La croisades des « démocraties » criminelles contre la Syrie
Alors que les enquêteurs de l’ONU sont sur
place et sont loin d’avoir rendu leurs conclusions, alors que tout porte à croire que l’attaque chimique perpétrée à Damas est l’œuvre de rebelles, qui ont montré dans le passé qu’ils n’avaient
aucune espèce de respect pour l’être humain, c’est contre le gouvernement légal de Syrie que les différents chefs des « démocraties » préparent très activement la guerre ces dernières
heures.
L’attaque était envisagée depuis de longs mois, mais ce prétexte a suffi pour réveiller les ardeurs belliqueuses des gouvernants américains, britanniques et français notamment, malgré l’opposition très nette des populations de ces pays.
La malheureuse Syrie ne pourra cependant
probablement compter que sur elle, ses différents soutiens ne pouvant ou ne souhaitant pas lui venir en aide. C’est le cas de la Russie comme de l’Iran qui ont émis des mises en garde concernant
les menaces sur « la sécurité et la stabilité de la région » (général iranien Hossein Dehgan) qu’une telle guerre ferait naître.
Comme en Irak et en Afghanistan, une attaque contre la Syrie conduirait probablement à faire sombrer ce pays dans le chaos pour des années, après avoir ajouté, aux crimes des rebelles, les crimes des « Alliés ».
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