Les délinquants étrangers font plier le gouvernement et les entreprises à Marseille
Plusieurs dizaines d’individus ont attaqué et bloqué à plusieurs reprises un chantier dans les quartiers occupés du Nord de Marseille. Ils exigeaient le droit à des « emplois » – alors
même que ce sont les Français qui payent ces nouveaux logements pour occupants – et alors que même que déjà 5% des emplois leur avaient été réservés. Leur coup de force n’a pas conduit à la
moindre action de la police, bien que ces pratiques soient usuelles de celles des mafias à travers le monde.
Pire encore, après que le préfet de région Michel Cadot, c’est-à-dire le gouvernement, se soit aplati devant les menaces, le viol de la loi l’a finalement emporté sur le droit : les occupants ont
obtenu « l’embauche » d’au moins dix des leurs malgré l’absence de qualification de la plupart.
Les occupants ont célébré une « première victoire » en organisant – payée par la préfecture ? – une « fête » comme l’a annoncé Soraya Larguem. Au lieu des 6.000 heures de « travail
» réservées normalement aux occupants, ceux-ci en ont obtenu 4,5 fois plus.
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