Crèche Baby-Loup : Avec ou sans voile, hors de chez nous !
Communiqué de
l'Œuvre Française
Suite à l’annulation du licenciement d’une employée qui refusait d’ôter son voile, nombreux sont ceux qui sont montés au créneau pour dénoncer comme Manuel Vals, « une remise en cause du principe de laïcité » Ce licenciement a été jugé discriminatoire par la cour de cassation au motif que la crèche était un lieu privé.
Force est de constater que l’on se trompe de procès. La question ne doit pas porter sur des sphères (privées, publiques,…) mais sur une entité, une et indivisible : la France !
Nous
affirmons que l’islam n’y a droit de cité. La France ne veut pas de l’islam, et encore moins d’un islam de France, car ces deux termes ne peuvent ni ne doivent cohabiter. Non par haine pour ces
pratiquants qui méritent le respect que l’on doit à ceux qui assument un engagement, une foi, un combat, mais par amour et respect pour la terre de nos pères, pour la terre de Jeanne d’Arc, de
Clovis, de Charles Martel, pour la fille aînée de l’Église qu’elle est et restera. La France est catholique par essence, et ce, malgré tous les efforts pour y substituer les religions de l’impie.
L’islam est certes une religion conquérante, mais depuis ses grandes conquêtes, depuis les civilisations fascinantes, pluriséculaires et oh combien fertiles qu’elle a eues pour berceau, ayant
même été un allié déterminant pour la France catholique de François Ier acculé par la pression impérialiste, qu’a-t-elle conquis ? Elle ne prend que ce qu’on lui cède, et à ce titre on ne peut
parler de conquête. Qu’a-t-on à craindre de gens qui se sont engagés dans un boulevard sans obstacle ? L’islam n’est à craindre qu’en tant que l’on est un mouton, surtout en période de l’Aïd !
Les lions n’ont pas peur de l’islam car on ne craint que ce que l’on ne peut vaincre, on ne craint que le fort si l’on s’estime faible. Alors soyons des lions, forts et intrépides comme eux.
L’islam n’a certes rien à faire chez nous mais prenons garde de ne pas foncer tête baissée sur le chiffon vert qu’agite le matador mondialiste. A trop se focaliser sur eux on finit par en perdre de vue les dangers véritables :
A commencer par nous-mêmes, indulgents à l’excès envers soi et intransigeants avec ses frères de combat, de lutte, de galère et de victoire. Indulgents également au point de se voiler la
face, trouvant dans le musulman l’ennemi facile et identifié, servi sur un plateau pour nous occuper, rompus à l’exercice de la détestation stérile, préférant ignorer celui qui nécessite effort
et formation intellectuelle pour débusquer et combattre, artisans de la Salente cosmopolite. L’islam n’est qu’une conséquence de l’immigration souhaitée par les financiers trop heureux
d’amoindrir les salaires via la main d’œuvre étrangère, par les cosmopolites de tous bords créant une société métissée, sans repères, sans foi, sans culture, sans racines.
Mettons fin à l’immigration, et pour cela, abattons un système qui ne prend pas racine dans les banlieues mais dans les quartiers d’affaires, les bureaux des oligarques et bien pensants au col blanc et cœur rouge, internationalistes communistes d’hier, internationalistes capitalistes d’aujourd’hui.
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