François Hollande, le roi de la vanne
À peine sorti de la crise internationale née de sa dernière « blague » sur l’insécurité en Algérie, François Hollande – qui était encore en déplacement hier, après le Brésil, l’Afrique du Sud, Bruxelles ou la Centrafrique ces derniers jours –, de passage en Arabie Saoudite, s’est senti obligé de multiplier les blagues.
Alors que ses hôtes lui offraient un sabre, une vidéo le montre le manipulant maladroitement et déclarant, en souriant bêtement : « J’en aurai bien besoin ».
Sans préciser quelles têtes il comptait faire tomber. Des propos étonnants dans un pays où la peine de mort prévoit justement la décapitation au sabre. Heureusement pour la délégation française,
elle ne semble pas appliquée aux pédophiles étrangers.
Ainsi, lors de la visite de la citadelle de Masmak, il s’est permis de répondre à la place de son hôte à une question de Jack Lang, qui s’interrogeait sur l’âge d’une maquette : « c’est écrit là, 1918, tu n’étais pas venu toi en 1918 ? ».
Enfin, près d’un vieux canon, il se lance dans une nouvelle série de vannes du même genre, hélas pas à voix suffisamment intelligible pour que les caméras présentes puissent les immortaliser.
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