Aram, Guillon, Pulvar : le crépuscule des bouffons gauchistes
Qui vit par le glaive périra par le glaive ! Les ricaneurs professionnels de gauche se retrouvent fort dépourvus depuis que l’alternance socialiste est venue… Retour sur les étoiles
pâlissantes de Sophia Aram, Stéphane Guillon et Audrey Pulvar.
Certes des patrons de médias et de chaînes (y compris publiques)
ont montré patte blanche au nouveau pouvoir socialiste en recrutant pour des jobs prestigieux Audrey Pulvar et Sophia Aram : la première qui n’avait jamais mis les pieds dans une rédaction de
magazine-papier fut (brièvement) bombardée rédactrice en chef de la bible bobo Les Inrocks ; la seconde (tout aussi brièvement on l’espère) s’est vu octroyer un access prime time sur la
deuxième chaîne du pays (elle n’avait jusqu’alors animée que quelques chroniques).
Stéphane
Guillon s’est lui essayé aux tribunes dans Libération (qui couvre la présidence de François Hollande comme le Rodong Sinmum traîte de l’actualité de Kim Jong Un) avant de
lentement disparaître de l’espace public. Il serait parait-il aujourd’hui à l’affiche d’une pièce de théâtre de boulevard…
Un point commun entre ces trois bouffons : une fois vidés de leur bile de gauchistes, il ne leur reste plus grand-chose à dire outre des banalités affligeantes (il faut traiter les Roms avec humanisme, les patrons sont des salauds et les jeunes de banlieue des victimes,…). Et malgré tous les services rendus à la cause socialiste ils sont désormais incasables.
Il faut dire que les Français voient désormais les leçons de morale qu’ils nous ont infligé avec des yeux nouveaux. Les belles âmes de Gôche ne peuvent plus nous la faire quand Manuel Valls
autorise quelques charters (« avec humanisme », dira Najat Valleaud-Belkacem), que Lilian Thuram cogne sa femme et que Yannick Noah réduit en esclavage son personnel de maison
pendant que François Hollande renie une à une ses promesses de campagne pour régner comme un roi-fainéant.
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