La théorie du genre vole en éclats !
L’annonce n’a pas fait la une des médias. Pourtant
l’événement est majeur et d’actualité quand on sait que la France par exemple a mis l’enseignement de la théorie du gender au programme scolaire. Cela alors qu’il n’y a aucune
démonstration scientifique, aucun débat public sur la question, et aucune urgence à décerveler nos chères têtes blondes et brunes. On leur apprend qu’à la différence de l’identité sexuelle, le
genre ne serait pas inné. [...]
Il s’est produit en Norvège. Suite à l’enquête menée par Harald Eia, le scandale de la théorie du genre a éclaté au grand jour et est devenu une affaire nationale. Au point où le gouvernement a décidé d’annuler les subventions aux études de genre et aux associations qui en font la promotion! La théorie du genre a été flinguée et laissée pour morte dans le caniveau dont elle n’aurait jamais dû sortir. [...]
Le point de départ de l’enquête
norvégienne est le suivant. Un journaliste, Harald Eia, s’étonnait que dans son pays - le plus égalitaire au monde selon une étude - les femmes étaient bien plus représentées dans les professions
touchant à l’humain - les soins en particulier - et les hommes dans les professions techniques. 90% des infirmiers sont des femmes et 90% des ingénieurs sont des hommes. On pourrait supposer
qu’ils ont été éduqués et imprégnés de différence culturelle. Pourtant le gouvernement a lancé plusieurs programmes de soutien à l’égalité professionnelle et poussé les femmes vers les
professions techniques, et les hommes vers celles du soin. Cela n’a rien changé.
Le journaliste a fait une enquête au cours de
laquelle il a interviewé des scientifiques de haut niveau aux Etat-Unis. Les expériences les plus récentes démontrent que filles et garçons ont des intérêts différents dès la petite enfance
(quelques mois), et même dès le premier jour de leur naissance. L’une de ces expériences consistait à filmer des bébés qui venaient de naître. On leur présentait une série d’objets ou de jouets
connotés comme masculins (objets mécaniques, camions, etc) ou féminins (poupées par ex.). Le résultat est que dès la naissance les filles regardaient longuement, de manière systématique, les
objets féminins, et les garçons les objets masculins. Ces longs regards des nouveaux-nés étaient une manière d’établir une relation particulière et privilégiée avec les objets regardés. Cette
expérience, et d’autres, mettent en cause directement l’idéologie gender.
Les scientifiques norvégiens ont refusé de s’interroger sur ces études, qualifiant simplement les chercheurs américains de « médiocres » et réaffirmant leur adhésion totale à la théorie du genre, laquelle est pourtant cassée par cette expérience récente et par d’autres. Ils ne montraient pas la plus petite interrogation scientifique. Après la diffusion du reportage le débat s’est enflammé et le gouvernement à coupé tous les subsides aux tenants de cette idéologie. [...]
Voici la vidéo sous-titrée du reportage :
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