La gronde populaire a incité les « Bleus » à ne pas humilier la France en s'agenouillant
Manifestement, si l'Équipe de Fronce n'a pas rampé sur le sol hier soir (après avoir annoncé qu'elle le ferait), c'est à cause de l'ampleur inattendue des protestations sur Internet. Plusieurs « hashtag » appelant au boycott des Bleus ont effectivement été en tête pendant plusieurs heures hier sur Twitter, et plusieurs personnalités de droite ont manifesté leur désapprobation. Ajoutons quelques médias mais surtout CNews, jusqu'à Pascal Praud lui-même qui est pourtant un footix antiraciste mais qui a admis que ce geste était problématique.
Ce qu'il faut retenir ici, c'est que notre pouvoir est en réalité immense. C'est nous qui avons obligé l'équipe à renoncer à son projet, c'est nous qui avons mis la pression pour modifier son agenda politique délirant. La gauche et le wokisme sont en train de perdre du terrain en ce moment, et nous d'en gagner. C'est nous déjà qui avions obtenu le retrait du rappeur Black M des commémorations du centenaire de Verdun. C'est nous qui avons permis que l'hymne de Youssoupha, sans être officiellement abandonné, ne soit en réalité diffusé nulle part.
Nous sommes en train de gagner la bataille des idées. Et cela en étant totalement absents des institutions, de la « culture » grand public, presque totalement absents des médias, en étant absents des cercles politiques de la décision publique, et même en étant combattus par ceux-là.
Et pourtant, nous enregistrons des victoires inespérées. Il n'y a qu'à voir dans quel état de panique les gauchistes sont depuis quelques temps : ils flippent, ils voient leur château de cartes s'écrouler et s'emballent, se jettent dans une surenchère irrationnelle qui ressemble clairement à une politique de la terre brûlée.
Tremblez, gauchistes ! Votre règne n'était pas éternel.
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