Une permanence PS saccagée par le lobby homo
La permanence du Parti socialiste de
Besançon a été attaquée par les partisans du mariage pour tous, qui on recouvert les locaux d’affiches haineuses et insultantes envers François Hollande, en réaction aux propos du président,
qui avait évoqué « la liberté de conscience » des maires.
Les vandales ont collé près de 60 affiches sur l’antenne locale du parti d’Audrey Pulvar. Ces affiches noires, signées « résistance trans-gouines-pédés-hétéros », proposaient différents slogans aussi modérés que le lobby homo qui les a rédigés, « La liberté de conscience de mettre les pédés… au bûcher ? », « Hollande = collabo de la haine ? », ou encore « Notre liberté de conscience nous dit: désobéissance civile »…
Comme on a déjà pu le voir avec la convocation humiliante de
François Hollande et surtout avec les menaces de mort proférées contre des familles lors des manifestations
contre le mariage pour tous et l’homoparentalité, le lobby homo prouve chaque jour un peu plus qu’il ferait mieux de chasser l’intolérance en son sein !
La police a arrêté 7 activistes équipés de matériel d’affichage, âgés de 25 à 41 ans et « proches d’une mouvance d’extrême gauche ». Bien évidement, ils ont « revendiqué clairement cet affichage présenté comme un acte militant » et ont été libérés par la justice.
Au passage, on notera que ces gugusse d’extrême gauche ont réalisé des actions illégales qu’ils justifient en parlant « d’actes militants », par leur liberté de conscience… Ces
personnes ont donc clairement bravé la loi,
au nom de leur liberté de conscience, pour dénoncer que des maires puissent braver la loi au nom de leur liberté de conscience. De la bêtise et du totalitarisme de la gauche française :
« Je suis d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous n’ayez pas le droit de le dire. »
Ces actes de vandalismes sont d’autant plus idiots que, comme l’a rappelé le premier secrétaire fédéral du PS du Doubs, Nicolas Bodin, François Hollande avait cédé (comme à son habitude) aux injonctions et à l’ultimatum du lobby gay, qui l’avait convoqué dans son propre bureau, en urgence, alors qu’il recevait le président italien. Hollande avait reconnu publiquement qu’il s’était trompé, confirmant que ce sont désormais les lobbies communautaristes qui gouvernent la France.
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