Les enfants transgenres, golems de la folie parentale
/image%2F0931529%2F20200914%2Fob_c7da2b_enfant-trav.jpeg)
Ère individualiste où chaque ego, aussi pauvre puisse-t-il être, se prend pour une étoile filante irisée de mille reflets. Il est venu le temps des médiocrités faites phares. C'est le symptôme type des narcissiques que d'avoir à en faire beaucoup pour se montrer à tout prix, paraître plutôt qu'être, être vautrés dans le médiatiquement correct, mais se croire pourtant singuliers. Ce sont des personnalités pauvres en quête de regards !
Souvenons-nous de ce couple hollywoodien pathétique, séparé depuis, que formaient Angelina Jolie et Brad Pitt ! Quoi de plus navrant que d'adopter un enfant de chaque couleur pour démontrer au public qu'on est contre le racisme ? Cela, ils l'ont fait.
C'est, toujours dans l'obsession de suivre l'air du temps qu'ils eurent un enfant transgenre, leur première enfant biologique, la petite Shiloh qui « décida » rapidement de se faire appeler John pour la plus grande satisfaction de ses parents superficiels.
Pourquoi pas l'enfant animal ou l'enfant bicolore ? Pourquoi pas l'enfant tout-en-un qu'on peut transformer au gré des humeurs ?
Ce dimanche soir, une femme lambda en soif de reconnaissance idoine, bénéficia à une heure de grande écoute sur TF1 d'une tribune filmée à l'émission Sept à Huit pour expliquer que son fils était né fille dans un corps inapproprié. Tiens, pile quand c'est « tendance » ! Elle fit ce que font tous les pleureurs égocentriques de France : se plaindre de la société discriminante qui fabrique de l’intolérance - où se trouve t-elle que j'aille m'y réfugier en urgence ? - !
Le pauvre petit maltraité par le narcissisme de sa mère était allé jusqu'à se faire percer les deux oreilles pour y mettre des brillants colorés. Tous les enfants ont besoin de l'amour de leurs parents et sont prêts à tout pour l'obtenir que ce soit à Hollywood ou dans un village de l'Ardèche. Les parents pauvres en personnalité sont peu disponibles, trop occupés à contempler un vilain nombril insignifiant comme un trou. Il a apporté un quart d'heure de gloire à sa mère au détriment de sa santé mentale, il a eu le droit à un bisou. Ce fut un aussi triste spectacle que ça.
Nous ne pensons pas que ces enfants soient à soigner, pas encore, mais leur destin sera, sans nul doute, tragédie, problèmes d'identité, dépression voire suicide.
/image%2F0931529%2F20200914%2Fob_4d7729_enfant-transgenre-vt-vivre-trans-3-102.jpg)
Nous pensons que la thérapeutique doit s'adresser aux parents, mais aussi aux sociétés occidentales particulièrement proies de la folie des faiseurs d'opinion à l'idéologie destructrice.
La femme ne devient pas femme, elle naît ainsi, Simone de Beauvoir fut le contraire de l'observatrice sérieuse, il suffit de connaître sa biographie dans le domaine sexuel pour s'en convaincre, elle a simplement tenté de faire des déviances de son couple une norme. Un homme naît homme et restera homme même s'il se travestit. Toute mascarade, science ou publicité d’État ne saurait changer cette nature physiologique.
La liberté pour pouvoir réellement se vivre s'inscrit dans un ordre naturel qui est immuable, la société y puise sa raison, son inspiration, sa régénérescence .
La structure familiale définit les rôles et les identités, mais aussi les fonctions. C'est avec des repères que nous avançons libres, car loin des tourments de l'égarement.
Puis vient ensuite le pays muni de ses traditions, de son Histoire, de sa population. Alors, il peut se faire de grandes choses. En nous libérant, nous ferons retrouver les repères collégiaux dont la France a grand besoin.
Ludovic Lefebvre - Délégué du Parti de la France pour Paris
Commenter cet article