Jusqu’au bout de l’antiracisme : un mari tue sa femme « raciste » à Nice
« Il est 4 h 45. Je me prépare à tuer ma femme. Je ne peux plus
supporter ses brimades et son inconstance d’humeur, due à son bipolarité et à son racisme ».
Jean Raynal, après avoir tiré sur sa femme, touchée en pleine tête, a écrit ce mot, dans un français approximatif. Si la République ne lui a pas enseigné comment écrire correctement sa propre langue, elle lui a bien inculqué ses valeurs de mort et comment haïr son propre peuple. Très grièvement blessée, la victime est décédée quelques heures plus tard. Le tueur antiraciste fou aurait ensuite tenté de se suicider avec son arme, en vain, avant de tenter à nouveau de se donner la mort en jetant sa voiture dans un fossé. Il n’est parvenu qu’à se luxer l’épaule.
Une affaire en écho à un double meurtre survenu aux États-Unis où un adolescent avait abattu sa soeur “raciste” et sa mère.
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