Élimination du fellagha Boumendjel : Macron se met encore à quatre pattes
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Le jour même où le président algérien rappelait que son pays « ne renoncerait jamais à sa mémoire » — ce qui, au demeurant, est légitime, même si l'Algérie ne fut un « pays » que par la grâce de l'œuvre française — Emmanuel Macron se vautrait, une fois de plus, dans la plus misérable repentance en « reconnaissant » l'assassinat après torture par nos soldats de l'avocat et militant FLN Ali Boumendjel pendant la bataille d'Alger en 1957.
Boumendjel était un agent de liaison du terrorisme fell. Les paras de la 10e DP ont fait ce qu'ils devaient faire en accomplissant, dans la discipline, la mission difficile que leur avait confiée le pouvoir civil, mission à laquelle leur honneur militaire ne les avaient pas préparés, mais nécessaire pour éradiquer la menace des bombes qui visaient chaque jour ou presque la population européenne d'Alger.
Nous non plus, nous ne renoncerons jamais à notre mémoire.
Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France
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