, du mandarin ou du polonais, par ailleurs, assez souvent réservés, jusqu’à présent, aux meilleurs éléments des collèges et lycées.

Mais le relativisme idéologique de la gauche sociétale conduit ses suppôts et commis à une mauvaise foi confondante par laquelle ils noient le poisson de leur indifférentialisme dissolvant dans l’insupportable et habituel procès en « amalgamisme ». C’est ainsi que, sur Facebook, le député de Saône-et-Loire PS Christophe Sirugue allume le bûcher de la disqualification morale (attendu qu’en matière « culturelle » et éducative, la gauche s’est, depuis plus de cinquante ans, arrogé le monopole du bien) : « La députée Annie Genevard vient de nous expliquer que l’arabe était une langue communautaire. […] On comprend bien l’amalgame ainsi portée par cette élue. Honteux ! » (sic)

Les mânes des heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire sont invoqués de manière subliminale, tandis que l’on voit s’épingler la main jaune et infamante du racisme « ordinaire » sur le poitrail d’une représentante de la nation dont le courage est, ici, une déclinaison de l’honneur. Cela en dit long sur l’état d’affaissement intellectuel et moral généralisé de nos élites acceptant aujourd’hui ce que leurs lointains prédécesseurs à la Chambre ou sous les ors des ministères auraient répudié sans hésitation comme profondément étranger au génie de la France.

Leurs héritiers se vautrent dans une xénophilie sordide en refusant de voir ce qu’ils voient. Paraphrasant Renaud Camus, on peut observer que ce sont les mêmes qui réclament toujours plus de halal (au nom d’un communautarisme obsessionnel) pour répondre à la demande populaire, qui exigent des « preuves » du Grand Remplacement.

Aristide Leucate

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Castres : Un soldat du 8ème RPIMa poignardé grièvement par deux islamistes

27 Mai 2016, 06:42am

Publié par Thomas Joly

Une réalité de plus en plus banale en France : un commando islamiste a blessé à l’arme blanche un soldat français.

Un militaire du 8e régiment de parachutistes d’infanterie de marine de Castres (Tarn) a été violemment agressé jeudi soir à l’arme blanche. Il faisait une marche d’entraînement, seul et en uniforme, à une trentaine de kilomètres de sa caserne lorsqu’il a été abordé par deux hommes, rapporte Europe 1. Ses agresseurs auraient invoqué la situation en Syrie. Le militaire est hospitalisé dans un état grave.

Ses agresseurs musulmans ont pris la fuite et sont activement recherchés.

Source : http://breizatao.com

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Cantona reproche à Didier Deschamps ses origines franco-françaises

27 Mai 2016, 06:33am

Publié par Thomas Joly

Dans une interview au Guardian, Eric Cantona avance que Didier Deschamps a peut-être laissé de côté Hatem Ben Arfa et Karim Benzema pour l’Euro, en raison de leurs origines.

Habitué aux déclarations polémiques, Eric Cantona a donné une interview fracassante au Guardian, où il sous-entend que Didier Deschamps aurait mis de côté Hatem Ben Arfa et Karim Benzema pour l’Euro, en raison de leurs origines.

« Benzema est un grand joueur, Ben Arfa est un grand joueur, a d’abord affirmé Cantona. Mais Deschamps, il a un nom très français. Peut-être qu’il est le seul en France à avoir un nom vraiment français. Personne dans sa famille n’est mélangé avec quelqu’un, vous savez. Comme les Mormons en Amérique ». « Je ne suis pas surpris qu’il ait utilisé la situation de Benzema pour ne pas le prendre. Surtout après que (Manuel) Valls ait dit qu’il ne devrait pas jouer pour la France. Ben Arfa est peut-être le meilleur joueur en France aujourd’hui, mais il a des origines. Je suis autorisé à m’interroger à propos de ça » a poursuivi l’ancien attaquant de Manchester United marié à une dénommée Rachida Brakni.

Source : http://www.fdesouche.com

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