Multiplication des dénonciations de policiers et de gendarmes
Encouragés par les sites d’extrême
gauche tels que Copwatch, les autorités traquent les fonctionnaires coupables de pensées non-conformes. Le mois dernier, une plainte avait été déposée contre un policier municipal d’Alès pour la
diffusion d’un drapeau algérien dans un contexte peu flatteur. Il avait été immédiatement lourdement sanctionné, subissant de la part du maire UMP de la ville Max Roustan, aux ordres de
l’anti-France, une mise à pied assortie d’une retenue sur salaire.
La semaine dernière, c’est un policier affecté à la ville occupée de Trappes qui était la cible d’attaques pour avoir partagé une image prétendument « islamophobe » sur
Facebook.
Hier, l’Inspection générale de la police nationale a ouvert une enquête contre un autre gardien de la paix, travaillant dans le Val-d’Oise, pour des propos et le partage d’images dénonçant
l’invasion. Parmi les propos incriminés figurent des blagues datant des années 1980 telles que : « Quand je pense qu’il suffirait de supprimer tous les Noirs et tous les Arabes pour
qu’il n’y ait plus de racisme ». L’homme est aussi accusé d’avoir voulu faire son métier de policier, à savoir créer un groupe de discussion privée sur Facebook pour partager les photos
des racailles qui avaient dévasté Paris en mai dernier en vue de les identifier.
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