Comble de l'hypocrisie : Christophe Barbier publie un livre dénonçant la tyrannie sanitaire !
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Christophe Barbier ne déçoit jamais.
Le bougre s'offre le culot de publier un livre dans lequel il dénonce la tyrannie sanitaire. Il reproche à la situation et à nos dirigeants d'avoir limité les libertés élémentaires des citoyens, et reproche du même coup aux Français d'avoir abdiqué ces libertés. C'est notre thèse depuis des mois et des mois. C'est une thèse excellente, mais promue par Barbier qui officie entre autres à BFMTV, c'est cocasse.
Rappelons que BFM est depuis longtemps, depuis le début de l'expérience macronique et depuis le début de la crise, le canal officieux du gouvernement, du pouvoir et en règle générale du camp de l'officialité. Nous savons par des indiscrétions que dans les bureaux de tous les ministres, BFM tourne en boucle. Lorsque le gouvernement a une saloperie à faire passer dans la loi, il peut être sûr que BFM en assurera la promotion en amont, en préparant l'opinion, puis en assurera le service après-vente après coup. La rédaction de cette chaîne est ni plus ni moins un mélange de porte-parolat et de Ministère de la Vérité.
Barbier a contribué à la terreur médiatique sur le virus depuis des mois, il a validé tous les délires, combattu tous les complotistes, soutenu jusqu'au passeport vaccinal avec un aplomb sidérant. Et ce clown prétend maintenant dénoncer la tyrannie sanitaire et le recul des libertés ? Il a nourri la bête médiatique qui a permis au gouvernement d'imposer sa tyrannie, il en est le complice et le produit.
Mais voilà, le bobo Barbier commence à trouver le temps long sans les restaurants parisiens et les salles de théâtre. Sa vie mondaine est arrêtée, suspendue, ce qui du point de vue de ce consommateur des plaisirs citadins est insupportable. Il a travaillé à terrifier les gueux pendant un an, et il se révolte contre leurs bourreaux maintenant qu'il a pris conscience qu'il était lui-même une victime collatérale de cette tyrannie.
Peut-être que cette élite avait pensé dans un premier temps qu'elle échapperait aux restrictions imposées aux gueux, qu'elle trouverait des restaurants et des théâtres, qu'elle continuerait à vivre normalement contrairement au peuple. Et voyant que ce n'est pas le cas, une partie de cette élite commence à s'impatienter.
Barbier, votre livre capricieux qui ne m'apprend rien, je n'en veux même pas pour caler un meuble.
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