Décès de Clément Méric : une insupportable hystérie politico-médiatique
Tribune
libre
Depuis jeudi, on assiste au plus indécent et scandaleux déchaînement médiatique depuis bien longtemps contre l'extrême-droite fantasmée, rappelant le parfum d'hystérie collective de l'entre-deux tours des élections présidentielles de 2002.
Politiciens du Système (du Front de Gauche au Front mariniste) et médias aux ordres participent à un lynchage absolument insupportable alors qu'il apparaît de plus en plus clairement, d'après des témoignages concordants, que Clément Méric, accompagné d'autres militants d'extrême-gauche, a sciemment provoqué et agressé un petit groupe de jeunes nationalistes venus faire des achats de vêtements. Ceux-ci n'ont fait que se défendre contre leurs agresseurs et le jeune « antifasciste » a fait une chute malheureuse qui lui a été fatale.
Naturellement, toute la classe politique, au comble
de l'excitation et l'écume aux lèvres, réclame l'interdiction de groupes nationalistes, fait des amalgames avec les manifestations contre le mariage gay. Bref le Système tente, en exploitant un
fait divers et en travestissant la réalité des faits, de régler ses comptes avec cette vague de protestation populaire qui a pris une ampleur considérable ces derniers mois et qui échappe à son
emprise.
Clément Méric est mort de son idéologie dite « antifasciste », de son engagement violent et haineux contre des opposants politiques, de cette extrême-gauche qui l'a embrigadé et poussé à l'affrontement plutôt qu'au débat d'idées.
A titre de comparaison, en début de semaine, François Noguier, jeune
étudiant français sans histoire, décédait quasiment dans les mêmes conditions : une lourde chute après un coup de poing asséné par un Nord-Africain alcoolisé. Outre une indifférence médiatique
habituelle lorsqu'il s'agit du meurtre d'un Français par un allogène, on notera également qu'aucune grande conscience ne s'est élevée pour demander l'arrêt de la colonisation migratoire de notre
pays...
Si je dois avoir de la compassion ce sera d'abord à l'égard de ce jeune étudiant mais également à l'égard des jeunes nationalistes incarcérés et livrés à une vindicte politique, médiatique, policière, judiciaire et populaire absolument écoeurante et inique.
Thomas JOLY
Secrétaire général du Parti de la France
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