Le délateur de RÉFLEXes identifié !
Nul besoin d’avoir un diplôme en analyse littéraire
pour constater que les articles du site RÉFLEXes sont, pour la plupart, écrits par le même personnage. Ils portent la marque du même esprit fin, à
l’ironie subtile, qui sait ce qu’il faut écrire, au besoin en mentant, afin de créer dissensions et troubles chez ses ennemis.
De là à déduire que cet individu avait, ces jours-ci, d’autres occupations, il n’y a qu’un pas. Nous le franchirons d’autant plus volontiers que, depuis le début de cette semaine, l’auteur de ces articles de délation est identifié. Le sait-il ? Est-ce la raison pour laquelle il hésite à reprendre la plume ? Là encore, nous l’ignorons. Une chose est sûre : il va devoir désormais agir au grand jour et sortir de l’anonymat. Tel est pris qui n’arrêtait pas de prendre.
Cet individu n’est nullement un inconnu. Son
nom est Denis Schérer (photos). Ce journaliste de 52 ans a déjà commis quelques ouvrages sur les mouvements patriotes sous le pseudonyme de René Monzat. En 2003, le
politologue et historien des idées Pierre-André Taguieff n’avait pas hésité à le qualifier de « délateur professionnel », estimant même qu’il se prévaut abusivement du titre de «
chercheur ».
Il est exact que Denis Schérer voue aux idées identitaires une haine farouche, quasi clinique, et que ses talents s’exerceraient mieux au sein d’une police politique de l’ex Europe de l’Est que
dans la rédaction d’un journal républicain.
Comment Denis Schérer a-t-il été identifié ? Très
simplement. En attendant de vous en dire plus sur le petit Denis-René, qui depuis de nombreuses années, s’applique à dénoncer, mentir et calomnier anonymement sur RÉFLEXes, nous vous laissons
apprécier ci-dessous sa plastique avantageuse. Ces photos ont été prises le 8 mai dernier à Paris. Pendant que René Monzat prenait des photos des manifestants nationalistes, Denis Schérer était
lui-même photographié. Et vice-versa.
Souris Denis-René, pour une fois, c’est toi sur la photo !
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