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Le blog politique de Thomas JOLY

La nouvelle vague de Covid ou l’arnaque du siècle

1 Mars 2021, 10:24am

Publié par Thomas Joly

Les jours passent, et la terrible nouvelle vague de Covid qui épouvante les plateaux télé semble se faire attendre, un peu comme les armées ennemies du “Désert des Tartares”… Le bilan quotidien annonce 150, 200 morts, tout au plus 300 les jours les plus endeuillés… Une mortalité équivalente à celle des épidémies de grippe les plus virulentes – et d’ailleurs le covid semble avoir totalement escamoté le virus saisonnier cette année. Pour mémoire, les gazettes de 2018 parlaient déjà de salles de réanimation engorgées à cause de la grippe. À l’heure où je m’exprime, il y a à peine plus de 3.000 lits occupés, les médias s’alarment d’une saturation à court terme, oubliant que notre pays dispose de 5.000 lits privés, en plus des 6.000 dans les hôpitaux… On hystérise les pics de pandémie à Nice, Dunkerque, en Moselle : dans certaines régions, il n’y a rien, pas la moindre victime en vue. Il suffit de transférer les malades d’un département à l’autre pour assurer des soins de qualité à chacun. Les variants anglais, sud-africain, brésilien épouvantent les commentateurs : depuis deux mois qu’on en parle, on ne constate pas de hausse de la contagion ni de la mortalité. En Italie, où la chloroquine est désormais administrée massivement, depuis décembre dernier que le Conseil d’État l’a autorisée, le ralentissement de la contagion comme de la mortalité est impressionnant : bizarrement, le sujet ne passionne pas les médias. L’Italie ne les intéresse que lorsque les hôpitaux sont saturés, pas lorsque les bars et restaurants rouvrent. Et cela fait désormais un mois et demi que c’est le cas, sans que l’épidémie ne reprenne la moindre intensité. Les traitements sont tous récusés d’un revers de la main : on dirait que cela n’intéresse pas car il faut absolument que le virus soit là. Seule la vaccination passionne, mais, manque de pot, il n’y a plus de vaccin… Ce n’est pas demain la veille qu’on éliminera le virus avec Pfizer, et on dirait que pour certains, c’est mieux comme ça…

Comme l’a dit récemment sur LCI le docteur Gérard Kierseck, cette épidémie n’est pas la peste annoncée. Aujourd’hui, ce sont les mesures sanitaires qui tuent la population, plus sûrement que le virus. Et la population active, jeune, dynamique est la plus visée par notre gouvernement : restaurateurs, commerçants, artisans, étudiants… Dépressions, problèmes conjugaux, financiers, tentatives de suicide se multiplient. Tout ça pour ça…

Oui, mais voilà, comme à chaque grande crise, si la plupart sont essorés, d’autres en tirent de plantureux bénéfices. Voir la Bourse, à son plus haut niveau historique (”Comment les banques centrales pilotent le Grand Reset”).

Surtout, la pseudo-pandémie permet de faire admettre bien des hérésies que l’on aurait rejetées massivement en temps normal : couvre-feux, confinement, autorisations de sortie, censure de l’information, pour ne pas gêner la “politique sanitaire” du gouvernement. Poursuite contre des opposants (Lalanne, Bigard), internement de médecins récalcitrant (Fourtillan) ; et maintenant, le nouveau “pass sanitaire”, mesure qui ouvre la porte à un fichage généralisé.

Désormais, il faudra montrer patte blanche pour se déplacer, voyager, sortir de chez soi. Et probablement demain s’exprimer : si ce que l’on dit publiquement peut avoir des conséquences sur la santé publique, comment tolérer que des individus “dangereux” aient le droit de livrer leur opinion ? Comme aux plus beaux jours de l’URSS, les “déviants” doivent être circonscrits, éloignés, confinés, empêchés d’influencer le peuple.

Et puis, il y a la “com” gouvernementale. Entièrement tournée vers un seul objectif : il faut sauver le soldat Macron. Après en avoir reçu plein la figure, lors de la première vague, voila que celui qui nous sert de Président a trouvé la martingale pour redorer son blason et se faire réélire : hystériser les commentaires autour d’une seconde vague fantasmée, avec l’appui zélé de médias qui captent ainsi l’attention du public. Puis faire monter les appels à un reconfinement, y compris au sein de son gouvernement, et finir par se faire passer pour un résistant à la dictature sanitaire. Aujourd’hui même, c’est l’organe quasi-officiel du macronisme, le JDD de l’ami Lagardère, qui nous fait passer Macron pour Batman, le seul capable de sauver la ville en danger… Dites-le vous bien : si nous ne sommes pas reconfinés, c’est grâce à Macron, qui résiste héroïquement aux injonctions des Véran, Delfraissy, Salomon, Castex, Estrosi, Hidalgo. Et de toute la crème de la haute médecine française, qui rêve de s’accrocher encore longtemps à la notoriété et au pouvoir que le virus lui a offerts.

Macron s’est déguisé en leader populiste, à la faveur d’une pandémie largement surévaluée par les médias et le corps médical. Il espère en tirer les bénéfices électoraux, l’année prochaine. Mais surtout pas pour défendre la cause du peuple : pour achever le travail commencé, à savoir transférer le patrimoine des Français au profit de la superclasse mondiale, lui enlever ses libertés avec les pseudo-“pass sanitaires” et la censure généralisée. À bon entendeur…

Olivier Piacentini

Source : http://ripostelaique.com

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