Nicolas, l’hirondelle du Printemps français
Communiqué d’Yvan Bénédetti,
président de l’Œuvre française
Nicolas, 23 ans, a été condamné mercredi 20 juin en comparution immédiate à deux mois de prison ferme pour « rébellion ». « Rébellion », l’accusation fourre-tout utilisée par la dictature socialiste pour faire taire ses opposants politiques quand rien ne peut légalement être reproché, le motif systématiquement invoqué pour poursuivre tant des nôtres et dont je suis aussi victime avec deux procès que me fait le système en place.
Nicolas, membre fondateur des « Veilleurs » va devoir payer : 2 mois de prison ferme, deux mois avec sursis et 1000 euros d’amende. Les arrestations arbitraires, les condamnations se multiplient, dans la plus pure tradition des dictatures rouge sang. Les témoignages abondent, arrêtés pour avoir porté un vêtement à l’effigie de la manifestation, un drapeau français, un slogan contre le régime …
Lui a manifesté et a osé s’enfuir quand il
s’est vu courser par des représentants de la police aux ordres et abois. Voilà donc son crime et le verdict qu’il va devoir subir. Il est parti évidemment immédiatement en détention. Il n’est pas
un casseur, il n’est pas un voleur, il n’est pas un dealer… Il n’est pas de ces catégories d’individus qui hantent nos rues et passent régulièrement dans les commissariats sans connaître de la
prison ferme, ne connaissant que la récidive. Non il n’est pas de ceux là qui n’ont pour seule loi que leurs propres intérêts, voilà sans doute un point commun que cette lie de la société partage
avec ceux qui les comprennent et les relâchent, ceux qui par ailleurs pratiquent la répression que nous subissons jour après jour. Nicolas est coupable d’avoir manifesté contre cette loi
décadente qu’est le mariage pour tous.
Mais plus grave encore, il est coupable d’aimer la France, de l’assumer, et de la
défendre. Il est coupable d’aimer et d’avoir pour seul intérêt celui qui nous dépasse, celui qui leur fait peur, celui qu’ils ne peuvent maîtriser car comme ils ne pourront empêcher le soleil de
briller, le printemps français de fleurir, ils ne peuvent empêcher d’aimer. Jusqu’au bout, combien l’ont aimée. Les dernières paroles d’un Robert Brasillach qui à la potence, crie à ses bourreaux
« courage, tirez. Vive la France » revient en tête comme un souffle printanier. Voilà ce qu’est « Aimer ». Ils ont fait le mariage et par-dessus tout l’adoption pour tous au nom de l’amour,
l’amour égoïste, l’amour consumériste, l’amour unilatéral, l’amour qui n’en n’est pas, bref, le seul désir. Voilà un exemple d’amour véritable que celui désintéressé, dévoué, sans condition, sans
concession.
La France, Nicolas l’a épousée dans son combat comme nombre de nationalistes que nous sommes. Et nous la conduirons, épaule contre épaule, dans le respect, jusqu’à son printemps, jusqu’à sa renaissance, quoiqu'il en coûte.
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