De l'inversion des valeurs au déni de réalité
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L'inversion des valeurs s'accompagne aussi chez eux de l'inversion de la réalité.
Par exemple la question du racisme : ils en parlent comme si c'était un phénomène d'une amplitude et d'une intensité maximales alors que c'est totalement secondaire et même anecdotique. Il est faux de dire que la France est raciste, car si elle l'était, depuis le temps que certaines populations posent tous les problèmes qu'elles posent, il y a longtemps que les Français auraient réagi brutalement. La réalité est que la France est le pays le moins raciste et le plus incapable de réagir à sa propre destruction. Pourtant, les commentateurs autorisés continuent de parler du racisme comme s'il était la plaie de la société, l'objet de toutes nos nécessaires urgences de vigilance et de lutte.
Les liens entre immigration et criminalité, pourtant démontrés factuellement, sont également niés par ces gens alors qu'ils crèvent les yeux de tout le monde. Le déni est total et même pathologique. Le refus de voir le monde réel est objectivement un trouble psychologique.
Maintenant c'est le virus, l'épidémie. Ils ont l'air convaincu, en tout cas feignent de croire que le virus nous ravage ou va bientôt le faire, et là où pour des problèmes réels et sérieux ils refusent d'envisager aucune réponse à la hauteur, contre cette épidémie terminée ils accumulent les mesures, les décrets et les décisions.
Comme Don Quichotte, Ils passent leur temps à combattre des fantômes et des moulins, déploient leur énergie contre des menaces inexistantes. Et entraînent tout un pays, toute une civilisation dans l'abîme à cause de ça.
L'urgence est donc que les adultes reprennent la main sur un monde aujourd'hui dirigé par des enfants devenus dingues.
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