Martin Luther King : entre orgies sexuelles et corruption, l’idiot utile du judaïsme pro-communiste
Une des dernières icônes des communistes et
autres socialistes est Martin Luther King. Pour le public blanc manipulé, c’est un humble pasteur noir assoiffé de justice. La réalité historique – largement documentée – a démontré depuis
longtemps que derrière ce mythe de l’antiracisme se cache un dépravé au dernier degré, alcoolique, amateur de prostituées blanches – qu’il battait régulièrement – en plus d’être sous la tutelle
de communistes juifs contrôlés par Moscou. C’est précisément en raison de ses vices innombrables que l’URSS s’appuya sur lui pour agiter les minorités raciales contre le gouvernement
américain.
King et son plagiat universitaire
Michael King, de son véritable nom, n’obtint son doctorat à l’Université de Boston qu’en plagiant lourdement les travaux d’autres chercheurs. Le 10 octobre 1991, on
pouvait lire en page 12 du New York Times qu’un comité de chercheurs de l’Université de Boston admettait « qu’il ne faisait aucun doute que le docteur King avait plagié sa
dissertation mais qu’il ne rimait à rien désormais de le déchoir de son titre… »
Dans son Journal of American History (juin 1991), David J.Garrow, académicien de gauche et sympathisant de King, rapporte que Coretta Scott King (sa défunte épouse) qui lui servait de secrétaire, « avait été complice de ses tricheries répétées». A ceux qui s’étonnent encore de l’apparente indulgence de ses professeurs, le chercheur Michael Hoffman répond non sans ironie : « King était politiquement correct, noir et ambitieux. C’était, pour les marxistes, une joie d’accorder un doctorat à un tel candidat et cela n’est pas plus choquant qu’il ait fallu quarante ans pour que soit divulguée cette piraterie intellectuelle ».
Le pasteur qui aimait les orgies… payées avec les quêtes de l’église !
A des années lumière des préceptes évangélistes qu’il aimait à prêcher, ses activités
et fréquentations louches allaient écailler son aura et titiller la curiosité du FBI, dont l’un des chefs était alors un certain William C. Sullivan, qui se qualifiait lui-même de «
libéral » et avouait « avoir une certaine sympathie pour King, qu’il voyait comme parfait leader des Noirs en quête de droits civiques ».
Il découvrit en effet que le charismatique prêcheur, si vénéré pour sa droiture, détournait sans vergogne de fortes sommes d’argent initialement destinées à la communauté noire pour laquelle il
prétendait lutter, les utilisant de surcroît, à des fins peu honorables…
« Bien qu’ayant vu pendant 30 ans, dira Sullivan à l’époque, le côté peu reluisant de la vie, je peux dire que King est l’une des rares personnes complètement
dégénérées que j’ai rencontrées. Pratiquant l’adultère d’une manière compulsive, il s’est aliéné l’affection de nombreuses femmes mariées et en a séduit d’autres de son entourage (qui l’ont avoué
publiquement), faisant aussi conduire à son hôtel nombre de prostituées, souvent deux à la fois, pour des parties qui pouvaient durer plusieurs jours… Ce genre d’activités était la norme au cours
de ses tournées… King passa d’ailleurs la dernière nuit précédant sa mort, en compagnie de deux prostituées blanches et d’une autre, battue et abusée, dans une chambres du motel Lorraine, à
Memphis (Tennessee) ». Lire la suite
Commenter cet article