La France est bel et bien en train de se couper en deux
Oui, nous constatons chaque jour un peu plus les divisions qui s’installent dans la société française comme conséquence des initiatives de nos ministres fraîchement promus aux
commandes de la République : Il y a ceux qui entrent en résistance contre les prétentions idéologiques d’une minorité friquée et voilée derrière les marionnettes du gouvernement socialiste, et
puis il y a les autres, moutons de Panurge plus ou moins réveillés, qui par inconscience ou par intérêt, se laissent piétiner sous les rouleaux compresseurs du changement de syphilisation, selon
l’expression de la garde des sots.
Nous pouvons bien nous autoriser quelques jeux de mots, face aux usages mensongers des mots sacrés de notre langue : « mariage » ou « parentalité ». Le plus bel exemple de la supercherie novlanguiste nous fut certainement donné par la ministre de la justice elle-même, au moment où elle ouvrait la session parlementaire : celle-ci s’auto-institua grande prêtresse des grâces et des sacrements du mariage, s’intronisant héritière de sa longue tradition et grande alchimiste de la fusion des genres. Elle ne fit aucune distinction entre mariage civil et mariage religieux, aucune référence à l’action civilisatrice des apôtres de la foi chrétienne, si ce n’est pour les accuser d’injustice et se poser en championne du progrès virtuel.
Mais cela, c’est déjà le passé. Déjà de
nouvelles inquiétudes germent sur les chemins des écoliers : Qu’est-ce que vous dites ? « Refondation de l’école ? » Oui, c’est bien cela, il ne suffisait pas que Luc Chatel le
fourbe de droite, introduise le gender dans les manuels de SVT. Vincent Peillon veut maintenant organiser l’endoctrinement des enfants à l’école, dès la maternelle, en subventionnant, non pas
l’école elle même, mais des agents étrangers : associations LGBT et autres vilipendés : Ordre est donné aux recteurs d’académie de faire intervenir les milices de Pierre Bergé auprès de nos
enfants pour les embrigader dans les jeunesses pipées : l’horreur ! Comment de pas envisager l’autodafé des manuels scolaires, pour répondre à ces agressions contre nos enfants ? Pour répondre à
ces outrages contre notre responsabilité de parents ? Oui, la France se divise parce qu’une minorité de dictateurs illuminés prétend imposer son utopie délirante à la majorité des citoyens libres
de notre beau pays, et qui n’en veulent pas.
Il est encore temps d’entrer en résistance et de nous rassembler pour crier : NON !
Ne nous privons pas, ce sera salutaire pour nos enfants qui nous remercieront. En revanche, quelle honte si nous nous défaussons face à cette nouvelle menace contre nos libertés fondamentales.
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