Interdire la solidarité entre Grecs : le but de la « loi antiraciste »
La répression menée
contre l’Aube dorée n’est que l’un des aspects de la vague liberticide imposée par les financiers à la Grèce. Une loi antiraciste est actuellement en discussion au parlement, qui prévoit de
lourdes peines contre les « racistes ». La loi veut s’attaquer aux défenses immunitaires du peuple grec confronté à la terrible crise économique doublée de l’invasion de son territoire.
Les parlementaires mondialistes veulent notamment interdire les soupes populaires pour les Grecs. Le simple fait de participer à un « événement haineux » – comme ces soupes populaires
sont qualifiées par les politiciens comme par la presse aux ordres – serait criminalisé.
Le précédent projet de loi a été
invalidé par le Comité central permanent du Secrétariat général du gouvernement. Ce nouveau projet cible spécifiquement et uniquement les « fascistes » et les « nazis », mais
aucune mesure n’est annoncée contre les communistes, les anarchistes, dont des groupes terroristes réellement actifs et meurtriers sont à l’œuvre en Grèce aujourd’hui.
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