Le prix Femina à la mode de l’anti-France
Le prix Femina 2013 a été attribué à l’Africaine Leonora Miano pour son roman La saison de l’ombre inventant l’histoire d’une communauté noire touchée par la
« traite négrière ». Il s’agit bien entendu de celle mise en place par des Juifs et certains Blancs à destination des Amériques et non des pratiques habituelles de l’esclavage
inter-tribus ou liées à la présence arabe. Le livre suppose de fait l’absence de l’esclavage et de ses conséquences avant l’irruption européenne, puisque les populations locales paraissent
confrontées un phénomène nouveau. C’est le contraire qui est vrai, puisque l’esclavage loin d’être une invention européenne, y avait été supprimé sur notre continent. Les négriers ne firent
qu’utiliser et reproduire, en les humanisant, des pratiques banales ancrées dans la tradition africaine, des pratiques qui ne prendront fin qu’avec la conquête des Européens.
Le prix Femina de l’Essai revient
à Jean-Paul et Raphaël Enthoven, pour leur livre consacré à leur coreligionnaire Marcel Proust. Raphaël Enthoven est l’ancien époux de Justine Lévy, fille de Bernard-Henry Lévy, qu’il trompa avec
Carla Bruni avec laquelle il eut un fils, après avoir succédé à son père dans le lit de Carla Bruni, qui devint peu après l’épouse de Nicolas Sárközy.
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